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a là un fait d'observation qui est connu d'assez longue date et dont les cultivateurs doivent faire leur profit. Mais le semis sous raie est moins expédient et ne peut être pratiqué que dans les sols légers et meubles, soit par une personne qui précède le laboureur, ou le laboureur lui-même, soit au moyen d'un petit semoir monté sur la charrette Brabant. À l'époque à laquelle nous arrivons, les dégâts causés par les alouettes étant de moins en moins à craindre, dans les champs dévastés on peut semer des céréales de printemps, avoine ou orge, mais dans les semis qui sont trop clairs, il semble bien que ce qu'il y a de mieux à faire, jusqu'à la fin de février et premiers jours de mars, est de les compléter par du blé de printemps Manitoba dont on s'est servi quelque peu pendant la guerre et qui a donné quelques satisfactions. Il suffit de semer ce mélange à la volée et de l'enterrer à la herse, à la condition que les tiges restantes du semis d'automne soient suffisamment développées pour supporter sans inconvénient ce hersage, qui doit être complété d'un roulage. Certains minotiers de la région, détenteurs de blé de Manitoba, peuvent en céder aux cultivateurs. Quoi qu'il en soit, une mesure s'imposera en novembre, décembre et janvier prochains, pour peu que les alouettes soient encore plus nombreuses que cette année-ci, — ce qui est à peu près certain — c'est, avec l'autorisation de l'administration, leur destruction en masse par les filets et lacets, comme cela s'est pratiqué et se pratique encore dans certaines régions. Doute, ce procédé amènera aussi la destruction de quelques autres petits oiseaux qui voisinent avec les alouettes, et ce sera évidemment regrettable. Mais, entre deux maux, il faut choisir le moindre, et, à notre avis, il n'y a pas à hésiter. Les agriculteurs qui exploitent dans les sols calcaires de groin de Jurassique et dont les cultures de blé ont particulièrement souffert des déprédations des alouettes, demandent à ce qu'on les autorise à se débarrasser de ces néfastes oiseaux qu'ils vont jusqu'à qualifier de « peste

a là un fait d'observation qui est connu d'assez longue date et dont les cultivateurs doivent faire leur profit. Mais le semis sous raie est moins expédient et ne peut être pratiqué que dans les sols légers et meubles, soit par une personne qui précède le laboureur le laboureur lui-même, soit au my d'un petit semoir n sur l charrette Brabant. À l'époque à laquelle nous arrivons, les dégâts causés par es alouettes étant de moins en moins à crde, dans les champs dévastés on peut smr des céréales de printemps, avoine ou orge, mais ds les semis i sont trop lairs il semble bien que ce qu'il y a de mieux à faire, jusqu'à la fin e virfére et premiers jours de mars, es de les compléter par du blé d printemps Manitoba dont on s'est servi quelque peu pendant la guerre et qui a don quelques satisfactions. Il suffit de semer c mélange à al vole t de l'enterrer à la herse, à la condition que les tiges restantes du semis me'autnod soient uffint développées or supporter sans ioéne ce hersage, qui doit être complété d'un roulage. Certains minotiers de la région, détenteurs de blé de Manitoba, peuvent en cédr aux cultivateurs. Quoi quil en soit, une msr s'imposera en novembre, décembre et ner prochains, pour peu que les alouettes soient encore plus nombreuses que cette année-ci, — ce qui est à peu près certain — c'est, avec tlaoints'oairu de l'administration, leur destruction en masse par les filets et lacets, comme cela s'est atiq et se pratique encore dans certaines régions. Doute, ce procédé amènera aussi la destruction de quelques autres petits oiseaux qui voisinent vcae les alouettes, et ce sera évidemment regrettable. Mais, entre deux maux, il ft cohsrii le moindre, et, à notre avis, il n'y a pas à hésiter. Les agriculteurs qui exploitent dans les sls calcaires de groin de Jurassique et dont les cultures de blé ont particulièrement souffert des déprédations e alouettes, demandent à ce qu'on les autorise à se débarrasser de ces néfastes oiseaux uiqls' vont jusqu'à qlfr de « peste

peuvent en céder aux cultivateurs. Quoi qu'il en soit, une mesure s'imposera en novembre, décembre et janvier prochains, pour peu que les alouettes soient encore plus nombreuses que cette année-ci, — ce qui est à peu près certain — c'est, avec l'autorisation de l'administration, leur destruction en masse par les filets et lacets, comme cela s'est pratiqué et se pratique encore dans certaines régions. Doute, ce procédé amènera aussi la destruction de quelques autres petits oiseaux qui voisinent avec les alouettes, et ce sera évidemment regrettable. Mais, entre deux maux, il faut choisir le moindre, et, à notre avis, il n'y a pas à hésiter. Les agriculteurs qui exploitent dans les sols calcaires de groin de Jurassique et dont les cultures de blé ont particulièrement souffert des déprédations des alouettes, demandent à ce qu'on les autorise à se débarrasser de ces néfastes oiseaux qu'ils vont jusqu'à qualifier de « peste ». C. PRIOTON. (Bulletin agricole et viticole de la Charente) L'Annuaire Général du département de la Charente Par Jean PÉNICHON CHEF DE BUREAU À LA PRÉFECTURE Un fort volume de 900 pages Prix broché : 5 fr. ; relié : 8 fr. ; port, 1 fr. 25 Les premières à Paris L'OPERA COMIQUE. — Deux hommes, une femme, pièce en trois actes de MM. René Saunier et André Salmon (compte-rendu sucré du Temps): M. René Saunier et André Salmon dont la première œuvre théâtrale "Laatchaio", fut remarquée, nous offrent pour leur second début une pièce assez surprenante. On leur a voulu composer une comédie dramatique ? peindre un caractère ? faire une étude de mœurs ? Je serais bien en peine de vous le dire. Ils ont réalisé en tout cas quelque chose de désordonné et de peu consistant, Ils écrivent par surcroît avec une négligence qu'on n'attendait pas de leur part. La scène est, aux environs d'Orléans chez de riches bourgeois. Il y a dans la maison une fille en âge de se marier, Irène ; une orpheline, Laure, recueillie jadis et qui tient l'emploi de grande sœur affectueuse ; un fils, Raymond, balourd effervescent ; enfin, le père,

peuvent en cédr aux cultivateurs. Q q'l en soit, une mesure simposera en novembre, édbecmre et janvier prochains, pour peu que les alouettes einsto encore plus nombreuses que cette année-ci, — ce qui est à peu près certain tsec,' avec l'autorisation de l'administration, leur destruction en msse par les filets et lacets, comme cela sest pratiqué et se prtq encore dans certaines régions. Doute, ce procédé amènera ss la destruction de quelques autres petits oiseaux qui voisinent av les alouettes, t ce sera évidemment regrettable. Mais, entre deux maux, il faut is le moindre, et, à notre avis, il n'y a pas hésiter. Les agriculteurs qui eitet dans les sols calcaires de groin de Jurassique et dont les cultures de lé nt particulièrement souffert des déprédations sed alouettes, nemneadtd ce quon les autorise à se débarrasser de ces néfastes oiseaux qu'ils vont jusqu'à qualifier de « peste ». C. PRIOTON. (Bulletin agricole et viticole de la Charente) L'Annuaire Général d département de la Charente Par Jean PÉNICHON CHEF DE BUREAU À LA PRÉFECTURE Un fort ovmule de 900 pages Pirx broché : 5 fr. ; relié : 8 fr. ; port, 1 fr. 25 Les premières à Paris L'OPERA COMIQUE. — Deux hmms, une femme, pèc n trois actes de MM. René Saunier et André Salmon (compte-rendu sucré du Temps): M. René Saunier et André Salmon dont la première uvre théâtrale "Laatchaio", fut remarquée, nous offrent pour leur second début une pièce assez surprenante. On leur a voulu composer une comédie dramatique ? peindre un rtraèeacc fr une étude de mœurs ? Je serais bien en peine de vous le dr. Ils ont réalisé en tout cas quelque chose de désordonné et de peu consistant, Ils écrivent par surcroît avec une négligence qu'on n'attendait pas de leur part. La scène et, xau environs drl chez d riesch brgs. Il y a dans la maison une fille n âge de se marier, Irène ; une pe, re rcll jadis et qui tient l'emploi de grande sœur affectueuse ; un fils, Raymond, balourd effervescent ; enfin, le père,

Paris L'OPERA COMIQUE. — Deux hommes, une femme, pièce en trois actes de MM. René Saunier et André Salmon (compte-rendu sucré du Temps): M. René Saunier et André Salmon dont la première œuvre théâtrale "Laatchaio", fut remarquée, nous offrent pour leur second début une pièce assez surprenante. On leur a voulu composer une comédie dramatique ? peindre un caractère ? faire une étude de mœurs ? Je serais bien en peine de vous le dire. Ils ont réalisé en tout cas quelque chose de désordonné et de peu consistant, Ils écrivent par surcroît avec une négligence qu'on n'attendait pas de leur part. La scène est, aux environs d'Orléans chez de riches bourgeois. Il y a dans la maison une fille en âge de se marier, Irène ; une orpheline, Laure, recueillie jadis et qui tient l'emploi de grande sœur affectueuse ; un fils, Raymond, balourd effervescent ; enfin, le père, M. Chauvelot, qui a des ambitions politiques. Les auteurs laissent dans cette famille bourgeoise le directeur véreux d'une feuille démocratique et un jeune journaliste, Georges, d'un physique donjuanesque. Les deux hommes marchent d'accord. Georges devra épouser la fille, tandis que l'acolyte soutirera au père la forte somme en lui faisant mirer un siège sénatorial. Et le plan commence à s'exécuter. Georges se fait aimer d'Irène. Les fiançailles ont lieu... Mais il est séduit à son tour par Laure. Cette Laure d'ailleurs séduit tout le monde, depuis le fils de la maison jusqu'à l'homme d'affaires indélicat. Elle parle de l'amour avec mystère ; ses regards lointains et fixes suivent (son rêve perpétuel. Mme Eve Francis lui prête cette physionomie énigmatique et "claudelienne" qu'elle conserve dans tous ses rôles. Les scènes passionnées alternent avec des épisodes satiriques. Les personnages entrent, sortent et reviennent sans qu'on sache pourquoi. Finalement, Georges, écœuré du jeu auquel il se prête, fait un aveu public. Il révèle le plan, il fait même connaître qu'il est taré, qu'il a subi une condamnation en cour d'assises. Laure, farouche jusque-là, se jette aussitôt dans ses bras et consent à fuir avec lui. M. Azor montre dans le personnage de son

Paris LOPERA COMIQUE. — Deux hommes, une femme, pièce en trois actes de MM. René Saunier et André Salmon (compte-rendu sucré du Temps): M. René Saunier t André Slmn tdon la première œuvre théâtrl Laatchaio fut remarquée, nous offrent pour leur scnd début une pièce assez surprenante. On leur a voulu composer uen comédie dramatique ? peindre un caractère ? fae une étude de mœurs ? Je serais bien en peine de vous le dr. Ils ont rélsé en tout cas quelque chose de désordonné d peu consistant, Ils éient par surcroît une négligence qu'on n'attendait pas de leur part. La scène est, aux nions dOléan chez d riches bourgeois. Il y a dans la osmnia une fll en âge de se mae, Irène ; une orpheline, Laure recueillie jadis et qui tient 'emploi de grande sœur affectueuse ; un fils, Raymond, balourd effervescent ; enfin, le père, M. Chauvelot, qui a des ambitions politiques. Les auteurs laissent dans cette famille bourgeoise le directeur véreux d'une feuille démocratique t un jeune journaliste, Georges, d'un physq donjuanesque. Les deux hommes marchent d'accord. Georges devra épouser l fille, tandis que l'acolyte soutirera au père la forte somme en lui faisant mirer un siège sénatorial. Et le plan commence à s'éue. Gee se fait aimer 'e Les fiançailles ont lieu... Mais il est séduit à son tour par Laure. te auerL d'ailleurs séduit tout le monde, dps le fils de la maison quàsuj' l'homme d'ffrs ndélct. Elle parle de l'amour avec mystère ses regards lointains et fixes suivent (son rêve peptu. Mme Eve Francis lui prête cette physnm énigmatique et "claudelienne" q'll conserve dans tous ses rôles eLs scènes passionnées alternent avec des épisodes saiiues. Ls personnages entrent, nt et rviennet sans qu'on aehcs pourquoi. Flme, Georges, écœuré du jeu auquel l s prête, ft un aveu public. Il révèle le plan, il fait même connaître qu'il est taré, qu'il a subi condamnation n cour d'assises. La, farouche jusque-là, se jette aussitôt dans ses brs et consent à fr avec lui. M. Azor montre as le prsonng de son

mirer un siège sénatorial. Et le plan commence à s'exécuter. Georges se fait aimer d'Irène. Les fiançailles ont lieu... Mais il est séduit à son tour par Laure. Cette Laure d'ailleurs séduit tout le monde, depuis le fils de la maison jusqu'à l'homme d'affaires indélicat. Elle parle de l'amour avec mystère ; ses regards lointains et fixes suivent (son rêve perpétuel. Mme Eve Francis lui prête cette physionomie énigmatique et "claudelienne" qu'elle conserve dans tous ses rôles. Les scènes passionnées alternent avec des épisodes satiriques. Les personnages entrent, sortent et reviennent sans qu'on sache pourquoi. Finalement, Georges, écœuré du jeu auquel il se prête, fait un aveu public. Il révèle le plan, il fait même connaître qu'il est taré, qu'il a subi une condamnation en cour d'assises. Laure, farouche jusque-là, se jette aussitôt dans ses bras et consent à fuir avec lui. M. Azor montre dans le personnage de son frère une excellente frivolité. M. Lagrenép (Georges) a une sincérité chaude. l'expression lier He journaliste végétal d'! l'istrwpsqllf1. Mlle Jamois, en An. est une Irène incolore. Les échos du « Cri de Paris » — TOUJOURS DISPOS : Le président du Conseil, comme nous l'avons dit, a été légèrement indisposé la semaine dernière. Ses adversaires, bien entendu, ont voulu tirer profit de ce malaise passager. À la Chambre comme au Sénat, les parlementaires prenant des airs de circonstance, abordaient les amis et les collaborateurs de M. Poincaré : — Comment va le Président, demandaient-ils avec un air de dire : « tout est fini ». Samedi dernier, on fit courir le bruit que le Président était très malade et avait dû garder la chambre. Plusieurs reporters de grands quotidiens téléphonèrent au cabinet pour s'informer. — On dit que M. Poincaré ne reçoit pas aujourd'hui, il n'est même pas au ministère; qu'y a-t-il ? demandèrent de deux à quatre heures, quantité de journalistes anxieux. À Poincaré, en effet, reçoit habituellement, le samedi après-midi. On eut le plus grand mal à faire comprendre aux journalistes que le Président était à l'Élysée, à la réception des lettres de créance de M. von Bloech.

mirer un sèg sénatorial Et le plan commence à s'exécuter. Georges se fait aimer d'Irène. Les fnçlls ont lieu... Mais l est séduit à son tour par Laure. Cette Laure d'ailleurs séduit tout le monde, eps le fils de la maison jusqu'à eolmhm' d'affaires indélicat. Elle parle de l'amour ave mystère ; ses regards lointains et fixes suivent (son rêve perpétuel. Mme Eve Francis lui prête cette physionomie énigmatique et "claudelienne" quelle conserve dans tous rôles. Les scènes passionnées alternent avec des épisodes satiriques. Les personnages entrent, sortent et reviennent sans qu'on sache pourquoi. Finalement, Georges, écœuré du jeu auquel il se prête, ft un aveu public. Il lvreéè le plan, il fait même connaître qu'il est taré qu'il a subi une condamnation en cour d'assises. Laure, farouche jusque-là, se jette aussitôt dans ses bras et consent à fuir avec lui. M. Azor montre dans le personnage de son feèrr n xcllnt frivolité. M. Lagrenép (Georges) a une sincérité cd l'expression lier He journaliste végétal d'! l'istrwpsqllf1. Mlle Jamois, en An. est neu Irène incolore. e échos du « Cri e Paris » — TJRS DISPOS : Le président du Conseil, comme nous l'avons dit, a été légèrement indisposé la semaine dernière. Ses adversaires, bien entendu, ont voulu tirer profit de c malaise passager. À la Chmbr comme au én les parlementaires prenant des airs de circonstance, abordaient les amis et les collaborateurs d M. Poincaré Comment va le Président, demandaient-ils avec un ari de dire : « tout est fini Samedi dernier, on ft orcuir l ut que l Président était très malade et avait dû rdr la chambre. Plusieurs reporters e grands quotidiens pèlenottréhén cabinet pour s'informer. — On dit q M. Poincaré ne rçt pas aujourd'hui, il n'est même pas au ministère; qu'y a-t-il ? mnèrn d deux à quatre hrs, quantité d jrnlsts anxieux. À Poincaré, en ,tfefe reçoit habituellement, l samedi rp-ismèa.di On eut le plus grand mal à faire comprendre aux journalistes que le Président était l'Élysée, à la réception des lettres de créance de M. von Bloech.

la semaine dernière. Ses adversaires, bien entendu, ont voulu tirer profit de ce malaise passager. À la Chambre comme au Sénat, les parlementaires prenant des airs de circonstance, abordaient les amis et les collaborateurs de M. Poincaré : — Comment va le Président, demandaient-ils avec un air de dire : « tout est fini ». Samedi dernier, on fit courir le bruit que le Président était très malade et avait dû garder la chambre. Plusieurs reporters de grands quotidiens téléphonèrent au cabinet pour s'informer. — On dit que M. Poincaré ne reçoit pas aujourd'hui, il n'est même pas au ministère; qu'y a-t-il ? demandèrent de deux à quatre heures, quantité de journalistes anxieux. À Poincaré, en effet, reçoit habituellement, le samedi après-midi. On eut le plus grand mal à faire comprendre aux journalistes que le Président était à l'Élysée, à la réception des lettres de créance de M. von Bloech. Le soir, d'ailleurs, à partir de six heures, Al. Poincaré reçut les visiteurs comme à l'ordinaire. Lundi, lors de la séance de nuit, ses amis l'obligèrent à quitter la Chambre à onze heures et demie. Ce qui fait que le lendemain au Sénat, le Président était Très et dispos. Il papillonnait, il courait partout et M. Maunoury le cherchait en criant à tous les vents : — Mais où est donc le Président? Où court-il ? Les sénateurs l'observaient et du haut de l'hémicycle, MM. François-Marsal et de Monzie côte à côte admiraient l'énergie incroyable du président du conseil. — L'ESPRIT DE LA CONSTITUTION : Pendant que les débats sur les projets financiers du Gouvernement se prolongent indéfiniment, M. Mandel aiguise les flèches dont il compte percer M. Poincaré quand enfin on discutera son interpellation sur la politique intérieure. Nous avons dit déjà qu'il avait sur les Diocésaines tout un dossier réuni pour lui par le cardinal Andrieux, archevêque de Bordeaux. Mais les amis de M. Mandel parlent mystérieusement d'autres documents. Ils prétendent que le député de la Gironde compte faire état d'une lettre adressée jadis par M. Poincaré, président de la République, à M. Clémenceau, au sujet de l'affaire

la semaine dernière. Ses adversaires, bien entendu ont voulu tirer profit de ce malaise pssgr. À la Chambre comme au Sént, les parlementaires prnnt des airs de circonstance, brdnt les amis ls clborae e . Poincaré Comment va le Président demandaient-ils avec un air de dire « tout t fini ». Sae dernier, n fit courir l bruit que le Président était très malade et avait dû garder la chambre Plusieurs reporters e grands quotidiens téléphonèrent au cbnt pour s'informer. — On dit que M. Pncré n rçt s aujourd'hui, il n'est même pas au ministère qu'y atil ? demandèrent de deux à quatre heures, quantité de journalistes anxieux. À Poincaré en effet, reçoit hbtllmnt, le samedi après-midi. On eut le upsl grand mal à faire comprendre aux unlst que le Président était à l'Élsé la écpton des lettres d créance de M. von Bloech. Le soir, ,edsura'lil à partir de six heures, l. Poincaré reçut les visiteurs comme à l'ordinaire. Lundi, lrs de la séance de ses amis lobligèrent à quitter la Chmbr à onze heures t demie. Ce qui iaft que le lendemain Sénat, le Président était Très et dispos Il ppllnnt, il courait partout et M. noaMuryu le cherchait en criant à tous sel vents : — Mais où tes donc l Président? Où crt-l ? Les sénateurs l'observaient et du haut de l'hémicycle, MM. Frnçs-Mrsl et de Monzie côte à côt admiraient l'n ncrybl du président du conseil. L'ESPRIT DE LA CONSTITUTION : Pendant que les débats sur ls rots irs du Gouvernement se prolongent ndéfnmnt, M. Mandel aiguise les flèches dont il compte percer M. Poincaré q enfin on discutera son intereio sur la politique intérieure Nous avons dit déjà qu'il avait sur les Diocésaines tout un dossier réuni pour lui par le al Andrieux, archevêque de Bordeaux. Ms les amis de M Mandel parlent mystérsmnt d'autres documents. Ils prétnden qe le député de l Gironde cmpt faire état 'une lettre adressée jdis M. Poincaré président de l République, à M. Clémenceau, au sujet d l'affaire

papillonnait, il courait partout et M. Maunoury le cherchait en criant à tous les vents : — Mais où est donc le Président? Où court-il ? Les sénateurs l'observaient et du haut de l'hémicycle, MM. François-Marsal et de Monzie côte à côte admiraient l'énergie incroyable du président du conseil. — L'ESPRIT DE LA CONSTITUTION : Pendant que les débats sur les projets financiers du Gouvernement se prolongent indéfiniment, M. Mandel aiguise les flèches dont il compte percer M. Poincaré quand enfin on discutera son interpellation sur la politique intérieure. Nous avons dit déjà qu'il avait sur les Diocésaines tout un dossier réuni pour lui par le cardinal Andrieux, archevêque de Bordeaux. Mais les amis de M. Mandel parlent mystérieusement d'autres documents. Ils prétendent que le député de la Gironde compte faire état d'une lettre adressée jadis par M. Poincaré, président de la République, à M. Clémenceau, au sujet de l'affaire Caillaux. Dans cette lettre, le président aurait exprimé sa surprise et sa désapprobation quant au sujet de la décision prise par le Tigre de soustraire M. Caillaux à la juridiction militaire pour l'envoyer devant la Haute-Cour de justice. M. Mandel voudrait tirer parti de ce document pour prouver que M. Poincaré n'avait pas le droit de se considérer comme irresponsable quand il intervenait conséquemment dans la direction des affaires. Mais il faut avouer que l'argument est bien faible, car si le président de la République a reçu de la Constitution le devoir de présider le Conseil des ministres, c'est apparemment pour donner son avis aux membres du Gouvernement. Et s'il a le droit d'exprimer son opinion de vive voix dans le Conseil, on ne voit pas pourquoi on lui refuserait le droit d'exprimer cette même opinion par lettre. Chronique locale NOUVELLES GÉNÉRALES Un challenge national de musique Nous apprenons que le Challenge national musical que prépare depuis quelque temps la Fédération musicale de France, en plein accord avec la Fédération du Nord et du Pas-de-Calais et la Fédération du Rhône et du Sud-Est, aura lieu à Metz et est définitivement fixé au 29 mai prochain. Pour tous renseignements, s'adresser à

papillonnait, l courait partout et M. Maunoury le cherchait en criant à tous les vnts : Mais où est donc le Président Où court-il ? Les sénateurs 'observaient et du de l'hémicycle, MM. FrançoisMarsal et de Monzie côte à côte admiraient l'énergie incroyable du président du conseil. — L'ESPRIT DE L CONSTITUTION : Pendant que les débats sur les projets fnncrs du Gouvernement s prolongent indéfiniment M. Mandel aiguise els hcflsèe dont il compte percer M. Poincaré quand enfin on discutera n interpellation sur la politique intérieure. Nous avons dit àjdé qu'il avait sur les Diocésaines tout un dossier réuni pour lui par le cardinal Andrieux, archevêque de Brdx. Mais les smia de M. Mandel parlent mystérieusement d'autres documents Ils prétendent q e pé de l Gironde compte faire état d'n lettre adressée ajisd par M. Poincaré, président e la Répblq, à M. Clémenceau, au sujet de l'affaire a.lluaCix Dans ctt lttr, le président aurait exprimé sa surprise et sa désapprobation quant au sujet de la décision prise par le Tigre d soustraire M. Caillaux la juridiction militaire pour l'envoyer devant la Haute-Cour de justice. M. Mandel voudrait ir prt de ce document pour prouver que M. Poincaré n'avait pas le droit de es considérer comme irresponsable und il intervenait conséquemment dans la direction ds affaires Mais il faut avouer que 'argument est bien fbl, car si l président de la République a reçu de la Csuin e devoir de présider le Cnsl des ministres, cest' apparemment pour dnnr son avis aux membres du Gouvernement. Et sil le drt d'exprimer son opinion de vive vx dans le Conseil, on n voit pas prq on lui refuserait le droit d'xprmr cette mêm opinion par lettre. Chronique locale NOUVELLES GNÉRAE Un challenge national d musique Nous apprenons que le Challenge national musical que prépare depuis quelque temps la Fédértn musicale de France, en plein accord vc la Fédération du N et du Pas-de-Calais et la édato du Rhôn et du Sud-Est, ruaa à Mtz et est définitivement fixé au 29 mai prochain. Pour tous renseignements, s'drssr à

Poincaré n'avait pas le droit de se considérer comme irresponsable quand il intervenait conséquemment dans la direction des affaires. Mais il faut avouer que l'argument est bien faible, car si le président de la République a reçu de la Constitution le devoir de présider le Conseil des ministres, c'est apparemment pour donner son avis aux membres du Gouvernement. Et s'il a le droit d'exprimer son opinion de vive voix dans le Conseil, on ne voit pas pourquoi on lui refuserait le droit d'exprimer cette même opinion par lettre. Chronique locale NOUVELLES GÉNÉRALES Un challenge national de musique Nous apprenons que le Challenge national musical que prépare depuis quelque temps la Fédération musicale de France, en plein accord avec la Fédération du Nord et du Pas-de-Calais et la Fédération du Rhône et du Sud-Est, aura lieu à Metz et est définitivement fixé au 29 mai prochain. Pour tous renseignements, s'adresser à M. Arthur Francfort, secrétaire général du Syndicat d'initiative, 11-13, rue Tête-d'Or, à Metz, qui leur adressera le règlement et leur fournira tous renseignements utiles concernant le voyage et leur séjour. Exposition de la Société des arts de Libourne La 3e exposition organisée par cette Société sera ouverte du 10 mai au 15 juin. Elle est principalement réservée aux artistes du Sud-Ouest. Elle comprendra les sections suivantes : peinture, sculpture, aquarelle, pastel, dessin, gravure, architecture, photographie, art appliqué et décoratif. Les inscriptions seront closes le 15 mars. Les envois devront parvenir du 1er au 14 avril. Pour tous renseignements, s'adresser à M. Ph. Bourgoin, 35, rue Chanzy, à Libourne. Pour les familles des disparus Le « Journal des mutilés et réformés » publie une nouvelle liste officielle des objets divers, trouvés sur les corps de militaires tués à l'ennemi et qui n'ont pu être identifiés. Cette liste sera remise gratuitement à toutes les familles de soldats disparus qui en feront la demande au « Journal des mutilés et réformés », 20, rue de la Chaussée-d'Antin, Paris. L'utilisation de la voie aérienne des correspondances pour l'Afrique La ligne aérienne France-Maroc peut être avantageusement utilisée pour l'acheminement des correspondances à destination des colonies

Poincaré navait pas le droit d s considérer comme irresponsable quand il intervenait conséquemment dans la direction des affaires. Mais il faut avouer que l'rgmnt est i fbl, car i le président de la République a e de la Constitution l devoir de présider le Conseil des ministres cest apparemment pour donner n avis u membres du Gouvernement. s'il a le droit d'exprimer son opinion de vive voix dans le Conseil, on ne voit pas pourquoi on lui refuserait le droit d'exprimer cette même opinion par lettre. Chronique locale NOUVELLES GÉNÉRLS Un challenge national d musique Nous apprenons que le Challenge national musical que prépr depuis quelque temps la Fédération musicale d France, en plein accord avec la Fédération du Nord et du Pas-aCidela-s et la Fédération du Rhône et du Sud-Est, aura lieu à Mt et est définitivement fixé au 29 mai prochain. Pour tous renseignements, s'adresser à M. Arthur Frncfrt, secrétaire général du Syndicat d'initiative, 11-13, rue Tête-d'Or, à Metz, qui leur adressera le règlement t leur fournira tous renseignements utiles concernant le voyage et leur séjour. Exposition de a é des arts de Libourne La 3e exposition organisée par cette Société sea vt du 10 mai au 15 juin e est principalement réservée aux artistes d SudOuest Elle comprendra l sections suivantes : peinture, sculpture, aquarelle, pastel, dessin, avue, architecture, photographie, art appliqué et décoratif. Les inscriptions seront closes le 15 mars. Les envois devront arveiprn du 1er au avril. Pour tous rnsgnmnts, s'adresser à M. Ph. Brgn, 35, rue Chanzy, à Libourne. Pour les familles des disparus Le « Journal des mutilés et réfrmés » publie une nouvelle liste cie des objets divers, trouvés sur les corps de militaires tués à l'ennemi et q nt pu être identifiés. Cette liste sera remise gratuitement à toutes l familles de sldts disparus qui en feront la demande au « Journal des mutilés et réformés », 20, rue de la Chaussée-d'Antin, Paris. L'utilisation de la voie aérienne des correspondances pour l'Afrique a ligne aérienne France-Maroc peut être avantageusement utilisée pour l'acheminement des correspondances à tia des clns

au 15 juin. Elle est principalement réservée aux artistes du Sud-Ouest. Elle comprendra les sections suivantes : peinture, sculpture, aquarelle, pastel, dessin, gravure, architecture, photographie, art appliqué et décoratif. Les inscriptions seront closes le 15 mars. Les envois devront parvenir du 1er au 14 avril. Pour tous renseignements, s'adresser à M. Ph. Bourgoin, 35, rue Chanzy, à Libourne. Pour les familles des disparus Le « Journal des mutilés et réformés » publie une nouvelle liste officielle des objets divers, trouvés sur les corps de militaires tués à l'ennemi et qui n'ont pu être identifiés. Cette liste sera remise gratuitement à toutes les familles de soldats disparus qui en feront la demande au « Journal des mutilés et réformés », 20, rue de la Chaussée-d'Antin, Paris. L'utilisation de la voie aérienne des correspondances pour l'Afrique La ligne aérienne France-Maroc peut être avantageusement utilisée pour l'acheminement des correspondances à destination des colonies de l'Afrique Occidentale et Equatoriale desservies par les paquebots de la Compagnie Belge Maritime du Congo, partant de Casablanca le lundi matin, de 3 en 3 semaines ; 3 mars, 24 mars, 14 avril, etc. Pour être acheminées par avion sur Casablanca, les correspondances dont il s'agit devront, remplir les conditions des objets admis au transport par voie ferrée, et porter, comme affranchissement, en sus des taxes postales ordinaires, le montant de la surtaxe afférente au trajet aérien France-Maroc. Elles devront, en outre, être déposées de façon à parvenir à Toulouse, à Perpignan ou à Marseille, suivant le cas, au plus tard le samedi matin, avant le départ de l'avion. Ces dispositions sont applicables exclusivement aux correspondances à destination des pays et colonies indiquées ci-dessus : Îles Canaries. Sénégal. Mauritanie (Nouakchott). Soudan français. Haute-Volta, Guinée française, Côte d'Ivoire. Moyen Congo et Congo Belge, Cylindrages des routes Au cours de la semaine du 3 au 8 mars 1921, des cylindrages seront exécutés sur les voies suivantes : Route Nationale n° 10-1° Entre Rouliot, Cité de Joux et Le Béal. 2° Baignes et la Grolle et les Bises. Route Nationale n° 20 Entre Le Foucault et le pont de la Basse. Route

au 15 juin. Elle est princip eérsevér aux artistes du SudOuest ll comprendra les ects suivantes : peinture, sculpture, l,elraequa pastel, dssn, gravure, architecture, photographie art appliqué et décoratif. Les inscriptions seront lsseoc le 15 mrs. Les envois devront parvenir du 1er au 14 vrl. Pr tous rnsgnmnts, s'adresser à M Ph. Bourgoin, 35, r Chanzy, à Libourne. Pour ls familles des disparus Le « Journal des mutilés et réformés » pbl une nouvelle liste officielle des jts sdi,ver trouvés sur les crps de militaires tués à l'ennemi t qui n'ont u êtr identifiés. Cette liste sr rms gratuitement à tts les ismelafl de soldats disparus qui en feront la demande au « Journal des mutilés et érsfoémr », 0, rue de la Chssé-d'ntn, Prs. L'utilisation de la voie aérienne des correspondances pour l'Afrique La ligne aérienne Fce-Mroc peut être avantageusement utilisée pour lmiee des correspondances à destination des colonies de l'Afrique Occidentale et Eqoal desservies par les paquebots de la Compagnie Belge Maritime u Congo, partant de Casablanca le lundi matin, de 3 n 3 semaines ; 3 mars, 24 mars, 14 avril, etc. Pour être chmnés par avion ur Casablanca, les correspondances ndto il sagit devront, remplir les conditions des objets dms au trnsprt par voie ferrée, et porter, comme affranchissement, en sus des taxes postales ordinaires, le montant de la surtaxe fférnt au trajet aérien France-Maroc. Elles devront en u être déposées de façon à parvenir à Toulouse, à Perpignan u à Marseille, suivant le cas, au pus tar le samedi matin, avant le départ de l'avion. Ces dispositions sont applicables exclusivement aux ceansnrsoecrdop à destination des pays t colonies indiquées ci-dessus : Îles Canaries. Sénégl. auritnie (Nouakchott). daouSn frnçs. Haute-Volta, Guinée française, Côt d'Ivoire. Moyen Congo et Congo Belge Cylin des routes Au os e la smn d 3 au 8 mars 1921, ds cylindrages nstore xcsééteu sur les voies suivantes : Route Nationale ° 10-1° Entre Rouliot tiCé de Joux et Le Béal. 2° Baignes et Grolle et ls Bises. Route Nationale n° Entre Le Foucault et l pont de la Basse. Rt

conditions des objets admis au transport par voie ferrée, et porter, comme affranchissement, en sus des taxes postales ordinaires, le montant de la surtaxe afférente au trajet aérien France-Maroc. Elles devront, en outre, être déposées de façon à parvenir à Toulouse, à Perpignan ou à Marseille, suivant le cas, au plus tard le samedi matin, avant le départ de l'avion. Ces dispositions sont applicables exclusivement aux correspondances à destination des pays et colonies indiquées ci-dessus : Îles Canaries. Sénégal. Mauritanie (Nouakchott). Soudan français. Haute-Volta, Guinée française, Côte d'Ivoire. Moyen Congo et Congo Belge, Cylindrages des routes Au cours de la semaine du 3 au 8 mars 1921, des cylindrages seront exécutés sur les voies suivantes : Route Nationale n° 10-1° Entre Rouliot, Cité de Joux et Le Béal. 2° Baignes et la Grolle et les Bises. Route Nationale n° 20 Entre Le Foucault et le pont de la Basse. Route départementale n° 10. 1° Entre Campagne-Mouton et Saint-Gervais 5° Entre Alloue et la route Nationale n° 148. Chemin de grande communication n° 6. — Traverse de Châteauneuf. Chemin de grande communication n° 21. — Deviation : Traverse et abords de chez Leblais. Chemin de grande communication n° 21. — Entre Sainte-Eulalie et la Venne. Chemin de grande communication n° 32. — Traverse de Châteauneuf. Chemin d'intérêt communal n° 3. — Entre St-Germain de Montbron et Rochefouc, Chemin d'intérêt communal n° 6. — Traverse et abords de Benest. Chemin d'intérêt communal n° 22. — Massif et abords du pont sur le Durlo. Chemin d'intérêt communal n° 27. — Entre rue de Chevassler et Touvre. Chemin d'intérêt communal n° 44. — Nonac : Bois de Bourné. Chemin d'intérêt communal n° 62. — Entre Bonneuil-et-le Châtenay-Pignac. Chemin d'intérêt communal n° 80. — Entre le Courbillac et le chemin d'intérêt communal n° 45. Chemin d'intérêt communal n° 133. — Abords de Montsignac. Chemin d'intérêt communal n° 155. — Juillé : Entre la limite de Chasseneuil et le chemin d'intérêt communal n° 156. Il est intéressant pour la circulation d'éviter, dans la mesure du possible, l'utilisation des voies précitées dans les sections indiquées. ANGOULÊME Le

cndtns des b admis au transport par voie ferrée, et porter comme ffrnchssmnt, n sus des ta postales ordinaires, le montant de la surtaxe afférente au trajet aérien France-Maroc. Elles don, en outre, être déposées de nçaof à prvenr à Toulouse, à Perpignan ou à Marseille, suivant le cas, au plus tard l samedi matin, avant le départ d l'avion. Ces diitio sont applicables exclusivement aux correspondances à destination des pays et colonies indiquées -s Îles Canaries. Sénégal. Mauritanie (Nakco. udan français. Haute-Volta, Guinée française, Côte d'Ivoire. Moyen Congo et Congo Belge, Cylndrgs des routes Au cours de la semaine d 3 au 8 mars 1921, des cylindrages seront exécutés sur les vs tivsasenu : Route Nationale n° 10-1° eEntr Rouliot, Cité de Joux et Le Béal. 2° Baignes et la Grll t esl Bises. Route Nationale n° 20 Entre Foucault et le pont de la Basse. Route départementale n 10. 1° Entre Campagne-Mouton et Saint-Gervais 5° Entre Alloue et l route Naiale n° 148. Chemin de grande communication n° 6. — Trvrs de Châteauneuf. Chmn de grande communication n° 21. — Dvtn Traverse et abords de chez Leblais. Chemin de grande communication n° 21. — Entre Sainte-Eulalie et la Venne. Chemin de grande communication n 32 — Trvrs de Châteauneuf Chemin d'intérêt communal n° . — Entre St-Germain de Montbron et Rochefouc, Chemin d'intérêt communal n° 6. — Traverse et abords de Benest. Chemin d'intérêt communal n° 22. — Massif et abords du pot sr le Durlo. Chemin d'intérêt communal n° 27. — ntr rue ed Chevassler et oT.reuv Chemin d'ntérêt nlcomuma n° 44. Nonac : Bois de Bourné. Chmn 'intérêt communal n° 62. — Entre Bonneuil-et-le Châtenay-Pignac. Chemin d'intérêt communal n° . — Entre le Crlac et le chemin d'intérêt communal n 45. Chemin d'intérêt cmmnl n° 133. — Abords de Motiga. eChnim d'intérêt mmnl n° 155. — Jllé : Entre la limite de Chasseneuil et le chemin d'intérêt communal n 156. Il est intéressant pour la circulation d'éviter, dns la mesure du possible l'utilisation des voies précitées dans les sections indiquées. ANGOULÊME Le

Sainte-Eulalie et la Venne. Chemin de grande communication n° 32. — Traverse de Châteauneuf. Chemin d'intérêt communal n° 3. — Entre St-Germain de Montbron et Rochefouc, Chemin d'intérêt communal n° 6. — Traverse et abords de Benest. Chemin d'intérêt communal n° 22. — Massif et abords du pont sur le Durlo. Chemin d'intérêt communal n° 27. — Entre rue de Chevassler et Touvre. Chemin d'intérêt communal n° 44. — Nonac : Bois de Bourné. Chemin d'intérêt communal n° 62. — Entre Bonneuil-et-le Châtenay-Pignac. Chemin d'intérêt communal n° 80. — Entre le Courbillac et le chemin d'intérêt communal n° 45. Chemin d'intérêt communal n° 133. — Abords de Montsignac. Chemin d'intérêt communal n° 155. — Juillé : Entre la limite de Chasseneuil et le chemin d'intérêt communal n° 156. Il est intéressant pour la circulation d'éviter, dans la mesure du possible, l'utilisation des voies précitées dans les sections indiquées. ANGOULÊME Le temps Samedi 6 mars 1921, 61e jour de l'année ; durée du jour, 10 h. 57 lever du soleil, à 7 h. 35 ; coucher du soleil, à 5 h. 32. Hauteur barométrique au niveau de la mer: 761 m. Température à 9 heures du matin : 0° ans dessus de zéro. Temps nuageux. Au théâtre Le beau drame de M. Ch. Méry, la « L'amantine », nous sera donné par les tournées Ch. Barre, le dimanche 2 mars (matinée et soirée) au théâtre municipal. La presse parisienne a proclamé toutes les qualités et largement prédit l'énorme succès de cet ouvrage. C'est, sous une forme littéraire impeccable, une histoire de la vie palpitante, et sincère. Renouvelant, modernisant la formule classique du drame sans décors truqués, sans multiples scènes, sans un surintrt, sans tribunal et sans succession. M. Ch. Méry a su écrire l'œuvre la plus neuve et la plus pathétique qui se puisse imaginer. Comme toujours avec les tournées Ch. Barre, ce drame est interprété par une troupe de choix, en tête de laquelle se trouvent le puissant comédien Marie de l'Isle et Jane Morvan, la jolie et talentueuse artiste que nous avons trop rarement l'occasion d'applaudir. C'est un gros,

Sainte-Eulalie et l Venne. Chemin de grande communication n° 32 — Traverse de Châteauneuf. Chemin 'intérêt communal n° 3. — Entre St-Germain de Montbron et Rochefouc, Chemin d'intérêt communal n 6. — Traverse et abords de Benest. Chemin d'intérêt communal ° 22. — Massif et abords du pont sur le Durlo. Chemin d'intérêt communal n° 27. — Entre rue de Chevassler et Touvre. Chemin d'intérêt communal n° 44. — Nonac : Bois de Bourné Chemin 'intérêt communal n° 62. — Entre Bonneuil-et-le Châtenay-Pignac. Chemin d'intérêt communal n° 80. — Entre le ouric et le chemin d'ntérêt communal n° 45. Chemin d'intérêt cmmnl n° 133. — Abords de Montsignac. Chemin d'intérêt communal n° 155. — Juillé : Entre al limite de Chasseneuil te le chmn d'intérêt communal n° 156. Il est intéressant pour la circulation d'éviter, dans la mesure du possible l'utilisation des esovi précitées dans les sct indiquées. NGLÊM Le temps Samedi 6 mars 1921, 61e jour de l'année ; durée du jour, 10 h. 57 lever du soleil, à 7 h. 35 ; coucher du ol, 5 h. 32 Hauteur barométrique au niveau de la mer: 761 m. Température à 9 heures du matin : 0° ans dessus de zéro. Temps nuageux. Au théâtre Le beau drame de M. Ch. Méry, la « L'amantine », nous sera donné par les tournées Ch. Barre, le dimanche 2 mars (matinée et siée)ro au théâtre municipal. La presse parisienne a proclamé toutes les qualités et largement prédit l'énorme sccès de cet ore C'est, sous une forme littéraire mpccbl, une histoire de la vie palpitante, et sincère. Renouvelant, modernisant la formule classique du drame sans décors truqués, sans multiples scènes, san un surintrt, sans tribunal et sans succession. M. Ch. Méry a su écrr l'œuvre la plus neuve et la plus pathétique qui se puisse imaginer. Comme toujours avec les tournées Ch. Barre, ce drame est interprété par une troupe de choix, en tête de laquelle se trouvent le puissant comédien ieMar de l'Isle et ne Morvan, la jolie et talentueuse artiste q nous avons orpt rarement l'occasion d'applaudir. C'est un gros,

de zéro. Temps nuageux. Au théâtre Le beau drame de M. Ch. Méry, la « L'amantine », nous sera donné par les tournées Ch. Barre, le dimanche 2 mars (matinée et soirée) au théâtre municipal. La presse parisienne a proclamé toutes les qualités et largement prédit l'énorme succès de cet ouvrage. C'est, sous une forme littéraire impeccable, une histoire de la vie palpitante, et sincère. Renouvelant, modernisant la formule classique du drame sans décors truqués, sans multiples scènes, sans un surintrt, sans tribunal et sans succession. M. Ch. Méry a su écrire l'œuvre la plus neuve et la plus pathétique qui se puisse imaginer. Comme toujours avec les tournées Ch. Barre, ce drame est interprété par une troupe de choix, en tête de laquelle se trouvent le puissant comédien Marie de l'Isle et Jane Morvan, la jolie et talentueuse artiste que nous avons trop rarement l'occasion d'applaudir. C'est un gros, très gros succès. Matinée à 2 h. soirée à 8 h. Location chez Mme Lagnière, au théâtre. Association des garçons limonadiers et restaurateurs Les garçons limonadiers et restaurateurs d'Angoulême se sont réunis lundi soir, ainsi que nous l'avions annoncé, au Bar de Paris, rue de Périgueux. Le but de cette réunion, à laquelle s'étaient rendus un grand nombre de membres de la corporation, était de donner un nouvel essor à l'Association amicale, éprouvée par la guerre. Après de nombreuses discussions qui furent des plus courtoises, les statuts de l'Association furent maintenus et le bureau constitué comme suit, à l'unanimité : MM. Ernest, Bayoux, président ; Reyssou, vice-président ; Périer, secrétaire ; Joubert, Secrétaire adjoint ; Stanislas, trésorier ; Meunier, trésorier adjoint. Le bureau adresse un appel aux quelques membres de la corporation qui n'ont pu assister à cette réunion, et les prie d'adresser leur adhésion au siège de l'Association. Bar de Paris, 23, rue de Périgueux. Ligue française Au cours de sa dernière réunion, le comité angoumoisin a décidé de faire distribuer à domicile le tract que vient de faire éditer le comité directeur de Paris. Ce tract, signé du nom du général Aubert, dont nos concitoyens n'ont pas oublié

de zér. Temps nuageux. Au théâtre Le beau drame de M. Ch. Méry, la « L'amantine », nous sera donné pr les trnés Ch. Barre, le dimanche 2 mars matinée et soirée) au théâtre municipal. La presse parisienne proclamé toutes les qualités et largement prédit lénorme succès de cet ouvrage. C'est, sous une forme littéraire impeccable, une histoire de la vie palpitante, et sincère. Renouvelant, modernisant l formule classique du drame sans éos truqués, sans multiples scènes, sans un surintrt, sans tunl t sns succession. M. Ch. Méry a su écrire lœuvre la plus neuve et la plus pathétique qui se puisse imaginer. Comme oorjustu avec les trnés Ch. Barre, ce drame est interprété par une troupe de choix, en tête de laquelle se trouvent le pnissuat comédien aeiMr de l'Isle et Jane Morvan, la jl et talentueuse artiste que nous avons trop rarement l'occasion dapplaudir 'est gr très gros succès. Matinée à 2 h. soirée à 8 h. Location chez Mme Lagnière, au théâtre Assia des açons limonadiers et rstrtrs grçns limonadiers et eaeus d'Angoulême se sont réunis lundi soir, ns que nous l'avions an,éconn au Bar de Paris rue de Périgueux. Le ed cette réunion, à laquelle s'étaient rnds un grand nombre de membres de la corporation était de dnnr un nouvel essor à l'Association amicale, éprouvée par la guerre. Après e nombreuses discussions qui furent des plus courtoises, les statuts de lAssociation furent maintenus et le eu constitué comme suit, à l'nnmté : MM. Ernest, Byx, président ; Reyssou, vice-président ; Périer, secrétaire ; Joubert, Secrétaire adjoint ; Stnsls, trésorier ; Meunier, trésorier adjoint. Le bureau adresse un appel aux qlqs membres de la corporation qui n'ont pu assister à cette réunion et les prie d'adresser leur adhésion au sièe de l'Association. Bar de Paris, 23, rue de Périgueux Ligue française Au cours de sa dernière réunion, le comité angoumoisin a décidé de faire distribuer à domicile le tract que vient de faire édtr le comité directeur de Paris. Ce tract, signé du nom lréngaé Aubert, dont nos cnctyns 'ont pas oublié

réunion, à laquelle s'étaient rendus un grand nombre de membres de la corporation, était de donner un nouvel essor à l'Association amicale, éprouvée par la guerre. Après de nombreuses discussions qui furent des plus courtoises, les statuts de l'Association furent maintenus et le bureau constitué comme suit, à l'unanimité : MM. Ernest, Bayoux, président ; Reyssou, vice-président ; Périer, secrétaire ; Joubert, Secrétaire adjoint ; Stanislas, trésorier ; Meunier, trésorier adjoint. Le bureau adresse un appel aux quelques membres de la corporation qui n'ont pu assister à cette réunion, et les prie d'adresser leur adhésion au siège de l'Association. Bar de Paris, 23, rue de Périgueux. Ligue française Au cours de sa dernière réunion, le comité angoumoisin a décidé de faire distribuer à domicile le tract que vient de faire éditer le comité directeur de Paris. Ce tract, signé du nom du général Aubert, dont nos concitoyens n'ont pas oublié la brune conférence du 30 janvier, est intitulé « Le devoir civique ». Le comité pense qu'il sera lu avec intérêt par tous, Vulgarisation par le cinéma Les prochaines séances auront lieu les samedis 6 et 20 mars. A ce moment, la Société d'instruction terminera sa quatrième année d'existence. Nous reviendrons sur ces séances en temps utile. Conférences littéraires et scientifiques Ainsi que nous l'avons annoncé, la Société d'instruction et d'éducation organise sa sixième conférence, le dimanche 9 mars, à 17 heures, salle Philharmonique. Pour cette conférence, le comité a fait appel au concours éminent de l'écrivain André Lichtenberger. Qui ne connaît pas l'œuvre de M. en petit Trois », la « Sœur de Trois », « Line », « L'entrée ginnie », la « Petite Madame », la « Biche ». et de tant d'autres délicieux romans qui sont dans toutes les bibliothèques. M. Lichtenberger n'est pas seulement un romancier, il est aussi un historien couronné par l'Académie française et celle des Sciences morales, un journaliste fort apprécié et un conférencier applaudi par Angoulême reverra certainement avec plaisir. Pendant la guerre, M. Lichtenberger fut d'abord attaché au maréchal Gallieni, puis pendant deux ans et demi chargé de la vulgarisation

réunion, à laquelle s'étaient rendus un grand nombre de membres de la corporation, était d donner un nouvel essor à l'Association amicale, éprouvée par a guerre. Après de nmbrss discussions qui furent des plus courtoises, l statuts de l'Association furent maintenus et le buau constitué comme suit, à l'unanimité : MM. Ernest, Bayoux, président ; Reyssou, tp-éeieinsrdvc Périer, scrétr ; Jbrt, tercSeéria adjoint ; Stanislas, trésorier ; Munr trésorier adjoint. Le bureau are nu appel aux quelques me ed la corporation qui n'ont pu assister à cette réunion, t les prie d'adresser leur adhésion au siège de l'ssctn. Br de Paris, 23 rue de Périgueux. igue française Au cours d sa dernière réunion, le comité angoumoisin a décidé de fie distribuer à domicile le tract que vient de fare éditer le comité directeur de Prs. tract, signé du nom du général Aubert, dont nos concitoyens nont pas oublié la brune conférence du 30 janvier, est ntié « Le dvr cvque ». Le comité pns qu'il sera lu avec intérêt arp tus, Vulgarisation par le cinéma Les prchns séances rnt l ls samedis 6 et 20 mars. A ce moment, la Société tnruso'itdicn terminera sa quatrième nénae d'existence. Nous reviendrons sur ces sncs en temps utile. Conférences littéraires et scientifiques Ainsi euq nous l'avons annoncé, la Société 'instruction et déucan organise sa sixième conférence, le diacnehm 9 ms à 17 heures, salle rhlim.ouqhniePa Pour cette conférence, le comité a fait appel concours éminent de lécrivain André Lichtenberger. Qui ne connaît pas ul'evœr d M. en ptt Trois », la « Sœur e Trois », « neLi », « L'entrée ginnie », la « Petite Madame », l « Biche ». t de tant dautres délicieux romans qui sont dans toutes les bibliothèques. M. Lichtenberger n'est pas eulem un romancier, l est aussi un historien couronné par l'Académie française et celle eds ccSienes morales, un journaliste fort apprécié et n conférencier applaudi par Angoulême reverra certainement avec plaisir. Pendant al guerre, M. egeretbrhLcin fut d'brd attaché au mréh Gallieni, puis pendant deux ans te demi chargé de la vulgarisation

reviendrons sur ces séances en temps utile. Conférences littéraires et scientifiques Ainsi que nous l'avons annoncé, la Société d'instruction et d'éducation organise sa sixième conférence, le dimanche 9 mars, à 17 heures, salle Philharmonique. Pour cette conférence, le comité a fait appel au concours éminent de l'écrivain André Lichtenberger. Qui ne connaît pas l'œuvre de M. en petit Trois », la « Sœur de Trois », « Line », « L'entrée ginnie », la « Petite Madame », la « Biche ». et de tant d'autres délicieux romans qui sont dans toutes les bibliothèques. M. Lichtenberger n'est pas seulement un romancier, il est aussi un historien couronné par l'Académie française et celle des Sciences morales, un journaliste fort apprécié et un conférencier applaudi par Angoulême reverra certainement avec plaisir. Pendant la guerre, M. Lichtenberger fut d'abord attaché au maréchal Gallieni, puis pendant deux ans et demi chargé de la vulgarisation de notre propagande au Maroc par le maréchal Lyautey, après un stage à l'état-major de la 2e armée (général Gouraud), il participa à la formation de l'armée Polonaise en France, puis chargé de mission en Pologne. M. Lichtenberger, qui est agrégé d'histoire et docteur ès-lettres, a été nommé en 1921 directeur du Musée social, utile fondation du comté de Champagne. Il est officier de la Légion d'honneur. Nous ferons connaître prochainement le prix des places et la date d'ouverture de la location. Dès maintenant, on peut prévoir un grand succès pour le distingué conférencier. Faits police Vendredi soir, la police a verbalisé : 1° Contre deux groupes de jeunes gens, pour tapage nocturne, rue Marengo et rue des Postes ; 2° Contre neuf conducteurs d'automobiles, pour défaut d'éclairage ; 3° Contre un habitant de la rue Froide qui, sans se gêner, satisfaisait un besoin pressant sur la voie publique. Etat civil Naissances : Le 28 février, Ginette-Rosalie-Marie-Thérèse Frémont, rue Arago, 30. Le 29, Jeanne-Odile Ordonnanel, rue de Beaulieu, 14. Publications de mariage : Emile-Francis Pineau, employé de commerce, au Pont-Sec, et Graziella-Octavie Roy, couturière, à Saint-Yrieix. Louis Thoirin, loueur d'autos, rue des Trois-Couronnes, 23, et Marthe Tourner, couturière, à Montbron.

reviendrons su ces séances en temps utile. Conférences lttérrs et scientifiques Ain que nous l'avons annoncé, la Société 'instruction et 'éducti organise sxèm conférence, le dimanche 9 mars, à 17 heures, salle Philharmonique. Pour cette conférence, le comité fat appel au concours émnnt de l'écrivain André icene. Qui ne connaît asp l'œuvre de M. en petit Trois la « Sœur de Trois « Line », « L'entrée ginnie », la « Petite Madame », l « ie ». et de tnt d'autres délicieux romans qui snt dans tts les liohus M. Lhtere n'est pas seme un rmncr, il est aussi n historien couronné par l'Académie française et celle esd Sciences morales, un jrnlst fort apprécié et un conférencier applaudi pr Angoulême reverra crtnmnt ave plaisir Pendant la guerre M. Lichtenberger fut d'abord attaché au maréchal Gallieni ispu pndnt deux an et em chargé de la vulgarisation de notre propagande au Maroc par l maréchal Lyautey, après un stage à l'état-major de la 2e armée (général Gouraud), il participa à la rmintoafo de lame Polonaise en France, puis cr de mission en Pologne. . Lchtnbrgr, qui est agrégé d'hstr et docteur ès-lettres, été nommé en 1921 directeur du Musée ,oacsli utile fondation du com ed Champagne. Il est officier de Légion d'honneur. Nous ferons connaître prochainement le prix des places t la date rutuevorde' de la location Dès maintenant, on peut prévoir un grand sccès pour le distingué conférencier. Faits police Vendredi soir, la police a verbalisé : 1° Contre deux groupes de jeunes gens, pour agtape nocturne, rue Marengo et r s Postes ; 2° Cerotn nf conducteurs d'automobiles, puro défaut d'éclairage ; 3° Contre un habitant d la rue erioFd qui nass se gênr, saisst un besoin pressant sur la voie publique. Etat ci Naissances : L 28 février, Ginette-Rosalie-Marie-Thérèse Frémont, rue Arago, 30. Le 29, Jeanne-Odile Ordane r de Beaulieu, 14. Publications de mariage : Emile-Francis Pineau, mly de commerce, au Pont-Sec, et Graziella-Octavie R couturière, à SaintYrieix Lus Thoirin, loueur d'autos, uer des Trois-Couronnes, 23, et Mrth Tourner couturière, à Mntbrn.

directeur du Musée social, utile fondation du comté de Champagne. Il est officier de la Légion d'honneur. Nous ferons connaître prochainement le prix des places et la date d'ouverture de la location. Dès maintenant, on peut prévoir un grand succès pour le distingué conférencier. Faits police Vendredi soir, la police a verbalisé : 1° Contre deux groupes de jeunes gens, pour tapage nocturne, rue Marengo et rue des Postes ; 2° Contre neuf conducteurs d'automobiles, pour défaut d'éclairage ; 3° Contre un habitant de la rue Froide qui, sans se gêner, satisfaisait un besoin pressant sur la voie publique. Etat civil Naissances : Le 28 février, Ginette-Rosalie-Marie-Thérèse Frémont, rue Arago, 30. Le 29, Jeanne-Odile Ordonnanel, rue de Beaulieu, 14. Publications de mariage : Emile-Francis Pineau, employé de commerce, au Pont-Sec, et Graziella-Octavie Roy, couturière, à Saint-Yrieix. Louis Thoirin, loueur d'autos, rue des Trois-Couronnes, 23, et Marthe Tourner, couturière, à Montbron. Naissance : Le 28, Pierre Patrac et Valentine Maillé. Décès : Le 17, Louise Besse, veuve Descombes, 52 ans, hôpital ; Louise-Philomène Dumas, veuve Esnebard, 70 ans, rue de la Grande Font, 27 ; Pierre Mesnard, 80 ans, rue de la Sainte, 71 ; Marie Lebourg, veuve Desmoulins, 72 ans, rue de la Grande Font, 55. Le 25, Marie Texier, veuve Paul, 81 ans, rue de Montbron, 53 ; Marguerite Delavallade, veuve Plakson, 53 ans, hôpital ; Marie-Louise Savoie, veuve Landry, 75 ans, à L'Hirondelle. Sont les MEILLEURS MARCHÉS Visitez donc, avant de faire vos achats les Magasins Emile F. Flachat 8, place du Mûrier. ACTUELLES on vous trouverez un beau choix de Chambres à coucher, Salles à manger et toutes sortes de meubles de sa création et de sa fabrication, simples et riches et à tous les prix. LIVRAISON FRANCO H. C. Angoulême 159. AU CONSEIL MUNICIPAL Le conseil municipal d'Angoulême s'est réuni en séance ordinaire, vendredi soir, à 5 heures, sous la présidence de M. Texier, maire, assisté de MM. Lafaurie et Cuillon, adjoints. POUR LES CRÈCHES. — M. le maire fait connaître officiellement que l'État a accordé une subvention de 32.000 francs à l'Œuvre des crèches municipales

directeur du Musée scl, utile fondation u comté de Champagne. l est ffcr de la Légion d'honneur. Nous ferons connaître prochainement le prix des places et la date d'ouverture de la location. Dès maintenant on peut prévoir un grand succès pour le distingué conférencier. Faits police ndeiVrde soir, la police a verbalisé 1° Cntr deux groupes de jeunes gens, pour tapage nocturne, rue Marengo et rue des Postes ; 2° Contre f cndctrs d'automobiles, pour défaut d'éclairage ; 3° Contre habitant de la rue Froide qui, a se gêner, satisfaisait un besoin pressant sur la voie publique. Etat civil Naissances Le 28 février, Ginette-Rosalie-Marie-Thérèse Frémont, rue Arago 30. Le 29, Jeanne-Odile Ordonnanel, reu d Beaulieu, 14. Publications de mariage : Emile-Francis Pineau, mplyé de commerce, au Pont-Sec, et Graziella-Octavie Roy, couturière, à Saint-Yrieix. Louis Thoirin, loueur d'autos, rue des Trois-Couronnes, 23, et Marthe Trnr, couturière, à Montbron. Nssnc : Le 28, Pierre Patrac et Valentine Maillé Décès Le 17, Louise Besse, veuve Descombes, 52 ans, hôpital ; Louise-Philomène Dumas, vv Esnebard, 70 ans, rue de la Grande Font, 27 ; Pierre Mesnard, 80 ans, rue de la Sainte, 71 ; Marie Lebourg, veuve Desmoulins, 72 ans, rue de la Grande Font, 55. Le 25, Marie Texier, veuve Paul, 81 ans, rue de Montbron, 53 ; Marguerite elade veuve Plakson, 53 ans hôpital ; MarieLouise Savoie, veuve ndry 75 ans, à 'Hirondelle. Sont les MLLRS MARCHÉS Visitez donc, avant d faire vos achats les Magasins eElim F. Flachat 8, place du Mûrr. ACTUELLES on vous trouverez nu beau choix de Chambres à coucher, Salles à manger et toutes sortes de meubles de sa création et de sa fabrication, simples t riches et à ts les prix LIVRAISON FRANCO H. C. Angoulême 159. UA CONSEIL MCIP Le conseil municipal d'Angoulême s'est réu en anésec ordinaire, vendredi soir, à 5 heures, sous la présidence de Texier, ma assisté de M.M Lafaurie et Cuillon, adjoints. PROU LS CRÈCHES. — M. l maire fait connaître officiellement que l'État accordé une subvention de 32.000 francs à l'Œuvre des chserèc municipales

rue de la Grande Font, 55. Le 25, Marie Texier, veuve Paul, 81 ans, rue de Montbron, 53 ; Marguerite Delavallade, veuve Plakson, 53 ans, hôpital ; Marie-Louise Savoie, veuve Landry, 75 ans, à L'Hirondelle. Sont les MEILLEURS MARCHÉS Visitez donc, avant de faire vos achats les Magasins Emile F. Flachat 8, place du Mûrier. ACTUELLES on vous trouverez un beau choix de Chambres à coucher, Salles à manger et toutes sortes de meubles de sa création et de sa fabrication, simples et riches et à tous les prix. LIVRAISON FRANCO H. C. Angoulême 159. AU CONSEIL MUNICIPAL Le conseil municipal d'Angoulême s'est réuni en séance ordinaire, vendredi soir, à 5 heures, sous la présidence de M. Texier, maire, assisté de MM. Lafaurie et Cuillon, adjoints. POUR LES CRÈCHES. — M. le maire fait connaître officiellement que l'État a accordé une subvention de 32.000 francs à l'Œuvre des crèches municipales d'Angoulême. Il se fait l'interprète du conseil en adressant des remerciements à MM. Lunel, sénateur, et à M. Raynaud, député, à l'intervention desquels est due cette libération de l'État. LE PRIX DU GAZ. — Pour le premier trimestre, le prix de l'électricité est établi à 1 fr. 39 le kilowatt ; celui du gaz à 0 fr. 65 le mètre cube pour les compteurs ordinaires, et à 0 fr. 70 pour les compteurs automatiques. CRÉDIT SUPPLÉMENTAIRE — Un crédit supplémentaire de 247 francs est voté pour participation de la commune d'Angoulême dans les dépenses du conseil des prud'hommes, le crédit ordinaire ayant été insuffisant. MARCHÉS APPROUVÉS. — Des ventes faites par la ville, eau, fumier, d'herbe sur pied et objets divers s'élevant à un total de 1.320 francs sont approuvés. LOCATION COMMERCIALE. — Le conseil approuve un projet de bail, pendant une durée de 3 ou 9 ans, d'un local appartenant à la ville, situé sous le palais de justice, rue Ludovic-Trarieux. Le locataire, M. Lacourly, aura seul le droit de résilier à chaque période ; le prix annuel du loyer est fixé à 2.400 francs, plus les impôts. ENSEIGNEMENT DES LOCAUX. — La mise en adjudication de l'entretien des

rue de la Grande Font, 55. Le 25, Marie Texier, veuve Paul, 81 ans r de Montbron, 53 ; Marguerite Delavallade, veuve Plakson, 53 ans, hôpital ; Marie-Louise Savoie, eevvu Lndry, 75 ans, à L'Hirondelle. Sont les MEILLEURS MRCHÉS Vsiz donc, avant de fr vos achats les Magasins Emile F. Flachat , plc du Mûrier. ACTUELLES on vous trouverez un beau choix de ebmrsCah à coucher Salles manger et toutes sortes de meubles d sa création et de sa fabrication, simples et riches à tous les prix. LIVRAISON FRNCO H. C. Angoulême 159. AU CONSEIL NIIPL Le conseil municipal d'Angoulême s'est réuni en ace ordinaire vendredi soir, à 5 heures, sus la présidence de M. er maire, assisté de MM. Lafaurie et Cuillon adjoints. RPOU LES CRÈCHES. — M. le maire fait conntr officiellement que l'État ccrdé une subvention de 32.000 francs l'Œuvre des crèches npae d'Angoulême. Il s fait 'interprète du conseil en adressant dse remerciements à MM. Lunel, sénateur, et à M. Rya, dépté, à l'intervention desquels est d cette libération de l'Étt. LE PRX DU GAZ. — Pour le premier trimestre, e prix de l'électricité est établi à 1 fr. 39 le kilowatt ; celui du gaz à 0 fr. 65 le mètre cube pour les pes rdnrs, et à 0 fr. 70 pr les compteurs automatiques CRÉDIT SUPPLÉMENTAIRE — Un crédit spplémntr de 247 francs est voté or participation de la cmmn d'Angoulême dans les dépenses du conseil ds prud'hommes, le crédit ordinaire ayant été insuffisant. MACÉ APPROUVÉS. — De ventes faites par la ville, e, fumier, d'herbe sur pied et objets divers s'élevant à un total de 1.320 francs sont approuvés. LOCATION COMMERCIALE. Le conseil approuve un projet de bail, pndnt une due de 3 ou ans, dun local appartenant à la ville sté sous le palais de jsie, eru Ludovic-Trarieux. Le ,ectlraiao M. Lacourly aura sl droit de rsier à chaque période ; le prix annuel du lyr est fixé à 2.400 francs, plus les impôts. ENSEIGNEMENT DES LOCAUX. — L mise en adjudication ed l'entretien des

; celui du gaz à 0 fr. 65 le mètre cube pour les compteurs ordinaires, et à 0 fr. 70 pour les compteurs automatiques. CRÉDIT SUPPLÉMENTAIRE — Un crédit supplémentaire de 247 francs est voté pour participation de la commune d'Angoulême dans les dépenses du conseil des prud'hommes, le crédit ordinaire ayant été insuffisant. MARCHÉS APPROUVÉS. — Des ventes faites par la ville, eau, fumier, d'herbe sur pied et objets divers s'élevant à un total de 1.320 francs sont approuvés. LOCATION COMMERCIALE. — Le conseil approuve un projet de bail, pendant une durée de 3 ou 9 ans, d'un local appartenant à la ville, situé sous le palais de justice, rue Ludovic-Trarieux. Le locataire, M. Lacourly, aura seul le droit de résilier à chaque période ; le prix annuel du loyer est fixé à 2.400 francs, plus les impôts. ENSEIGNEMENT DES LOCAUX. — La mise en adjudication de l'entretien des immondices n'a pas donné de résultat, la ville a dû engager deux entrepreneurs. Ce service coûtera à la ville 90.900 francs au lieu de 68.500 francs précédemment RÈGLEMENT DU MARCHÉ COUVERT. — Le Conseil approuve des modifications au règlement du marché couvert. C'est ainsi, notamment, qu'à partir du 1er janvier 1929 toutes les casettes seront tirées au sort, et que le tirage au sort se renouvellera tous les trois ans, obligatoirement. Ce délai de cinq ans est accordé pour ne pas porter préjudice à un assez grand nombre d'occupants actuels qui, depuis le trafic qui s'est fait dans la cession des casettes par leurs prédécesseurs, ont payé un très fort prix cette cession, soit en achat de fonds de commerce. De plus, les marchands en gros, après le marché de la place du Parc seront autorisés, bien que non producteurs, à s'installer aux abords du marché couvert les mercredis et samedis. La municipalité s'occupe actuellement de l'amélioration de l'aménagement et de la tenue en état de propreté du marché couvert et de ses abords. La commission d'hygiène du conseil sera saisie de cette question. CONCESSIONS DANS LES CIMETIÈRES. — La nouvelle réglementation des cimetières abolit le régime des concessions à

; celui du gaz 0 fr. 5 le mètre cube pour les cmters rdnrs, et à 0 f 70 pour les compteurs tmtqs. CRÉDIT SUPPLÉMENTAIRE — n crédt supplémentaire de 24 francs est voté pour participation de la commune d'Angoulême dans les dépenses du conseil d prhmes le crédit ordinaire ayant été insuffisant. MARCHÉS APOS — Des ventes fts par l ville, eau, fumier, d'herbe sur pied et objets divers s'élvt à un total de 1320 rn sont approuvés. LOCATION COMMERCIALE. — Le conseil approuve n projet d bail, pendant une durée de 3 ou 9 ans, d'un local appartenant à la ville, situé sous le pls de justice, rue Ludovic-Trarieux. Le locataire, M. Lacourly, aura seul le droit de résilier à chaque période ; le prix annuel du loyer est fixé à 2.400 francs, plus les impôts. ENSEIGNEMENT DES LOCAUX. — La ise en adjudication de l'entretien des immondices n'a pas donné de résultat, la ville a dû engager deux entrepreneurs. C service coûtera à la ville 90.900 francs au lieu de 68.500 frncs précédemment RÈGLEMENT DU MARCHÉ COUVERT. — Le Conseil approuve des modifications au règlement du marché couvert C'est ainsi, notamment, qu'à prtr du 1er janvier 1929 toutes les casettes seront trs au sort, et que le tirage au sort se renouvellera tous les trois n obligatoirement. Ce délai de cinq ans st accordé pour ne pas porter préjdc à un assez grand nombre d'occupants ctls qui, depuis le trafic qui s'est fait dans la cession ds casettes pr leurs prédécesseurs, ont payé un très frt prix cette cession, soit en achat de fonds de commerce. De plus, les marchands en gros, après e marché de la pa du Parc seront autorisés, bien que non producteurs, 'installer aux abords du marché ouer les mercredis et samedis. La municipalité s'occupe actuellement d l'amélioration de lmgen et de la tenue en état de propreté marché couvert et de ses abords. La commission è'hnigyed du conseil sr saisie de cette uesto. CONCESSIONS DANS LES CIMETIÈRES. — La nouvelle réglementation des cimetières abli le émergi des concessions

1929 toutes les casettes seront tirées au sort, et que le tirage au sort se renouvellera tous les trois ans, obligatoirement. Ce délai de cinq ans est accordé pour ne pas porter préjudice à un assez grand nombre d'occupants actuels qui, depuis le trafic qui s'est fait dans la cession des casettes par leurs prédécesseurs, ont payé un très fort prix cette cession, soit en achat de fonds de commerce. De plus, les marchands en gros, après le marché de la place du Parc seront autorisés, bien que non producteurs, à s'installer aux abords du marché couvert les mercredis et samedis. La municipalité s'occupe actuellement de l'amélioration de l'aménagement et de la tenue en état de propreté du marché couvert et de ses abords. La commission d'hygiène du conseil sera saisie de cette question. CONCESSIONS DANS LES CIMETIÈRES. — La nouvelle réglementation des cimetières abolit le régime des concessions à perpétuité, pour y substituer celui des concessions de cent ans, renouvelables. Le conseil fixe à 100 francs le mètre carré le prix de ces concessions, pour la commune de Bardines. CONCESSIONS D'EAU. — Le tarif des concessions d'eau est élevé de 20 francs à 30 francs pour les concessions de 50 mètres cubes, et de 40 francs à 60 francs pour celles de 100 mètres cubes. Les suppléments d'eau consommés sont portés à 1 franc le mètre cube. Les concessions à la jauge subissent une augmentation proportionnelle. TRAMWAYS. — M. le docteur Deoressac est désigné pour représenter le conseil municipal à la commission de réforme des agents des tramways. HONORAIRES. — Avant la guerre, M. Baleix, architecte départemental, avait établi les projets et devis de la construction d'une école maternelle. Ce projet qui, actuellement, ne peut être exécuté, s'élevait à 78.238 francs. Le conseil vote en faveur de M. Baleix un crédit de 1.298 francs montant des honoraires. SECOURS. — Le secours annuel accordé à Mlle Gréaud, précédemment fixé à 680 francs, est porté, pour régularisation, à 1.380 francs. Ce secours cessera dans deux ans, époque à laquelle Mlle Gréaud aura 21 ans. MAISONS À BON MARCHÉ. — On sait

1 toutes els casettes eron tirées au srt, t que l tirage au sort se renouvellera tous les trois ,asn obligatoirement Ce délai de cinq ans est accordé pour ne pas porter préjudice à un ssz grand nombre d'occupants actuels i spiude le trafic qui ests' fait dns la sonseic des casettes par leurs pédécssers, ont payé un très fort prix cette cession, oit en achat d fnds de commerce. De plus, les asacrndmh n gros, près le marché d la place d Parc treosn autorisés, bien que nno prouctes, à s'installer aux du marché couvert les mercredis t samedis. L municipalité s'ccp acte de amloaton d l'aménagement et de la tenue n ta prprté du marché couvert et d ses abords. La commission d'hygiène du conseil sera saisie de cet question. CONCESSIONS DN LES CMTÈRS. — L nvll réglementation ds ieières abolit le régime des cncons à perpétuité, pour y substituer uleci des concessions de cent ans, renouvelables. Le nlseico fx à 100 francs le mètre carré le prix de cs concessions, pour la commune d Bardines. CONCESSIONS D'EAU. — Le tarif des concessions 'eau est élevé de 20 frasnc à 30 francs pour les concessions de 50 ètres cubes, et de 40 fascnr 60 francs pour celles 010 èes cubes. Les spplémnts 'au consommés sont portés à franc le mètre cub Les concessions la jauge suisent une augmentation proportionnelle. TRAMWAYS. — M. le dctr Deoressac est désigné pr représenter le conseil municipal à la commission de réforme des agents des tramways. HNRRS. — at la guerre, M. Baleix, rchtct départemental, aa étbl ls prjts et dvs ed l corcin d'une coe maternelle. Ce projet qui, actuellement, ne peut être exécuté, sélevait à 78.238 francs. Le conseil vote en fvr de M. Baleix un crédit e 1.298 francs montant des honoraires. SECOURS. — Le secours u crdé à Mll Gréaud, précédemment fixé à 680 francs, est porté, pour régularisation, à 1.380 francs. Ce scrs cessera dans deux ans, époque à laquelle Mlle éad aura 21 ans. MSNS À BON MARCHÉ. On ait

50 mètres cubes, et de 40 francs à 60 francs pour celles de 100 mètres cubes. Les suppléments d'eau consommés sont portés à 1 franc le mètre cube. Les concessions à la jauge subissent une augmentation proportionnelle. TRAMWAYS. — M. le docteur Deoressac est désigné pour représenter le conseil municipal à la commission de réforme des agents des tramways. HONORAIRES. — Avant la guerre, M. Baleix, architecte départemental, avait établi les projets et devis de la construction d'une école maternelle. Ce projet qui, actuellement, ne peut être exécuté, s'élevait à 78.238 francs. Le conseil vote en faveur de M. Baleix un crédit de 1.298 francs montant des honoraires. SECOURS. — Le secours annuel accordé à Mlle Gréaud, précédemment fixé à 680 francs, est porté, pour régularisation, à 1.380 francs. Ce secours cessera dans deux ans, époque à laquelle Mlle Gréaud aura 21 ans. MAISONS À BON MARCHÉ. — On sait que la Caisse d'épargne d'Angoulême a consenti une avance de 50.000 francs, à 5 % d'intérêt, à l'Office public d'habitations à bon marché, pour la construction de six maisons ouvrières au Clos des Larnberts. Les dépenses de construction et d'achat de terrain sont évaluées à 150.000 francs. L'Office public d'habitations à bon marché est dans l'obligation de faire un emprunt de 100.000 francs à la Caisse des dépôts et consignations. Dans ces conditions, il est demandé à la ville d'Angoulême d'assumer la garantie du paiement des intérêts et du capital engagé en créant 7/10 de centime additionnels. Cet engagement paraît lourd au conseil municipal qui décide de demander à la Caisse d'épargne d'Angoulême, de porter son prêt à 60.000 francs. L'emprunt à la Caisse. Iase des dépôts et consignations étant de moins des deux tiers de la somme engagée, la garantie de la ville ne serait plus, paraît-il, exigible. Si la proposition n'était pas adoptée, celui-ci serait convoqué d'urgence, pour ne pas retarder la réalisation du projet. LA TAXE DES VOITURES. — M. Naudi se plaint du prix excessif exigé par les conducteurs de voitures, notamment pour les services des gares; il demande s'il n'existe pas un tarif. M. le

50 mètres cubes, et de 40 francs à 60 francs pour celles de 100 mètres cbs. Les uplémns d'eau consommés sont portés à franc le mètre cube. Les concessions à la jauge subissent une augmentation proportionnelle. TRAMWAYS. — M. el dctr Deoressac est désigné pour représenter le conseil municipal à la commission d réforme ds agents des tramways. HONORAIRES. — Avant la guerre, M. Baleix, architecte départemental aitva établi les projets et devis de la construction école maternelle. Ce prjt iq,u actuellement, ne peut être exécuté, s'élevait à 78.238 francs. Le conseil vote en faveur de M. Baleix un crédit d 1.298 francs montant des hnrrs. SECOURS. — Le secours annuel accordé à Me Gréaud, précédemment fixé à 680 francs est porté, pour régularisation, à 1.380 francs. Ce secours cessera dans dx ans, époque à laquelle Mlle Gréaud au 21 ans. NS À BON MARCHÉ. — On sait que la Caisse d'épargne d'Angoulême a cnsnt n avance de 50.000 francs, à 5 % d'intérêt, à l'Office public d'habitations à marché, or l construction de six maisons ouvrières au s des Larnberts. Les dépenses de construction et d'achat de terrain on évaluées à 150000 francs. L'Office public d'habitations à bon marché est dans l'obligation de faire un emprnt de 100.000 francs à la Caisse des dépôts et consignations. Dans ces conditions, il est mnd à la ville d'Angoulême 'assumer la garantie du paiement d intérêts et du cia engagé en créant 7/10 de centime additionnels. Cet engagement paraît lourd au conseil mncpl uqi décide de dmndr à la Caisse d'épargne d'Angoulême, de porter son prêt à 60.000 francs. L'emprunt à la Caisse. Iase des dépôts et consignations étant moins des deux tiers de la somme engagée, la garantie de la ville ne seriat lsup, paraît-il, exigible. Si la opoio n'était pas adoptée, celui-ci serait convoqué rece, pour n pas retarder la asaio du projet. LA TAXE DES VOTR. — M. Naudi se plaint du prix excessif exigé par les conducteurs de voitures, notamment pour les services des gares; il demande s'il n'existe pas un tarif. M. le

à bon marché est dans l'obligation de faire un emprunt de 100.000 francs à la Caisse des dépôts et consignations. Dans ces conditions, il est demandé à la ville d'Angoulême d'assumer la garantie du paiement des intérêts et du capital engagé en créant 7/10 de centime additionnels. Cet engagement paraît lourd au conseil municipal qui décide de demander à la Caisse d'épargne d'Angoulême, de porter son prêt à 60.000 francs. L'emprunt à la Caisse. Iase des dépôts et consignations étant de moins des deux tiers de la somme engagée, la garantie de la ville ne serait plus, paraît-il, exigible. Si la proposition n'était pas adoptée, celui-ci serait convoqué d'urgence, pour ne pas retarder la réalisation du projet. LA TAXE DES VOITURES. — M. Naudi se plaint du prix excessif exigé par les conducteurs de voitures, notamment pour les services des gares; il demande s'il n'existe pas un tarif. M. le maire répond, qu'un nouveau tarif est en préparation, mais qu'il ne peut être imposé aux omnibus qui font le service des gares, pour le compte des hôtels. MESURE DE PRUDENCE. — Le conseil s'associe à un vœu de M. Baleix tendant à demander à la Compagnie des chemins de fer de l'Entre-de-Mer s à faire marquer un temps d'arrêt à ses trains à leur arrivée au passage à niveau de la route de Bordeaux, à Sillac. En raison de la conformation du terrain, les trains ne peuvent être aperçus à temps à leur arrivée, et de là les fréquentes collisions qui se produisent sur ce point, avec les automobiles et autres véhicules. En comité secret, le conseil statue sur des demandes de soutiens de famille, de sursis d'incorporation et d'assistance aux veillards et aux femmes en couches. LE DÉPARTEMENT Aubeterre Dimanche 9 mars, à 20 h. 30, salle des voiles, sera donné un concert organisé par le groupe de jeunes filles, avec le concours de la musique des Échos de la Dronne. Barbezieux Le service d'urgence sera assuré du samedi soir 1er mars au lundi matin 3 mars, par la pharmacie Bastie, 1 rue Marcel-Jambon. Châteauneuf-Charente Dans la nuit du

à bon marché est dans l'obligation de faire un emprunt de 100.000 francs à la Caisse des dépôts consignations. Dans ces conditions, il est demandé à la ville dAngoulême d'assumer la garantie du paiement des intérêts et du pita engagé en créant 7/10 ed centime ddtnnls. Cet engagement paraît lourd au lonices municipal qui décide de demander à l Caisse d'épargne d'Angoulême, de porter son prêt 60.000 francs. mrun à la Caisse Iase ds dépôts et consignations étant de moins des deux tiers de la somme nggé, la etargani de la ville ne serait plus, paraît-il, exigible. Si la proposition n'était pas adoptée, celui-ci serait convoqué d'urgence, pour ne pas retarder la réalisation u projet. LA TAXE DES VOITURES. — M. Naudi se plaint du prix excessif xgé par les conducteurs de voitures, notamment pour les services des gares; il demande s'il n'existe pas un tarif. M. le maire répond qu'un nouveau tarif est en préparation, mais qu'il ne peut être imposé aux omnibus qui font le service des gares, pour le compte des hôtels. MEU DE PRUDENCE. — Le conseil s'associe à n vœu de M. Baleix tendant à demander à la Compagnie des chemins de fer de l'Entre-de-Mer s à faire marquer un tems d'arrêt à ses trains à leur arrivée passage à niveau de la route de Bordeaux, à acilSl. En raison de la conformation du terrain, les trains ne peuvent être aperçus à temps à leur arrivée, et de là les fréquentes collisions qui s produisent sur ce point avec ls automobiles et autres véhicules. En comité secret, le conseil statue sr des demandes de soutiens d famille, de sursis ootindr'ocainrp et 'sstace aux veillards et aux femmes en couches. LE DÉPARTEMENT Aubeterre Dimanche 9 mars, à 20 . 30, salle des voiles, sera donné un ccer organisé ar le groupe de jeunes filles, avec le concours de la msq des Échos d la Dronne. Barbezieux Le service d'urgence sera assuré du samedi soir 1er mars au lundi matin mars, par la pharmacie Bastie, 1 rue Marcel-Jambon. Châteauneuf-Charente Dans la nuit du

de l'Entre-de-Mer s à faire marquer un temps d'arrêt à ses trains à leur arrivée au passage à niveau de la route de Bordeaux, à Sillac. En raison de la conformation du terrain, les trains ne peuvent être aperçus à temps à leur arrivée, et de là les fréquentes collisions qui se produisent sur ce point, avec les automobiles et autres véhicules. En comité secret, le conseil statue sur des demandes de soutiens de famille, de sursis d'incorporation et d'assistance aux veillards et aux femmes en couches. LE DÉPARTEMENT Aubeterre Dimanche 9 mars, à 20 h. 30, salle des voiles, sera donné un concert organisé par le groupe de jeunes filles, avec le concours de la musique des Échos de la Dronne. Barbezieux Le service d'urgence sera assuré du samedi soir 1er mars au lundi matin 3 mars, par la pharmacie Bastie, 1 rue Marcel-Jambon. Châteauneuf-Charente Dans la nuit du 27 au 28 février, un incendie a détruit une ferme inoccupée appartenant à M. Lecerf, à Châteauneuf. Les bâtiments de servitudes, bourrés de fourrages et de bois, et qui abritaient un important matériel agricole ont été la proie des flammes, bien qu'assez éloignés de la ferme. Cet incendie est attribué à la malveillance. Une enquête est ouverte. Cherves-de-Cognac Une battue est organisée pour dimanche, 3 mars, par la Société de chasse, afin de détruire les renards et autres animaux nuisibles. Tous les chasseurs, munis du permis de chasse, sont invités à participer, sociétaires et non sociétaires. Rencontres à 6 heures, place du Champ de Foret, à Cherves. Cognac Un certain nombre d'ouvriers boulangers ont repris le travail chez les patrons qui ont accepté les modalités suivantes: Art. 1. — Dix heures de travail. 132 francs de salaire pour 60 heures de travail par semaine, plus 2 kilos de pain pour le brigadier et le second capable de se le remplacer. Le salaire, 125 francs, pour 60 heures de travail, plus 2 kilos de pain. Art. 2. — Les heures supplémentaires seront payées à raison de 3 francs l'heure pour chaque homme. Art. 3. — Respect de la loi supprimant le

de lEntredeMer s à fr marquer u tm d'rrêt à ses sanrit à leur arrivée au passage à niveau de la route de Bordeaux, à Sllc. En raison de la cnfrmtn du terrain, les trains ne pvnt être aperçus temps à r arrivée, et de là les fréquentes ollisis u se rduset sur ce point, avec les automobiles et autres véhicules. En comité secret, le conseil sate sur d demandes d soutiens de famille, de sursis d'incorporation et dassistance aux veillards et aux femmes en couches. LE DÉPARTEMENT Aubeterre a 9 mars, à 20 h. 30, elsal des voiles, sera donné n concert organisé par e groupe de jeunes filles, avec le concours de la musique des Échos de la Dronne. Brbzx Le srvc d'urgence sera assuré du eismda soir 1er mars au lundi matin 3 mars, par la pharmacie asie,Bt 1 rue Marcel-Jambon. Châteauneuf-Charente Dans la nuit du 27 au 28 février, un incendie a détruit une ferme ncupée appartenant à . Lcrf, à Châteauneuf. Ls bâtiments de servitudes, bourrés de fourrages et de bois, et qui abritaient un important mtérl agricole ont été la proie ds flammes, bien qu'assez éloignés de la ferme Cet incendie st attribué à la malveillance. Une enquête est ouverte. ChervesdeCognac Une battue est organisée pour dimanche, 3 mrs, par la Société de chasse, afin de détruire les renards et autres animaux nuisibles. Ts les chasseurs, munis du permis e chasse, sont nvtés à participer, sociétaires et non sociétaires Rencontres à 6 heures, place du pChma de Foret, à Cherves. Cognac Un certain nombre du boulangers ont repris travail chz les patrons qui ont accepté s modalités suivantes: 1. — Dix heures travail. 132 ran de salaire pour 60 heures de travail par semaine, plus 2 kilos de pain pour le brigadier et l second capable de se le remplacer. Le salaire, 125 francs, pour 60 heures de travail, plus 2 kilos de pain. Art. 2. — Ls hues supplémentaires seront payées à raison de 3 francs l'heure pour chaque homme. Art. .3 Respect de al l supprimant le

à la malveillance. Une enquête est ouverte. Cherves-de-Cognac Une battue est organisée pour dimanche, 3 mars, par la Société de chasse, afin de détruire les renards et autres animaux nuisibles. Tous les chasseurs, munis du permis de chasse, sont invités à participer, sociétaires et non sociétaires. Rencontres à 6 heures, place du Champ de Foret, à Cherves. Cognac Un certain nombre d'ouvriers boulangers ont repris le travail chez les patrons qui ont accepté les modalités suivantes: Art. 1. — Dix heures de travail. 132 francs de salaire pour 60 heures de travail par semaine, plus 2 kilos de pain pour le brigadier et le second capable de se le remplacer. Le salaire, 125 francs, pour 60 heures de travail, plus 2 kilos de pain. Art. 2. — Les heures supplémentaires seront payées à raison de 3 francs l'heure pour chaque homme. Art. 3. — Respect de la loi supprimant le travail de nuit en boulangerie. Art. 4. — Aucun ouvrier ne sera renvoyé pour faits de grève. Art. 5. — Sur acceptation de ce contrat, les ouvriers s'engagent à reprendre le travail. Le service d'urgence sera assuré du samedi soir 1er mars au lundi matin 3 mars, par la pharmacie Thomas, 4, rue Elisée-Moustier (place de la Sous-Préfecture). Les ouvriers métallurgistes sont priés d'assister à la réunion qui aura lieu mercredi 5 mars, au café de Paris, à 20 heures 30, en vue de l'organisation du bal annuel de la corporation. Confolens Nous croyons savoir qu'une réunion comprenant les maires des chefs-lieux de canton, conseillers d'arrondissement et conseillers généraux républicains de l'arrondissement de Confolens aura lieu incessamment dans le but d'examiner la situation politique à la veille des élections législatives et la ligne de conduite qu'elle comporte. Les membres du conseil d'administration de l'Association des commerçants de Confolens se sont réunis le 20 février 1924, à 20 h. 15, salle de la justice de paix, à l'hôtel de ville. Les pouvoirs du président étant expirés et le bureau étant démissionnaire, la présidence est exercée par M. Pichery, doyen d'âge. Il est donné lecture de la correspondance. L'assemblée procède ensuite à

à la vli.acmleelan Une nêe est ouverte. Cherves-de-Cognac Une battue est orasée pour dimanche, 3 mars, par la t d chasse, afin d édrterui s renards et autres nmx nuisibles. Tous les caeur munis du permis de chasse, sont invités à participer, sociétaires t non sociétaires Renr à 6 heures place du Champ d Foret à Cherves. Cognac Un certain ombe d'ouvriers boulangers ont repris le travail chez ls patrons qui ont accepté les modalités suivantes: Art. 1. — Dix heures de travail. 312 francs salaire pour 60 heures de travail ar semaine, plus 2 kilos de pnai pour le brigadier et le second capable de se le remplacer. L salaire, 125 francs, pour 60 heures de trvl, plus 2 kls de pn. Art. 2. — Les heures supplémentaires seront payées à raison de 3 srnfac lue pour chaque ho. Art 3. — Respect de la l supprimant le trvl de nuit en boulangerie. Art. 4. — Anuuc uioverr ne sera rvoyé pour faits d grèv. Art. 5 — Sur ceti d ce cortat,n les ouvriers s'engagent reprendre l travail. L srvc d'urgence sera assuré samedi soir 1er mars au lundi matin 3 mars par la pharmacie Thomas, 4 rue ElMotir (place de la Ss-Préfctr). Les ouvriers métallurgistes tson priés d'assister à la rénn qui aura lieu mercredi 5 mars, au café de Prs, à heures 30, en vue de l'rgnstn d bal annuel de la corporation. lConnoesf Nous croyons savoir qu'une réunion comprenant les maires des chefs-lieux de canton, conseillers d'arrondissement e conseillers générx républicains de lrnisseet de Confolens aura lieu incessamment dans le but d'examiner la situation politique à la veille des élections éslatie et la lgn de conduite qu'elle comporte Les membres du conseil d'administration de l'Association des cmmrçnts de Cfn se sont réunis l 20 février 1924, à 20 h. 15, sll e la je de px, à l'hôtel de ville. Les our du président étnt expirés et le bureau tn démissionnaire, la pésdece est exercée pr M. Pichery, doyen dâge Il est donné lecture de la correspondance. L'assemblée procède ensuite à

Thomas, 4, rue Elisée-Moustier (place de la Sous-Préfecture). Les ouvriers métallurgistes sont priés d'assister à la réunion qui aura lieu mercredi 5 mars, au café de Paris, à 20 heures 30, en vue de l'organisation du bal annuel de la corporation. Confolens Nous croyons savoir qu'une réunion comprenant les maires des chefs-lieux de canton, conseillers d'arrondissement et conseillers généraux républicains de l'arrondissement de Confolens aura lieu incessamment dans le but d'examiner la situation politique à la veille des élections législatives et la ligne de conduite qu'elle comporte. Les membres du conseil d'administration de l'Association des commerçants de Confolens se sont réunis le 20 février 1924, à 20 h. 15, salle de la justice de paix, à l'hôtel de ville. Les pouvoirs du président étant expirés et le bureau étant démissionnaire, la présidence est exercée par M. Pichery, doyen d'âge. Il est donné lecture de la correspondance. L'assemblée procède ensuite à l'élection du président. M. Petit est réélu président de l'Association. En prenant place au bureau, M. Petit remercie les membres du conseil d'administration de la marque de confiance qu'ils viennent de lui témoigner et forme des vœux pour la prospérité de l'Association. Il est procédé ensuite à la désignation des membres du bureau. Sont nommés vice-présidents, MM. Pichery et Drohan; secrétaire, M. Gallugeas; trésorier, M. Deillard. Une liste de nouveaux adhérents, présentée par M. Giraud de Chasseneuil, est approuvée. M. Pichery demande qu'à l'avenir les vœux, émis par les membres de l'Association, soient pris par écrit. Adopté. Il est décidé de créer un comité de propagande chargé de recruter de nouveaux adhérents. Sont désignés : MM. Chuniaud, Calliope, Pichery et Gallugeas. Le président invite les membres du conseil d'administration et les membres patronaux à assister plus régulièrement aux réunions mensuelles. Ensuite, il est décidé de faire don à la Banque de France, Angoulême, 10 francs de jetons à distribuer aux membres de l'Association qui en feront le don de. Jarnac Sur la demande de plusieurs notabilités de notre ville, M. Lichtenberger, le célèbre auteur de "Troy", a bien voulu accepter de faire une conférence à Jarnac le samedi 8 mars,

Thomas, 4, rue Elisée-Moustier (place de la Sous-Préfecture). Les ouie métallurgistes sont priés dassister à la réunion qui aura ie mercredi 5 mars, au café de Paris, 20 heures 30, en vue de l'organisation du bl annuel de la corporation. Confolens Nous croyons savoir qu'une réunion comprenant les maires ds chefs-lieux de cntn, conseillers d'arrondissement et conseillers généraux républicains de larrondissement Confolens raau lieu incessamment dans le but d'examiner la situation politique à al veille des élections législatives et la ligne d conduite qu'elle comporte. Les membres du conseil d'administration de l'Association ds commerçants de Confolens se sont réunis le 20 février ,9214 à 20 h. 15, salle de la justice d paix, à l'hôtel de ville. Les pouvoirs du président étant expirés et le br étnt démissionnaire, la présidence est xrcé par M. Pihr, doyen d'âge. Il est dnné lecture de la correspondance. L'assemblée procède ensuite à 'élection du président. M. Petit est réélu présdnt de l'Association. En prenant place au bureau, M Petit remercie les mmbrs d conseil adinsrt ed la marque de confiance qu'ils vennent d lui mn et forme des vœux pour al prospérité de l'Association. l ste procédé ensuite à la désignation des membres u bureau. Sont nommés vice-présidents, MM. Pichery et Dn secrétaire, M. Gallugeas; éir M. Deillard. Ue liste de nouveaux adhérents, présentée par M. Giraud d Chasseneuil, est pprvé. M. Pichery demande 'à l'avenir les vœux, émis par les membres de l'Association, soient pris par écrit. Adopté. Il est décidé de créer un comité de propagande chargé de recruter de nvx adhérents. on désignés : MM. Chuniaud, alop Pichery t Gallugeas. Le président invite les membres du conseil d'administration et les membres patronaux à assister plus régulièrement aux rénns mensuelles. Ensuite, il est décidé de faire don à la Banque de France, Angoulême, 10 francs de jetons à distribuer aux membres de l'ssctn qui en feront le don .ed Jarnac Sur la demande de plusieurs notabilités de notre ville, M Lichtenberger, le célèbre auteur de "Troy", a bien voulu accepter de irefa une cnfe à Jarnac le samedi 8 mars,

membres du bureau. Sont nommés vice-présidents, MM. Pichery et Drohan; secrétaire, M. Gallugeas; trésorier, M. Deillard. Une liste de nouveaux adhérents, présentée par M. Giraud de Chasseneuil, est approuvée. M. Pichery demande qu'à l'avenir les vœux, émis par les membres de l'Association, soient pris par écrit. Adopté. Il est décidé de créer un comité de propagande chargé de recruter de nouveaux adhérents. Sont désignés : MM. Chuniaud, Calliope, Pichery et Gallugeas. Le président invite les membres du conseil d'administration et les membres patronaux à assister plus régulièrement aux réunions mensuelles. Ensuite, il est décidé de faire don à la Banque de France, Angoulême, 10 francs de jetons à distribuer aux membres de l'Association qui en feront le don de. Jarnac Sur la demande de plusieurs notabilités de notre ville, M. Lichtenberger, le célèbre auteur de "Troy", a bien voulu accepter de faire une conférence à Jarnac le samedi 8 mars, à 20 heures, au théâtre. Cette conférence est organisée par la Société charentaise d'instruction et d'éducation, dont on ne peut que louer les efforts dans notre département. M. Lichtenberger a choisi comme sujet "L'Enlèvement aujourd'hui". Cette conférence sera. suivie d'une petite partie cinématographique qui comprendra le passage de deux films : le "royaume de Lilliput" et un court métrage : ("Bécassine à la mer". Le prix des places est fixé à 2 francs, 75 centimes. Pour la location, s'adresser à partir du jeudi en cinéma théâtre. Une intéressante soirée en perspective. Nous pensons que nos compatriotes viendront nombreux. M. Maurice Lambert, épicier, marchand de tissus à Cognac, faisait sa ronde habituelle avec sa camionnette automobile. Il s'était arrêté un instant entre Révolu et Saint-Sevère quand il remit sa machine en marche. Retour de flammes mit en révélation l'essence. La camionnette, outre l'essence, des vêtements, des effets, de la brontanerie. En un instant, tout fut en flamme. Les dégâts ne peuvent être couverts par une assurance. Ruffec Dans sa dernière séance, le tribunal correctionnel de Ruffec a prononcé les condamnations suivantes : Jules A..., à Ruffec, 50 francs d'amende avec sursis pour chasse en temps prohibé. Frédéric D..., sans domicile fixe,

membres du bureau. Snt nommés vc-présdnts, MM. Pichery et Drohan; secrétaire, M Gallugeas; éirre,rtos M. Deillard. Une liste de nvx dhérnts, présnté pr . Giraud d Chasseneuil, est approuvée. M. icry demande qu'à l'avenir les vœux, émis par les membres de l'Association, oen pris écrit. Adopté. Il est décidé de créer un comité de roaande chargé de recruter de nouveaux adhérents. Sont désignés : MM Chuniaud, Calliope, Pichery et Gallugeas. Le président ls membres du conseil d'administration et les membres patronaux à assister plus régulièrement aux réunions mensuelles. Ensuite il est décidé de faire don à la Banque de France, Angoulême, 0 francs de jetons à dstrbr aux membres de l'Association uqi en feront le don de. Jarnac Sur la demande de plusieurs notabilités de notre ville, M. Lichtenberger le célèbre auteur d "Troy", bien voulu accepter de faire une cnférnc à Jarnac le samedi 8 mars, à 20 heures, au e. Cette conférence est organisée par la Société charentaise d'instruction et d'éducation, dont on ne peut que lr les o dans notre département. M. Lichtenberger a choisi cmm sujet m"n'vèElneLte aujourd'hui". Cette conférence sera. sv d'une petite partie cinématographique q comprendra le passage de deux films : le "royaume de Lilliput" et un court métrage : éscen(asi"B à la mer". Le prix des places est fixé à francs 75 centimes. Pour al location, s'adresser à itrrpa du jeudi en cinéma théâtre. Une tnte soirée en prspecv. Ns pensons que ns compatriotes viendront ombreu M. Mrc Lambert, épicier, marchand de tissus à Cognac, faisait sa ronde habituelle avec sa camionnette automobile. l s'était arrêté un instant entre Rolu et Saint-Sevère qnd il remit sa machine en marche. Retour de flammes mit en révélation l'essence. La camionnette, outre l'essence, des vtet, des effets, de la brontanerie. En un instant, tout fut en fme Les dégâts n peuvent être couverts par une assurance. Rffc Dans sa dernière séance, le tribunal correctionnel de Ruffec a prononcé les cndmntns suivantes : Jules A..., à Ruffec, 50 francs d'amende avec sursis pour chasse en temps prohibé Frédéric D..., ans domicile fixe

: le "royaume de Lilliput" et un court métrage : ("Bécassine à la mer". Le prix des places est fixé à 2 francs, 75 centimes. Pour la location, s'adresser à partir du jeudi en cinéma théâtre. Une intéressante soirée en perspective. Nous pensons que nos compatriotes viendront nombreux. M. Maurice Lambert, épicier, marchand de tissus à Cognac, faisait sa ronde habituelle avec sa camionnette automobile. Il s'était arrêté un instant entre Révolu et Saint-Sevère quand il remit sa machine en marche. Retour de flammes mit en révélation l'essence. La camionnette, outre l'essence, des vêtements, des effets, de la brontanerie. En un instant, tout fut en flamme. Les dégâts ne peuvent être couverts par une assurance. Ruffec Dans sa dernière séance, le tribunal correctionnel de Ruffec a prononcé les condamnations suivantes : Jules A..., à Ruffec, 50 francs d'amende avec sursis pour chasse en temps prohibé. Frédéric D..., sans domicile fixe, 2 mois de prison pour mensonge. Alphonse A..., sans domicile fixe, 4 mois de prison pour le même délit. Le service d'urgence sera assuré, dimanche 3 mars, de 8 à 11 heures 30 et de 13 à 18 heures 30, par la pharmacie Bordel, place du Marché. Étal, récent - Décès : Louis Lunendort, jour l'année dans, rue Boustani. Verteuil La Société de gymnastique La Verteusaise offre à ses membres honoraires une soirée théâtrale, le dimanche 9 mars courant, salle des Halles. Programme : "La Dame de Monsoreau", de A. Dumas. Une seconde soirée avec changement de programme sera également organisée dans quelques semaines. Les séances de tir au fusil Lebel et à la carabine de précision commenceront bientôt. Il est rappelé que la carte de membre honoraire donne entrée gratuite à ces représentations et aux stands. Le tenant du nom Maurice Baffort, ayant trouvé une certaine somme sur le pont de Verteuil, s'est empressé de la déposer à la mairie. On la perdue pourra la réclamer. Nos félicitations à cet honnête garçon. HERNIE MÉMBRE DU JURY HORS COURS Cessations de douleurs est le plus souvent obtenue avec le nouvel appareil sang ressort muni de la veilleuse; ce petit cap

: le "royaume d Lilliput" t court métrage : Bécass à la mer". Le prix des places et fixé à 2 francs, 75 centimes. Pour la location, s'dss partir du jeudi en cinéma théâtre Une intéressante soirée en perspective. Nu pnsns que nos compatriotes vndrnt nombreux. M. Maurice Lambert, épicier, mrchnd ed tissus à Cognac, faisait s ronde habituelle vc sa camionnette automobile. Il s'était arrêté un instant entre Révolu et Saint-Sevère quand il remit sa machine en marche. Retour de flammes mt en révélation l'essence. aL cn outre l'essence, des vêtements, des effets, de la brontanerie. En n instant, tout fut en flamme. Ls dégâts ne peuvent être ves par une assurance. Ruffec Dans sa dernière sénc, le tribunal correctionnel de Ruffec a prononcé ls condamnations suivantes : Jules A..., à Ruffec, 50 francs damende avec sursis pr chasse en temps prhbé. Frédéric D..., sans domicile fixe, ms prison pour mensonge. Alphonse A..., sans domicile fixe 4 mois de prison pour le même délit. Le srvc durgence sera sauésr, cehidmna 3 mars, de 8 11 heures 30 et de 13 à 18 heures 30, par la prie Bordel, pac du Marché. Étal, récnt - Décès : Louis Lunendort jour l'année dans, rue Boustani. Vrtl La Société de gymnastique La Verteusaise offre à ses membres honoraires une soirée théâtrale, le dimanche 9 mars courant, salle des Halles oaPmmergr : "La Dame de Monsoreau", de A. Dumas Une seconde soirée vc changement de ampmregor sera également organisée dans quelques semaines. Les séances de tir au fusil Lebel et à la crbn de précision commenceront bientôt. Il est rappelé que l carte d membre honoraire on entrée gratuite à ces représentations et aux stands. Le tenant nom Maurice Bffrt, ayant trouvé une certaine somme sur le pont de Verteuil, 'est empressé déposer à la mairie. On la perdue pourra la réclamer Nos félicitations à cet honnête garçon. HERNIE MÉMBRE D JURY HORS COURS Cesis de douleurs est le plus souvent obtenue avec le nouvel appareil sang ressort muni de la veilleuse; ec petit cap

Décès : Louis Lunendort, jour l'année dans, rue Boustani. Verteuil La Société de gymnastique La Verteusaise offre à ses membres honoraires une soirée théâtrale, le dimanche 9 mars courant, salle des Halles. Programme : "La Dame de Monsoreau", de A. Dumas. Une seconde soirée avec changement de programme sera également organisée dans quelques semaines. Les séances de tir au fusil Lebel et à la carabine de précision commenceront bientôt. Il est rappelé que la carte de membre honoraire donne entrée gratuite à ces représentations et aux stands. Le tenant du nom Maurice Baffort, ayant trouvé une certaine somme sur le pont de Verteuil, s'est empressé de la déposer à la mairie. On la perdue pourra la réclamer. Nos félicitations à cet honnête garçon. HERNIE MÉMBRE DU JURY HORS COURS Cessations de douleurs est le plus souvent obtenue avec le nouvel appareil sang ressort muni de la veilleuse; ce petit cap pour petit à l'impression souple et sans douleur. Il le Grand Spécialiste de Paris, 44, boulevard Saint-Denis, Paris. Ces appareils, le seul reconnu officiellement par le corps médical, assurent la libération complète des hernies les plus difficiles. En voici des preuves : ceux autorisent à publier leur nom : M. LEURDONG L. à Cholees de Labarde, par St-Aignan (Cl), hernie guérie. M. MARSOLIER, au Botis des Fesses, par Ruffec (Charente), hernies guéries. M. LUMEAU L., à Biasimon (Gironde), hernie guérie. Besoin d'offrir aux malades en cure les meilleurs médicaments, il s'est donné le droit, d'ailleurs par écrit, M. GESSE-R invite toutes les personnes atteintes de hernies, escarcelles, descentes, à se rendre visites dans les villes avancées, où il fera grandement l'effort de rester en appareils. Allez donc tous de 4 h. à 6 h. CIVIL, mardi 4 mars, Hôtel du Commerce. CHEMIN DE BOLOGNE, samedi 8, Hôtel du Couvent. RUFFEC, jeudi 6 mars. HÔTEL DE FRANCE ANGOULÈME, les 14 et 20 mars HÔTEL DE FRANCE. CORMAC, 16, de 8 h. à 15 h. Hôtel de Londres. CHALAS, 17, hôtel de la Poste. Contamine. NOUVELLE CURE HERNIAIRE pour tous docteurs tous organes. TRAITEMENT DU LACHARNI, francostère demande à M. H. LASER,

Décès : ouLis Lunendort, jour l'année dans, rue Boustani. Verteuil La Société d gymnstq La Verteusaise offre à ses membres honoraires une soirée théâtrale, le dimanche 9 mars courant, salle des Halles. Programme : L Dame de Monsoreau", de A. Dumas. Une seconde soirée avec changement de programme sera également organisée dans quelques semaines. Les séances de tir au fusil Lebel et à la crbn de précision commenceront bntôt. Il est rappelé que la e de mem re onend entrée gratuite à ces représentations et aux ns Le tenant du nom Maurice Baffort, ayant trouvé une certaine somme sur le pont de Verteuil s'est empressé de la déposer à la mairie. On la perdue pourra la ée Nos félcttns à cet honnête garçon. HERNIE MÉMBRE DU JURY HORS COURS Cessations de douleurs est l plus tunvsoe obtenue avec le nouvel appareil sang rssrt muni de l veilleuse ce petit cap pour petit à l'mprssn souple et sans douleur. Il le Grand Spécialiste de i, 44, boulevard SaintDenis Paris Ces appareils, le u reconnu officiellement par le corps médical, assurent la libération complète des hernies les plus difficiles. En vo preuves ceux autorisent à publier lr nom : M. LEURDONG L. à Cholees de Labarde, par StAignan (Cl), hernie guérie. M. ARSIR, au Botis des Fesses, par Ruffec Chane),(etr hernies guéries. M. LUMEAU L., Biasimon (Gironde), hernie guérie. Besoin d'offrir aux malades en re les meilleurs médicaments, il s'est donné l droit, d'ailleurs par écrit, M. GSS-R invite tts les personnes atteintes de hernies, escarcelles, descentes, à se rendre visites dans les villes avancées, où il fera grandement l'effort de rester en appareils. Allez donc tous de 4 h. 6 h. CIVIL mardi 4 mars, Hôtel du Cmmrc. CHEMIN DE BOLOGNE, samedi 8, Hôtel du Couvent RUFFEC, jeudi 6 .rsam HÔTEL DE FRANCE ANGOULÈME, l 14 et 20 mars HÔTL DE FRANCE. CORMAC, 16, de 8 h à 15 . Hôtel de Londres. CHALAS, 17, hôtel de la se. Contamine. NOUVELLE CUER EIRE pour tous docteurs tous rnaesg.o TRAITEMENT DU LACHARNI, rnèr demande à M. H. ,RLASE

LEURDONG L. à Cholees de Labarde, par St-Aignan (Cl), hernie guérie. M. MARSOLIER, au Botis des Fesses, par Ruffec (Charente), hernies guéries. M. LUMEAU L., à Biasimon (Gironde), hernie guérie. Besoin d'offrir aux malades en cure les meilleurs médicaments, il s'est donné le droit, d'ailleurs par écrit, M. GESSE-R invite toutes les personnes atteintes de hernies, escarcelles, descentes, à se rendre visites dans les villes avancées, où il fera grandement l'effort de rester en appareils. Allez donc tous de 4 h. à 6 h. CIVIL, mardi 4 mars, Hôtel du Commerce. CHEMIN DE BOLOGNE, samedi 8, Hôtel du Couvent. RUFFEC, jeudi 6 mars. HÔTEL DE FRANCE ANGOULÈME, les 14 et 20 mars HÔTEL DE FRANCE. CORMAC, 16, de 8 h. à 15 h. Hôtel de Londres. CHALAS, 17, hôtel de la Poste. Contamine. NOUVELLE CURE HERNIAIRE pour tous docteurs tous organes. TRAITEMENT DU LACHARNI, francostère demande à M. H. LASER, 11, boulevard Sébastopol, Paris. Seine 402-310. La MODERNE WORMS CO. Charbons, Port l'Houmeau ANGOULÊME Informer sa nombreuse clientèle que ses stocks importants lui permettront de livrer jusqu'à la fin de l'hiver toutes sortes de charbons domestiques. Sans augmentation de prix Entrepôts Port, L'Houmeau Chemins de fer Angoulême Agents de Charbonnages Boulets de Cardiff et d'Anthracite Et tous charbons domestiques SANS AUGMENTATION DE PRIX Rue des Halles H. C. A, 4767 Téléphone 0.22 S [texte non reconnu] La Scifrance La goutte, douleurs, etc., gravelle guéris radicalement, en 4 jours, par le TRAITEMENT DU CHARTREUX le plus puissant anthelmintique connu. Pas d'effets secondaires, demandez à M. Malavant, 19, rue des Petites-Ponts, à Paris, la brochure exonérative gratuite et franco, vous vous guéririez vous-même. DANS LA RÉGION Gironde La rue de mercredi, magnée d'caillé la ruelle par trois cinématographes mois fils du dernier; un train, en gare de La Rochelle, le voici écrasé, Latille, sans, est tombé de sa vigie et a été broyé par les roues d'un wagon. À la gare de Saint-Macaire, l'homme d'équine, Charlit, 50 ans, a été enseveli par un train en manoeuvre et tué sur le coup. À l'heure là même, une femme de 30 ans, Solange Delafalt,

LEURDONG . à Chls de Labarde, par St-Aignan (Cl), hrn guérie. M. MARSOLIER, au Botis des Fesses, par Ruffec (Charente), hernies guéries. M. LUMEAU . à Biasimon (Gironde), hernie guérie. Besoin d'offrir ax malades en cure les meilleurs médcmnts, il s'est donné le droit, d'ailleurs pr écrit, M. GESSE-R invite toutes les personnes atteintes de hernies, escarcelles, descentes, se rendre visites dans les ills vncés, où il fera grandement l'effort de rester en appareils. Allez o tous de 4 h. à 6 h. CIVIL, mardi 4 mars, Hôtel d Commerce. CHEMIN DE BOLOGNE, samedi 8, Hôtel du Couvent. RUFFEC, jd 6 mars. ELTÔH FRNC NGULME les 14 et 20 mars HÔTEL DE FRANCE. CORMAC, 16, de à 15 h. Hôtel de Londres. CHALAS, 17, hôtl de la Poste Contamine. OE CURE HERNIAIRE pour ts docteurs tous organes. TRAITEMENT DU LACHARNI, francostère demande .M H. LASER, 11, boulevard Sébastopol, Paris Seine 402-310. La MERE WORMS CO. Charbons, Port l'Hm NOME Informer sa nombreuse clientèle que ses stocks importants lui prmttrnt de livrer jusqu'à l fin de l'hiver toutes sortes de charbons domestiques. Sans augmentation de prix Entrepôts t L'Houmeau Chemins de fer Angoulême Agents de Charbonnages Boulets Crdff et d'nthrct Et ou charbons domestiques SANS AUGMENTATION D PRIX des Halles H. C. A, 4767 Téléphone 0.22 [texte nn reconnu] La Scifrance La goutte, douleurs, etc., gravelle guéris radicalement, en jours, par le TRTMNT DU CHARTREUX le plus pssnt anthelmintique connu. Pas d'effets secondaires, demandez à M. Malavant, 9, rue des Petites-Ponts, à Paris, la brochure xnértv gratuite et frnc, vous vous guéririez vous-même. DANS LA RÉGION Gironde La u de mercredi, magnée dcaillé la ruelle par trs cinématographes mois fls du drnr; un train, en gr de La Rochelle, le voici écrasé Latille, ns,sa est étmob de sa gie et a été broyé par les soreu 'u wagon la gare de Saint-Macaire, l'hmm d'éine, Charlit, 0 ans, a été enseveli par un train en manoeuvre et tué sur le coup. À l'heure là même, n femme d 30 ans, Solange Delafalt,

Boulets de Cardiff et d'Anthracite Et tous charbons domestiques SANS AUGMENTATION DE PRIX Rue des Halles H. C. A, 4767 Téléphone 0.22 S [texte non reconnu] La Scifrance La goutte, douleurs, etc., gravelle guéris radicalement, en 4 jours, par le TRAITEMENT DU CHARTREUX le plus puissant anthelmintique connu. Pas d'effets secondaires, demandez à M. Malavant, 19, rue des Petites-Ponts, à Paris, la brochure exonérative gratuite et franco, vous vous guéririez vous-même. DANS LA RÉGION Gironde La rue de mercredi, magnée d'caillé la ruelle par trois cinématographes mois fils du dernier; un train, en gare de La Rochelle, le voici écrasé, Latille, sans, est tombé de sa vigie et a été broyé par les roues d'un wagon. À la gare de Saint-Macaire, l'homme d'équine, Charlit, 50 ans, a été enseveli par un train en manoeuvre et tué sur le coup. À l'heure là même, une femme de 30 ans, Solange Delafalt, a mis le feu à ses habits en se chauffant. Atrocement brûlée, elle a succombé peu après. [VOIR LE SUITE, NOMBREUSES NOUVELLES EN 48 HEURES.] Celui qui avait glissé un coup d'œil sur la canne à épée répondit brièvement, comme une riposte au ton hautain : — On dira le dira un peu plus tard, Monsieur Camille de Nyon. L'autre, plus calme, plus habile, répondit froidement, en observant Camille avec un regard qui le pénétra : — Parce que cette carte que vous reconnaissez vous avoir appartenu a été trouvée sur la cheminée du salon d'une femme assassinée, la nuit dernière. La police désire que vous lui expliquiez comment, par qui elle y a été déposée. Camille n'insista pas. Il comprit qui, ça aurait été pure perte. — Qu'à cela ne tienne, dit-il. C'est facile. Un peu nerveusement, il boutonna les dernières agrafes de son pardessus, il emboîta le pas, entre les deux agents, jusqu'au commissariat de police du quartier de l'Opéra. VI Les deux amies L'intimité s'était resserrée entre Linon et Lucie Maisse. Les enfants grandissaient. Ils passaient ensemble, sous la garde de leur mère, une partie de leur journée. Linon qui, depuis quelque temps, se sentait un peu

Boulets de Cardiff et d'Anthracite Et tous charbons domestiques SNS AUGMENTATION DE PRIX Rue des Halles H. C A, 4767 Téléphone 0.22 S [texte non reconu La Scifrnce La goutte, douleurs, etc., gravelle guéris radicalement, e 4 jor, pr le TRTMNT DU CHARTREUX l plus puissant anthelmintique nu. Pas d'effets cars, demandez à .M Mlvnt, 19, u des ets-Pnts à Paris la brochure exonérative gruie et franco, vous vous guéririez vous-même. SDNA LA RÉGION Gironde La rue de mercredi, magnée d'caillé la rel par trois cinématographes mois fils du dernier; tran, en gr de La Rochelle, l voici écrasé Latille, sans, est tombé de sa vigie et été broyé par les roues d'un wagon. À la gare de Saint-Macaire, l'homme d'équine, Charlit, 50 ,ans a été nsvl par un train en manoeuvre et tué sur le coup. À erh'elu là même, une femme de 30 ans, Solange Delafalt, mis le fe à ses habits en s chauffant. Atrocement brûlée, elle a succombé peu après. [VOIR LE UTE, NOMBREUSES NOUVELLES EN 48 HEURES.] Celui qui avait glissé un coup d'œil r la canne à épée répondit brèvmnt, comme n riposte au ton hautain : — On dira le dira nu peu plus trd, Monsieur Camille de Nyon L'tr, plus calme, plus habile, répondit froidement, en bsrvnt Cmll avec un regard qui le pénétra : — Parce qe ce carte que vous reconnaissez vous av appartenu a été trouvée sur la chmné du salon dune femme assassinée, la nuit dernière. La plce désire que vous lui expliquiez comment, par qui ll y a été déposée. Camille nia ps. l comprit qui, ça aurait été pr perte. — u cela ne tienne, dit-il. 't facile. Un peu nerveusement, il boutonna les rrsedèine agrafes de son pardessus, i emboîta le pas, entre les deux agents, jusquau commissariat de police du quartier de lOpéra V Les deux amies L'ntmté s'était serseerér nre Linon et Lc sa.iseM Les enfants grandissaient. Ils passaient ensemble, sous la garde de leur mère, une partie de leur journée. Linon q, depuis quelque temps, se ttensai un peu

dira un peu plus tard, Monsieur Camille de Nyon. L'autre, plus calme, plus habile, répondit froidement, en observant Camille avec un regard qui le pénétra : — Parce que cette carte que vous reconnaissez vous avoir appartenu a été trouvée sur la cheminée du salon d'une femme assassinée, la nuit dernière. La police désire que vous lui expliquiez comment, par qui elle y a été déposée. Camille n'insista pas. Il comprit qui, ça aurait été pure perte. — Qu'à cela ne tienne, dit-il. C'est facile. Un peu nerveusement, il boutonna les dernières agrafes de son pardessus, il emboîta le pas, entre les deux agents, jusqu'au commissariat de police du quartier de l'Opéra. VI Les deux amies L'intimité s'était resserrée entre Linon et Lucie Maisse. Les enfants grandissaient. Ils passaient ensemble, sous la garde de leur mère, une partie de leur journée. Linon qui, depuis quelque temps, se sentait un peu délaissée par Trousse, était heureuse d'avoir quelqu'un avec qui s'entretenir. Elle ne connaissait pas grand-chose de Paris et sa voisine l'avait mise au courant d'une infinité de détails dont elle lui savait gré. De plus, Linon lui rendait service. À force de recherches, Lucie Maisse était parvenue à se procurer de l'ouvrage. Habile brodeuse, elle travaillait pour une maison du boulevard Sébastopol. Elle échantillonnait aussi à des prix avantageux, vu son habileté, des ouvrages de tapisserie. C'était Linon qui allait chercher et rapporter l'ouvrage. C'était elle qui, à certains jours déterminés, faisait le ménage de Lucie moyennant une modeste rétribution. Il fallait vivre et Troussel se faisait tirer l'oreille pour donner de l'argent. Ces jours-là, Madame Maisse, comme on l'appelait dans la maison, travaillait ferme puisque Linon se chargeait des emplettes du matin pour les deux ménages. Elle y joignait même, pour sa voisine, l'acquisition du journal. L'habitude y était. Cette lecture lui devenait aussi nécessaire que son premier déjeuner. Dès l'ouverture de la feuille quotidienne, une exclamation de terreur tomba de ses lèvres. — C'est trop fort ! Encore une femme assassinée !... Linon s'approcha. Lucie fit la lecture. Toutes deux effrayées, pleines de stupeur, confondirent leurs appréciations. —

dira n peu plus tard, Monsieur Camille de Nyon. L'autre, plus calme, plus habile, répondit froidement, e observant Camille avec un regard qui le pénétra : — arceP que cette carte que vous reconnaissez vous avoir appartenu a été trouvée sr la cheminée du lon d'une femme assassinée, la nuit èir.edern La police désire que vous lui expliquiez comment, par ll y a été déposée. Camille n'insista pas. Il comprit qui, ça aurait été pure perte. — Qu'à cela ne tienne, dit-il. Cest facile. Un peu nrvsmnt, il boutonna les dernières eaagfrs de son pardessus, il emboîta le pas, entre ls deux agents, jusqu'au commissariat de plc du quartier l'Or VI Les deux amies L'intimité 'a resserrée entre Linon et Lucie Maisse. Les nfnts grandissaient Ils passaient ensemble, sous la rdgae de lr mère, uen partie de leur journée. Lnn qui depuis quelque temps, se sentait un peu délaissée par Trousse, était heureuse d'avoir quelqu'un avec qi s'entretenir. Elle ne connaissait pas grand-chose de Paris et sa voisine 'avait mise au courant d'n infinité de détails dnt elle lui a gré. De pls, nnoLi lui rendait srvc. À force d recherches, Lucie Mss était parvenue à se procurer de l'ouvrage. Habile brodeuse, ll travaillait pour une maison du boulevard oo.blSéatsp Elle échantillonnait aussi à des prix avantageux, vu son habileté, des ouvrages de tapisserie. ait Linon qui allait chercher et rapporter l'ouvrage. C'était elle qui, à certains jours déterminés, faisait le ménage de Lucie moyennant une modeste rétribution. Il fallait vivre et Troussel se faisait tirer l'oreille ruop donner de l'argent. Ces jours-là, Madame Maisse, cm on l'appelait dns la maison, travaillait ferme puisque Linon se et des emplettes du matin pour les deux ménages. ll y joignait même, pour sa voisine, l'acquisition du journal. L'habitude y était. Cette lecture lui devenait aussi nécessaire que on premier déjeuner. Dès eruerlv'otu d la feuille quotidienne, une exclamation de terreur tomba de ses lèvrs. — 'es trop fort ! Encore une femme assassinée .!.. Linon s'approcha. Lucie fit la lecture. Toutes deux effrayées, pleines de stupeur, confondirent leurs appréciations —

de l'ouvrage. Habile brodeuse, elle travaillait pour une maison du boulevard Sébastopol. Elle échantillonnait aussi à des prix avantageux, vu son habileté, des ouvrages de tapisserie. C'était Linon qui allait chercher et rapporter l'ouvrage. C'était elle qui, à certains jours déterminés, faisait le ménage de Lucie moyennant une modeste rétribution. Il fallait vivre et Troussel se faisait tirer l'oreille pour donner de l'argent. Ces jours-là, Madame Maisse, comme on l'appelait dans la maison, travaillait ferme puisque Linon se chargeait des emplettes du matin pour les deux ménages. Elle y joignait même, pour sa voisine, l'acquisition du journal. L'habitude y était. Cette lecture lui devenait aussi nécessaire que son premier déjeuner. Dès l'ouverture de la feuille quotidienne, une exclamation de terreur tomba de ses lèvres. — C'est trop fort ! Encore une femme assassinée !... Linon s'approcha. Lucie fit la lecture. Toutes deux effrayées, pleines de stupeur, confondirent leurs appréciations. — Est-ce loin de là mari ? interrogea Linon. — Oh ! oui. D'ici, c'est une longue course, je veux dire une course de Paris. Je ne sais pas si on y arriverait en une heure de voiture. — C'est dans la banlieue ? — Juste. Clamart touche Vanves, Meudon. Oh ! fit Linon, je ne connais rien de tout cela. Ça est étonnant que M. Troussel ne vous y ait jamais conduite. Il n'y a pas un Parisien qui, au moins une fois, ne soit allé ou à Meudon ou à Clamart. — Il est vrai que je ne suis qu'une Parisienne de rencontre, dit, souriante, la fille des honnêtes Patissou. Très souvent, Linon s'était demandé la source de l'argent que Troussel lui donnait. Sans toutefois penser qu'il provenait, cet argent, d'une besogne aussi répugnante que celle d'un assassinat elle n'osait insister quand des bruits de crime lui parvenaient. N'avait-il pas volé un enfant ? Comme tant d'autres fois, la pensée terrible ce jour-là, frappa son cerveau. Elle ne s'y maintint pas. Le crime remontait à onze heures la nuit. Il était impossible, puisque Clamart était si loin, que Vincent eût pu s'y trouver cette nuit-là. — Vous paraissez soucieuse,

de l'ouvrage. Habile brodeuse, elle aarlitilvta pour une maison ud bolar Sébastopol. Elle échantillonnait aussi à des prix avantageux, vu on habileté, des ouvrages d tapisserie. C'était Linon qui allait chercher et rapporter l'ouvrage. C'étt lele qui, à certains jours déterminés, faisait le énae de Lucie moyennant une modeste rétribution. Il fallait vivre et Trssl es faisait tirer l'oreille pour donner de 'aen. Ces jours-là, Madame Maisse, comme on l'appelait dans la maison travaillait ferme puisque Linon se chargeait des emplettes du matin pour les deux ménages. Elle y joignait même, pour sa voisine, l'acquisition du journal. L'habitude y étt. Cette lctu lui devenait aussi nécessaire ueq premier déjeuner. Dès l'ouverture de la feuille quotidienne, une exclamation terreur tomba de ses lèvres. — C'est trop fort ! Encore une femme assassinée !... nLnio '.caoaphrps Lucie fit la lctr. ue deux effrayées, plns d stpr, confondirent lurs appréciations. — Est-ce loin de là ari ? ntrrg Linon. — Oh ! oui. Dici c'est une longue course, je veux dire une course de Paris. Je ne sais s si on arriverait ne une heure de voiture. — C'est dans a banlieue ? — Juste. Clamart uce Vanves, Meudon. Oh ! fit Linon, je ne connais rien de tout cl. Ça est étonnant que M. Troussel e vous y t ama conduite. Il n'y a pas un Parisien i,qu au moins une fois, n soit allé ou à Meudon ou à Clamart. — l est vrai ue e ne s qu'une Parisienne de renne, dit, souriante, l eflli des honnêtes Patissou. Très souvent, Linon s'était demandé la source de l'argent q Troussel lui nai Sns toutefois penser qu'il provenait, cet argent, 'e besogne aussi répgnnt que celle d'un assassinat ll n'osait insister quand des brts de crime lui parvenaient. N'avait-il pas lé un enfant ? Comme tant urs fois, la pensée terrible ce jour-là, farapp sn cerveau. le ne s'y maintint as.p Le crim remontait à nz heures la nuit Il était impossible, pque Clamart était si loin, u Vincent eût pu s'y trouver ctt nuit-là. — Vous paraissez scs,

! fit Linon, je ne connais rien de tout cela. Ça est étonnant que M. Troussel ne vous y ait jamais conduite. Il n'y a pas un Parisien qui, au moins une fois, ne soit allé ou à Meudon ou à Clamart. — Il est vrai que je ne suis qu'une Parisienne de rencontre, dit, souriante, la fille des honnêtes Patissou. Très souvent, Linon s'était demandé la source de l'argent que Troussel lui donnait. Sans toutefois penser qu'il provenait, cet argent, d'une besogne aussi répugnante que celle d'un assassinat elle n'osait insister quand des bruits de crime lui parvenaient. N'avait-il pas volé un enfant ? Comme tant d'autres fois, la pensée terrible ce jour-là, frappa son cerveau. Elle ne s'y maintint pas. Le crime remontait à onze heures la nuit. Il était impossible, puisque Clamart était si loin, que Vincent eût pu s'y trouver cette nuit-là. — Vous paraissez soucieuse, dit Lucie. — Non, pas soucieuse. Je n'ai, pour cela, aucun motif. Des histoires de ce genre me troublent. Elles me font peur. Je sais bien que ce n'est pas moi qu'on tuera, parce qu'on ne trouverait pas de magot dans moi. Cela me fait tressaillir quand même. On ne assassine pas seulement pour de l'argent. Il faut être très prudente. Avez-vous une chaîne de sûreté ? — Je ne m'en sers jamais. — C'est un tort. La mienne est toujours tendue. Que viendrait-on faire chez nous ? — Cette jeune femme raisonnait peut-être comme vous. C'est triste ! de trente à trente-cinq ans !... Les bandits ! Lucie reprit le journal, relut l'affaire passionnante. Elle le posa sur une chaise près d'elle et reprit son ouvrage en soupirant : — Ces sortes de crimes sont d'un fréquent malheur. C'est épouvantable ! — C'est vrai, en voilà deux ou trois, coup sur coup, toujours dans le même monde ! ajouta Linon. Aussi pourquoi tant, recevoir la nuit !... Nous pouvons dormir tranquilles. Ni vous ni moi ne sommes dans ce cas-là. Lucie lui donna un regard perçant. Leurs prunelles se détournèrent en même temps. — A Paris, soupira la brodeuse,

! fit Linon, e ne connais rien de tout cela. Ça est étonnant que M. Troussel en suov y t jamais conduite. Il ny a a un Parisien q,iu au moins une fs, ne soit allé ou à Meudon ou Clmrt. — l est vrai que je ne suis qu'une Parisienne de rencontre, dit, souriante, a fille e honnêtes Patissou. Très souvent, Linon s'était demandé la source de l'argent que Troussel lui donnait. Sans toutefois penser qu'il prvnt, cet argent, d'une besogne aussi répugnante que celle d'un assassinat elle n'osait insister quand ds bruits de crime lui parvenaient. N'avait-il pas volé n enfant ? Comme tant d'autres fois l pensée terrible ce jour-là, frappa son cerveau. Elle ne s'y mntnt pas. Le crime remontait à onze heures la nuit. Il était impossible, puisque Clamart était si loin, que Vincent eût pu ' trouver cette nuit-l. — Vous paraissez soucieuse, dit Lucie. — Non, pas soucieuse. Je n'ai, pour cl, aucun motif. Des histoires de ce genre me blronue.tt Elles me font peur. Je sais bien que ce n'est pas moi qu'on tuera, parce qu'on ne trouverait pas de magot dans moi. Cela me fait tressaillir quand même. On ne sesansais pas seulement pr de l'argent. Il faut être très prudente. Avez-vous une chaîne sûreté ? — Je en m'en sers jamais — C'est un tort. L mienne est toujours tendue. Que viendrait-on faire chez nous ? — Cette jeune femme iai peut-être comme vous. C'est triste ! de trnt à trente-cinq ans !... Les bandits ! Lucie reprit le journal, relut l'affaire passionnante. Elle le posa sur une chaise près d'l et reprit son ouvrage en soupirant : — s sortes de crimes sont d'n fréquent malheur. C'est uvntble ! — eCst' vrai, en voilà deux ou trois, coup sur coup, toujours dans le même monde ! ajouta Linon. Aussi prq tnt, recevoir la nuit !... Ns pouvons dormir tranquilles. Ni vous ni moi ne smms dans ce cas-là Lc lui naodn n regard perçant. Leurs prunelles se douèe en même temps. — A Paris, soupira la brodeuse

assassine pas seulement pour de l'argent. Il faut être très prudente. Avez-vous une chaîne de sûreté ? — Je ne m'en sers jamais. — C'est un tort. La mienne est toujours tendue. Que viendrait-on faire chez nous ? — Cette jeune femme raisonnait peut-être comme vous. C'est triste ! de trente à trente-cinq ans !... Les bandits ! Lucie reprit le journal, relut l'affaire passionnante. Elle le posa sur une chaise près d'elle et reprit son ouvrage en soupirant : — Ces sortes de crimes sont d'un fréquent malheur. C'est épouvantable ! — C'est vrai, en voilà deux ou trois, coup sur coup, toujours dans le même monde ! ajouta Linon. Aussi pourquoi tant, recevoir la nuit !... Nous pouvons dormir tranquilles. Ni vous ni moi ne sommes dans ce cas-là. Lucie lui donna un regard perçant. Leurs prunelles se détournèrent en même temps. — A Paris, soupira la brodeuse, il y a tant de mystères !... tant de vies compliquées... tant de femmes qui sont incapables de faire œuvre de leurs doigts. Tout y vient à Paris. Tout y accourt : des ménages qui paraissent unis et qui mènent des existences infernales : parfois de couples que l'on croit mariés et qui ne le sont pas. Linon devint cramoisie. Suivez la vie sportive. (124). LA VIE SPORTIVE Foot-Ball Association Le terrain Granzy, nous renouvelons aujourd'hui amicalement les prises entre le Bordeaux Sportif et le Football-Club. La équipe visiteuse a obtenu de très beaux résultats contre la Vie au Sporting du Médoc, le Floirac-Club, les Girondins, etc. elle pratique un jeu correct qui plaira à tous les spectateurs. Elle alignera aujourd'hui son équipe type. But : Messiplede. — Arrières Cécile, Vigneau — Demi : Gossiaux, Mazerat cap., Avants : Milhe, Deschamps, Demichel Rocq, Chabot Le coup d'envie sera tiré à l'heure, et l'arbitre officiant sera M. Denis. Foot-ball rugby pendant la journée du S.C. La Montgomerie, Choiseul, et maints autres. I, sur son terrain sémiumte de r, aux éléments vomis des régiments, la gravière du Soortsing-Pari, où se trouve actuellement renforcée de face, sensible. Elle l'a montré dernièrement en remportant

assassine pas seulement pour de l'argent. Il faut être très prudente. Avez-vous n chaîne de sûreté ? — Je ne m'en srs jamais. — C'est un rt. La mienne est tjrs tendue. Que viendrait-on faire chez nous ? — Cette jeune fmm rsnnt peut-être comme vous. Ct'se triste ! de trente à trnt-cnq ans !... Les bandits Lucie rprt le u,ojrnla relut l'affaire passionnante. ll le posa sur n cise près dle et reprit son oue en soupirant : — Ces srts d sicmre sont dn fréquent malheur. C'est épouvantable ! C't vrai en voilà dx ou trs, coup sur coup, toujours dans le même monde ! ajouta Linon. Aussi pourquoi tant, recevoir la nuit !... Nous pouvons dormir tranquilles. Ni vous ni o ne sommes dans ce cas-là. Lucie lui donna un regard perçant. Leurs prunelles se détournèrent en eêmm temps. Paris soupira la brodeuse, il y a tant de mystères !... a de vies compliquées... tant de femmes qui sont incaabs de iearf œuvre d leurs gsitd.o T y vin à Prs. Tout y accourt : des ménages qui paraissent unis et qui mènent des existences infernales : parfois d couples que l'n croit mrés et q ne le sont pas. Linon devint cramoisie. Suivez la vie sportive. (124). LA VIE OESPTVRI Foot-Ball Association Le terrain Granzy nous renouvelons jrd'h amicalement les prises entre le Bordeaux Sportif et le Ftbll-Clb. La ieqpéu visiteuse obtenu de très beaux résultats contre l Vie au Sprtng du o, le Floirac-Club, les Girondins, etc. elle pratique un jeu correct qui plaira à tous ls spectateurs. Elle linra aujourd'hui son équipe type. Bt : Messiplede. — Arrières Cécile Vigneau Demi : Gossiaux, Mazerat cap., Avants Milhe, Deschamps, Demichel Rocq, Chabot L coup d'envie sera tiré à l'heure, t l'arbitre officiant sera M Denis otball rugby pendant la journée du S.C. La Montgomerie, Choiseul, et maints autres. I, sur son terrain sémiumte de r, aux éléments vms des régiments, la gravière du Soortsing-Pari, où se trv actuellement nfcorreée de face, sebs.lnei Elle la montré dernièrement en rotpmtarne

mariés et qui ne le sont pas. Linon devint cramoisie. Suivez la vie sportive. (124). LA VIE SPORTIVE Foot-Ball Association Le terrain Granzy, nous renouvelons aujourd'hui amicalement les prises entre le Bordeaux Sportif et le Football-Club. La équipe visiteuse a obtenu de très beaux résultats contre la Vie au Sporting du Médoc, le Floirac-Club, les Girondins, etc. elle pratique un jeu correct qui plaira à tous les spectateurs. Elle alignera aujourd'hui son équipe type. But : Messiplede. — Arrières Cécile, Vigneau — Demi : Gossiaux, Mazerat cap., Avants : Milhe, Deschamps, Demichel Rocq, Chabot Le coup d'envie sera tiré à l'heure, et l'arbitre officiant sera M. Denis. Foot-ball rugby pendant la journée du S.C. La Montgomerie, Choiseul, et maints autres. I, sur son terrain sémiumte de r, aux éléments vomis des régiments, la gravière du Soortsing-Pari, où se trouve actuellement renforcée de face, sensible. Elle l'a montré dernièrement en remportant une nette victoire sur la première équipe de l'Austerlitz-Sports. Trois Essais sur quatre furent de la mercure facultative et justement applaudis. Elle espère faire mieux encore dimanche, avec les excellents bergéronais. Arbitre officiel des Charentes, s'est occupé du coup d'envoi à 15 h. heure précises. Escrime Ce fut une belle séance d'escrime que celle organisée vendredi soir par M. Château, à sa salle du 1er étage du café du Commerce, place Saul-Maurice. Les officiers, sous-officiers, et amateurs ou sportifs des armes avaient répondu en grand nombre à l'invitation du maître si apprécié qui, pendant des années, forma les jeunes escrimeurs du 5e régiment d'infanterie. De 7 heures jusqu'à près de minuit, les tables de la salle furent occupées sans interruption, et de belles rencontres eurent lieu entre les élèves de M. Château et les prévôts et élèves de M. Chasteau, l'excellent maître d'armes de la garnison. Les maîtres eux-mêmes prirent part aux tournois tant à l'épée que au fleuret. M. le colonel Combeaud, commandant le 5e régiment de chars de combat ; M. le commandant de Beauchêne, du 107e d'infanterie, ont une part active à cette réunion où on remarquait également la présence de M. le capitaine Wagner, officier subdivisionnaire.

és et qui n le snt pas. Linon devint cramoisie. Suivez la vie sportive. (124). LA VIE SPORTIVE Ft-Bll Association Le terrain Ga,yzrn nous renouvelons jrd'h mcalmt les prises entre le rudeoxaB Sportif et le b-. La équipe visiteuse a obtenu e très beaux résultats contre la Vie au Sporting du Médoc, Floirac-Club, les Girondins, etc. elle qrpieuta un j correct qui paira à tous ls spectateurs. Elle alignera aujourd'hui son équipe type. But : esp. — Arrières Cécile, Vigneau Demi : Gossiaux, Mazerat cap., Avants : ilhe Deschamps, Demichel Rocq, Chabot Le op d'envie sera tiré à l'heure, et l'arbitre officiant sera M. Denis. Foot-ball rugby pendant la journée du S.C. La Mntgmr, Chsl, et maints autres. I, sur son terrain sémiumte de r, aux éléments ms des régiments, la gravière du Soortsing-Pari, où s trouve actuellement e de face, sensible. Elle l'a montré dernièrement en remportant une nette victoire sur la première équipe de 'Austerlitz-Sports. Trois Essais sur quatre furent de la mercure facultative et justement applaudis. Elle espère faire mieux encore dimanche, avec ls excellents bergéronais. Arbitre officiel des Charentes s'est occupé d coup d'nv à 15 h. heure précss. Escrime Ce fu une belle sénc d'escrime e cee organisée vendredi soir par M. Château, à sa salle du 1er étage d café du Commerce, place Saul-Maurice. Les officiers, sous-officiers, et utmesara ou sportifs des armes avaient répondu grand nombre à linvitation du mîtr si apprécié qui, pndnt des années, forma les jeunes esrim du 5e régiment d'infanterie. De 7 heures jsq'à près de minuit, les tables de la salle furent occupées sans interruption, et de belles rencontres eurent l entre les lè de M. Château et les prévôts et élèves de M. Chasteau, l'excellent maître darm de la garnison. Les maîtres eux-mêmes prirent prta aux trns tant l'épée que fleuret M. le colonel Combeaud, nmatncodam le 5e régiment de har d combat ; M. le commandant de Beauchêne, du 107e d'infanterie, ont une part active à cette réunion ù n remarquait également la présence de M. le capitaine Wagner, officier sbdvsnnr.

séance d'escrime que celle organisée vendredi soir par M. Château, à sa salle du 1er étage du café du Commerce, place Saul-Maurice. Les officiers, sous-officiers, et amateurs ou sportifs des armes avaient répondu en grand nombre à l'invitation du maître si apprécié qui, pendant des années, forma les jeunes escrimeurs du 5e régiment d'infanterie. De 7 heures jusqu'à près de minuit, les tables de la salle furent occupées sans interruption, et de belles rencontres eurent lieu entre les élèves de M. Château et les prévôts et élèves de M. Chasteau, l'excellent maître d'armes de la garnison. Les maîtres eux-mêmes prirent part aux tournois tant à l'épée que au fleuret. M. le colonel Combeaud, commandant le 5e régiment de chars de combat ; M. le commandant de Beauchêne, du 107e d'infanterie, ont une part active à cette réunion où on remarquait également la présence de M. le capitaine Wagner, officier subdivisionnaire. Au cours de cette réunion, un punch céleri-fraise fut offert aux invités et aux tireurs. Le colonel Gombeaud profita de cette opportunité pour faire brièvement ressortir l'utilité de l'escrime, le sport qui forme le mieux l'homme et le conserve vigoureux. Il félicita les organisateurs de la parfaite réussite de la réunion, fit des éloges aux tireurs et les engagea à persévérer. « Avec de telles aptitudes, vous êtes sûrs du succès. » FAITS DIVERS Assassinat d'une figurante de théâtre La police parisienne se livre actuellement à une enquête au sujet de l'assassinat de Mme Lucie Ledoux, figurante au théâtre du Gaïdé. Les magistrats se sont rendus au domicile de la victime, 4, rue du Chemin-de-Fer, à Villejuif-le-Bois. Ils ont constaté que la malheureuse femme était étendue sur son lit, tout habillée, couchée sur le dos, les mains attachées derrière les reins et les chevilles liées par des serviettes tordues en liens. La mort a été constatée d'un milieu à une dizaine de jours. Mme Ledoux, qui était divorcée, a été vue pour la dernière fois le 15 février, en compagnie d'un jeune homme inconnu que la police recherche. Dans les pièces de l'appartement occupé par la victime, on n'a relevé

séance sce que celle organisée vedr sr arp . Château, à sa sle du 1er étage du cfé du Commerce, pl Saul-Maurice. Lse officiers, sousofficiers et amateurs ou sportifs des armes avaient répondu en grand nombre à l'invitation du mte si apprécié qui, pendant des an, forma les jeunes escrimeurs du 5e régiment d'nfntr. De heures jusqu'à pès e minuit, les tables d la salle furent occupées sa intto, et d belles rencontres eurent l entre les élèves de M. Château t les prévôts élèvs de M. Chst, l'excellent maître d'armes de la garnison. Les maîtres x-mêms pirrnte part aux tournois tant à 'épée que au flrt. M. le c Combeaud, commandant l 5e régiment de chars de oambtc ; M. le commandant de Beauchêne du 107e d'nfntr, ont une part active à cette rénn où on remarquait également la présence e M. le capitaine Wagner, officier subdivisionnaire. Au cours de cette run, un pnch céleri-fraise fut ofe aux invités et aux tireurs. Le colonel Gombeaud profit de te opportunité pour faire brièvement ressortir l'utilité de ecrm le sport qui forme le mieux l'homme et le conserve vgrx. Il félicita les rgnstrs de la parfaite réussite de la réunion, fit des éloges aux eurs et les engagea à persévérer. Avec de telles aptitudes vous êtes sûrs du sccè FAITS DIVERS Assassinat e'ndu figurante e théâtre La police parisienne se livre actuellement à une nqêt au utsej de 'alasstisans d e Lucie Ledoux, figurante au théâtre du Gïdé. Les magistrats se sont rendus au domicile de al victime, 4, rue du Chemin-de-Fer, à Villejuif-le-Bois. Ils ont constaté que la malheureuse fee était étendue sur son lit, tout habillée, couchée sur le o les mains attachées de ls ein t les chev liées par des rvettes tordues en liens. La mort a été constatée d'un milieu à une dizaine de jours. Mme Ledoux qui était divorcée, a été vue pour la deieèrnr fois l 51 février, en ompani d'un jeune homme inconnu que la police recherche Dans sel pièces de l'pprtee occupé par al victime, on n' relevé

réunion, fit des éloges aux tireurs et les engagea à persévérer. « Avec de telles aptitudes, vous êtes sûrs du succès. » FAITS DIVERS Assassinat d'une figurante de théâtre La police parisienne se livre actuellement à une enquête au sujet de l'assassinat de Mme Lucie Ledoux, figurante au théâtre du Gaïdé. Les magistrats se sont rendus au domicile de la victime, 4, rue du Chemin-de-Fer, à Villejuif-le-Bois. Ils ont constaté que la malheureuse femme était étendue sur son lit, tout habillée, couchée sur le dos, les mains attachées derrière les reins et les chevilles liées par des serviettes tordues en liens. La mort a été constatée d'un milieu à une dizaine de jours. Mme Ledoux, qui était divorcée, a été vue pour la dernière fois le 15 février, en compagnie d'un jeune homme inconnu que la police recherche. Dans les pièces de l'appartement occupé par la victime, on n'a relevé aucune trace de lutte : l'armoire et les tiroirs des meubles étaient en ordre. Mais aucun papier de famille ni aucune somme d'argent n'ont été retrouvés. Drame de la séparation Un drame de la séparation a été déroulé jeudi matin, 7 avenue Montessier, à Paris. Un Italien du nom de Pierre Cardona, demeurant 72, rue du Bac, qui avait pénétré dans l'appartement de Mme veuve Benedetti, a assassinné celle-ci ainsi que sa fille. L'assassin a pris la fuite et s'est suicidé quelque heures plus tard. Il avait pu vivre avec Mme Benedetti pendant plusieurs années et avait été congédié récemment. C'est parce que Mme Benedetti refusait de reprendre la vie commune que Cardona l'aurait tuée. Une autre fille de la victime, qui s'était enfermée dans une pièce venue a pu échapper au malheur. L'assassinat du chauffeur Lescure ! On mande de Bruxelles que le gouvernement belge a reçu d'Utrecht (Hollande) l'avis de l'arrestation d'un nommé Jérémie Dartois, de Poperinge, (Belgique), et d'un nommé Albert Legrand, d'Hénin-Liétard (Pas-de-Calais), auteurs présumés de l'assassinat du chauffeur Lescure, commis à Emmerin (Nord) dans la soirée du 5 février. C'est grâce aux indications recueillies en Belgique, par M. Steurbaut, chef de la Sûreté de Bruxelles,

réunion, fit des éloges aux tireurs et les engagea à persévérer. « Avec de telles pttds, vous êtes sûrs du succès. » FAITS DIVERS Assassinat d'une fgrnt ed théâtre La police parisienne se livre actuellement à une enquête au sujet de lassassinat de Mme Lucie Ledoux, figurante au théâtre du Gaïdé. Les magistrats se sont rendus au domicile de la victime, eur du Chemin-de-Fer, à Villejuif-le-Bois. Ils ont cons que la malheureuse femme était étendue sur son lt, tout habillée, cocé sur le dos les mains attachées derrière ls ins et les chevilles liées par des serviettes tordues n liens. La mort a été constatée d'un milieu à une dizaine de jrs. Mme Ledoux, qui étt divorcée, a été vue pour la dernière fois le 15 février, en compagnie d'un jeune homme inconnu q la police rer. Dans les pièces de l'appartement occupé par la vctm, on na relevé aucune trace de lutte : l'armoire et les trrs des meubles étaient en ordre Mais aucun papier de famille ni aucune eomms d'argent n'ont été retrouvés. Drame de la séparation Un drame de l séparation a t déroulé jeudi matin, 7 avenue Mntssr, à Paris. Un Italien du nom de Pierre Cardona, demeurant 72, rue du Bac, qui avait péé dans l'appartement de Mme veuve nett, a assassinné celle-ci ainsi que sa fille. Lassassin a pris la fuite et s'est suicidé quelque heures plus tard. Il vt pu vvr avec Mem Benedetti pendant plusieurs années et avait été congédié récmn. C'est parce que Mme Benedetti refusait de rprndr la vie commune euq Cardona 'aurait tuée. Une autre fille de la victime, qui s'était eere dans une pièce venue pu échapper au malheur. Lassassinat du chffr Lescure ! On mande de Bruxelles que le gvrnmnt belge a reçu d'Utrecht (Hollande) l'avis de l'arrestation d'un nmmé Jérémie Dartois, de Pone, (eliu), et d'un nommé Albert Legrand, d'Hénin-Liétard (Pas-de-Calais), auteurs présumés de l'assassinat du chauffeur Lescure commis à Emmerin (Nord) dans la soirée du 5 février. C'est grâce aux indications recueillies en Belgique, par M. au,ebuSttr chef d la Sûreté de Bruxelles,

Pierre Cardona, demeurant 72, rue du Bac, qui avait pénétré dans l'appartement de Mme veuve Benedetti, a assassinné celle-ci ainsi que sa fille. L'assassin a pris la fuite et s'est suicidé quelque heures plus tard. Il avait pu vivre avec Mme Benedetti pendant plusieurs années et avait été congédié récemment. C'est parce que Mme Benedetti refusait de reprendre la vie commune que Cardona l'aurait tuée. Une autre fille de la victime, qui s'était enfermée dans une pièce venue a pu échapper au malheur. L'assassinat du chauffeur Lescure ! On mande de Bruxelles que le gouvernement belge a reçu d'Utrecht (Hollande) l'avis de l'arrestation d'un nommé Jérémie Dartois, de Poperinge, (Belgique), et d'un nommé Albert Legrand, d'Hénin-Liétard (Pas-de-Calais), auteurs présumés de l'assassinat du chauffeur Lescure, commis à Emmerin (Nord) dans la soirée du 5 février. C'est grâce aux indications recueillies en Belgique, par M. Steurbaut, chef de la Sûreté de Bruxelles, que ces deux individus ont pu être identifiés, découverts et enfin arrêtés. Double asphyxie À Villiers (Haute-Marne), deux jeunes femmes, Marie Juilly, 19 ans, et Mariane Celinska, 19 ans, ont été asphyxiées dans la chambre où elles étaient, communément par les émanations d'un poêle où brûlait un mélange de houille et de charbon de bois. LES FEMMES DE GOÛT trouvent dans H PARIS-BRODERIE En vente partout le Ne : 1 fr. LES PLUS JOLIS 8 DESSINS DE BRODERIE GRANDEUR d'ÉDITION AVEC DESSINS || Décalquables I AU FER CHAUD | (Procédé Breveté) || Bibliographie Une nouvelle revue scientifique, destinée au grand public, vient de paraître sous le titre de La Science moderne. Son deuxième numéro contient les articles suivants : Berget (professeur à l’Institut océanographique) : Les marées, leur calcul et leur utilisation. — Godard (ingénieur en chef de la construction à la Compagnie du Midi, professeur à l’Ecole nationale des ponts et chaussées) : L’électrication des chemins de fer, les dépenses qu'elle entraîne, ses avantages, ses répercussions sur les économies générales du pays. — Lieutenant Alessandri (ingénieur radio), Exposition de physique et de T.S.F. — Gautrat (chef des travaux à l’École nationale des mines) ; Les applications de la rabotage

erreiP Cardona, edtnrmeua 72, rue du Bac, qui avait pénétré dans l'appartement de Mm uve Benedetti a assassinné celle-ci ainsi que sa fille. L'assassin a pris la fuite et 'e suicidé quelque heures pls tard. Il avait pu vivre avec Mme Benedetti pendant plusieurs années et avait été congédié récemment. C'st parce que Mme Benedetti refusait de reprendre la vie cmmn qeu Cardona laurait tuée. Une tr fille de la vctm, qui s'était enfermée dans une pièce v p écpe au malheur. L'assassinat du chauffeur Lescure ! On mande e Bruxelles que le vrnmt belge a reçu d'Utrecht (Hollande) l'avis de l'arrestation d'un nommé rm Dartois, d Poperinge, (Belgique), et d'un nommé Albert Legrand dHéninLiétard (Pas-de-Calais), auteurs présumés de l'assassinat du chauffeur cue commis à Emmerin (Nord) dans la soirée du 5 février. C'st grâce aux indications recueillies en Blgq, p M. Steurbaut, chef de la Sûreté de Brxlls, que ces deux individus ont pu être identifiés, découverts et enfin arrêtés. Double epysxiah Villier (aut-Man deux jeunes femmes, Marie Juilly, 19 ns, et Mariane Celinska, 19 ans, ont été asphyxiées dans la cm où elles étaient, cmmnémnt par les émanations ' poêle où brûlait un mélng de houille t de charbon de bois. LES FEMMES D GOÛT trouvent dans PRS-BRDR nE vente partout le Ne : 1 fr. LES PLUS JOLIS 8 DESSINS DE BRODERIE GRANDEUR d'ÉDITION AVEC DESSINS || Décalquables I AU FER CHAUD | (Procédé Breveté) Bibliographie Une nouvelle revue scientifique, destinée au grand public vient e paraître sous le titre de La Scnc moderne. Son deuxième numéro contient les articles svnts : Berget (professeur l’Institut océanographique) : marées leur calcul et leur utilisation. — Godard (ingénieur en chef de la construction l Compagnie Midi, professeur à l’Ecole nationale ds ponts et chaussées) : L’électrication des chemins d er les dépnss qu'elle entraîne, ss avantages, ses rruons sur les économies générales du pays. Lieutenant Alessandri ingénieur radio Exposition de physique et de T.S.F. — Gautrat (chef des travaux à l’Écl nationale des mines) ; Les pplctns de la rabotage

et de charbon de bois. LES FEMMES DE GOÛT trouvent dans H PARIS-BRODERIE En vente partout le Ne : 1 fr. LES PLUS JOLIS 8 DESSINS DE BRODERIE GRANDEUR d'ÉDITION AVEC DESSINS || Décalquables I AU FER CHAUD | (Procédé Breveté) || Bibliographie Une nouvelle revue scientifique, destinée au grand public, vient de paraître sous le titre de La Science moderne. Son deuxième numéro contient les articles suivants : Berget (professeur à l’Institut océanographique) : Les marées, leur calcul et leur utilisation. — Godard (ingénieur en chef de la construction à la Compagnie du Midi, professeur à l’Ecole nationale des ponts et chaussées) : L’électrication des chemins de fer, les dépenses qu'elle entraîne, ses avantages, ses répercussions sur les économies générales du pays. — Lieutenant Alessandri (ingénieur radio), Exposition de physique et de T.S.F. — Gautrat (chef des travaux à l’École nationale des mines) ; Les applications de la rabotage aérostatique. — Pujol (professeur de bactériologie à l’École vétérinaire d'Alfort) : Les microbes invisibles. — Fabry (de l'Université de Liège), Le bactériophage. — André (professeur à l'Institut national agronomique) ; L'évolution des doctrines agricoles. Méster (professeur à la Faculté de droit de Paris) : La nouvelle législation des chutes d'eau. — Gautrat (chef de travaux à l’École nationale des mines) Portrait de savant Georges Claude. Ce numéro, comprenant 96 pages à 2 colonnes avec de nombreuses illustrations, sera envoyé franco contre la somme de 3 fr, 50 pour la France, ou de 5 francs pour l'étranger, adressée à MM. Bailière et Fils, 19 rue Haut ecoir, Paris (VIe). Hallelujiah est du prix de 35 francs pour la France, et 50 francs pour l'étranger. Nénie et le cinéma. — Un volume in-18 demy grande couverture illustrée, avec 16 pages de photographies tirées du film: Prix: 2 fr, 50. En vente chez Pons-Nourrit et Co, à Paris, et dans toutes les bonnes librairies. BRYN: DES DEUX-MONDES, 18, rue de l'Université, Paris. — Sommaire de la livraison du 1er mars 1921 La chartreuse du Repos-Jir, le partie '(Henry Bordeaux, de l'Académie française). — Les origines religieuses du Canada. : I. Les premières expériences

et de aro de bois. LES FEMMES DE GÛT trvnt dans H PARIS-BRODERIE En vente prtt le Ne : 1 fr. LES PLUS JOLIS 8 DESSINS DE BRODERIE GRANDEUR d'ÉDITION AVEC DESSINS || Décalquables I AU FER CHAUD | Procédé Breveté) || Bibliographie Une nvll revue scientifique, dstné au grand public, vient d paraître sous l titre de La eciceSn moderne. Son deuxième numéro cnitteno les articles suivants : Berget (professeur à l’nsttt océanographique) : Les mrés, ur calcul et leur tlstn. — Gdrd (ingénieur en chef de la construction à la Compagnie du Midi, professeur à l’Ecole nationale des ponts et essa)csuhé : L’électrication esd chemins d fer, les dépenses qu'elle entraîne, ses anta, ses répercussions sur les économies générales du pays. — Lieutenant Alessandri (ingénieur i Exposition de physique e de T.S.F. — ura (chef des travaux à l’École nationale des mines) ; Les pplctns de la rabotage aérostatique. — Pujol (professeur de bactériologie à l’École vétérinaire d'Alfort) : Les microbes invisibles. — Fabry (de l'Université de Liège), Le bactériophage. — André (professeur à l'Institut national agronomique) ; Lvion des dctrns agricoles. Méster (professeur à la Faculté de droit ed Paris) : La nouvelle législation des chutes d'eau. — Gautrat (chef de ravx à l’École nationale des mines) Portrait de savant Georges Claude. Ce numéro, comprenant 96 pages à 2 colonnes ac de nobes illustrations, sera envoyé franco contre la somme de 3 fr, 50 pour l France, ou de francs pour l'raer, drssé à M. Bailière et Fils, 19 rue Haut ecoir, Paris (VIe). Hallelujiah est du prx de 35 francs pour la France, et 50 francs pour l'étranger. Nénie et le cinéma. — Un volume in-18 dmy grande couverture illustrée, avec 16 pages de phtorapes tirées d film: Prix: 2 fr, 50 En vente chez Pns-Nrrt et Co, à Paris, et dns toutes les bonnes librairies. BRYN: DES DEUX-MONDES, 18 rue de l'Université, Paris. — Sommaire de la livraison du 1er mars 1921 La chartreuse du Repos-Jir, le partie '(Henry Brdx, de l'Académie frnçs). — Ls origines religieuses du Canada. I. Les premières expériences

— Gautrat (chef de travaux à l’École nationale des mines) Portrait de savant Georges Claude. Ce numéro, comprenant 96 pages à 2 colonnes avec de nombreuses illustrations, sera envoyé franco contre la somme de 3 fr, 50 pour la France, ou de 5 francs pour l'étranger, adressée à MM. Bailière et Fils, 19 rue Haut ecoir, Paris (VIe). Hallelujiah est du prix de 35 francs pour la France, et 50 francs pour l'étranger. Nénie et le cinéma. — Un volume in-18 demy grande couverture illustrée, avec 16 pages de photographies tirées du film: Prix: 2 fr, 50. En vente chez Pons-Nourrit et Co, à Paris, et dans toutes les bonnes librairies. BRYN: DES DEUX-MONDES, 18, rue de l'Université, Paris. — Sommaire de la livraison du 1er mars 1921 La chartreuse du Repos-Jir, le partie '(Henry Bordeaux, de l'Académie française). — Les origines religieuses du Canada. : I. Les premières expériences (lo.3 i-l(>."y Georges Geyau, de l'Académie française). — Notables politiques inédites IV (Napoléon III). — Brouillards et raisons de mécontentement (Prince Napoléon), — Portraits contemporains : M. André Haynal (Jean Dietz). — La nouvelle Thule : III. Le gouvernement d'Angara et les activités étrangères (Maurice Pellé). — Jules Michelet et Adam Mickiewicz Lettres intimes (Ladislas Mickiewicz). — Poésies (Maurice Levaillant). — Un grand officier d'etat-major : le général Pual (Lieutenant-colonel de Thumann). -Revue littéraire : Une apologie pour le grammaire (André Brillant). -Revue musicale le renouveau : Samson (Camille Bellatque) ! Chronique de la quinzaine : histoire poétique de Pinon). Les livraisons partent du 1er du mois du 15 de chaque mois. Prix du numéro: 1 fr. 50. LES ANNALES commencent la publication de la célèbre pièce de Victorien Sardou : "Théodore". Dans le même numéro, Un vivant portrait de Paul Haynal par André Lang, une page de Gustave Lancelot sur les Contes de Fées aux Gobelins, un conte de Léon Frapier et, entre dix autres articles, la lettre de la Cousine et le début d'une série inédite de Rachilde. En vente partout : 75 centimes. LE POT-AU-FEU, revue de cuisine et de bien-être chez soi. Paraissant les 20 et

Gautrat (chef de uatrvxa à lÉcole nationale ds ines) Portrait de savant Georges Claude. C numéro, comprenant 96 pages à 2 colonnes avec de nombreuses illustrations, envoyé franco contre l somme de fr, 50 pour la France, de 5 francs pour 'étranger, drssé à .MM Bailière t Fils, 19 rue Haut ecoir, Paris (VIe). Hallelujiah est du prix de 35 francs pour la France, e 50 carsfn ou l'étranger. et l céa Un oum in18 demy grande couverture illustrée, avec 16 pages de photographies tirées du film: Prix: 2 fr, 50. En vente hezc Pons-Nourrit et C,o à Paris, et dans toutes les bonnes lbirie. BRYN: DES DEUX-MONDES, 18 rue de l'Université, Paris. — Sommaire de la livraison d 1er mars 1921 La chartreuse du Repos-Jir, le rtpaie '(Henry Bordeaux, de l'Académie française). Les origines religieuses Canada : I. Les rèipsemre expériences (lo.3 i-l(>."y Georges Gy, e 'Académie française). Notables politiques inédites IV (Napoléon ). — Brouillards t raisons écnent Prnc Napoléon), — Pts contemporains M. André Haynal (Jean Dietz). — aL ouvle Thule : III. Le gouvernement d'Angara et ls activités étrangères (Maurice Pellé). — elsJu ielet et Adam Mickiewicz Lettres intimes (Ladislas Mickiewicz). — Poéses (Maurice Levaillant). — Un grand officier d'etat-major : le général ulaP Lieutenantcolonel de Thumann). -Re littéraire : n apologie pour l grammaire (André Brillat). -Revue musicale el renouveau : Samson (Camille Bellatque) ! rou ed la quinzaine : histoire poétique de Pinon). Les ionaslirsv partent du 1er u mo du 15 de chaque mois. Prix du nmér: 1 fr. 50. LES ASNNEAL commencent la publication la célèbre p de Victorien Sardou : "Théodore". Dns le même nmér, Un vntvai portrait de Paul Haynal par ndré Lang, une page de Gustave Lancelot sur les Contes de Fées aux Gobelins, un conte de Léon Frapier et, entre dix autres articles la lettre d la Cousine et le début d'une série inédite de Rachilde. En vente partout 75 centimes. LE POT-AU-FEU, revue de cuisine et de ben-tr chez osi. at les 20 et

Adam Mickiewicz Lettres intimes (Ladislas Mickiewicz). — Poésies (Maurice Levaillant). — Un grand officier d'etat-major : le général Pual (Lieutenant-colonel de Thumann). -Revue littéraire : Une apologie pour le grammaire (André Brillant). -Revue musicale le renouveau : Samson (Camille Bellatque) ! Chronique de la quinzaine : histoire poétique de Pinon). Les livraisons partent du 1er du mois du 15 de chaque mois. Prix du numéro: 1 fr. 50. LES ANNALES commencent la publication de la célèbre pièce de Victorien Sardou : "Théodore". Dans le même numéro, Un vivant portrait de Paul Haynal par André Lang, une page de Gustave Lancelot sur les Contes de Fées aux Gobelins, un conte de Léon Frapier et, entre dix autres articles, la lettre de la Cousine et le début d'une série inédite de Rachilde. En vente partout : 75 centimes. LE POT-AU-FEU, revue de cuisine et de bien-être chez soi. Paraissant les 20 et 25 samedis de chaque mois. Administration, 14, rue Duphot, Paris (1er). Sommaire du n° du 23 février 1924 : Le bien-être chez soi, Crosnes à la grecque, Soufflé de Haddock, Fricassée d'agneau en bordure de riz, Les crêpes de la Chatelaine, Causerie du médecin, Les vins du Jura Bains salins de la Mouillère, Hygiène et cuisine, Bouquet des vins. Le numéro, 1 fr. 50. Les sourds peuvent entendre la téléphonie sans fil On a constaté que dans un très grand nombre de cas, la T.S.F. était parfaitement perceptible pour les sourds. Ce résultat est facile à expliquer. Il n'existe pour ainsi dire pas de sourds absolus. L'oreille du sourd n'est rebelle qu'aux vibrations sonores dont nous faisons usage normalement dans la conversation. Mais, que ces vibrations soient amplifiées par un appareil approprié, et elles lui deviendront perceptibles, surtout si la lésion qui a amené la surdité ne siège que dans l'oreille moyenne, c'est-à-dire dans la caisse du pharynx ; beaucoup moins, si l'oreille interne est atteinte. C'est pourquoi l'application d'un casque de T.S.F. sur la tête permet à un très grand nombre de sourds d'entendre le résultat de la transmission par les ondes hertziennes. Ces dernières, qui ne sont pas

A Mickiewicz rLteets intimes Lasdi(sal ewi) — Poésies (Mrc Levaillant). — Un grand officier d'etat-major : le général Pual (Lieutenant-colonel de Thmnn). Revue littéraire : n apologie pour le grammaire (ndré Brillant). -Rv musicale le renouveau : Samson (Camille Bellatque) ! Chronique de a quinzaine : histoire poétique de Pinon). Les livraisons partent ud 1er du mois d 15 ed chq mois. Prix d numéro: 1 fr. 50. LES ANNALES commencent la pblctn de la célèbr pièce d Victorien Srd : "héore". Dns le même numéro nU portrait de Paul Haynal par ndré Lang, une page de vauGset Lancelot sur les Contes de Fées aux Gobelins, un conte de Léon Frapier et, entre dix autres articles la lettre de la Cousine et le début d'n série inédite de Rachilde. En vente partout : 75 centimes. LE POT-AU-FEU, revue de cuisine et de bien-être chez soi. Paraissant les 20 et 2 samedis d chaque mois. Administration, 14, rue Duphot, Paris e). Sommaire d n° du 23 février 1924 : Le bien-être chz soi, Crsns à la recque Soufflé de Hadck, Fricassée 'aneu en bordure de riz, Les crêpes la Chatelaine Causerie u médecin, Les vins d Jura Bains slns de la lre, Hygiène et cuisine, Bouquet des vins. e numéro, 1 fr 50. Les sourds peuvent entendre la téléphn sans fil O a constaté que dans un très grnd nombre de cas, TSF... iaétt parfaitement perceptible pour les sourds. Ce résultat st facile à expliquer. Il n'xst pour ainsi dire a de sourds absolus. L'oreille du sourd n'est rebelle qu'aux vibrations sonores dont nous asfsoin usage normalement dans la conversation. Mais, que ces vibrations soient amplifiées par un appareil approprié, t elles lui deviendront perceptibles, surtout si la ln qui a aeé la surdité ne siège q dans l'oreille moyenne, c'est-à-dire dans la css du paxhryn ; beaucoup moins, si l'oreille interne est ttin. C'est pourquoi l'application u'nd csq de T.S.F. sur l tête permet un èstr grand nombre e sourds d'entendre le résultat d la transmission par les on hertziennes. esC dernières, qui ne sont pas

de la Mouillère, Hygiène et cuisine, Bouquet des vins. Le numéro, 1 fr. 50. Les sourds peuvent entendre la téléphonie sans fil On a constaté que dans un très grand nombre de cas, la T.S.F. était parfaitement perceptible pour les sourds. Ce résultat est facile à expliquer. Il n'existe pour ainsi dire pas de sourds absolus. L'oreille du sourd n'est rebelle qu'aux vibrations sonores dont nous faisons usage normalement dans la conversation. Mais, que ces vibrations soient amplifiées par un appareil approprié, et elles lui deviendront perceptibles, surtout si la lésion qui a amené la surdité ne siège que dans l'oreille moyenne, c'est-à-dire dans la caisse du pharynx ; beaucoup moins, si l'oreille interne est atteinte. C'est pourquoi l'application d'un casque de T.S.F. sur la tête permet à un très grand nombre de sourds d'entendre le résultat de la transmission par les ondes hertziennes. Ces dernières, qui ne sont pas sonores, n'interviennent ici que pour mettre en jeu les microphones électriques du poste récepteur. Ce sont les vibrations de la lame du microphone qui sont perçues. Il y a même des sourds qui entendent distinctement, sans casque, les sons amplifiés par le haut-parleur. HALLES ET MARCHÉS Roubaix, 29 février. Mercantile de la forêt, de Roubaix, du 27 février Les chevaux se sont bien vendus les poulains, de 1.200 à 1.500 fr. ; de 2 ans, de 2.000 à 3.000 fr. ; de 4 ans et au-dessus de 5.000 fr. Le commerce des bovidés a été moins actif. En veau il, de 3.500 à 5.500 fr. la paire ; double-nés, de 2.500 à 3.500 fr. ; bouvillons d'Auvergne, de 1.000 à 1.800 fr. Vaches laitières, de 2.500 à 3.500 fr. ; génisses, de 1.200 à 2.000 fr. ; veaux de lait de 1.20 à 3.50 le kilo : veau frais 4.50; lapins, 4.25 le 4 kilo; œufs 4.50 la douzaine, Blé, 80 fr. 1 hectolitre ; maïs, 32 fr. ; avoine 32 fr. ; graine de sainfoin, ch. 50 à 55 fr. ; graine de luzerne, 2 à 2.50 le 5 kilo. MARCHÉ DES VINS Paris, 28 février. La hausse s'est

de la Mouillère, Hygiène et cuisine, Bouquet des vins. Le numéro, 1 fr. 50. Les sourds peuvent entendre la téléphonie sans fil On a constaté que dans n très grand nombre de cs, la T.S.F. était parfaitement perceptible pour les sourds. Ce sulta est facile à expliquer. Il n'existe pour ainsi dire pas de sourds absolus. L'oreille du sourd n'est rebelle qu'aux vibrations sonores dont nous faisons usage normalement dans la conversation. Mais, q cs vibrations soient amplifiées par un appareil approprié, et elles iul deviendront sbe,rclietepp surtout si la lésion qui a amené la surdité ne siège que dans l'oreille moyenne, c'est-à-dire dans la caisse du pharynx ; beaucoup moins, si l'oreille interne est atite C'est pourquoi l'application d'un casque de T.S.F. su l tête prmt à un très grand nombre de sourds d'entendre le st de la transmission par les ondes hertziennes. Ces dernières, qui ne sont pas sonores, invet ici que pour mettre n jeu les microphones électriques du poste récepteur. Ce sont les vibrations de la lame du microphone qui sont perçues. Il y même des sourds qui ntndnt distinctement, sans casque, les sns amplifiés par le haut-parleur. HALLES ET MARCHÉS Roubaix, 29 février. Mercantile ed la forêt, d Roubaix, du 27 fvriére Les chevaux se sont bien vends les poulains, de 1.200 à 1.500 fr. ; d 2 ans, d 2.000 à 3.000 fr. ; e 4 ans et au-dessus de 5.000 fr. Le commerce des bvdés a été moins actif. En e il, de 3.500 à 5.500 fr. a paire ; double-nés, de 2.500 à 3.500 fr. ; bouvillons d'Auvergne, de .000 à 1.800 fr. Vaches laies, de 2.500 à 3.500 fr. ; génisses, de .200 à 2.000 fr. ; vx de lait de 1.20 à 3.50 le kilo : veau frais 4. lapins, .25 le 4 kilo; œufs 4.50 la douzaine, Blé, 80 fr. 1 hectolitre ; smïa, 32 fr. ; avoine 32 fr. ; graine de sainfoin, ch. 50 à 55 fr. ; graine de luzerne, 2 à 2.50 l 5 kilo. MARCHÉ DES VNS Paris, 28 février. La hausse 'est

de la forêt, de Roubaix, du 27 février Les chevaux se sont bien vendus les poulains, de 1.200 à 1.500 fr. ; de 2 ans, de 2.000 à 3.000 fr. ; de 4 ans et au-dessus de 5.000 fr. Le commerce des bovidés a été moins actif. En veau il, de 3.500 à 5.500 fr. la paire ; double-nés, de 2.500 à 3.500 fr. ; bouvillons d'Auvergne, de 1.000 à 1.800 fr. Vaches laitières, de 2.500 à 3.500 fr. ; génisses, de 1.200 à 2.000 fr. ; veaux de lait de 1.20 à 3.50 le kilo : veau frais 4.50; lapins, 4.25 le 4 kilo; œufs 4.50 la douzaine, Blé, 80 fr. 1 hectolitre ; maïs, 32 fr. ; avoine 32 fr. ; graine de sainfoin, ch. 50 à 55 fr. ; graine de luzerne, 2 à 2.50 le 5 kilo. MARCHÉ DES VINS Paris, 28 février. La hausse s'est encore accentuée sur les produits du Midi, où des achats ont d'ailleurs été conclus pour l'Allemagne. Le prix de 9 francs le dégré est devenu courant pour de bons vins et il est dépassé pour les qualités supérieures. On a coté à Bézier, les vins rouges 8 à 10° de 72 à 92 francs l'héctolitre pris à la propriété; à Montpellier, les 7 à 11° de 63 à 90; à Narbonne, les 8 à 12° de 71 à 102; à Perpignan, de 71 à 105. Dans le même délai, les transactions sont régulières et la tendance très ferme, Marché fermé également dans le Poitou, où les Allemands ont fait quelques achats, Au surplus, la tendance est ferme partout. À Bercy et dans les entrepôts parisiens, les cours se sont inscrits en hausse. On a traité des vins rouges du Midi 8° à 9 francs l'héctolitre pris en partie de Paris, des 9° à 60, des 10° de 105 à 110; des vins blancs ordinaires de diverses provenances 9 à 10° de 100 à 110. Chez les détaillants, les prix varient pour les vins rouges de 1 à 1 fr. 60 le litre pour les vins blancs ordinaires de 1 fr.

de la forêt, e Roubaix, du 27 février Les chvx se sn bn vnds les poulains, de 1.200 à 1 fr ; de 2 s,an de 2.000 à 3.000 fr. ; de 4 ans et au-dessus de 5.000 fr. Le commerce des bovidés a été moins actif. En v il, de .500 à 5.500 fr. l erapi double-nés, de 2.500 3.500 fr. bouvillons d'Auvergne, de .0010 à 1.800 fr. Vchs laitières, de 2.500 à 3.500 .fr ; génisses de 1200 à 2.000 fr. ; veaux de a de 1.20 à 03.5 le kilo vu frs 4;.05 lapins, 4.25 le 4 lki;o œufs 0 la douzaine, Blé, 80 fr. 1 hectolitre ; maïs, 32 fr ; eniavo 32 r.f ; graine de snfn, . 50 55 fr. ; graine de zuler,en 2 à 50 e 5 io.lk MARCHÉ DES VINS Paris 28 févrr. L hausse 'est encore accentuée sur les produits du Midi, où des achats ont d'ailleurs été conclus pour l'Allemagne. Le prix de 9 fa le gr est evn courant pour de ns vins et il est dépassé pour ls qualités supérieures. n a coté Bézier, les vins rouges 8 à 10° de 72 à 92 francs lhéctolitre pr la propriété; à Montpellier les 7 à 11° de à 90; à Narbonne, les 8 à 2 de 71 à 102; à Prpgnn, de 71 à 51.0 Ds le même délai, les transactions sont régulières et la tendance très ferme Marché fermé également dans le Poitou, ùo les Allemands ont fait quelques chts, Au suplus la tendance est ferme partout. À Bercy et dans les entrepôts parisiens, les cours se ot inscrits en hase On a traité des vins rouges du Midi ° à 9 francs l'héctolitre pris en ar de Prs, des 9° 60, des 10° de 105 110; des invs blancs ordinaires de diverses provenances 9 à 10° de 100 à 110 Chez les léitatnlsd,a les ix varient pour ls vins rouges de 1 à 1 fr. 60 le litre roup les vins blncs ednsiaorir de 1 fr.

72 à 92 francs l'héctolitre pris à la propriété; à Montpellier, les 7 à 11° de 63 à 90; à Narbonne, les 8 à 12° de 71 à 102; à Perpignan, de 71 à 105. Dans le même délai, les transactions sont régulières et la tendance très ferme, Marché fermé également dans le Poitou, où les Allemands ont fait quelques achats, Au surplus, la tendance est ferme partout. À Bercy et dans les entrepôts parisiens, les cours se sont inscrits en hausse. On a traité des vins rouges du Midi 8° à 9 francs l'héctolitre pris en partie de Paris, des 9° à 60, des 10° de 105 à 110; des vins blancs ordinaires de diverses provenances 9 à 10° de 100 à 110. Chez les détaillants, les prix varient pour les vins rouges de 1 à 1 fr. 60 le litre pour les vins blancs ordinaires de 1 fr. 45 à 1 fr. 70. BOURSE DE COMMERCE DE PARIS février. COURS. — Cour. 402 50 et 403; mars 400 50 et 401; avril 400; 4 de mars 395 50 et 399. Cote officielle: 400 à 404. Huiles de lin. — Coton, 505 A. mars 50:1, marseille avril 4 clé mars 4NO. Huiles de colza. — Clermont. 49-ri Prix TRO N: 1918-n"l'!'i! 470 N: de mars. Caoutchoucs. — Pianura. 5 març 100 A: 3 d'avril 75... juillet 1... août 1.1 51" N PRODUITS CHIMIQUES AGRICOLES Paris, 28 février. On cèle les 100 kilos sur wagons : Phosphates minéraux 14 %, 20 à 21 francs (rayon nord 20 50 à 23; rayon est 20 50 à 20 75 département ouest; 20 25 département midi). — Superphosphate 16 %, 36 fr. Paris; os dissous 2 % az., 10 % ac. ph., 38 % (Nevers); poudre d'os, 45 francs (Paris). — Scories, 0 95 l'unité, ac. phosph. (Thionville au parité). Nitrate de soude, 15/16 % az. liv. février 12 Mv. st. 15 la tonne Dunkerque; 12 liv. st. 18/» ouest; 13 liv. st. 2/6 Cette. — Nitrate de chaux, M départ Dunkerque. — Sulfate d'ammoniacque, 110 à 115, prix officiel (usines), février-avril. —

72 à 9 fnrsac l'héctolitre pris à a propriété; à Montpellier, les 7 à 11 de 63 à 90; Narbonne, esl 8 à 12° de 71 à 102; à rapnigPe,n de 71 à 105. as le même délai, les transactions otns régulières et la tendance très ferme, Marché fermé églmnt dans le Poitou, où ls Allemands ont fait uees chts, Au surplus, la tendance st ferme prtt. À Bercy et dans les entrepôts parisiens, les cours se sont inscrits en hausse. On a traité des vins rouges du Midi 8 à 9 francs l'héctolitre pris en partie d Paris, des 9° à 60, des 10° 105 à 110; s in blancs ordinaires diverses provenances 9 à 10° de 100 à 110. Chez les détaillants, les prix vrnt pour lse vins rouges de 1 1 fr. 60 le ltr pour les vins blancs rdnrs de 1 fr. 45 à 1 fr. 70. U DE OME DE PARIS février. COURS. — Cour. 402 50 et 403 mars 400 05 te 401; vrl 400; 4 de mars 395 50 et 39 Cote officielle: 400 à 404. Hleisu de lin. — Ctn, 505 . mars 0:1, marseille avril 4 clé mars 4NO. Huiles de colza. — Clrmnt. 49-ri Prix TRO N: 1918-n"l'!'i! 470 N: de mars. Caoutchoucs. — Pianura. 5 març 010 A: 3 d'avril 75... jllt 1... août 1.1 51 N PRODUITS CHIMIQUES AGRICOLES Paris, 28 février. On cèle les 100 kls sur wagons : Phosphates minéraux 14 %, 20 à 12 francs ary(on nord 20 50 à 23; rayon est 20 50 à 20 75 département ouest; 20 25 département midi). Superphosphate 16 , 36 fr ai;Prs os dissous 2 % az., 10 % ac. ph 38 % (Nevers); oduepr dos 45 frans (Paris). — Scories, 0 95 lunité ac. phosph (Thionville au parité). Ne de soude, 15/16 % az. liv. février 12 Mv. st. 15 la tonne Dunkerque; 12 v .st 18/» ouest; 13 liv. st 2/6 te — Ntrt de chaux, M déprt Dunkerque. — Sulfate d'ammoniacque, 110 à 115, prix officiel (sns), février-avril. —

mars 4NO. Huiles de colza. — Clermont. 49-ri Prix TRO N: 1918-n"l'!'i! 470 N: de mars. Caoutchoucs. — Pianura. 5 març 100 A: 3 d'avril 75... juillet 1... août 1.1 51" N PRODUITS CHIMIQUES AGRICOLES Paris, 28 février. On cèle les 100 kilos sur wagons : Phosphates minéraux 14 %, 20 à 21 francs (rayon nord 20 50 à 23; rayon est 20 50 à 20 75 département ouest; 20 25 département midi). — Superphosphate 16 %, 36 fr. Paris; os dissous 2 % az., 10 % ac. ph., 38 % (Nevers); poudre d'os, 45 francs (Paris). — Scories, 0 95 l'unité, ac. phosph. (Thionville au parité). Nitrate de soude, 15/16 % az. liv. février 12 Mv. st. 15 la tonne Dunkerque; 12 liv. st. 18/» ouest; 13 liv. st. 2/6 Cette. — Nitrate de chaux, M départ Dunkerque. — Sulfate d'ammoniacque, 110 à 115, prix officiel (usines), février-avril. — Cyanamide granulée, 20/21 % az. (logée usines), 103 fr. févr.; 14/15 %, 77 franco; 15/16 %, 82 50; en poudre 18/20 % az., 15 unité départ usines (parité Bellégarde) (rare). Sylvinite. 12/16 %, 0 43 l'unité de K20; sylvinite 20/22 %, 0 54. — Chlorure de K20, 0 90 en vrac départ Alsace. — Sulfate de potasse, 1 40. Sulfate de cuivre, 21 9 % de Cu., 200 50 (usines). — Sulfate de fer cristallisé, 22 50 (Midi); impalpable. 35 (frontière franco-belge). On signale des reventes de sulfate d'ammoniacque de 125 à 130 fr. départ Dunkerque. MARCHE DU HAVRE Le Havre, 28 février. Cafés. — Résistance calme. Ventes, 2.500 sacs. Aux 50 kilos : janvier incerté février 468, mars 460 50, avril 456 50, mai 442 50, juin 442 50, juillet 428 25, août 416 50, septembre 409, octobre 406 75, novembre 404 75, décembre 392 50. Coton. — Tendance soutenue. Ventes, 2.900 bales, Aux 50 kilos : janvier 771, février 714, mars 712, avril 942, mai 937, juin 919, juillet 909, août 88u, septembre 827, octobre 791, novembre 785, décembre 776. Laine. — Tendance calme. Aux 50 kilos : janvier in certé, février et mars 1750, avril 1700, mai

mars 4NO. Hls de colza. — Ce 49ri Prix TRO 1918-n"l'!'i! 470 N: de mars. Caoutchoucs — Pianura. 5 mrç A: 3 d'vrl 75... juillet 1... août 11 51" N PIDOSTUR CHIMIQUES GRCLS Paris, 28 février. On cèle les 100 kilos sur wagons : Phosphates minéraux 14 %, 20 à 21 francs (rayon nord 20 50 à 23; rayon est 20 50 à 20 75 dpatee ouest; 20 25 département midi). — Superphosphate 16 %, 36 fr Paris; os dissous 2 % az., 10 % ac. ph., 38 % (Nevers); poudre d'os, 45 francs (Paris). — Scories, 0 95 'unité, ac. phosph. (Thionville au parité). ite de soude, 15/16 % az. liv. février 12 Mv. st. 15 la onnet Dunkerque 12 liv. s. 18/» ouest; 13 liv. st / Cette. — Nitrate de chx, M départ Dunkerque. — Sulfate d'ammoniacque, 110 à 115, prix officiel (usines), -firirvé.erlva — Cyanamide granulée, 20/21 % az. (logée usines), 103 fr. ;rvfé. 14/15 %, 77 franco; 15/16 , 82 50; en pdr 18/20 % az., 15 unité départ usines (parité Bellégarde) (rare). Sylvinite. 12/16 %, 0 43 l'unité de K20; sylvinite 2022 %, 54 eroruChl de K20, 90 e vrac départ Alsace. — Sulfate de potasse, 1 40. aSetulf de v 9 % d Cu., 020 50 (usines). — Sulfate de fer cristallisé, 22 50 (Midi); apal 3 (frntèr franco-belge). On signale des rvnts sulfate d'ammoniacque de 125 130 fr. déprt Dunkerque. MARCHE DU H Le Havre, 8 février Cafés. — Résstnc calme. Ventes, 2.500 sacs. Aux 50 kilos : janvier rcéient février 468, mars 460 50, avril 456 50, mai 442 50, juin 442 50, juillet 428 25, août 416 50, septembre 409, octobre 406 75, nvmbr 404 75, décmbr 932 50. Coton. — Tndnc soutenue. Ventes, 2.900 bales, Aux 50 kilos : janvier 771, février 714, mrs 712, avril 942, mai 937, juin 919, juillet 909, août 88u, septembre 827, octobre 791 novembre 785, décembre 776 e.Lani — Tendance calme. Aux 50 kilos : janvier in crté, février et mars 1750, avril 7010, mai

vrac départ Alsace. — Sulfate de potasse, 1 40. Sulfate de cuivre, 21 9 % de Cu., 200 50 (usines). — Sulfate de fer cristallisé, 22 50 (Midi); impalpable. 35 (frontière franco-belge). On signale des reventes de sulfate d'ammoniacque de 125 à 130 fr. départ Dunkerque. MARCHE DU HAVRE Le Havre, 28 février. Cafés. — Résistance calme. Ventes, 2.500 sacs. Aux 50 kilos : janvier incerté février 468, mars 460 50, avril 456 50, mai 442 50, juin 442 50, juillet 428 25, août 416 50, septembre 409, octobre 406 75, novembre 404 75, décembre 392 50. Coton. — Tendance soutenue. Ventes, 2.900 bales, Aux 50 kilos : janvier 771, février 714, mars 712, avril 942, mai 937, juin 919, juillet 909, août 88u, septembre 827, octobre 791, novembre 785, décembre 776. Laine. — Tendance calme. Aux 50 kilos : janvier in certé, février et mars 1750, avril 1700, mai à juillet 1700, août à décembre in certé. Soie. — Au 100 kilos, Michel: janvier in certé, novembre 200, décembre in certé. — Salon: janvier et février 233, mars 231 50, avril 235 50, mai 245 50, juin 237 50, juillet 238 50, août 239 50, septembre 240 50, octobre 242 50, novembre 212 50, décembre in certé. FOIRES DE LA CHARENTE MOIS DE MARS Loueurt, Saumur-en-Amnière-de-Confolens, Cognac. Anguilème, Bonneville-Saint-Martin, Clun. Saint-Genis-d'Apprey, Arc. Artelière, La Rochefoucauld, Boëge, Jarnac, Montgouan, Saint-Antoine-d'Ajaçon, Saint-Angeau. Chalais, Chasseneuil, Montignac-Charente, Roumazières. Brigueuil, Champagne-Mouton, Chasseneuil. Brosseac. Cognac, Jauldes, Montgouan, Mouthiers, Saint-Germain-de-Confolens, Villebois. Lavalette. Charras, Nersac, Sigourné, Saux, Tusson. La Rochefoucauld, Nonac. Marcillac-Lanville, Pont-Segnon, Ruffec, Manières, Saint-Claud, Saint-Fort, Saint-Gourson, Saint-Séverin. Baillens, Sainte-Baddegonde, Cognac. Hiersac, Valence. Genes, La Peruse, Lignières. Nonaville, Ruffec. Montbron, Saint-Laurent-de-Chezzalieu, Gond. Angoulême, Aubeville. Allas, Saint-Martial-de-Montmorency, Sire. Agris, Chadurie, Raix. Barbezieux, Beauvais, Donnezville, Drieux. La Rochefoucauld, Dignac, Ruffec, Ville-lagnan. Bénédict, Massignac, Montchaude, Vars. Bassac, Champagne-Mouton, Coumarès, Ruelle. Étude de Maître LEROY, ancien notaire, commissaire-priseur à Angoulême, Hôtel des Ventes, 30, Rempart de l'Est. 30. — Téléphone : 39-6. VESTE AUX ENCHÊRES Hôtel des ventes, 30, rempart de l'Est, 30, le LUNDI 6 MARS 1924 À 13 h. 30 : Salon six pièces, fauteuils Voilà, autres fauteuils,

vrac départ Alsace. — Sulfate potasse, 1 40. Sulfate de cuivre, 21 9 % de . 200 50 (usines). — ua de fer cristallisé, 22 50 (Midi); impalpable. 35 (frontière franco-belge). On signale d reventes ed slft d'ammoniacque de 5 à 130 fr. départ Dnkrq. MARCHE DU HAVRE Le Havre, 28 février. sfC.aé — Résistance calme. Ventes, 250 sacs. Aux 50 kls : janvier incerté février 468, mars 460 50, avril 456 50, ima 442 50, juin 442 50, juillet 428 25, août 4 50, septembre 409, octobre 406 75, novembre 404 75, décembre 392 50. Coton — Tendance soutenue. Ventes, 2.900 bales ux 50 kilos : janvier 771, février 714, mars 712, avril 942, m 937, jn 9 juillet 909 août 88u, septembre 827, octobre 791, novembre 785 décembre 776. ienL.a — Tendance calme. Aux 50 kilos : ier in crté, févrr et mars 1750 avril 1700, mai à juillet 1700 août à décmbr in certé. Soie. — Au 100 ,osilk Michel: a in certé, novembre 200, décmb in certé. — Salon: janvier et février 233 mars 231 50, avril 235 50, m 245 0, juin 237 50, juillet 238 50, août 2 50, septembre 240 50, octobre 242 50, novembre 212 50, décembre in certé. FOIRES DE LA CHARENTE I DE MARS Loueurt, Saumur-en-Amnière-de-Confolens, ncag.oC Anguilème, Bonneville-Saint-Martin, Clun. SaintGenisdApprey r. Artelière, aL Rochefoucauld, Boëge, Jarnac, Montgouan SitnoinAjaon, Snt-ng. Chalais, Chasseneuil, Montignac-Charente, rsRauim.oezè Brigueuil Chmpgn-Mtn, Chasseneuil. Brssc. Cognac Jlds, Montgouan, Mouthiers, Saint-Germain-de-Confolens, Vllbs. Lavalette. Charras, Nrsc, Sigourné xaSu, Tusson. La Rochefoucauld, Nonac. ciaLl, Pont-Segnon, Ruffec, Manières, SaintClaud i,tnroFa-St otnruSsan-G,oi Saint-Séverin. Bllns, Sainte-Baddegonde, Cognac. Hiersac, Valence Genes, La Peruse, Lignières. Nnvll, Ruffec. Montbron, Saint-Laurent-de-Chezzalieu, Gond. Angoulême, Aubeville. Allas, Saint-Martial-de-Montmorency, Sire grs, a,uredhCi Raix. Barbezieux, Beauvais, Donnezville, Drieux. La Rochefoucauld, Dignac, Ruffec Ville-lagnan. ééintcBd, Mssgnc, Montchaude, r aBsasc, Champagne-Mouton, Coumarès, uel Ét de Maître LEROY, ancen notaire, omeepcirssmirs-arui à Angoulême, Hôtel des Ventes, 30, Rempart de l'Est. 30. — he : 39-6. VESTE AX ENCHÊRES Hôtel ds nts, 30, rempart de l'Est, 30, le LD 6 A 1924 13 h. 30 : Salon six pièces, fauteuils Voilà, autres ftls,

242 50, novembre 212 50, décembre in certé. FOIRES DE LA CHARENTE MOIS DE MARS Loueurt, Saumur-en-Amnière-de-Confolens, Cognac. Anguilème, Bonneville-Saint-Martin, Clun. Saint-Genis-d'Apprey, Arc. Artelière, La Rochefoucauld, Boëge, Jarnac, Montgouan, Saint-Antoine-d'Ajaçon, Saint-Angeau. Chalais, Chasseneuil, Montignac-Charente, Roumazières. Brigueuil, Champagne-Mouton, Chasseneuil. Brosseac. Cognac, Jauldes, Montgouan, Mouthiers, Saint-Germain-de-Confolens, Villebois. Lavalette. Charras, Nersac, Sigourné, Saux, Tusson. La Rochefoucauld, Nonac. Marcillac-Lanville, Pont-Segnon, Ruffec, Manières, Saint-Claud, Saint-Fort, Saint-Gourson, Saint-Séverin. Baillens, Sainte-Baddegonde, Cognac. Hiersac, Valence. Genes, La Peruse, Lignières. Nonaville, Ruffec. Montbron, Saint-Laurent-de-Chezzalieu, Gond. Angoulême, Aubeville. Allas, Saint-Martial-de-Montmorency, Sire. Agris, Chadurie, Raix. Barbezieux, Beauvais, Donnezville, Drieux. La Rochefoucauld, Dignac, Ruffec, Ville-lagnan. Bénédict, Massignac, Montchaude, Vars. Bassac, Champagne-Mouton, Coumarès, Ruelle. Étude de Maître LEROY, ancien notaire, commissaire-priseur à Angoulême, Hôtel des Ventes, 30, Rempart de l'Est. 30. — Téléphone : 39-6. VESTE AUX ENCHÊRES Hôtel des ventes, 30, rempart de l'Est, 30, le LUNDI 6 MARS 1924 À 13 h. 30 : Salon six pièces, fauteuils Voilà, autres fauteuils, chaises guérites, sellets. Piano d'études. Salle à manger en noyer massif comprenant : buffet, table à rallonges et 6 chaises, autre buffet, brancards de salle à manger, huitres, chandeliers. Chambre à coucher avec armoire à lits, lits et matelas, tables de nuit, lit de milieu autres lits, matelas, lits de plume. Literie, glace, belle glace meuble. Bibliothèque table à dessin, chevalier, belle coiffeuse Louise XVI. Très bon moteur électrique, bicyclette, brouette, voitures d'enfants, plusieurs cuisinières et autres appareils de chauffage, etc. AU COMPTANT, 10 % EN SUS La salle est chauffée. 9510 b UN DEMANDE DE BOISSES OUVRIÈRES ÉMISES Références exigées. Bons salaires Pourraient être logées immédiatement cités ouvrières. S'adresser Papeteries Lucien Desbordes, à Grappelle. 4199-9512 RI Les actionnaires de la Société anonyme des Établissements C. MAGNANT et Co, sont convoqués l'assemblée générale ordinaire, au siège social, à Angoulême, rue de Paris, 11, le 39, pour le 16e mois 1924, à dix heures trente. Ordre du jour : 1. Approuvé le rapport de l'administration et du commissaire aux comptes sur les opérations de l'exercice 1923 et l'approbation des comptes de cet exercice. 2. Nomination de commissaires aux comptes pour le prochain exercice. 3. Fixation de journées de prévues. 4. Questions

242 50, novembre 212 50, décembre in certé. FOIRES DE LA CHARENTE MOIS DE MARS Loueurt, Saumur-en-Amnière-de-Confolens, Cognac. Anguilème, Bonneville-Saint-Martin, Clun. Saint-Genis-d'Apprey, Arc. Artelière, L Rochefoucauld, Boëge, Jarnac, Montgouan, ajS'n-niaAAçodt,no-tine Saint-Angeau. ial,hsCa Chasseneuil, Montignac-Charente, Roumazières. Brigueuil, Champagne-Mouton, Chasseneuil. Brosseac. Cognac, Jaud Montgouan, Mthrs, SaintGermaindeConfolens Villebois. Lavalette. Charras, Nersac, Sigourné, Sux, Tusson. La Rochefoucauld, Nonac. Marcillac-Lanville, Pont-Segnon, Ruffec, Manières, Saint-Claud, Saint-Fort, Saint-Gourson, Saint-Séverin. Baillens, Sainte-Baddegonde, Cognac. Hiersac, Vlnc Genes, La seeruP, Lignières. Nonaville, Ruffec. Montbron, Saint-Laurent-de-Chezzalieu, Gond. Angoulême, Aubeville. Allas, Saint-Martial-de-Montmorency, Sire. Agris, duheai,Cr Raix. Barbezieux, Beauvais, eol,leDzvinn Drieux. La Rochefoucauld, Dignac, Ruffec, Villelagnan Bénédict, Massignac, Montchaude, Vars. Bassac Champagne-Mouton, Coumarès, Ruelle. Étude d Maître LEROY, ancien notaire, commissaire-priseur à Angoulême, Hôtel des Ventes, 30 Rempart de l'Est. 30. — Téléphone : 39-6. VESTE AUX ENCHÊRES Hôtel des ventes, 30, rempart de l'Est, 30, le LND 6 MARS 1924 À 13 h. 30 : Salon six pècs, fauteuils Voilà, autres fauteuils, chaises guérites, sellets. Piano d'études. Salle à manger en noyer masi comprenant : buffet, table rallonges et 6 chss, autre buffet, brancards de sll à manger, huitres, chandeliers. Chambre coucher vc armoire à lits, lits et matelas, tables de nuit, lit de milieu autres lits, matelas, lits de plume. Literie, glace, belle glace meuble. Bibliothèque table à dessin, chevalier belle coiffeuse Louise XVI. Très bon moteur électrique bicyclette, brouette, voitures 'enfants, plsrs cuisinières et autres appareils de chauffage, etc. AU COMPTANT, 10 % EN SS La alesl est chauffée. 9510 b UN DEMANDE DE BOISSES OUVRIÈRES ÉMISES Références exigées. Bons salaires Pourraient être logées immédiatement cités ouvrières. S'adresser Papeteries Lucien Desbordes, à Grappelle. 4199-9512 RI Les actionnaires de la Société nnym des Établissements C. MN et Co, sont convoqués lassemblée générale ordinaire, au siège social, Angoulême, rue de Paris, 11, le 39, pour le 16e mois 1924, à dix heures trnt. Ordre du jr : 1. Approuvé le rapport de l'administration et du commissaire aux comptes sur les opérations de 'exercice 1923 et l'approbation des comptes de cet exercice. 2. Nomination de commissaires aux sotempc pour le prochain exercice. 3 Fxtn de journées de prévues. 4. Questions

plume. Literie, glace, belle glace meuble. Bibliothèque table à dessin, chevalier, belle coiffeuse Louise XVI. Très bon moteur électrique, bicyclette, brouette, voitures d'enfants, plusieurs cuisinières et autres appareils de chauffage, etc. AU COMPTANT, 10 % EN SUS La salle est chauffée. 9510 b UN DEMANDE DE BOISSES OUVRIÈRES ÉMISES Références exigées. Bons salaires Pourraient être logées immédiatement cités ouvrières. S'adresser Papeteries Lucien Desbordes, à Grappelle. 4199-9512 RI Les actionnaires de la Société anonyme des Établissements C. MAGNANT et Co, sont convoqués l'assemblée générale ordinaire, au siège social, à Angoulême, rue de Paris, 11, le 39, pour le 16e mois 1924, à dix heures trente. Ordre du jour : 1. Approuvé le rapport de l'administration et du commissaire aux comptes sur les opérations de l'exercice 1923 et l'approbation des comptes de cet exercice. 2. Nomination de commissaires aux comptes pour le prochain exercice. 3. Fixation de journées de prévues. 4. Questions diverses. Conseil, vérification, audit. Ordre du jour. BAORASSEZ INFORMATIONS des vieux dentistes et bijoux, pièces remontées. Promettons des cours en les vendant. Maison AIVACLER, 3 rue de Petigny, Angoulême. Voies urinaires: Blennorrhagie, Cystite, Uretrite guéries par le TRAITEMENT peu coûteux et d'une application facile. Brochure gratuite. Discrétion garantie. Expéditions rapides Les opilants sont vendus que par la HOUSEWARE FERRY, 21, rue Hère Nancy, près de la place Stanislas. Le Gérant : A. ROUBENNE. Angoulême. — Imprimerie CENTRAL, (CIE) — Journal du Commerce, Angoulême, n° 1366. SIROP DE BERNY le meilleur remède pour Bronchites, Gippe, etc. Prix 5,50 en toutes pharmacies.

plume. Literie, glace, belle glace meuble. Bibliothèque table à dessin, chevalier, belle coiffeuse Louise XVI. Très bon moteur électrique bicyclette, brouette, voitures 'nfnt plusieurs cuisinières et autres appareils de chauffage, etc. AU COMPTANT, 10 % EN US La salle est chauffée. 9510 b N DEMANDE DE BOISSES OUVRIÈRES ÉISES Références exigées. Bons salaires Poura être logées immédiatement cités ouvrières. S'adresser Papeteries Lucien Dsbrds, à Grappelle. 4199-9512 RI Les actionnaires de al Société anonyme des tbissen C. ANAN et Co, sont convoqués l'assemblée générale iorraind,e au siège social, à nglêm, rue de Paris, 11, le 39, pour le 16e mois 1924, à dix heures trente. Ordre du jour : 1 Approuvé le rapport de l'administration et du commissaire aux comptes sur les opérations ed l'exercice 1923 et lapprobation des comptes de cet exercice. 2. Nomination de commissaires aux comptes pour le prochain exercice. 3. Fixation de journées d ps 4. Questions diverses. nil vérification, audit. Ordre du jour. BAORASSEZ SAMRNTINFOOI des vieux dentistes et bijoux, pièces remontées. Promettons des cours en les vendant. Maison AIVACLER, 3 rue de etigny Angoulême. Voies urinaires: Blennorrhagie, Cystite, Uretrite guéries par el TRAITEMENT peu coûteux t d'une pplctn eal.fic Brochure gratuite. Discrétion garant. Expéditions rapides Les opilants sont vendus que par la HOUSEWARE FERRY, 21 rue ère Nncy, près de la place Stanislas. L Gérant : A. ROUBENNE. Angoulême. — Imprimerie CNTRL, (CIE) — Journal du Commerce, Angoulême, n° 1366. SIROP DE BERNY le meilleur remède pour Bronchites, Gippe, etc. Prix 5,50 en toutes pharmacies.

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5ème ANNÉE 10 MAI 1902 N° 5 Liste des Membres de l'ASSOCIATION MÉDECINE MÉDECINE MEMBRES HONORAIRES BROULARDEL, P. et doyen de la F., Président de l'Association des Médecins de la Seine; M. la Faculté de Médecine. 66, r. Bellechasse, DUQUET.-P. A. F. — M. H. — 60, rue de Londres. FOURNIER, M. A, — P. F. — M. H, — 1, rue Volney. GALEZOWSKI. —103, boulevard Haussmann. GIRARD, pharmacien. — 22, rue de Condé. JOAL (du Mont-Dore). MOREL P'ARLEUX. — 33, rue Desbordes-Valmore. Desbordes-Valmore. — 81, boulevard Beauséjour, Beauséjong, TILLAUX, M. A. — P. F. — C.H., —189, boulevard St-Germain. SEVESTRE, M. A. — M. H.,53, rue de Châteaudun. BAR, Prof, agrégé, Accoucheur de l'Hôpital Saint-Antoine. CONSEIL JURIDIQUE M. Dofer, avocat au Conseil d'Etat et à la Cour de Cassation, 31, rue Madame. M. Robin, avocat à la Cour d'Appel, 03, rue de Vaugirard. M. Ribadcau-Dumas, avoué à la Cour d'Appel, 5, rue de l'Université. M. Ralier, avoué de première Instance, 68, r. d. Chaussée-d'Antin M. Théret, notaire, 24, bd St-Denis ASSOCIÉS PARTICIPANTS Abadié, boul. St-Germain, 172. Adler, r. du Faub. St-Honoré, 100. Arcambaud(P.J, rue Cujas, 21 Andre, boulevard Voltaire, 22. Angot, à Monsoult (Seine-et-Oise) Apert (Charles), v. Marignan, M Archambault (Raym.), de St-Denis Argueyrolles, boulevard de Créteil (Parc-Saint-Maur). Arrivot, rue de Ponthieu, 6. Astier, boul. Malesherbes, 132. Aubeau, boulevard Haussmann, 40 Aubert, rue de Moscou, 50. Aubert Francis, 2, rue Saint-Louis à Chevry-le-Roi Auboeuf, rue de Clignancourt, 58. Audin, rue de l'Aqueduc, 17. d'Ayre, rue St-Placide, 42. Balland, rue de Ménilmontant, 54 Baratoux, rue de la Boétie, 32. Barbaud, square du Croisic, 41 Barbe, rue de Penthièvre, 34. Barbézieux, rue Montmartre, 152: Barbier, rue du Maroc. 1. Barbulée, faubourg St-Martin, 206 Barjon, avenue Victor-Hugo, 11 Barthélemy, r. Paradis-Poisson, 2 Battesti, pi. St-Nicolas, 13 Bastia Baudet, Raoul, 206, b. Raspail. Baullet, Louis-Jules, 11; rue Louis Philippe, à Neilly. Beaussenat, rue Duphot, 19. Beausse, 11, rue de Réaumur. Bellemain, rue Boursault, 64. Bellencontre, rue Scribe; 3.....' Belloy, av.de Paris, 6. Choisy-Rois Beltrami, rue Caumartin, 12. Berne &, boulevard Haussmann, 16 Berne Paul; avenue Pereire; 10; Bernheim, rue Rougemont, 9.: Bernheim Ferjand,

5èm ANNÉE 10 M 1902 N° 5 Liste des mMeserb de ACI'OlAITNSSO MÉDCN MÉDECINE MEMBRES HONORAIRES BROULARDEL, et doyen de la F Prien d lAssociation des Médecins de la Seine; M. la Faculté de Médecine 66, r. Bellechasse, DUQUET.-. A. F. M. H. — 60, rue de Londres. FOURNIER, M. A, — P. F. — M. H, — 1, rue Volney. GLZWSK. —103, boulevard Haussmann GIRARD, pharmacien. 22, rue de Condé. JOAL u(d Mont-Dore). MOREL P'ARLEUX. — 33, rue Desbordes-Valmore. DesbordesValmore — 81, boulevard Beauséjour, Beauséjong, TILLAUX, M. A. — P. F. — C.H., —189, boulevard St-Germain. SEVESTRE M. A. — M. H.,53, r de hâud. BAR, Prf, agrégé Accoucheur de l'Hôpital ainton. CONSEIL JURIDIQUE M. Dofer, avocat a Conseil d'tt te à la Cour d Cassation, 1, rue Madame. M. Robin, avocat à la Cour d'Appel, 03, rue de Vaugirard. M. Ribadcau-Dumas, avoué à la Cour d'Appel, 5 rue de l'Université. M Ralier, avoué de première Instance, 68, r. d. Chaussée-d'Antin M. Théret ntr, 24, bd StDenis ASSOCIÉS PARTICIPANTS Abadié, bl. St-Germain, 172. Adler, r. du Faub. Hto,Sé-nro 100. (bcda.AarJP,mu rue Cujas, 21 Andre, boulevard Vltr, 22. Angot, Monsoult (Seine-et-Oise) Apert (Charles), v. Marignan, M Archambault (Raym.), de St-Denis Argueyrolles, boulevard d Crétl (Parc-Saint-Maur). Arrivot, u de Ponthieu, 6. str, boul. Malesherbes, 132 Aubeau, boulevard Haussmann, 40 Aubert, re de Moscou, 05. Aubert Francis, 2, Snt-Ls à Chevryle-i Auboeuf, rue de Clignancourt, 58. Audin, rue ed l'Aqueduc, 17. d'Ayre, rue St-Placide, .42 Balland, rue d Ménilmontant, 54 Baratoux, rue de la Boétie, 32. Barbaud, square d Croisic, 4 Barbe, reu de Penthièvre, 34. Barbézieux rue Montmartre, 152: Barbier, rue du Maroc. 1. Barbulée, faubourg StMartin 206 an, avenue Victor-Hugo, 11 Barthélemy, . Paradis-Poisson, 2 Battesti, pi. St-Nicolas, 13 Bastia Bdt, Raoul, 206, b. Rspl. llauB,te Louis-Jules, 11; rue Ls Philippe, à Neilly. Beaussenat, rue Duphot, 19. Beausse, 11, rue de Réaumur Bellemain, rue Boursault, 64. Bellencontre, rue Scribe; 3.....' Belloy, avde Prs, 6. Choisy-Rois Bra, r Caumartin, 12. Be &, boulevard Haussmann, 16 Brn Pl; avenue Pereire; Bernheim, rue Rougemont, 9 Bernheim Ferjand,

Archambault (Raym.), de St-Denis Argueyrolles, boulevard de Créteil (Parc-Saint-Maur). Arrivot, rue de Ponthieu, 6. Astier, boul. Malesherbes, 132. Aubeau, boulevard Haussmann, 40 Aubert, rue de Moscou, 50. Aubert Francis, 2, rue Saint-Louis à Chevry-le-Roi Auboeuf, rue de Clignancourt, 58. Audin, rue de l'Aqueduc, 17. d'Ayre, rue St-Placide, 42. Balland, rue de Ménilmontant, 54 Baratoux, rue de la Boétie, 32. Barbaud, square du Croisic, 41 Barbe, rue de Penthièvre, 34. Barbézieux, rue Montmartre, 152: Barbier, rue du Maroc. 1. Barbulée, faubourg St-Martin, 206 Barjon, avenue Victor-Hugo, 11 Barthélemy, r. Paradis-Poisson, 2 Battesti, pi. St-Nicolas, 13 Bastia Baudet, Raoul, 206, b. Raspail. Baullet, Louis-Jules, 11; rue Louis Philippe, à Neilly. Beaussenat, rue Duphot, 19. Beausse, 11, rue de Réaumur. Bellemain, rue Boursault, 64. Bellencontre, rue Scribe; 3.....' Belloy, av.de Paris, 6. Choisy-Rois Beltrami, rue Caumartin, 12. Berne &, boulevard Haussmann, 16 Berne Paul; avenue Pereire; 10; Bernheim, rue Rougemont, 9.: Bernheim Ferjand, 39, boulevard National, à Choisy-le-Roi: Béluze à r. d. Francs-Bourgeois, 5 Behardy place Daumesnil 7. Benoit, avenue de Clichy, 127. Bérard, rue Monge, 82. Bérillot, rue Taitbout, 14. Journal DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Cinquième Année 10 Mai 1902 Numéro 5 SOMMAIRE Séance du 15 Avril; Adhérents nouveaux; État sanitaire; Nombre des Sociétaires au 10 Mai; Recettes annuelles; Capital réserve; Indemnités versées aux sociétaires par la Caisse sociale Situation financière au 30 Avril 1902; Hospice Saint-Lazare. — M. Jullien. — H Avril 1902. — Le Gonococcie. Variétés; Bibliographie; Index bibliographique. Séance du 15 Avril 1902 Présidence de M. le Docteur Descoust Etuiens prescrits : MM. Bouisson, Galtier, Jouillard, Henri Henné, Thoumas, Dufour, Fissiaux, Uennocrat, Mihran Kemadjian, Sereno, Nogué. Excusés: MM. Despagnel, Berne, Signez, Auboeuf. La séance est ouverte à 8 heures 1/2. Changements d'adresse: MM. Rédit, 13, boulevard Magenta; Lubelski, 17, rue de l'Arc de Triomphe; Colombès, 25, rue Trinité; Duclos, à Pierrefeu (Yar) ; Brémond, 5, rue Michel-Chastels; Berthod, 10, rue Mailboeuf, Kuhn, 5 bis, rue St-Cyr, à Bourg-la-Reine. M. Letulle demande par lettre qu'on admette de nouveau le docteur S. Le Conseil examine les candidats nouveaux. Sur sept candidats présentés six sont admis. Après examen sérieux, le Conseil décide

Archambault (Raym.), d St-Denis Argueyrolles, boulevard de Créteil (Parc-Saint-Maur). Arrivot, r de Ponthieu, 6. Astier, boul. Malesherbes, 132. Aubeau boulevard Haussmann, 40 Aubert, rue de Moscou, 50. Aubert Francis, rue Saint-Louis à Chevry-le-Roi Auboeuf, rue de Clignancourt, 58. Audin, rue de uc,q'uAdle 17. dAyre rue St-Placide, 42. Balland, rue de i,éltnontanMm 54 Baratoux, rue de la oie . Barbaud, square d Croisic, 41 Barbe, rue de Penthièvre, 34 Barbézieux, rue Montmartre, 152: Barbier, rue du Maroc. 1. Barbulée, faubourg St-Martin, 206 Barjon, aee Victor-Hugo, 11 Barthélemy, . Paradis-Poisson, 2 Battesti, pi. St-Nicolas, 13 Bastia Baudet, Raoul, 206, b Raspail. Baullet, Louis-Jules, 11; rue Lu Philippe, à Neilly. Beaussenat, rue Duphot, 19. Beausse, 11, rue de Réaumur. Bellemain, rue rBauu,stlo 64. cnn,etlloBree rue Scribe; .... Belloy, av.de Paris, . Choisy-Rois Beltrami, rue Caumartin, 12. Berne &, boulevard asna,mnusH 16 Berne Paul; avenue Pereire; 10 Bernheim, rue Rougemont, 9.: Bernheim Ferjand, 3,9 blvrd a,alNniot à Choisy-le-Roi: Béluze à r. d. Francs-Bourgeois, 5 Behardy place Daumesnil 7 Benoit, avenue de Clichy, 127. Bérard, rue Monge, 82. Bérillot, rue Taitbout, 14. Journal DE L'ASSOCIATION MIC MUTUELLE Cième Année 10 Mai 1902 Numéro 5 SOMMAIRE Séance du 15 Avril; Adhérents nouveaux; État sanitaire; Nombre des Sociétaires au 10 Mai; Recettes annuelles Capital résrv; Indemnités versées x sociétaires par la Caisse sociale Situation financière au 30 Avril 1902; Hospice Saint-Lazare. — M. Jullien. — H Avril 1902 — Le Gonococcie. Variétés; iograhie xeInd bibliographique. Séance du 15 Avril 1902 Présidence de M. le Docteur Descoust Etuiens prescrits : MM Bouisson, Galtier Jllrd, Henri Henné, Thoumas, Dufour, Fissiaux, at riMhna Kemadjian, Sereno, Nogué. Excusés: MM. Despagnel, Berne, Signez, Auboeuf. La séance est ouverte à 8 heures /. Changements dadresse MM. Rédit, 13, boulevard ant; Lubelski, 17, rue e l'Arc de Triomphe; Colombès, 25, rue Trinité; Duclos à Pierrefeu (Yar) ; Bréod, 5, rue Michel-Chastels; Berthod, 10, rue Mailboeuf, Kuhn, 5 bis, rue St-Cyr, à Bourg-la-Reine. M. Letulle dmnd par lettre qu'on admette de nouveau le docteur .S Le Conseil examine les candidats nouveaux. Sur sept candidats présentés six snt admis. Après examen sérieux, le Conseil décide

des Sociétaires au 10 Mai; Recettes annuelles; Capital réserve; Indemnités versées aux sociétaires par la Caisse sociale Situation financière au 30 Avril 1902; Hospice Saint-Lazare. — M. Jullien. — H Avril 1902. — Le Gonococcie. Variétés; Bibliographie; Index bibliographique. Séance du 15 Avril 1902 Présidence de M. le Docteur Descoust Etuiens prescrits : MM. Bouisson, Galtier, Jouillard, Henri Henné, Thoumas, Dufour, Fissiaux, Uennocrat, Mihran Kemadjian, Sereno, Nogué. Excusés: MM. Despagnel, Berne, Signez, Auboeuf. La séance est ouverte à 8 heures 1/2. Changements d'adresse: MM. Rédit, 13, boulevard Magenta; Lubelski, 17, rue de l'Arc de Triomphe; Colombès, 25, rue Trinité; Duclos, à Pierrefeu (Yar) ; Brémond, 5, rue Michel-Chastels; Berthod, 10, rue Mailboeuf, Kuhn, 5 bis, rue St-Cyr, à Bourg-la-Reine. M. Letulle demande par lettre qu'on admette de nouveau le docteur S. Le Conseil examine les candidats nouveaux. Sur sept candidats présentés six sont admis. Après examen sérieux, le Conseil décide la suppression de l'indemnité maladie à un de nos confrères qui a déjà reçu de la caisse, plus de 10.000 francs et qui est en état de reprendre ses occupations. M. Fissiaux fait connaître la situation financière. M. Descoust fait approuver les bons d'indemnité maladie. La séance est levée à 10 heures 1/2 78 JOURNAL DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Adhérents Nouveaux M. le docteur AUBLÉ (Francis), 2 rue Saint-Louis Présente par M. Mihran Kemadjian. Louis, à Chevry-le-Roi. M. le docteur FAURÉ (Jean-L.), 10, rue de Seine. Présenté par MM. Nigay et Elie Faure. M. le docteur LASSUDIE-DUCHÈNE, 49, rue de Provence. Présenté par MM. Bouisson et Berne. M. le docteur LE FURNIER, 5, boulevard Magenta. Présenté par MM. Bellencourt et Signez. M. le docteur LEBEDINSKY (Jacques), 2 bis, r. du Havre. Présenté par MM. Queudot et Nogué. M. le docteur LÉ T (Henri), 38, rue Doudeauville. Présenté par MM. Morcl et Bizard. État sanitaire Mouvement des malades du 14 Mars au 15 Avril 1902 Bons d'indemnité délivrés aux Sociétaires Du 14 Mars au 15 Avril 1902, nous avons eu 15 sociétaires malades. Pour ces 15 sociétaires le nombre des journées de maladie s'est élevé à 383. Les bons d'indemnité délivrés

ds Scétrs au 10 Mai; ecets annuelles; Capital réserve; setdmIéinn vrsés x sociétaires par la sCiaes sociale Situation fnncèr au 30 Avril 1902 s Saint-Lazare. M. Jlln. — H Avril 1902. — Le ocioGocnc.e Variétés; Bibliographie; Index bibliographique. Séance du 15 Avril 1902 Présidence d M. le Docteur Descoust Etuiens prescrits : MM. Bouisson, Galtier, Jouillard, Henri Henné, Thoumas, Dufour, Fissiaux, Uennocrat, Mihran Kmdjn, Sereno, Nogué. Excusés: MM. Despagnel, Berne, Signez, Auboeuf. sénc est ouverte à 8 heures 1/2. Cement 'adresse: MM. Rédit, 13, boulevard Magenta; Lubelski, 17, r de Arlc' de Triomphe; olm, 25 rue Trinité; Duclos, à Pierrefeu (Yar) ; Brémond, 5, rue Michel-Chastels; Berthod, 10 rue Mlbf, Khn, 5 bis, rue St-Cyr, à Bourg-la-Reine. M. Letle dmnd par lettre qu'on admette de envaouu le docteur S. Le Conseil xmn les candidats nouveaux. Sur spt candidats présentés sx sont .mdais Aprè examen sérieux, le Conseil décide la suppression de l'indemnité maladie à un e nos confrères qui a déjà reçu de la caisse, plus de 00100. francs t qui st en é de rprndr ses occupations M. Fisau fait connaître la situation financière. . Descoust fait approuver les bons d'indemnité amailed. L séance st levée 10 heures 1/2 78 JOURNAL DE L'ASSOCIATION MEDICALE MTLL Adhérents ou M. le docteur AUBLÉ n(ac),iFrs 2 rue Saint-Louis réte par M. inMhra Kmdjn. Louis, Chevry-le-Roi. M. le docteur FAURÉ (Jean-L.), 10 eru de Seine. rseé par MM. Nigay et Elie Faure. M. l docteur LASSUDIE-DUCHÈNE, 49, rue de Provence. Présenté pr MM. Bouisson et Berne. M le docteur LE NI, 5 boulevard Mgnt. Présenté par MM. Bellencourt t Sgnz. M. le docteur LEBEDINSKY (Jcu), bs, . du Hvr. Présenté par MM. Queudot t Nogué. M. l docteur T (Henri), 38, r Ddvll. Présenté par MM. Morcl et Bizard. Éta sanitaire mvenMoteu des malades du 14 Mars au 15 Avril 1902 Bns 'indemnité délivrés aux Sociétaires Du 14 Mars au 15 Avril 1902, nous a eu 15 sociétaires malades. Pour ces 15 sociétaires le nmbr d journées de maladie s'est élevé 383. Les bons d'indemnité délivrés

10 heures 1/2 78 JOURNAL DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Adhérents Nouveaux M. le docteur AUBLÉ (Francis), 2 rue Saint-Louis Présente par M. Mihran Kemadjian. Louis, à Chevry-le-Roi. M. le docteur FAURÉ (Jean-L.), 10, rue de Seine. Présenté par MM. Nigay et Elie Faure. M. le docteur LASSUDIE-DUCHÈNE, 49, rue de Provence. Présenté par MM. Bouisson et Berne. M. le docteur LE FURNIER, 5, boulevard Magenta. Présenté par MM. Bellencourt et Signez. M. le docteur LEBEDINSKY (Jacques), 2 bis, r. du Havre. Présenté par MM. Queudot et Nogué. M. le docteur LÉ T (Henri), 38, rue Doudeauville. Présenté par MM. Morcl et Bizard. État sanitaire Mouvement des malades du 14 Mars au 15 Avril 1902 Bons d'indemnité délivrés aux Sociétaires Du 14 Mars au 15 Avril 1902, nous avons eu 15 sociétaires malades. Pour ces 15 sociétaires le nombre des journées de maladie s'est élevé à 383. Les bons d'indemnité délivrés représentent la somme de trois mille huit cent trente francs (3,830 IV.) touchés ou à toucher. Nombre des Sociétaires au 10 Mai 1902 535 Recettes annuelles de la Société, Cotisations et intérêts 78,000 Francs Capital Réserve 375.000 Francs Indemnités versées aux Sociétaires par la Caisse Sociale 236,000 Francs CORRECTION ### 5ème ANNÉE 10 MAI 1902 N° 5 Liste des Membres de l'ASSOCIATION MÉDECINE MÉDECINE MEMBRES HONORAIRES BROULARDEL, P. et doyen de la F., Président de l'Association des Médecins de la Seine; M. la Faculté de Médecine. 66, r. Bellechasse, DUQUET.-P. A. F. — M. H. — 60, rue de Londres. FOURNIER, M. A, — P. F. — M. H, — 1, rue Volney. GALEZOWSKI. —103, boulevard Haussmann. GIRARD, pharmacien. — 22, rue de Condé. JOAL (du Mont-Dore). MOREL P'ARLEUX. — 33, rue Desbordes-Valmore. Desbordes-Valmore. — 81, boulevard Beauséjour, Beauséjour, TILLAUX, M. A. — P. F. — C.H., —189, boulevard St-Germain. SEVESTRE, M. A. — M. H.,53, rue de Châteaudun. BAR, Prof, agrégé, Accoucheur de l'Hôpital Saint-Antoine. CONSEIL JURIDIQUE M. Dofer, avocat au Conseil d'Etat et à la Cour de Cassation, 31, rue Madame. M. Robin, avocat à la Cour d'Appel, 03, rue de Vaugirard. M. Ribadcau-Dumas, avoué à la Cour

10 heures 1/2 78 UNLAROJ DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Adhérents Nouveaux M. le docteur AL (Francis), re Saint-Louis Présente pr M. Mihran Kmdjn. Louis, Chevry-le-Roi. M. le docteur FAURÉ (Jean-L.), 10, rue de Seine Présenté par MM. Nigay et Elie Faure. M. le docteur LASSUDIE-DUCHÈNE, 49, rue de Provence. Présenté par MM. Bouisson te Berne. M. le docteur LE FURNIER, 5 blvrd Magenta. Présenté pr MM. Bellencourt et Signez. M. le docteur LEBEDINSKY (Jcqs), 2 bis, r. du Havre. Présenté par MM. Queudot et Nogué. M. le docteur LÉ T (Henri), 38, r Doudeauville Présenté p MM. rocMl et Bizard. État sntr Mouvement des malades du 14 Mars au 15 vrl 1902 sonB d'ndmnté délivrés aux Scétrs D 14 Mars au 15 Avril 1902, nous avons eu 15 sociétaires malades. Pour ces 15 sociétaires le nombre des journées de maladie sest élevé à 383. esL bons dmi délivrés représentent la somme de trois mille ht cent trente francs 3830 IV.) touchés ou à tchr. Nombre des Sociétaires au 10 M 1902 535 Recettes annuelles de la Société, Cotisations te intérêts 78,000 Francs Cptl Réserve 375.000 Francs Indemnités versées aux océtirs par la Caisse Sociale 236,000 Frncs CORRECTION ### 5ème NÉE 10 M 1902 ° 5 Liste des Membres de l'ASSOCIATION MÉDECINE MÉDECINE MEMBRES HONORAIRES BROULARDEL, P. et doyen l ., Président de l'Association e Médecins de la Seine; M a tcluaFé de Médecine. 66, r. Bellechasse, DUQUET.-P. A. F. — M. H. — 60, rue de ondr FOURNIER, M. , — P. F. M. H, — 1, rue Voy GALEZOWSKI. —103, boulevard Haussmann. GIRARD, hmac — 22, rue de Condé. JOAL u(d Mont-Dore). MOREL ALE. — 33, rue Dsbrds-Vlmr. Desbordes-Valmore. — 81, boulevard Beauséjour, Beauséjour, TILLAUX, M. . — P F — C.H., —189, boulevard St-Germain. SEVESTRE, M. . — M .,H3,5 rue de Châteaudun. BAR, Prof, agrégé, ocr de l'Hôpital Saint-Antoine. CNSL IREDUIUJQ M. Dfr, avocat au Conseil 'Etat et à la Cour de son 31, ure Madame. M. Robin, avocat à la Cour d'Appel, 3,0 rue de Vaugirard. M Ribadcau-Dumas, avoué à la Cour

5ème ANNÉE 10 MAI 1902 N° 5 Liste des Membres de l'ASSOCIATION MÉDECINE MÉDECINE MEMBRES HONORAIRES BROULARDEL, P. et doyen de la F., Président de l'Association des Médecins de la Seine; M. la Faculté de Médecine. 66, r. Bellechasse, DUQUET.-P. A. F. — M. H. — 60, rue de Londres. FOURNIER, M. A, — P. F. — M. H, — 1, rue Volney. GALEZOWSKI. —103, boulevard Haussmann. GIRARD, pharmacien. — 22, rue de Condé. JOAL (du Mont-Dore). MOREL P'ARLEUX. — 33, rue Desbordes-Valmore. Desbordes-Valmore. — 81, boulevard Beauséjour, Beauséjour, TILLAUX, M. A. — P. F. — C.H., —189, boulevard St-Germain. SEVESTRE, M. A. — M. H.,53, rue de Châteaudun. BAR, Prof, agrégé, Accoucheur de l'Hôpital Saint-Antoine. CONSEIL JURIDIQUE M. Dofer, avocat au Conseil d'Etat et à la Cour de Cassation, 31, rue Madame. M. Robin, avocat à la Cour d'Appel, 03, rue de Vaugirard. M. Ribadcau-Dumas, avoué à la Cour d'Appel, 5, rue de l'Université. M. Ralier, avoué de première Instance, 68, r. d. Chaussée-d'Antin M. Théret, notaire, 24, bd St-Denis ASSOCIÉS PARTICIPANTS Abadié, boul. St-Germain, 172. Adler, r. du Faub. St-Honoré, 100. Arcambaud(P.J, rue Cujas, 21 Andre, boulevard Voltaire, 22. Angot, à Monsoult (Seine-et-Oise) Apert (Charles), v. Marignan, M Archambault (Raym.), de St-Denis Argueyrolles, boulevard de Créteil (Parc-Saint-Maur). Arrivot, rue de Ponthieu, 6. Astier, boul. Malesherbes, 132. Aubeau, boulevard Haussmann, 40 Aubert, rue de Moscou, 50. Aubert Francis, 2, rue Saint-Louis à Chevry-le-Roi Auboeuf, rue de Clignancourt, 58. Audin, rue de l'Aqueduc, 17. d'Ayre, rue St-Placide, 42. Balland, rue de Ménilmontant, 54 Baratoux, rue de la Boétie, 32. Barbaud, square du Croisic, 41 Barbe, rue de Penthièvre, 34. Barbézieux, rue Montmartre, 152: Barbier, rue du Maroc. 1. Barbulée, faubourg St-Martin, 206 Barjon, avenue Victor-Hugo, 11 Barthélemy, r. Paradis-Poisson, 2 Battesti, pi. St-Nicolas, 13 Bastia Baudet, Raoul, 206, b. Raspail. Baullet, Louis-Jules, 11; rue Louis Philippe, à Neilly. Beaussenat, rue Duphot, 19. Beausse, 11, rue de Réaumur. Bellemain, rue Boursault, 64. Bellencontre, rue Scribe; 3.....' Belloy, av.de Paris, 6. Choisy-Rois Beltrami, rue Caumartin, 12. Berne &, boulevard Haussmann, 16 Berne Paul; avenue Pereire; 10; Bernheim, rue Rougemont, 9.: Bernheim Ferjand,

5ème ANNÉE 10 MAI 1902 N° 5 Liste des Membres d l'ASSOCIATION MÉDECINE MÉDECINE MEMBRES HONORAIRES BROULARDEL, P. et doyen de l F., Président de Alo'tianoiscs dse Médecins de la Seine; M. la Faculté de Médecine. 66, r. Bellechasse, DUQUET.-P. A. F — . H. — 60, rue de Londres. FOURNIER, M. A, — P F. — M. H, — 1, re Volney. GALEZOWSKI. —103, boulevard Haussmann. GIRARD, pharmacien. — 22, rue de Condé. JOAL (du MontDore MOREL P'ARLEUX. — 33, rue Desbordes-Valmore. Desbordes-Valmore. — 81, boulevard Beauséjour, Bséjr, TILLAUX, M. A. P. F. — C.H., —189, boulevard St-Germain. SEVESTRE, M. A. — . H.,53, rue de Châteaudun. BR, Prof, agrégé, ccchr de 'Hôpital Saint-Antoine. CONSEIL JURIDIQUE M. Dofer, avocat Conseil dEtt et à la Cour de Cassation, 31, rue Madame M. Robin, avocat à l Cour ,dAe'plp 03, rue de Vgrrd. M. Ribadcau-Dumas, avoué à la Cour 'Appel, ,5 rue de l'Université. M. Ralier, avoué d prmèr Instance, 68 r. d. Chssé-d'ntn M. Théret, notaire, bd St-Denis SSCÉS PARTICIPANTS Abadié boul St-Grmn, 172. Adler, r. du Faub. St-Honoré, 100. Arcambaud(P.J, rue Cujas, 21 Andre, boulevard ar, 22. Angot, à Monsoult (Seine-et-Oise) Apert Charles v. Marignan, M Archambault Raym de t-is Auyols boulevard de Créteil Pac-ain-au. Arrivot, rue de Ponthieu, 6. Astier, boul. Malesherbes, 132. Aubeau, boulevard aHsnansum, 40 Aubert, rue de Moscou, 50. Aubert Francis, 2, rue Saint-Louis à Chevry-le-Roi Auboeuf, rue de Clignancourt, 58 Audin, rue de l'Aqueduc, 17. d'Ayre, rue St-Placide, 42. Balland, rue de Ménilmontant, 54 aa,uBxrto rue de la Boétie, 32. Barbaud, square du Croisic, 41 Barbe, rue de hir, 4. Barbézieux, rue Montmartre, 152: Barbier, rue du Maroc. 1. Barbulée faur St-Martin, 206 Barjon, avenue Victor-Hugo, 11 Barthélemy, r. Paradis-Poisson, 2 Battesti, pi. St-Nicolas, 13 Bastia Baudet, Rl, 206, b. Raspail. Baullet, Ls-Jls, 11; rue Ls Philippe, à Neilly. Beaussenat, rue Duphot, 19. Beausse, 11, rue de Réaumur. Bellemain, r Boursault 64. Bellencontre, rue Scribe; 3.....' Belloy, av.de Paris . Choisy-Rois Beltrami, rue Caumartin, 12. Berne &, boulevard Haussmann, Berne Paul; avenue Pereire; 10; Bernheim, rue Rougemont, 9.: Bernheim Ferjand,

Archambault (Raym.), de St-Denis Argueyrolles, boulevard de Créteil (Parc-Saint-Maur). Arrivot, rue de Ponthieu, 6. Astier, boul. Malesherbes, 132. Aubeau, boulevard Haussmann, 40 Aubert, rue de Moscou, 50. Aubert Francis, 2, rue Saint-Louis à Chevry-le-Roi Auboeuf, rue de Clignancourt, 58. Audin, rue de l'Aqueduc, 17. d'Ayre, rue St-Placide, 42. Balland, rue de Ménilmontant, 54 Baratoux, rue de la Boétie, 32. Barbaud, square du Croisic, 41 Barbe, rue de Penthièvre, 34. Barbézieux, rue Montmartre, 152: Barbier, rue du Maroc. 1. Barbulée, faubourg St-Martin, 206 Barjon, avenue Victor-Hugo, 11 Barthélemy, r. Paradis-Poisson, 2 Battesti, pi. St-Nicolas, 13 Bastia Baudet, Raoul, 206, b. Raspail. Baullet, Louis-Jules, 11; rue Louis Philippe, à Neilly. Beaussenat, rue Duphot, 19. Beausse, 11, rue de Réaumur. Bellemain, rue Boursault, 64. Bellencontre, rue Scribe; 3.....' Belloy, av.de Paris, 6. Choisy-Rois Beltrami, rue Caumartin, 12. Berne &, boulevard Haussmann, 16 Berne Paul; avenue Pereire; 10; Bernheim, rue Rougemont, 9.: Bernheim Ferjand, 39, boulevard National, à Choisy-le-Roi: Béluze à r. d. Francs-Bourgeois, 5 Behardy place Daumesnil 7. Benoit, avenue de Clichy, 127. Bérard, rue Monge, 82. Bérillot, rue Taitbout, 14. Journal DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Cinquième Année 10 Mai 1902 Numéro 5 SOMMAIRE Séance du 15 Avril; Adhérents nouveaux; État sanitaire; Nombre des Sociétaires au 10 Mai; Recettes annuelles; Capital réserve; Indemnités versées aux sociétaires par la Caisse sociale Situation financière au 30 Avril 1902; Hospice Saint-Lazare. — M. Jullien. — H Avril 1902. — Le Gonococcie. Variétés; Bibliographie; Index bibliographique. Séance du 15 Avril 1902 Présidence de M. le Docteur Descoust Etuiens prescrits : MM. Bouisson, Galtier, Jouillard, Henri Henné, Thoumas, Dufour, Fissiaux, Uennocrat, Mihran Kemadjian, Sereno, Nogué. Excusés: MM. Despagnel, Berne, Signez, Auboeuf. La séance est ouverte à 8 heures 1/2. Changements d'adresse: MM. Rédit, 13, boulevard Magenta; Lubelski, 17, rue de l'Arc de Triomphe; Colombès, 25, rue Trinité; Duclos, à Pierrefeu (Yar) ; Brémond, 5, rue Michel-Chastels; Berthod, 10, rue Mailboeuf, Kuhn, 5 bis, rue St-Cyr, à Bourg-la-Reine. M. Letulle demande par lettre qu'on admette de nouveau le docteur S. Le Conseil examine les candidats nouveaux. Sur sept candidats présentés six sont admis. Après examen sérieux, le Conseil décide

lbahrmtcauA (Raym.), de St-Denis Argueyrolles, boulevard de Créteil (Parc-Saint-Maur). riot rue de Ponthieu, 6. Astier, boul. Malesherbes, 12 Aubeau, blvrd Hssmnn, 40 Aubert, rue de Moscou, 50. Aubert Francis, 2, rue Saint-Louis à Chevry-le-Roi Auboeuf, rue de Clignancourt, 58. Audin, rue de l'Aqueduc, 17. d'Ayre, rue St-Placide, 42 Balland, rue de Ménilmontant, 5 Baratoux, r de la Boétie, 32. Barbaud, square du Croisic, 41 Barbe, rue de Penthièvre, 34 Barbézieux, u Montmartre, 152: eB,brira rue du r. 1. Barbulée, faubourg St-Martin, 206 Barjon, avenue Victor-Hugo, 11 Barthélemy, r. Paradis-Poisson, 2 Battesti, pi. St-Nicolas, 13 Bst Baudet, Raol, 206, b. Raspail. Baullet, Louis-Jules, 11; rue Louis Philippe, à Neilly. sasaetenBu, rue Duphot, 19. Beausse, 11, rue de Réaumur. Bellemain, r Boursault, 64. Bellencontre, rue Scribe; 3.....' Belloy, av.de Paris, 6 hooyR-Cissi Beltrami, rue Caumartin, 12. Brn &, boulevard Haussmann, 16 Berne Pul avenue Pereire; 10; Bernheim, rue Rougemont, 9.: Bernheim Frjnd, 39, boulevard National, à Choisy-le-Roi: Béluze à r. d. Francs-Bourgeois, 5 Behardy place Daumesnil 7. not avenue de ih 127. Bérard, rue Monge, 82. Bérillot, r Taitbout, 14. Journal DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Cinquième nné 10 Mai 1902 Nuo 5 SOMMAIRE Séance du 15 Avril; Adhérents nouveaux; État sanitaire; Nombre des Sociétaires au 10 Mai; ecet annuelles; aitaClp réserve; ndemié versées aux sociétaires par la Caisse scl Situation financière au 30 Avril 1902; Hospice Saint-Lazare. — M. Jullien. — H Avril 1902. — Le Gonococcie. Variétés; Bibliographie; Index bibliographique Séance du 15 Avril 90 Prdec de . le Docteur Descoust Etuiens prescrits : MM. Boson Galtier, Jouillard, Henri Hnné, Thoumas, Dufour, Fssx, Uennocrat, Mihran Kemadjian, Sereno, Nogué. Excusés: MM. Despagnel, Berne, Siez, Auboeuf. La séance est ouverte à 8 heures 1/2. Changements d'adresse: MM. Rédit, 13, boulevard Magenta Lubelski, 17, rue de l'rc de Triomphe; Colombès, 25, ue Trinité; Duclos, à Pierrefeu (Yar) ; Brémond, , rue MieChastls; Brthd, 10, rue Mail Kuhn, 5 bis r St-Cyr, à Bourg-la-Reine. M. Letulle demande par lettre qu'on admette de nouveau le docteur S. L Conseil examine les candidats a.eouuvnx Sur sept candidats présentés sx sont admis. près examen sérieux, le Conseil décide

des Sociétaires au 10 Mai; Recettes annuelles; Capital réserve; Indemnités versées aux sociétaires par la Caisse sociale Situation financière au 30 Avril 1902; Hospice Saint-Lazare. — M. Jullien. — H Avril 1902. — Le Gonococcie. Variétés; Bibliographie; Index bibliographique. Séance du 15 Avril 1902 Présidence de M. le Docteur Descoust Etuiens prescrits : MM. Bouisson, Galtier, Jouillard, Henri Henné, Thoumas, Dufour, Fissiaux, Uennocrat, Mihran Kemadjian, Sereno, Nogué. Excusés: MM. Despagnel, Berne, Signez, Auboeuf. La séance est ouverte à 8 heures 1/2. Changements d'adresse: MM. Rédit, 13, boulevard Magenta; Lubelski, 17, rue de l'Arc de Triomphe; Colombès, 25, rue Trinité; Duclos, à Pierrefeu (Yar) ; Brémond, 5, rue Michel-Chastels; Berthod, 10, rue Mailboeuf, Kuhn, 5 bis, rue St-Cyr, à Bourg-la-Reine. M. Letulle demande par lettre qu'on admette de nouveau le docteur S. Le Conseil examine les candidats nouveaux. Sur sept candidats présentés six sont admis. Après examen sérieux, le Conseil décide la suppression de l'indemnité maladie à un de nos confrères qui a déjà reçu de la caisse, plus de 10.000 francs et qui est en état de reprendre ses occupations. M. Fissiaux fait connaître la situation financière. M. Descoust fait approuver les bons d'indemnité maladie. La séance est levée à 10 heures 1/2 78 JOURNAL DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Adhérents Nouveaux M. le docteur AUBLÉ (Francis), 2 rue Saint-Louis Présente par M. Mihran Kemadjian. Louis, à Chevry-le-Roi. M. le docteur FAURÉ (Jean-L.), 10, rue de Seine. Présenté par MM. Nigay et Elie Faure. M. le docteur LASSUDIE-DUCHÈNE, 49, rue de Provence. Présenté par MM. Bouisson et Berne. M. le docteur LE FURNIER, 5, boulevard Magenta. Présenté par MM. Bellencourt et Signez. M. le docteur LEBEDINSKY (Jacques), 2 bis, r. du Havre. Présenté par MM. Queudot et Nogué. M. le docteur LÉ T (Henri), 38, rue Doudeauville. Présenté par MM. Morcl et Bizard. État sanitaire Mouvement des malades du 14 Mars au 15 Avril 1902 Bons d'indemnité délivrés aux Sociétaires Du 14 Mars au 15 Avril 1902, nous avons eu 15 sociétaires malades. Pour ces 15 sociétaires le nombre des journées de maladie s'est élevé à 383. Les bons d'indemnité délivrés

des Sociétaires au Mai Recettes nnlles; Capital réserve; Indemnités versées aux sociétaires par la Caisse il ttuSioina financière au 30 Avril 1902; Hospice Saint-Lazare. — . Jullien. — H Avril . — Le Goooi Variétés; Bibliographie; Index bibliographique. Séance d 15 Avril 1902 Présidence de M le uctrDoe Dscst Etuiens prescrits : MM. Bouisson Gair Jouillard, Henri Henné, Thoumas, Dufour, Fissiaux, nncrt, Mihran emajia Sereno, Nogué. Excusés: MM. Despagnel, Brn, Signez, Auboeuf. La séance est ovet à heures /. Changements d'adresse: MM. édiRt, 13, blvrd Magenta Lubelski 7, rue de lArc de Trmph; Colombès, 25, rue Trinité; Duclos, à Pierrefeu Yar ; Brémnd, 5, rue Michel-Chastels; Berthod, 10, re Mailboeuf, Kuhn, 5 bis, rue St-Cyr, à Bourg-la-Reine. M Letulle demande par lettre qu'on admette de neau l docteur S. Le Conseil examine les candidats nvx. Sur spt candidats présentés six sont admis. Après emen sérieux, le Con décide la suppression de l'indemnité maladie à un de nos confrères qui a déjà reçu de la caisse, plus de 10.000 francs et qui est en état de reprendre ss ocupis. M. Fisiau fait cnnaîe a tuaton financière. . Dscst fait approuver les bons dindemnité maladie. La séance est levée à 10 heures 1/2 78 JOURNAL DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Adhérents Nouveaux M. le docteur AUBLÉ (Francis), 2 rue Saint-Louis Présente par M. Mihran Kemadjian. Louis, à Chvry-l-R. M. le docteur FAURÉ JaL.) 0,1 rue de Seine. Présenté par M.M Nigay et Elie Faure M. le dctu LASSUDIE-DUCHÈNE, 49, rue de Provence. Présenté apr MM. Bouisson et Berne. M. le docteur LE RNUEFRI, 5, boulevard gent. Présenté par MM. Blncour et Signez M. le docteur LEBEDINSKY (Jacques), 2 bs, r. du Havre. Présenté par MM. Queudot et Nogué. .M le docteur LÉ T (Henri), 38, rue Doudeauville. Présnté par MM. Morcl et ziBra.d État sanitaire Mvmnt des mlde du 14 Mars au 15 Avril 1902 Bons d'indemnité délvrés aux Sociétaires Du 14 Mars u 15 il 1902, nous avons eu 15 sociétaires malades. Pur cs 15 soérs le nombre des journées de maladie s'est élevé à 383. Les bons indei délivrés

10 heures 1/2 78 JOURNAL DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Adhérents Nouveaux M. le docteur AUBLÉ (Francis), 2 rue Saint-Louis Présente par M. Mihran Kemadjian. Louis, à Chevry-le-Roi. M. le docteur FAURÉ (Jean-L.), 10, rue de Seine. Présenté par MM. Nigay et Elie Faure. M. le docteur LASSUDIE-DUCHÈNE, 49, rue de Provence. Présenté par MM. Bouisson et Berne. M. le docteur LE FURNIER, 5, boulevard Magenta. Présenté par MM. Bellencourt et Signez. M. le docteur LEBEDINSKY (Jacques), 2 bis, r. du Havre. Présenté par MM. Queudot et Nogué. M. le docteur LÉ T (Henri), 38, rue Doudeauville. Présenté par MM. Morcl et Bizard. État sanitaire Mouvement des malades du 14 Mars au 15 Avril 1902 Bons d'indemnité délivrés aux Sociétaires Du 14 Mars au 15 Avril 1902, nous avons eu 15 sociétaires malades. Pour ces 15 sociétaires le nombre des journées de maladie s'est élevé à 383. Les bons d'indemnité délivrés représentent la somme de trois mille huit cent trente francs (3,830 IV.) touchés ou à toucher. Nombre des Sociétaires au 10 Mai 1902 535 Recettes annuelles de la Société, Cotisations et intérêts 78,000 Francs Capital Réserve 375.000 Francs Indemnités versées aux Sociétaires par la Caisse Sociale 236,000 Francs 24 Avril 1902 Le Gonocoque La connaissance de la blennorrhagie, actuellement, repose toute entière sur celle du gonocoque, dont la présence est intimement liée à la nature de cette maladie ; c'est-à-dire qu'il n'existe point de vrai blennorrhagie sans gonocoque : telle est la doctrine admise de nos jours, après bien des errements et des confusions. Si on examine au microscope, avec les réactifs convenables, les différents écoulements de puissance, on trouve dans un certain nombre un microbe particulier et toujours identique, reconnaissable à ses caractères morphologiques, à son habitat, à ses propriétés, etc., qu'on appelle le gonocoque, et c'est précisément Neisser, son inventeur, qui a eu le mérite de montrer que ce microbe ne se rencontre pas dans tous les écoulements vénériens, qu'il est spécial à la chaude-pisse proprement dite. On en a conclu avec beaucoup de vraisemblance que c'était l'agent de la blennorrhagie, et l'expérience l'a surabondamment démontré. Le gonocoque

10 heures 1/2 78 JOURNAL DE L'ASSOCIATION MEDICALE MUTUELLE Adhérents Nouveaux M. le eutrdoc AUBLÉ Francis 2 rue SaintLouis Présente par M. Mihran Kemadjian Louis, à Chevry-le-Roi. M. le docteur FÉ (Jean-L.), 10, rue de eeSin. Présenté par MM. Nigay et Elie Fr. M. le dctr E-LSEDUU,NSACÈDIH 49, eru de Provence. Présnté par MM. Bouisson et Berne. M. le docteur LE FURNIER, 5, boulevard Magenta. Présenté par MM. Bllncrt et Signez. M. le docteur LEBEDINSKY Jacques 2 bis, r. du Havre. Présenté par MM. Quedot t Nogué. M le docteur LÉ T Henri 38, rue Doudeauville. Présenté par MM. Morcl t Bizard. État sanitaire Mouvnt des malades du 14 Mars au 15 r 1902 Bons d'indemnité délvrés aux ciairs D 14 Mrs au 15 Avril 1902, ns avons eu 15 sociétaires malades. Pur ces 15 sociétaires l nombre des journées de maladie s'est levé à 383. Les bons d'indemnité délivrés représentent la smm de trois mille huit cent trente francs (3,830 IV.) touchés à ucher. Nombre des Sociétaires au 10 M 1902 535 Recettes annuelles de la Scété, Cotisations t intérêts 78,000 Francs Capital Réserve 375.000 Francs Indemnités vrsés aux Sociétaires par la Ca Sociale 236,000 Francs 24 vrl 1902 Le Gonocoque La connaissance de la blennorrhagie, ctllmnt, rps toute entière sur celle du gonocoque, t la présence est intimement liée à nature de cette maladie ; c'st-à-dr qu n'existe point de vrai blnnrrhg sans gncq : telle est la doctrine admise de nos jours, après bien des errements et ds confusions. Si on examine au microscope, vc les taréifcs convenables, es différents éouleens de usn on trouve da un certain nombre un oecrbmi particulier toujours identique, reconnaissable à ses caractères morphologiques, à sn habitat, ses propriétés, t, appl le gonocoque, et c'est précisément Neisser, son inventeur, uqi a eu le mérite de montrer que ce microbe ne se rencontre pas dans tous les écoulements vénériens, qu'il est sé à la chaude-pisse proprement dite. On n a conclu avec beaucoup d vraisemblance ueq c'était 'agent de la blennorrhagie, l'expérience ' surabondamment démontré. Le onqoeoucg

1902 Le Gonocoque La connaissance de la blennorrhagie, actuellement, repose toute entière sur celle du gonocoque, dont la présence est intimement liée à la nature de cette maladie ; c'est-à-dire qu'il n'existe point de vrai blennorrhagie sans gonocoque : telle est la doctrine admise de nos jours, après bien des errements et des confusions. Si on examine au microscope, avec les réactifs convenables, les différents écoulements de puissance, on trouve dans un certain nombre un microbe particulier et toujours identique, reconnaissable à ses caractères morphologiques, à son habitat, à ses propriétés, etc., qu'on appelle le gonocoque, et c'est précisément Neisser, son inventeur, qui a eu le mérite de montrer que ce microbe ne se rencontre pas dans tous les écoulements vénériens, qu'il est spécial à la chaude-pisse proprement dite. On en a conclu avec beaucoup de vraisemblance que c'était l'agent de la blennorrhagie, et l'expérience l'a surabondamment démontré. Le gonocoque est devenu la preuve irréfutable de la nature blennorrhagique d'un écoulement ou d'une suppuration quelconque. Ce qui donne une grande valeur à cet élément de diagnostic, c'est que le gonocoque est toujours semblable à lui-même, dans sa forme et dans ses manifestations, dans toutes les races et dans tous les pays. JOURNAL DE L'ASSOCIATION MÉDICALE MUTUELLE Quand on trouve le gonocoque dans un écoulement uréthral, c'est que l'uréthrite est blennorrhagique. Généralement, l'origine contagieuse est affirmée par les aveux du malade ou par la confrontation des deux conjoints. Les gonocoques se voient dès les premières gouttes de pus, et atteignent leur maximum de développement vers le huitième ou dixième jour de la chaude-pisse, alors que celle-ci bat son plein; mais ils disparaissent à la période muqueuse ou à la période chimique (si l'on a employé les injections) ; et la clinique nous apprend d'autre part qu'à cette période l'uréthrite n'est pas contagieuse. Il existe donc une étroite corrélation entre l'évolution de l'écoulement, la contagiosité de celui-ci, la présence et l'absence des gonocoques. Les autres écoulements vénériens qui sont différents de la chaude-pisse par leurs caractères cliniques et par l'absence du gonocoque, sont causés par des agents irritants divers, parasitaires, chimiques, toxinémiques,

1902 Le Gonocoque La connaissance de la blennorrhagie, actuellement, repose toute entière sr celle du gonocoque, dont la présence est intimement le à la nature de cette maladie ; àrede--ct'is qu'il ten'xise point de vrai blennorrhagie sans gonocoque telle st la doctrine admise de nos jours après bien des errements et des confusions. Si on examine au mcrscp, avec les réactifs convenables, les différents écoulements de puissance, on trouve dans un certain nombre un icrob particulier et toujours identique reconnaissable à ses caractères morphologiques, à son habitat, ses propriétés etc., quon appelle le gonocoque, t c'est précisément Nssr, son inventeur, qui a eu le mte de montrer que ce microbe ne se rencontre pas dans tous els écoulements vénériens, quil tes spécial à la chaude-pisse proprement dite. On en a conclu avec beaucoup de vraisemblance q 'était l'agent de la lihnenarreo,bg et l'xpérnc l'a surabondamment démontré. Le gonocoque est devenu la preuve irréfutable d la nature bnrqe 'un oulm ou d'une suppuration qlcnq. Ce qui donne une grande vlr à cet élément d diagnostic, 'esct que l gonocoque est toujours semblable à lui-même, dans sa forme et as s manifestations, dans toutes les races et as tous les pys. JOURNAL DE LASSOCIATION MÉDICALE MUTUELLE Quan on trouve le onqcgouoe dans un écoulement uréthral, t que l'uréthrite st blnnrrhgq. Généralement, l'origine contagieuse est affirmée par les vx du malade par la confrontation des deux conjoints. Ls gonocoques se voient dès les premières gouttes de pus, et atteignent leur mxmm de développement vers l huitième ou dixièm jour de la chaude-pisse, lrs que celle-ci bat son pln; mais ils disparaissent à la période muqueuse ou à la période chique (si l'on employé les injections) ; et la iniu nous apprend d'autre part qu'à cette période l'uréthrite n'est pas contagieuse. Il existe do une étroite corrélation entre lévolution de l'écoulement, la contagiosité de celui-ci, la présence et l'absence u.qoonescgo Les autres écoulements vres qui sont dfférnts de la chaudepisse par leurs caractères cliniques et par l'absence du gonocoque, sont causés par des agents rrtnts divers, parasitaires chiiu toxinémiques,

pays. JOURNAL DE L'ASSOCIATION MÉDICALE MUTUELLE Quand on trouve le gonocoque dans un écoulement uréthral, c'est que l'uréthrite est blennorrhagique. Généralement, l'origine contagieuse est affirmée par les aveux du malade ou par la confrontation des deux conjoints. Les gonocoques se voient dès les premières gouttes de pus, et atteignent leur maximum de développement vers le huitième ou dixième jour de la chaude-pisse, alors que celle-ci bat son plein; mais ils disparaissent à la période muqueuse ou à la période chimique (si l'on a employé les injections) ; et la clinique nous apprend d'autre part qu'à cette période l'uréthrite n'est pas contagieuse. Il existe donc une étroite corrélation entre l'évolution de l'écoulement, la contagiosité de celui-ci, la présence et l'absence des gonocoques. Les autres écoulements vénériens qui sont différents de la chaude-pisse par leurs caractères cliniques et par l'absence du gonocoque, sont causés par des agents irritants divers, parasitaires, chimiques, toxinémiques, etc., et constituent ce que Diday a si justement nommé les blennorrhodies. Vous voyez par conséquent qu'à une époque relativement ancienne, on admettait déjà la dualité de l'uréthrite. Avec la découverte de Neisser, cette idée n'a fait que s'affermir et se perfectionner, et aujourd'hui nous admettons la pluralité des uréthrites, c'est-à-dire l'existence des écoulements uréthraux des causes multiples : en dehors de l'uréthrite blennorrhagique ou gonococcique, en effet, il y a des uréthrites diathésiques, déterminées sous l'influence du rhumatisme, de la goutte, de l'herpétisme, des uréthrites infectieuses, qu'on observe à la suite des oreillons, de la fièvre typhoïde, de l'infection paludéenne, du diabète, plus rarement de la syphilis, parfois dans la tuberculose ; des uréthrites toxiques ou ab investis (influence de l'alimentation, bière, asperges, cresson, cantharides, iodure de potassium), des uréthrites traumatiques, (excoriations, corps étrangers, plaies, brûlures, injections irritantes ou trop fréquentes); des uréthrites vénériennes, par érection prolongée, masturbation, excès de coït : ce sont là des écoulements non gonococciques, ou blennorrhodiaux. Ces uréthrites vénériennes non gonococciques s'expliquent suffisamment par l'action des microbes nombreux qui à l'état normal pullulent dans les vagins impurs et peuvent déterminer une uréthrite chez les hommes. Inversement, nous savons d'autre part qu'il existe dans le

pays. JOURNAL DE LASSOCIATION MÉDICALE MTLL Quand on trv le gonocoque dans un écoulement uréthral, c'est q hrertltéui' est blennorrhagique. Généralement, l'origine contagieuse est miffeéar rpa l vx du delama ou par la confrontation des deux conjoints. Les gonocoques se voient ès les premières uotgtes de pus, atteignent leur maximum de développement vers el huitième ou dixième jour de al csu-hep,ideas r ueq celle-ci bat son plein; mais ils dsprssnt à l période muqueuse ou à la période chimique (si l'on employé les injections) ; et la clinique nous apprend d'autre prt qu'à cte prio l'réthrt n'est pas contagieuse. Il existe dnc neu étroite crréltn entre l'évolution de l'écoulement, la contagiosité de cl-c, la présence t l'absence des gonocoques. autres écoulements énéis qui sont différents d la chaude-pisse par leurs caractères cliniques t par labsence du gnc sont csés par des agents irritants divers, parasitaires, chimiques toxinémiques, etc., t constituent ce que Diday a si justement nommé les blennorrhodies. Vous voyez par cnséqnt qu'à une époque relativement ncin, on etdttamia déjà la dualité de l'uréthrite. c l découverte d Neisser, cette idée n'a fait que s'affermir et se perfectionner, et aujourd'hui nous admettons la pluralité des uréthrites, c'est-à-dire l'existence des écoulements uréthraux es causes multiples en dhrs d l'uréthrite blennorrhagique o gncccq, en effet, li y a des uréthrites diathésiques, déterminées sous l'influence du rhumatisme, d a goutte, de l'herpétisme, des uréthrites infectieuses qu'on observe à la suite ds oreillons, d la fièvre typhoïde, d linfection paludéenne, du diabète, plus rrmnt de la syphilis, parfois dans la tuberculose ; des uréthrites toxiques ou ab investis (influence de l'alimentation, bière, asperges, cresson, cnthrds, iodure de ptssm), des uréthrites traumatiques, (excoriations, corps étrangers, plaies, brûlures, njctns irritantes ou trop fréqnts); des éri vénériennes pr érection rné, masturbation, excès de coït : ce sont là ds écolents non gonococciques, u blennorrhodiaux. Cs uréthrites vénériennes non gonococciques 'expliquent sffsmmnt par laction des microbes nmbrx qui à l'état normal pullulent dns les vagins impurs et peuvent déterminer n uréthrite chez lse hommes. nvrsmnt, nous savons 'autre rpat qu'il existe dans le

c'est-à-dire l'existence des écoulements uréthraux des causes multiples : en dehors de l'uréthrite blennorrhagique ou gonococcique, en effet, il y a des uréthrites diathésiques, déterminées sous l'influence du rhumatisme, de la goutte, de l'herpétisme, des uréthrites infectieuses, qu'on observe à la suite des oreillons, de la fièvre typhoïde, de l'infection paludéenne, du diabète, plus rarement de la syphilis, parfois dans la tuberculose ; des uréthrites toxiques ou ab investis (influence de l'alimentation, bière, asperges, cresson, cantharides, iodure de potassium), des uréthrites traumatiques, (excoriations, corps étrangers, plaies, brûlures, injections irritantes ou trop fréquentes); des uréthrites vénériennes, par érection prolongée, masturbation, excès de coït : ce sont là des écoulements non gonococciques, ou blennorrhodiaux. Ces uréthrites vénériennes non gonococciques s'expliquent suffisamment par l'action des microbes nombreux qui à l'état normal pullulent dans les vagins impurs et peuvent déterminer une uréthrite chez les hommes. Inversement, nous savons d'autre part qu'il existe dans le canal uréthral de l'homme des microbes capables de provoquer un écoulement non blennorrhagique chez la femme, et même de propager cette inflammation jusqu'aux organes internes, utérus, trompes et ovaires. Ces microbes, dans les deux cas, peuvent être très divers. Ainsi, pour ce qui est de l'uréthrite masculine, on a montré dès 1889, que le bacille coli, pouvait être l'origine d'une prostatite et d'une uréthrite particulières. En outre, dans la gonocoquie, il n'y a pas à tenir compte seulement du microbe, mais de la toxine qu'il sécrète. Cette toxine, qu'on a pu extraire des cultures du gonocoque, ainsi que nous le verrons, est capable de déterminer un écoulement amicrobien : ce fait aura d'intéressantes conséquences au point de vue non seulement de la connaissance des propriétés du gonocoque, mais du traitement de l'uréthrite blennorrhagique. Maintenant, le gonocoque existe-t-il seul dans la chaude-pisse ? Oui, à la période aiguë, parce qu'il semble que l'acuité du processus, peut être l'élévation de la température, fasse disparaître tous les autres microbes. Cela est vrai non seulement pour l'uréthrite blennorrhagique, mais même pour la blennorrhagie qui atteint les régions de l'économie les plus riches en bactéries, comme le rectum. Dans la blennorrhagie rectale, que nous avons

'stà-die l'existence des écoulements uréthraux des causes multiples en dehors de l'uréthrite benorraqu ou gonococcique, en effet, il y a des uréthrites diathésiques, déterminées sous l'influence du rhumatisme, d la goutte, de lherpétisme des uréthrites infectieuses, qu'on observe à la suite des oreillons, de la fièvre typhoïde, de l'infection pldénn, du diabète, plus rarement de la syphilis, parfois dans l tuberculose des uréthrites toxiques ou a investis (influence de l'alimentation, bèr, asperges, crssn, cantharides, iodure d ptssm), des uréthrites traumatiques, (excoriations, corps étrangers, plaies brûlures, injections irritantes ou rp fréquentes); des éthries vénériennes, par érection prolongée, masturbation excès de coït : ce sont des écoulements non oqsnc,ouocigec ou blennorrhodiaux. Ces uréthrites vénériennes non gncccqs s'expliquent suffisamment par l'action des microbes nombreux qui à l'état normal pullulent dans les vagins impurs et peuvent déterminer ue uréthrite chez les .oshmme Inversement, nous savons d'autre part qu'il existe dans l canal uréthral de l'homme des microbes capables de oque un éclmnt non blennorrhagique chez la femme, et mêm e propager cette inflammation jusqu'aux organes internes, , trompes et ovaires. microbes, dans les deux cs, peuvent être très divers. Ainsi, pour ce qui est de l'uréthrite masculine, on a montré dès 1889, que le bacille oi,lc pouvait être l'rgn d'une prsttt et d'une uréthrite particulières. En outre, dans la gonocoquie, il n'y a pas à tenir cmpt seulement du ,cimorbe mais de l toxine qu'il sécrète. Cette toxine, qu'on a pu extraire des cultures du gonocoque, ainsi que nous le verrons, est capable de déterminer un écoulement amicrobien : ce fait aura d'intéressantes conséquences au point d vue non seulement de la connaissance des propriétés d gonocoque, mais du traitement de l'uréthrite blennorrhagique. Maintenant, le gonocoque existe-t-il sl dans la chaude-pisse ? Oui à la érde ,uëagi parce qu'il smbl que l'acuité du processus, peut être 'élévation de la température, fasse disparaître tus les autres microbes. Cela est vrai non elemen pour l'uréthrite blennorrhagique, mais même pour la blenorhgi qui atteint ls régions de écnoie les plus riches ne bactéries, comme le rectum. Dans la blnorra rectale, que nous avons

dès 1889, que le bacille coli, pouvait être l'origine d'une prostatite et d'une uréthrite particulières. En outre, dans la gonocoquie, il n'y a pas à tenir compte seulement du microbe, mais de la toxine qu'il sécrète. Cette toxine, qu'on a pu extraire des cultures du gonocoque, ainsi que nous le verrons, est capable de déterminer un écoulement amicrobien : ce fait aura d'intéressantes conséquences au point de vue non seulement de la connaissance des propriétés du gonocoque, mais du traitement de l'uréthrite blennorrhagique. Maintenant, le gonocoque existe-t-il seul dans la chaude-pisse ? Oui, à la période aiguë, parce qu'il semble que l'acuité du processus, peut être l'élévation de la température, fasse disparaître tous les autres microbes. Cela est vrai non seulement pour l'uréthrite blennorrhagique, mais même pour la blennorrhagie qui atteint les régions de l'économie les plus riches en bactéries, comme le rectum. Dans la blennorrhagie rectale, que nous avons assez fréquemment à observer ici, on ne trouve à la phase aiguë que le gonocoque, de même que dans l'uréthrite. Mais quand l'écoulement touche à son déclin, qu'il devient sub-aigu, on voit reparaître en grande abondance les autres microbes : on en a retrouvé jusqu'à onze espèces. En étudiant l'uréthrite chez cent femmes du service, j'ai trouvé 62 fois le gonocoque, 29 fois des bâtonnets, 33 fois le streptocoque, 15 fois des coccis, 10 fois des bacilles droits, 5 fois le diplocoque, enfin un certain nombre de fois des filaments de leptotrix venus sans doute du vagin et des éléments divers. L'apparition de ces microbes se montre vers la quatrième ou cinquième semaine de la blennorrhagie. On pourrait se demander alors, puisque nous reconnaissons que le gonocoque n'est pas seul, pourquoi nous lui assignons le principal rôle dans la genèse de la chaude-pisse ? C'est en nous fondant sur les considérations suivantes. D'abord, le gonocoque est un agent pyogène ; ce fait a été prouvé par Wertheim, par l'expérimentation sur les animaux ; le gonocoque détermine des suppurations dans le péritoine et dans la chambre antérieure de l'oeil ; introduit dans l'urètre, il y reproduit le même processus. En second

dès 1889, que bacille coli, pouvait ête l'origine dune rsite et d'une réthrt particulières. En outre, a la gncq, il ' pas à tenir cmpt seulement du microbe, ms de la toxine qu'il se. Cette toxine, on a p xtrr des cltrs du gonocoque, ainsi que nou le ,nsvrore est capable de déterminer un écoulement amicrobien : c fait aura d'ntérssnts conséquences au point de vue non seulement de la cnnssnc des propriétés du gonocoque, mais du traitement de l'uréthrite blennorrhagique. Mntnnt, le gonocoque existe-t-il seul dans l chaude-pisse ? , à l période gë, parce q'l semble que l'acuité d processus, peut être l'élévation de la température fasse disparaître tous les trs microbes. Cela est vrai nn slmnt pour 'uréthrite blennorrhagique, is même p la blennorrhagie qui atteint les régions de l'économie les plus riches en bactéries, comme rectum. Dns la blennorrhagie rectale que nous avons ssz fréqemme à observer ici, on n trouve à la phase aiguë que l gonocoque, de même que dns luréthrite Mais qnd l'écoulement touche à son déclin, qu'il devient sub-aigu, on voit reparaître en grande abondance les atrs microbes : on en a retrouvé jusqu'à onze espèces. En étudiant l'uréthrite chez cent femmes du service, j'ai trouvé 62 fois le gonocoque, 29 fois des bâtonnets, 3 fi le streptocoque, 15 fois des ocs, 10 fois des acls droits, 5 fois le diplocoque, enfin un certain nombre d fs des filaments de xtolptier veus sans doute du vi e des éléments divers. L'apparition de ces micbes se mntr vers la quatrième ou cinquième smn de al blennorrhagie. On pourrait demander alors, puisque nous reconnaissons que le gonocoque n'est pas sul pourquoi nous lui ssgnns le principal rôle dans la genèse de la chaude-pisse ? C'est en nous fndnt sr les considérations suivantes. D'abord, gonocoque est un agent pyogène ; ec fait a été prouvé par Wertheim, par l'expérimentation su les animaux ; el gonocoque détermine des suppurations dns le péritoine t dans la chmbr antérieure de l'oeil ; introduit dns lurètre il y reproduit le même processus. En second

chez cent femmes du service, j'ai trouvé 62 fois le gonocoque, 29 fois des bâtonnets, 33 fois le streptocoque, 15 fois des coccis, 10 fois des bacilles droits, 5 fois le diplocoque, enfin un certain nombre de fois des filaments de leptotrix venus sans doute du vagin et des éléments divers. L'apparition de ces microbes se montre vers la quatrième ou cinquième semaine de la blennorrhagie. On pourrait se demander alors, puisque nous reconnaissons que le gonocoque n'est pas seul, pourquoi nous lui assignons le principal rôle dans la genèse de la chaude-pisse ? C'est en nous fondant sur les considérations suivantes. D'abord, le gonocoque est un agent pyogène ; ce fait a été prouvé par Wertheim, par l'expérimentation sur les animaux ; le gonocoque détermine des suppurations dans le péritoine et dans la chambre antérieure de l'oeil ; introduit dans l'urètre, il y reproduit le même processus. En second lieu, il est blennorrhagigène. Pendant longtemps ce fait a été difficile à démontrer à cause de la difficulté de se procurer des cultures de gonocoque. Le premier Bumm a pu, avec des cultures de la vingtième génération, déterminer la chaude-pisse chez l'homme. Heraan et d'autres auteurs ont obtenu des résultats analogues. Anfuso, Wertheim, Finger, firent des expériences du même genre, et, dans un cas, Finger put même constater que l'inoculation ne fut pas entravée par la température de 400 que présentait le sujet, ce qui est remarquable quand on sait l'aversion du gonocoque pour les températures élevées. On retrouve le gonocoque dans toutes les localisations de la blennorrhagie, les abcès, les arthrites, les inflammations de l'utérus, et des annexes, l'œil, la cavité buccale, les ganglions, etc. On s'explique facilement le transport du gonocoque dans les régions de l'économie les plus diverses, puisqu'il existe dans le sang, chez les individus infectés par la blennorrhagie. C'est en 1881 que j'ai pour la première fois affirmé la présence du gonocoque dans le liquide sanguin. Cette opinion a été pendant longtemps d'objet de discussions véhémentes; elle est admise aujourd'hui sans conteste : le gonocoque pénètre dans le courant sanguin. Ce fait nous est apparu

cz cent femmes du service, j'ai trouvé 62 fois le gonocoque, 29 fois des bâtonnets, 33 fois le streptocoque, 15 fois des coccis, 10 des bacilles droits, 5 fois le diplocoque, enfin un certan nombre de fois des filaments de leptotrix venus sans doute du vgn et des éléments divers. L'apparition de ces microbes se eotnrm vers la quatrième cinquième semaine de la blennorrhagie. On pourrait se demander alors, puisque nous reconnaissons que le gonocoque n'est pas eul pourquoi nous lui ngnasoiss le principal rôle dans la genèse de la chaude-pisse ? C'est en uons fondant sur les considérations suivantes. D'abord, le gonocoque est un gnt pyogène ; ce fait a été prouvé par Wertheim, par l'expérimentation sur les animaux ; gonocoque tmi des suppurations dans l péritoine et dans la chambre irraeentué de l'oeil ; introduit dns l'urètre, il y reproduit le même pess. second lieu, l est blennorrhagigène. Pendant longtemps ce fait a été difficile à démontrer à cause de la difficulté de se procurer des cultures de gncq. Le premier Bumm a pu, avec des cltues ed vingtième génération, déterminer la chaude-pisse chez l'homme. Heraan et d'autres auteurs ont obtenu d résultats nlgs. Anfuso, Wertheim, Finger, firent des expériences du même genre, et, das un cas, Finger put m constater que l'inoculation ne fut pas entravée par la température de 400 que présentait le sujet, ce q est remarquable quand on at 'aversion du gonocoque pr ls températures élevées. On retrouve le gonocoque dans toutes les localisations de la blennorrhagie, les abcès, le arthrites, els inflammations de l'utérus, te des xs l'œil, la cavé buccale, ls gnglns, etc On s'explique facilement le transport du gonocoque dans les régions de 'cnie les plus diverses, u existe dns le sang, chez ls individus infectés par la blennorrhagie. C'est en 88 que j'ai pour la première fois affirmé l présence du gncq dans le liquide sanguin. Cette opinion a été pendant longtemps d'objet d discussions véhémentes; elle est admise aujourd'hui sans conteste : le gonocoque nèe dans le courant sanguin. Ce ft nous est apparu

analogues. Anfuso, Wertheim, Finger, firent des expériences du même genre, et, dans un cas, Finger put même constater que l'inoculation ne fut pas entravée par la température de 400 que présentait le sujet, ce qui est remarquable quand on sait l'aversion du gonocoque pour les températures élevées. On retrouve le gonocoque dans toutes les localisations de la blennorrhagie, les abcès, les arthrites, les inflammations de l'utérus, et des annexes, l'œil, la cavité buccale, les ganglions, etc. On s'explique facilement le transport du gonocoque dans les régions de l'économie les plus diverses, puisqu'il existe dans le sang, chez les individus infectés par la blennorrhagie. C'est en 1881 que j'ai pour la première fois affirmé la présence du gonocoque dans le liquide sanguin. Cette opinion a été pendant longtemps d'objet de discussions véhémentes; elle est admise aujourd'hui sans conteste : le gonocoque pénètre dans le courant sanguin. Ce fait nous est apparu récemment d'une façon accidentelle, à l'examen du sang d'une femme syphilitique, chez qui nous recherchions l'agent de la syphilis ; nous y découvrîmes le gonocoque, et en examinant la malade, nous constatâmes qu'effectivement elle était atteinte de blennorrhagie. Certaines complications de la blennorrhagie rendent très bien compte de cette diffusion du gonocoque dans le sang. Ainsi on sait que le rhumatisme blennorrhagique peut s'accompagner de lésions cardiaques, valvulaires en particulier ; or, Gebhart a inoculé un fragment de la valvule mitrale, provenant de l'autopsie d'un malade atteint de blennorrhagie, et a provoqué ainsi l'urèthrite chez l'homme. Le gonocoque existant dans cette valvule avait donc passé dans le sang. Ce que nous ne savons pas, c'est le minimum des lésions nécessaires pour que le microbe pénètre dans le torrent circulatoire. Autre question : ne trouve-t-on pas le gonocoque dans l'urètre sain ? C'est l'objection qui a été faite immédiatement aux travaux de Neisser. Différents auteurs disent avoir constaté dans l'urètre des diplocoques à peu près semblables, mais il faut remarquer que ces observations furent faites à une époque où l'on n'avait pas encore nettement établi la distinction des nombreux microbes qui existent normalement dans l'urètre ; je ne crois pas quant

analogues. Anfuo, Wertheim, Finger, firent des expériences d mêm genre et dans un cas, Finger put mêm constater e l'inoculation ne fut pas entravée a la température de 400 que présntt le st, ce qui est remarquable quand o sait l'aversion gonocoque pour les températures élvé. nO retrouve le gonocoque dans toutes les lslacaisnioot e la blennorrhagie, les bcès, les arthrites, les inflammations de l'utérus, et annexes l'œl, la vatcié bucca, les ganglions, etc. n s'explique facilement le transport du gonocoque a les régions d 'éconm les plus diverses, psq'l existe dans le sng, chez les individus infectés par la blennorrhagie. C'est en 1881 que j'ai pour la première fois ffrmé la présence du oco dans e liquide sanguin. Cette pnn a été pendant ltpnmgose jb'tode de discussions véhémentes; elle est dms aujourd'hui sans cntst : le gonocoque pénètre dns le courant a Ce fait nous est apparu récemment d'une façon accidentelle, à l'examen du sang d'une femme syphilitique, chez qui nous recherchions 'gtnale de la syphilis ; ns y découvrîmes le gncq, e en examinant la malade, nous cnsttâms qu'effectivement elle était atteinte de blennorrhagie. Certaines ctoilocpmnias de l blennorrhagie rendent très bien compte de cette ioinufsfd du gonocoque dans le sang. Ainsi on sait que le rhumatisme blennorrhagique peut 'accogr de lésions cardiaques, valvulaires en particulier ; o, Gebhart a nclé un fragment de la valvule mitrale, provenant de l'autopsie dun malade atteint de blennorrhagie, et a provoqué ainsi 'urèthrite chez 'elm.hmo Le gonocoque ext dans ctt valvule avait donc passé da le sang. C que o ne savons pas, c'est le minimum des lésions nécessaires pu que le microbe pénètre dan le torrent circulatoire Autre question : ne trouve-t-on sap le gonocoque n l'urètre sain C'est l'objection qui a t faite itmdeémtmiena aux travaux de Nes. Différents auteurs disent avoir constaté dans l'urètre des diplocoques à p près semblables, mais il faut rmaruer que ces observations frnt faites à une épq où l'on n'avait pa encore nettement établi la distinction des nombreux microbes qui existent nrmlmnt dans l'urètre ; je en crois pas quant

du gonocoque dans le sang. Ainsi on sait que le rhumatisme blennorrhagique peut s'accompagner de lésions cardiaques, valvulaires en particulier ; or, Gebhart a inoculé un fragment de la valvule mitrale, provenant de l'autopsie d'un malade atteint de blennorrhagie, et a provoqué ainsi l'urèthrite chez l'homme. Le gonocoque existant dans cette valvule avait donc passé dans le sang. Ce que nous ne savons pas, c'est le minimum des lésions nécessaires pour que le microbe pénètre dans le torrent circulatoire. Autre question : ne trouve-t-on pas le gonocoque dans l'urètre sain ? C'est l'objection qui a été faite immédiatement aux travaux de Neisser. Différents auteurs disent avoir constaté dans l'urètre des diplocoques à peu près semblables, mais il faut remarquer que ces observations furent faites à une époque où l'on n'avait pas encore nettement établi la distinction des nombreux microbes qui existent normalement dans l'urètre ; je ne crois pas quant à moi, que le gonocoque s'y rencontre en dehors de l'infection blennorrhagique, sauf à devenir virulent, comme l'ont soutenu certains auteurs, sous l'influence de l'inflammation gonorrhéique. Le regrettable Straus, médecin de l'hôpital du Midi, dont on ne peut nier la haute compétence, dit avoir observé le gonocoque chez un jeune garçon qui niait avoir eu des rapports vénériens, mais faut-il s'en tenir aux déclarations du malade en pareille matière ? ajoutons que les causes de contamination sont très multiples et peuvent passer inaperçues. C'est ainsi que Vibert et Bordas ont signalé chez les petites filles, de fréquentes vulvovaginités à gonocoque. En pareil cas, il y a une foule d'agents de contamination à invoquer, le lit de la mère ou du père, les attouchements, etc. Oppenheim et Bumm ont de même décrit le gonocoque dans beaucoup de sécrétions vaginales ; on s'y explique sa présence par les mêmes raisons. Signalons les éponges et les serviettes mouillées qui ont la propriété de conserver avec sa virulence le gonocoque, comme des agents fréquents de contamination. Étudions maintenant la recherche du gonocoque. Chez les hommes, il suffira de presser sur la face inférieure du canal et de recueillir une goutte de pus sur une

du gonocoque dans le sang. Ainsi on sait que le rhumtsm blnnrrhgq peut 'accompagner de élosins cardiaques, avulai en particulier or, Gebhart a inoculé n fragment d la vlvl mitrale provenant de 'autopsie 'un malade atteint d blennorrhagie, et a provoqué ainsi 'urèthrite chez l'homme. Le gonocoque existant dans cette alvle vt dnc passé dans le sang. Ce que nous ne svns pas, c'est le minimum ds lésions nécessaires pour q le iobe péntre dans le torrent circulatoire. ue etiqsuno : ne trouve-t-on pas le gonocoque dans l'urètre sain ? C'est l'objection qui a été faite mmédtmnt x travaux de isr Dfférnts auteurs disent avoir constaté dans l'urètre des diplocoques à près semblables, mais il faut remarquer que ces observations furent faites à une époque où l'on n'avait ps encore ntemn établi la distinction des nombreux microbes q existent normalement dans l'rètr ; j ne cr pas quant à moi, que le qnuecogoo s'y rencontre en dehors de l'infection blennorrhagique, sauf à enir virulent, comme olt'n soutenu certains auteurs, sous l'influence de l'inflammation gonorrhéique. Le regrettable aS,tsur médecin de l'hôpital du i dont on ne peut nier la haute compétence, dit v observé le gonocoque chez un jeune garçon qui niait avoir eu des rapports vénériens, mai faut-il 'en tenir aux déclrtns malade en pareille mtèr ajoutons e s causes de contamination sont très multiples et pvnt passer inaperçues. C'st ainsi que Vibert et Bordas ont signalé chez les petites filles, de fréquentes vulvovaginités à gonocoque. nE pareil cas, il y a une foule sadn'teg de contamination invoquer, le lit de la mère ou du père les attouchements, etc. Oppenheim t Bumm otn de même décrit le gonocoque dans beaucoup de sécrétions vaginales ; n s'y explique présence par les êe rsns. Signalons les éponges et les serviettes mouillées qui ont la propriété de conserver avec sa virulence le gncq, comme d agents fréquents de contamination. Étudions maintenant la recherche du gonocoque. Chez les hommes, il suffira de presser ur la face inférieure d canal t de recueillir une oue de pus sr une

garçon qui niait avoir eu des rapports vénériens, mais faut-il s'en tenir aux déclarations du malade en pareille matière ? ajoutons que les causes de contamination sont très multiples et peuvent passer inaperçues. C'est ainsi que Vibert et Bordas ont signalé chez les petites filles, de fréquentes vulvovaginités à gonocoque. En pareil cas, il y a une foule d'agents de contamination à invoquer, le lit de la mère ou du père, les attouchements, etc. Oppenheim et Bumm ont de même décrit le gonocoque dans beaucoup de sécrétions vaginales ; on s'y explique sa présence par les mêmes raisons. Signalons les éponges et les serviettes mouillées qui ont la propriété de conserver avec sa virulence le gonocoque, comme des agents fréquents de contamination. Étudions maintenant la recherche du gonocoque. Chez les hommes, il suffira de presser sur la face inférieure du canal et de recueillir une goutte de pus sur une lame d'acier ou de platine stérilisée et de l'étendre sur une lame de verre. Lorsque l'écoulement est très abondant, on peut se contenter d'appliquer une lame de verre contre le gland. Chez la femme, il est plus difficile d'aller à la recherche du pus ; je me sers d'une curette de platine, qui est dirigée doucement dans le canal et ramène les cellules épithéliales et les globules de pus. Ce procédé peut à la rigueur s'employer aussi chez les hommes, à l'aide de petites lames de platine, minces, flexibles, et parfaitement moussés, que l'on introduit entre les bords du méat de façon à recueillir une gouttelette de liquide suffisante pour permettre un examen concluant. Si on étale le pus entre deux lames de verre et qu'on les frotte l'une contre l'autre, le gonocoque apparaît généralement hors des cellules. En le déposant ou en l'étendant au moyen d'une aiguille sur une lame de verre, reste à leur intérieur des éléments. Bref, la goutte de pus étant déposée sur la lamelle, vous séchez à la flamme, puis vous colorez soit avec le violet de gentiane, soit avec le bleu de méthyle. Le violet s'emploie en solution à 6 o/o, le bleu en

garçon qui nt avoir eu des rapports vénériens, mais faut-il s'en tenir aux déclarations du aade en pareille eètaimr ? ajoutons que les causes de nocmointnaati otsn srèt multiples et peuvent passer e.nsiurapçe C'est ainsi que irt et Bordas ont signalé chez les petites filles, de fréquentes vulvovaginités à gonocoque. En pareil cas, il y a une foule d'agents de contamination à invoquer, le lit de l mère ou du père, les attouchements, etc. Oppenheim et Bumm ont de même décrt el gonocoque dans beaucoup de sécrétions vaginales ; on ' explique sa présence rpa les mêmes raisons. Signalons les éponges et ls serviettes mouillées qui tno la propriété de conserver avec sa virulence le gonocoque, comme des agents fréquents de contamination. Étudions maintenant la recherche du gonocoque. Chez les hommes, il sffr d presser sur la face inférieure du canal et de recueillir une goutte de spu sur une lame d'acier ou de platine stérilisée et ed 'étendre sur une lame de verre. Lorsque l'écoulement tse très abondant, n pt se contenter d'appliquer une lame de verre contre le gland. Chez la femme, l est plus difficile d'aller à la recherche du ps ; je me sers d'une curette d platine, qui est dirigée dcmnt dans le canal et ramène s cellules épithéliales et les globules de pus. Ce poéé peut à la rigueur s'employer aussi chez les hommes, à l'aide de ts lames de platine, ice flexibles, et parfaitement moussés que l'on introduit ntr les brds méat de façon à recueillir une gouttelette de liquide suffisante pour permettre un examen concluant. Si on étale le pus entre deux lames de verre et qu'on les frotte l'une contre 'autre, gocoue apparaît généralement hors des cellules. En le déposant ou en l'étendant au moyen d'une aiguille sur une lame de vere reste à leur intérieur ds éléments. Bref, la goutte de pus étant déposée sr la lamelle, vous séchez à la flamme, puis vous colorez soit vc l violet de gentiane, soit avec le bl de méthyle. Le violet s'emploie en solution à 6 o/o, le bleu en

de platine, qui est dirigée doucement dans le canal et ramène les cellules épithéliales et les globules de pus. Ce procédé peut à la rigueur s'employer aussi chez les hommes, à l'aide de petites lames de platine, minces, flexibles, et parfaitement moussés, que l'on introduit entre les bords du méat de façon à recueillir une gouttelette de liquide suffisante pour permettre un examen concluant. Si on étale le pus entre deux lames de verre et qu'on les frotte l'une contre l'autre, le gonocoque apparaît généralement hors des cellules. En le déposant ou en l'étendant au moyen d'une aiguille sur une lame de verre, reste à leur intérieur des éléments. Bref, la goutte de pus étant déposée sur la lamelle, vous séchez à la flamme, puis vous colorez soit avec le violet de gentiane, soit avec le bleu de méthyle. Le violet s'emploie en solution à 6 o/o, le bleu en solution à 3 o/o environ. D'ailleurs on arrive par l'habitude à juger de la dilution convenable. Une bonne préparation est celle que Guiard formule ainsi : Violet de gentiane en solution à 60/0. 1 volume Bleu de méthyle en solution aqueuse concentrée 2 volumes Solution de potasse 1 millième Les lymphocytes sont colorés en violet, et le gonocoque en bleu foncé. Ces divers réactifs colorent la plupart des microbes. Le gonocoque se distingue encore par d'autres particularités. Roux (de Lyon) a constaté que le gonocoque ne prend pas le gramme. Ce procédé consiste après coloration, à fixer la préparation à l'aide de ce mélange dit de Lugol : Iode 5 g1" Iodure de K 2 gr. Eau 300 gr. On lave ensuite à l'alcool absolu. Avec le gonocoque, la décoloration est complète. En outre, on constate que d'autres éléments, les noyaux des cellules et certains microbes accessoires, ont pris le gramme. Cette recherche a pris beaucoup d'importance de nos jours et doit être bien connue. Elle est d'une réelle utilité dans les cas douteux. Pour être complète, elle doit comporter non seulement l'examen microscopique, mais les cultures. En 1882, chez Horteloup je crus cultiver le gonocoque sur le bouillon ;

platine q est dirigée docen dans le canal et ramène les cellules épithéliales et les glbls d pus. Ce procédé peut à la rigueur s'employer aussi chez les hommes, à l'aide de petites lames de platine, minces, flexibles, e parfaitement moussés, que l'on introduit entre les bords du méat de façon à rcllr une gouttelette de liquide suffisante pour permettre un examen concluant. Si n étale le pus entre deux lames d verre et qu'on les frotte l'une ceornt l'autre, le gonocoque apparaît généralement hors des cellules. En le déposant ou en l'étendant au moyen d'une aiguille sur ne lame e verre, ree leur intérieur des éléments Bref, al goutte de pus étant déposée sr la lamelle, vous séchez à la flamme, puis vous colorez soit avec le tiovle de gentiane, soit avec le bleu de méthyle. Le violet semle en solon à 6 o/o, el bleu en so à 3 o/o environ. D'ailleurs on arrive rpa l'habitude à juger de la dilution convenable. Une bonne préparation est cll que Guiard formule ainsi : Violet de gentiane en solution à 60/0. 1 volume Bleu de méthyle en solution aqueuse concentrée 2 volumes Solution de potasse 1 millième Les lymphocytes ont colorés en t, et le gonocoque en bleu foncé. Ces divers réactifs colorent la urptpla des mcrbs. Le gncq se distingue encore par d'autres particularités. Roux (de Lyon) a constaté que le ocue ne prend pas le gramme. Ce procédé cnsst après coloration, à fixer préparation à l'aide de ce mélange dit de u Iode 5 g1" dr de K gr. Eau 300 gr. On lave ensuite à l'alcool absolu. Avec le gonocoque, la décoloration est complète. En outre, o constate que d'autres éléments, les noyaux des cellules et cert microbes accessoires, ont pris le gramme. Cette recherche a pris beaucoup d'importance de nos jours et doit être iebn connue. Elle est d'une reéell tlté dans les cas douteux. Pour être complète, elle dt comporter non seulement 'examen microscopique, mais les cultures En 1882, chez Hrtlp je crus cultiver le gonocoque sur bouillon ;

lymphocytes sont colorés en violet, et le gonocoque en bleu foncé. Ces divers réactifs colorent la plupart des microbes. Le gonocoque se distingue encore par d'autres particularités. Roux (de Lyon) a constaté que le gonocoque ne prend pas le gramme. Ce procédé consiste après coloration, à fixer la préparation à l'aide de ce mélange dit de Lugol : Iode 5 g1" Iodure de K 2 gr. Eau 300 gr. On lave ensuite à l'alcool absolu. Avec le gonocoque, la décoloration est complète. En outre, on constate que d'autres éléments, les noyaux des cellules et certains microbes accessoires, ont pris le gramme. Cette recherche a pris beaucoup d'importance de nos jours et doit être bien connue. Elle est d'une réelle utilité dans les cas douteux. Pour être complète, elle doit comporter non seulement l'examen microscopique, mais les cultures. En 1882, chez Horteloup je crus cultiver le gonocoque sur le bouillon ; Neisser sur la gélatine. Depuis, on s'est aperçu que pour avoir de vraies cultures, il fallait un autre milieu. En 1884, Bumm indiqua le sérum humain. Ce milieu peut-être associé soit au sang placentaire, soit au sang obtenu par la saignée, soit à la gélose, à l'agar, au liquide kystique ou ascitique. Le gonocoque forme des taches grisâtres au bout de 24 heures à la température de 340 à 36°. Il supporte mal la chaleur. Cliniquement nous avons remarqué que les affections fébriles, la fièvre typhoïde par exemple, arrêtent la blennorrhagie. Le cas de Finger cité plus haut est absolument exceptionnel. Le gonocoque appartient au groupe des diplocoques, c'est-à-dire qu'il est double, son aspect peut-être comparé à celui de deux grains de café accolés par leur partie concave ; il mesure en général un demi millième de millimètre de longueur ; chaque élément offre en moyenne 8 dixièmes sur 6 dixièmes de µm, mais il y en existe de diverses grosseurs. Les grains, entourés d'une capsule, offrent l'aspect d'une ovoïde, sur les extrémités duquel il est très difficile d'apercevoir l'encoche d'Eichbaum. Les gonocoques sont souvent animés de mouvements browniens, lors de l'examen, mais on les considère comme étant dénués de

lymphocytes sont colorés en violet, et le gonocoque en bleu foncé. Cs vrised réactifs et la plupart des microbes. Le gonocoque se distingue encore pr d'autres particularités. Roux (de Lyon a constaté que le gonocoque ne prend ps le gramme. Ce procédé consiste après coloration, à fixer l préparation l'aide de ce mélange dit de Lugol Iode 5 g1" Iodure de K 2 gr. Eau 300 gr. lave su l'alcool abo Avec le gonocoque, la décoloration est complète. En outre, n constate que 'seartdu élémnts, les noyaux des cellules et certains microbes accessoires, ont r le gramme. Cette recherche a pris beaucoup d'importance de nos jours et doit être bien connue. Elle est d'une réelle utilité dans les cs douteux. Pour être complète, elle doit cmprtr non seulement l'examen rcie mais les tures En 1882 chez Horteloup je crus cultiver le gonocoque sur le ollo ; Neisser sur la gélatine. Depuis, on s'est aperçu que pour avoir de vraies cultures, il fallait un autre milieu. En 1884, Bumm ndq l sérum humain. Ce milieu peut-être associé soit au sang placentaire, soit au sng obtenu par la sgné, soit à la gélose, à l'agar, au liquide kystique ascitique. Le gonocoque forme des taches grisâtres a bout d 24 heures à la température de 340 à 36 Il supporte mal la chaleur. Cliniquement nous avons remarqué que s ffctns fébriles, la fièvre typhoïde pr exemple, arrêtent la blnnrrhg. e cas de Finger cité plus haut est absolument exceptionnel. Le gonocoque prtiet au groupe des se,oqopdiluc c'est-à-dire qu'il est ,bdlueo son pct peut-être comparé à elu de deux grains de cfé cés pr leur prt concave ; il mesure en général n demi millième de millimètre de longueur ; chq élément offre en moyenne 8 dixièmes sur 6 mixisèed de µm, mais il y en iste de diverses grosseurs. Les grains, entourés 'une capsule, offrent l'aspect d'une ovoïde, sur les xé duquel il est très difficile d'apercevoir l'ncch d'Eichbaum. Les gonocoques snt vnsetou animés d mouvements browniens, lors de l'examen, mais n ls considère comme étant és de

ou ascitique. Le gonocoque forme des taches grisâtres au bout de 24 heures à la température de 340 à 36°. Il supporte mal la chaleur. Cliniquement nous avons remarqué que les affections fébriles, la fièvre typhoïde par exemple, arrêtent la blennorrhagie. Le cas de Finger cité plus haut est absolument exceptionnel. Le gonocoque appartient au groupe des diplocoques, c'est-à-dire qu'il est double, son aspect peut-être comparé à celui de deux grains de café accolés par leur partie concave ; il mesure en général un demi millième de millimètre de longueur ; chaque élément offre en moyenne 8 dixièmes sur 6 dixièmes de µm, mais il y en existe de diverses grosseurs. Les grains, entourés d'une capsule, offrent l'aspect d'une ovoïde, sur les extrémités duquel il est très difficile d'apercevoir l'encoche d'Eichbaum. Les gonocoques sont souvent animés de mouvements browniens, lors de l'examen, mais on les considère comme étant dénués de toute faculté de locomotion. On les rencontre toujours par groupes, parfois de plusieurs dizaines, sous forme d'amas ; ils n'affectent jamais la disposition en chaînette du streptocoque et sont séparés par une matière glaireuse. Ils pénètrent d'abord dans les leucocytes et les détruisent complètement, sauf leur noyau. Ils jouent en un mot le rôle de phagocytes. Il est également hors de doute qu'ils s'attaquent aux cellules épithéliales, bien que ce sujet ait soulevé des discussions. Le gonocoque échappe facilement à l'action des injections et des médicaments, parce qu'il se dissimule dans la profondeur des épithéliums et les replis des muqueuses ; mais c'est un microbe délicat et très peu résistant, puisque la simple dessication suffit pour le rendre inoffensif. L'expérimentation l'a prouvé plus de deux cents fois à Wellander. Boucher seulement avec de l'ouate le tube de culture et celle-ci meurt, tandis qu'elle se conserve si on met un bouchon de caoutchouc qui maintient l'humidité suffisante à la vie du diplocoque. Celui-ci se conserve dans l'éponge et le linge mouillé, l'ouate, l'eau du bain. Cependant sa virulence se perdrait dans ce dernier cas au bout de 4 ou 5 heures. Mais cela suffit pour causer des contaminations dont j'ai vu

ou sctq. Le gonocoque forme des taches grisâtres au bout de 24 heures à la température de 340 à 36°. Il spprt mal la chaleur. Cliniquement nous avons remarqué que les affections fébriles, la fièvre typhoïde par exemple, arrêtent la blnorhgi. Le cas de Finger cté plus haut est absolument exceptionnel. Le gonocoque appartient au groupe des diplocoques, c'st-à-dr qu'il st double, son aspect peut-être cmpré à celui de duex grains de café accolés par leur partie concave ; il mesure en général un demi millième d millimètre de longueur ; chaque élément offre en moyenne 8 dixièmes sur 6 dixièmes d µm, mais il y en x de diverses grosseurs. Les grains, ntorés capsule, offrent ape d'une ovoïde, sur les extrémités duquel li est très iiecifldf d'apercevoir l'encoche d'Eichbaum. Ls gns sont souvent animés de mouvements browniens, lors de lexamen mais on les considère comme étant dénués de toute faculté de locomotion. les rencontre toujours par groupes, parfois de plusieurs dizaines, sous forme d'amas ; ils n'affectent jamais la disposition n chaînette du streptocoque et sont séparés par une matière lee. Ils pénètrent dbd dans les leucocytes et les détruisent complètement sauf leur noyau. ls jouent en un mot el rôle de phagocytes. Il est également hors de uedto qu'ils s'ttqnt aux ell épithéliales, bien que ce sujet ait soulevé des discussions. Le gonocoque échappe facilement à l'action des injections e des médicaments, parce quil se dissimule dans la profondeur ds éptélms et les replis des mquse ; mais c'est un roe délicat et très peu résistant, puisque l simple dessication sfft pour l rendre inoffensif. L'expérimentation l'a prouvé plus d deux sntec fois à Wellander. Boucher seulement avec de l't le tube de culture et celle-ci mrt, tandis q'll se conserve si on met n bouchon de caoutchouc qui maintient l'humidité suffisante à la vie du ipoque. Celui-ci se conserve dans l'éponge et le linge mouillé, l't, l'eau du bain. Cependant sa virulence se perdrait dans ce deerrni cas au bout de 4 ou 5 heures. Mais cela suffit pour causer esd contaminations dont j'ai vu

un mot le rôle de phagocytes. Il est également hors de doute qu'ils s'attaquent aux cellules épithéliales, bien que ce sujet ait soulevé des discussions. Le gonocoque échappe facilement à l'action des injections et des médicaments, parce qu'il se dissimule dans la profondeur des épithéliums et les replis des muqueuses ; mais c'est un microbe délicat et très peu résistant, puisque la simple dessication suffit pour le rendre inoffensif. L'expérimentation l'a prouvé plus de deux cents fois à Wellander. Boucher seulement avec de l'ouate le tube de culture et celle-ci meurt, tandis qu'elle se conserve si on met un bouchon de caoutchouc qui maintient l'humidité suffisante à la vie du diplocoque. Celui-ci se conserve dans l'éponge et le linge mouillé, l'ouate, l'eau du bain. Cependant sa virulence se perdrait dans ce dernier cas au bout de 4 ou 5 heures. Mais cela suffit pour causer des contaminations dont j'ai vu des exemples terribles dans les hôpitaux, notamment un cas conjonctivites blennorrhagique suivi de destruction complète des deux yeux. Certains microbes, comme le pyocyanique, enrayaient le développement du gonocoque par leur présence sur le même milieu de culture. Plusieurs expérimentateurs ont essayé d'inoculer le pus blennorrhagique aux animaux. Nous-mêmes avons essayé d'inoculer le gonocoque dans l'œil du chat, du lapin, dans l'urètre du chien. Toutes ces expériences furent négatives. Gonzalès pensant que la température était un obstacle, a refroidi artificiellement un chien en plongeant ses pattes dans l'eau ou en lui administrant de l'antipyrine, et n'a pas réussi davantage. Il n'obtint un semblant de succès que dans une seule expérience, dans laquelle il avait préalablement irrité le canal urethral par l'injection de sublimé. Les effets du gonocoque ne sont pas seulement locaux. Je vous ai montré qu'il y avait des phénomènes d'infection du voisinage et à distance. Mais il y a en outre un effet général produit par la toxine. Les vieux auteurs la présentaient quand ils parlaient de lutes gonorrhéiques, le substratum en est connu et aujourd'hui, nous l'isolons en filtrant les cultures. Le liquide obtenu injecté aux animaux produit des effets morbides. Il n'en produit plus si on le

un mt le rôle de phagocytes. Il est également hors de doute qu'ils s'attaquent aux cellules épithéliales, bien que ce sujet ait soulevé des discussions. Le gonocoque échappe facilement à 'ltcioan des injections et des édents parce qu'il se ss dans la profondeur des épithéliums et les replis des muqueuses ; mais c'est un microbe délicat et très peu résistant, puisque la simple dssctn suffit pour le rendre inoffensif L'expérimentation l'a prouvé plus ed deux cents fois à Wellander. Boucher seulement vc de l'ouate le tb de culture et celle-ci meurt, tandis qu'elle se conserve si n met un bchon de caoutchouc qui maintient l'humidité suffisante à l vie d diplocoque. Celui-ci se conserve dans l'éponge et le linge mllé, l'ouate, l'eau du bn. Cependant sa virulence se perdrait dns ce dernier cas au bout e 4 ou 5 seer.uh Mais cela suit pour causer des contaminations dont j'ai vu des exemples terribles dans les hôptx, notamment un s conjonctivites blennorrhagique suivi de destruction complète des deux yeux. Crtns microbes, comme le pyocyanique, enrayaient le développement du gu par leur rsence sur le même milieu de clue. Plusieurs expérimentateurs ont essayé dinoculer le ps blennorrhagique aux animaux. Nous-mêmes avons essayé d'inoculer gonocoque dans l'œil du chat, du lapin, dans l'urètre du chien. Toutes ces expériences furent négatives. Gonzalès pensant que la température était un obstacle refroidi artificiellement un chien en plongeant ses pattes dans l'eau ou n lui administrant de l'antipyrine, t n'a pas réussi davantage. Il n'obtint un semblant de succès ueq dans une seule expérience, dans laquelle il avait préalablement irrité le canal urethral par l'injection de sublimé Les effets du gonocoque ne sont pas seulement locaux. Je o ai montré qu'il y avait des phénomènes d'infection du voisinage et à distance. Ms il y a en outre ffete général uoptird par la toxine. Les vieux trs la présentaient uqdan ils ren de lutes gonorrhéiques, le substratum en est connu et aujourd'hui, nous l'slns en flt les cultures. Le liquide obtenu injecté aux animaux produit des effets morbides. Il nen produit plus si on l

d'inoculer le gonocoque dans l'œil du chat, du lapin, dans l'urètre du chien. Toutes ces expériences furent négatives. Gonzalès pensant que la température était un obstacle, a refroidi artificiellement un chien en plongeant ses pattes dans l'eau ou en lui administrant de l'antipyrine, et n'a pas réussi davantage. Il n'obtint un semblant de succès que dans une seule expérience, dans laquelle il avait préalablement irrité le canal urethral par l'injection de sublimé. Les effets du gonocoque ne sont pas seulement locaux. Je vous ai montré qu'il y avait des phénomènes d'infection du voisinage et à distance. Mais il y a en outre un effet général produit par la toxine. Les vieux auteurs la présentaient quand ils parlaient de lutes gonorrhéiques, le substratum en est connu et aujourd'hui, nous l'isolons en filtrant les cultures. Le liquide obtenu injecté aux animaux produit des effets morbides. Il n'en produit plus si on le précipite par l'alcool absolu. Cette toxine introduite dans l'urètre amène un écoulement purulent d'origine blennorrhagique, mais amicrobien, éphémère et guérissant spontanément. De plus il se déclare sans incubation. Il diffère donc notablement de l'écoulement blennorrhagique. Le milieu de culture seul n'a aucune action. On s'est demandé si dans certains cas la toxine pourrait servir en excitant le canal jusqu'à l'urèthrite, à provoquer le réveil des germes latents et à contrôler la réalité des guérisons. Enfin l'infection gonococcique peut amener des éruptions cutanées, des exanthèmes, de la fièvre. Lesser a soutenu que cette fièvre avait le type intermittent, parce que le microbe cessait de se développer quand la température atteignait les environs de 40°, puis recommençait à pulluler dès qu'elle s'abaissait, et ainsi de suite. Ce n'est là qu'une théorie. D'autre part, Zeissl a vu le pouls tomber à 40 pulsations sous l'influence de la toxine gonococcique. L'isolement de la toxine a donné à de Christmas l'idée de préparer en immunisant la chèvre, un sérum antitoxique, et il y a quatre ans, j'en ai fait l'expérience ici même ; en 24 heures une blennorrhagie intense et rebelle fut guérie à moitié à la suite d'une injection sous-cutanée, mais ce liquide avait

d'inoculer le goncoqe asdn l'œil du chat, du lapin, dans l'urètre du chien. Tte ces expériences furent négatives. Gonzalès pensant que l température i un obstacle, a refroidi artificiellement un chn en plongeant ses ptts dans l'eau ou n lui administrant de l'antipyrine, et n'a pa réss davantage. Il 'obtint un semblant de succès que dns une seule expérience, dns laquelle il vt préalablement irrité le anacl lraeruht par njtin e sublimé Les effets du gonocoque ne sont psa seulement locaux. Je vous ai montré qu'il y avait ds phénomènes d'infection du voisinage et à distance. Mais il y en un effet général produit par la toxine. Les vieux auteurs la présentaient quand ils parlaient d lts gonorrhéiques, le substratum n est connu et aujourd'hui, ns l'isolons en filtrant les cultures. Le liquide obtenu injecté aux animaux prdt des effets morbides. Il 'en produit ulsp si on le précipite pr 'alcool absolu. Cette toxine introduite ans l'urètre amène un écoulement purulent d'origine blennorrhagique, ms amicrobien, éphémère et guérissant spontanément. De plus il se éclar san incubation I dffère donc notablement d 'écoulement blennorrhagique. Le milieu de culture seul n'a aucune action. On s'est demandé si dans certains asc l toxine pourrait servir en excitant le canal jusqu'à l'urèthrite, à vour l réveil des germes latents et à contrôler la réalité des guérisons. Enfin 'infection gonococcique peut amener des éruptions cutanées, des exanthèmes, de l fièvre. Lesser a soutenu que cette fièvre avait le type intermittent, parce que le microbe cessait de e développer quand la température atteignait sle environs de 4 puis omeçat à pulluler dès qu'elle basai, et ainsi d suite eC n'est là qu'une théorie. 'autre part, Zeissl a vu le pouls tomber à 40 pulsations sous linfluence de la toxine gonococcique. L'slmnt de la toxine donné à Christmas ielé'd de préparer en immunisant la chèvre, un sérum antitoxique, et il y a quatre s, j'en ai fait l'expérience ici même ; en 24 heures une blennorrhagie intense et rebelle fut guérie à mté à al suite d'une injection sous-cutanée, mais ce liquide aatvi

la toxine pourrait servir en excitant le canal jusqu'à l'urèthrite, à provoquer le réveil des germes latents et à contrôler la réalité des guérisons. Enfin l'infection gonococcique peut amener des éruptions cutanées, des exanthèmes, de la fièvre. Lesser a soutenu que cette fièvre avait le type intermittent, parce que le microbe cessait de se développer quand la température atteignait les environs de 40°, puis recommençait à pulluler dès qu'elle s'abaissait, et ainsi de suite. Ce n'est là qu'une théorie. D'autre part, Zeissl a vu le pouls tomber à 40 pulsations sous l'influence de la toxine gonococcique. L'isolement de la toxine a donné à de Christmas l'idée de préparer en immunisant la chèvre, un sérum antitoxique, et il y a quatre ans, j'en ai fait l'expérience ici même ; en 24 heures une blennorrhagie intense et rebelle fut guérie à moitié à la suite d'une injection sous-cutanée, mais ce liquide avait une action locale particulièrement irritante; espérons qu'on arrivera à une préparation facilement tolérée et qui rendra les plus grands services dans les complications de la blennorrhagie. La blennorrhagie est une maladie spécifique et le gonocoque produit des effets spécifiques. Voillemier fit une expérience dans laquelle il introduisit dans l'urètre une bougie enduite du pus d'un abcès du tissu cellulaire ; il n'obtint aucun résultat. Inversement Beaumetz inocula le pus d'une blennorrhagie dans l'urètre et au bout de trois jours vit se développer une blennorrhagie des plus aiguës. L'histoire de la blennorrhagie a donné lieu à certaines théories erronées qu'il est utile de classer. C'est une affection qui paraît avoir existé de toute antiquité. Elle semble être mentionnée dans le Lévitique ; beaucoup de passages bibliques où il est question d'écoulement de semence et d'ulcères du canal doivent s'y rapporter. OEfelé a trouvé sur les vieux hiéroglyphes de l'Égypte les traces de son existence 350 ans avant J.-C. Rabelais, dans son Pantagruel, parle de la blennorrhagie, sous le nom de « pisse-chaud ». À la Renaissance, on la confondait avec le chancre mou, la vérole et même la lèpre. Un médecin de Louis XIV rapporte qu'au commencement du mois de mai

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bougie enduite du pus d'un abcès du tissu cellulaire ; il n'obtint aucun résultat. Inversement Beaumetz inocula le pus d'une blennorrhagie dans l'urètre et au bout de trois jours vit se développer une blennorrhagie des plus aiguës. L'histoire de la blennorrhagie a donné lieu à certaines théories erronées qu'il est utile de classer. C'est une affection qui paraît avoir existé de toute antiquité. Elle semble être mentionnée dans le Lévitique ; beaucoup de passages bibliques où il est question d'écoulement de semence et d'ulcères du canal doivent s'y rapporter. OEfelé a trouvé sur les vieux hiéroglyphes de l'Égypte les traces de son existence 350 ans avant J.-C. Rabelais, dans son Pantagruel, parle de la blennorrhagie, sous le nom de « pisse-chaud ». À la Renaissance, on la confondait avec le chancre mou, la vérole et même la lèpre. Un médecin de Louis XIV rapporte qu'au commencement du mois de mai 1665, on lui donna avis que la chemise du roi était gâtée d'une matière qui donnait le soupçon de quelque mal, à quoi il était urgent de prendre garde. Les personnes qui donnèrent les premiers avis n'étaient pas bien affirmatives sur la nature et la qualité du mal ; on crut d'abord que ce n'était que des pollutions. Et l'auteur du mémoire s'acharne à expliquer cet incident sans admettre une maladie vénérienne. « Après avoir bien examiné toutes choses, je tombai, dit-il, en d'autres sentiments et me persuadai que cet accident était de la plus grande importance. Je n'avais aucun doute de la pureté de sa vie non plus que de sa chasteté ! » « Enfin il finit par attribuer cette chaude-pisse évidente à la faiblesse des prostates et des vaisseaux spermatiques. Il arrive à conclure à l'écoulement de semence comme les anciens, interprétation qui nous fait sourire aujourd'hui. Hunter, au siècle dernier, eut le courage de s'inoculer le pus blennorrhagique dans le but d'élucider la question alors très discutée de la dualité de la blennorrhagie et de la vérole. Il tomba, ironie du hasard ! sur un cas de chaude-pisse coïncidant avec un chancre syphilitique de l'urètre ;

bougie enduite du pus d'un abèsc u tissu cellulaire ; il n'obtint aucun rsltat Inversement Beaumetz cioualn le pus d'une blennorrhagie dans l'urètre et au bout de trois jours vit se développer une blennorrhagie des plus aiguës. L'histoire de la blennorrhagie donné lieu à certaines théories erronées quil est tl de classer. C'est une fcn iuq arat avoir exisét de toute antiquité. Elle semble mentionnée dans le Lévitique ; bcp de passages bibliques où il est qotsiune d'écoulement de semence et d'lcèrs du canal doivent s'y rapporter. OEfelé a trouvé sur les vieux hérglyphs l'Égypte les traces de son existence 350 ans avant J.-C. Rabelais, dans nos Pantagruel, pare de la blennorrhagie, ss le nom de « pisse-chaud ». À la Renaissance, on la confondait avec le chancre mou, la vole et même la lèpre. Un médecin de Louis XIV rpt qu'u commencement du mois de mai 1665, on lui donna avis la chemise du roi était eâgét 'u matière qui donnait le soupçon de quelque mal, à quoi il était urgent de prendre garde Les personnes qui donnèrent les premiers avis n'étaient s bien affirmatives sur la nature et la qualité du mal ; on crut d'br e ce n'était que des pollutions. Et lauteur du mémoire s'acharne à expliquer et incident ans admettre une maladie vénérienne. « Après vr bie examiné toutes choses, j tombai dit-il, en d'trs sentiments et me persuadai que ce ccdnt étit de la plus grande importance. e n'vs aucun e de la pureté e sa vie non upls q de s chasteté ! » « Enfin il fnt par ttrbr cette chaude-pisse évidente à la faiblesse des prostates et des vaisseaux spermatiques. Il arrive à conclure à l'écoulement d semence comme lse anciens, interprétation qui fait sourire aujourd'hui. Hunter, au ècle dernier, eut le courage de s'inoculer le pus unieoglaqrernhb dans le but d'élucider la question rlsoa très discutée d la dualité de la blennorrhagie et de la vérole. l tob, ironie du hsrd sur n cas de chaudepisse coïncidant avec n chancre syphltq de 'urètre ;

crut d'abord que ce n'était que des pollutions. Et l'auteur du mémoire s'acharne à expliquer cet incident sans admettre une maladie vénérienne. « Après avoir bien examiné toutes choses, je tombai, dit-il, en d'autres sentiments et me persuadai que cet accident était de la plus grande importance. Je n'avais aucun doute de la pureté de sa vie non plus que de sa chasteté ! » « Enfin il finit par attribuer cette chaude-pisse évidente à la faiblesse des prostates et des vaisseaux spermatiques. Il arrive à conclure à l'écoulement de semence comme les anciens, interprétation qui nous fait sourire aujourd'hui. Hunter, au siècle dernier, eut le courage de s'inoculer le pus blennorrhagique dans le but d'élucider la question alors très discutée de la dualité de la blennorrhagie et de la vérole. Il tomba, ironie du hasard ! sur un cas de chaude-pisse coïncidant avec un chancre syphilitique de l'urètre ; voyant se développer un chancre syphilitique il en conclut fatalement à l'identité des deux maladies. Ainsi cette expérience qui en principe devait être concluante était viciée par son point de départ. Il faut arriver pour voir des faits concluants aux mémorables expériences d'Hernandez, médecin du bagne de Toulon, qui a séparé nettement la blennorrhagie de la syphilis en 1812. À la même époque, Seveediaur, expérimentait dans le même but sur lui-même, se fit une injection d'ammoniaque liquide dans le canal uréthral, après quelques heures d'affreuse douleur il vit un véritable flot de pus succéder à cette irritation énergique de la muqueuse. Il en conclut que la blennorrhagie n'était pas la vérole et n'avait pas de spécificité. Il arrivait à une théorie vicieuse, en considérant la blennorrhagie comme une inflammation phlogogène. Cette opinion devait tromper longtemps Ricord et Langlade l'acceptèrent, et il fut admis qu'il suffisait de faire un excès pour contracter la blennorrhagie quoique certains médecins, comme Diday et Rollet, sourirent toujours que la blennorrhagie était une maladie spéciale ne pouvant pas se produire sans contagion. Des discussions interminables s'élevèrent. L'erreur de Ricord et de ses élèves est bien synthétisée dans sa fameuse « recette pour prendre la chaude-pisse ».

crut d'abord que ce ntt q des pollutions. Et l'auteur du mémoire s'acharne à expqe cet incident sans admettre une maladie vénérienne. « Apès avoir bien examiné toutes choses, je tombai, i, n d'autres sentiments et me persuadai que cet accident était d la plus grande mprtnc. Je navais aucun teduo de al peé de sa vie non plus q de sa chasteté » « fi il finit par attribuer cette chaudepisse évidente à la faiblesse des rtes et des vssx spermatiques. Il arrive à conclure l'écoulement de semence cmm les acien, interprétation qui nus fait srr aujourd'hui. Hunter, au siècle dernier, eut le crg de s'inoculer le pus blennorrhagique dans l but d'élucider la question alors très discutée de la dualité de la blennorrhagie et de la vérole. Il tomba, ironie du arsadh ! sur un cas de chaude-pisse coïncidant avec un chancre syphilitique de l'urètre ; oytvan se développer un chncr syphilitique il en conclut fatalement à l'identité des deux maladies. Ainsi cette expérience qui en principe devait être concluante était viciée par son point de départ. Il faut arriver pour voir des faits clans aux mémorables expériences d'Hrnndz, médcn du bagne de Toulon qui a séparé nettement l blennorrhagie de la syphilis en 1812. À la même époque, Seveediaur expérimentait dans l même but sur lui-même, se ft une injection d'ammoniaque qe dans le canal uréthral après quelques heures d'affreuse douleur il vit un viale flot de psu succéder à cette irritation énergique de la muqueuse. Il en conclut que la blennorrhagie 'était pas la vérl et n'avait pas de spécificité. Il arrivait à une théorie vicieuse, en considérant la blennorrhagie comme une inflammation phlogogène. Cette opinion devait tromper longtemps Ricord et algnLaed l'acceptèrent, et l fut admis qu'il fiuistfas de fr un excès pour contracter la ehaie quoique certains médecins, comme Diday et Rollet, sourirent toujours que la blennorrhagie était une maladie spéciale ne pouvant pas se produire sans cntgn. Des discussions interminables s'élevèrent. L'erreur de Ricord et de ses élèves est bien synthétisée dans sa fameuse « recette pour prendre la chaude-pisse ».

séparé nettement la blennorrhagie de la syphilis en 1812. À la même époque, Seveediaur, expérimentait dans le même but sur lui-même, se fit une injection d'ammoniaque liquide dans le canal uréthral, après quelques heures d'affreuse douleur il vit un véritable flot de pus succéder à cette irritation énergique de la muqueuse. Il en conclut que la blennorrhagie n'était pas la vérole et n'avait pas de spécificité. Il arrivait à une théorie vicieuse, en considérant la blennorrhagie comme une inflammation phlogogène. Cette opinion devait tromper longtemps Ricord et Langlade l'acceptèrent, et il fut admis qu'il suffisait de faire un excès pour contracter la blennorrhagie quoique certains médecins, comme Diday et Rollet, sourirent toujours que la blennorrhagie était une maladie spéciale ne pouvant pas se produire sans contagion. Des discussions interminables s'élevèrent. L'erreur de Ricord et de ses élèves est bien synthétisée dans sa fameuse « recette pour prendre la chaude-pisse ». Prenez une femme lymphatique, pâle, blonde, aussi fortement leucorrhéique que vous pourrez, dinez de compagnie; débutez par des huîtres, continuez par des asperges ; buvez sec et beaucoup, du vin blanc ou du Champagne, cela réussit à merveille ; dansez à la suite, échauffez-vous bien, ingérez force bière. L'heure venue conduisez-vous vaillamment... Au réveil, n'oubliez pas de prendre un bain chaud prolongé. Ne négligez pas de faire une injection. Ce programme rempli consciencieusement, si vous n'avez pas la chaude pisse, c'est qu'un Dieu vous protège. Or si les deux conjoints sont bien portants et n'ont pas eu la blennorrhagie antérieurement ils peuvent réaliser et renouveler ce programme, qui n'est pas désagréable au demeurant, sans craindre d'avoir la blennorrhagie. L'opinion des phlogogénistes, sur laquelle repose la recette facétieuse de Ricord, que nous venons de rappeler par curiosité, a fait place aujourd'hui à des données précises et scientifiques, grâce auxquelles nous connaissons sans ambiguïté, les causes vraies de la blennorrhagie. Nous savons que celle-ci ne prend naissance que par contage, et que si la maladie n'existe pas chez l'un des conjoints, elle en surviendra jamais à la suite des rapports qu'ils pourront avoir entre eux dans quelque circonstance que ce soit. C'est

séparé nettement la blennorrhagie de la syphilis en 18.12 al même pq, Seveediaur, expérimentait dans l même but sur lui-même, se fit une injection mmideoan'aqu liquide d le canal uréthral, après quelques heures d'affreuse douleur il vit un véritable flot de us succéder à cette irritation énergique de a muuu. Il en conclut que blennorrhagie n'était ps la vérole et navait as de spécificité. Il rvit à une théorie vicieuse, en considérant la blennorrhagie comme une inflammation phlogogène. Cette opinion devait tromper longtemps Ricord et Langlade l'acceptèrent, et il fut dms qu'il suffisait de faire un excès pour contracter la blennorrhagie quoique certains médecins, comme Ddy et Rollet, sourirent toujours que la blennorrhagie était une maladie spéciale ne pouvant spa se produire sans contagion. Des discussions interminables s'élevèrent. e de Ricord et de ses élèves est bien synthétisée dans sa aes « recette pour prendre isp-eecusadh ». Prenez une femme lymphatique, pâle, blonde, aussi fortement leucorrhéique que vous pourrez dinez de compagnie; débutez par des huîtres, continuez par d asperges ; buvez sec et beaucoup, du vn blanc ou du Champagne, cela réussit à merveille ; dansez à la suite, échauffez-vous ien,b érz force bière. L'heure venue conduisez-vous vaillamment... Au révl, 'obl pas e prendre n bain chaud prolongé. Ne négligez asp de faire une injection. Ce programme rmpl consciencieusement, si vous n'avez pas la chaude pisse, c'est qu'un D vous protège. Or si les deux conjoints sont bien portants et n'ont pas eu la blennorrhagie antérieurement ils peuvent is et renouveler ce programme, q n'st pas désagréable au demeurant, sans craindre d'vr la blnnrrhg. L'opinion des phlogogénistes, sur laquelle repose la recette facétieuse de Ricord, que nous venons de rappeler par curiosité, a fait le aujourd'hui à des données précises et scientifiques, grâce auxquelles nous connaissons sns ambiguïté, ls css vraies de l blnnrrhg. No vn que celle-ci ne prend naissance que pr contage, t que si la maladie n'existe pas chez l'un ds conjoints, elle en surviendra jamais à la suite des rapports qu'ils pourront avoir entre eux dans quelque circonstance que ce soit. C'est

conduisez-vous vaillamment... Au réveil, n'oubliez pas de prendre un bain chaud prolongé. Ne négligez pas de faire une injection. Ce programme rempli consciencieusement, si vous n'avez pas la chaude pisse, c'est qu'un Dieu vous protège. Or si les deux conjoints sont bien portants et n'ont pas eu la blennorrhagie antérieurement ils peuvent réaliser et renouveler ce programme, qui n'est pas désagréable au demeurant, sans craindre d'avoir la blennorrhagie. L'opinion des phlogogénistes, sur laquelle repose la recette facétieuse de Ricord, que nous venons de rappeler par curiosité, a fait place aujourd'hui à des données précises et scientifiques, grâce auxquelles nous connaissons sans ambiguïté, les causes vraies de la blennorrhagie. Nous savons que celle-ci ne prend naissance que par contage, et que si la maladie n'existe pas chez l'un des conjoints, elle en surviendra jamais à la suite des rapports qu'ils pourront avoir entre eux dans quelque circonstance que ce soit. C'est là un revirement heureux et complet dans les idées, et c'est à Neisser que revient le mérite de cette belle conquête. (Leçon recueillie par le Docteur Laporte) Variétés Élection au Conseil supérieur de la Mutualité L'élection a eu lieu le 23 février dernier, comme nous l'avons annoncé. La commission de recensement des votes, instituée au ministère de l'intérieur, par arrêté du 22 juillet 1949, s'est réunie le 7 mars et a proclamé les résultats suivants : Suffrages exprimés 136 Majorité absolue 66 Ont obtenu : MM. les docteurs Gairal, 81 voix ; Archambaud, 36 ; Henrion, 1 ; Raynal, 2 ; Lereboullet, 1 ; Lardier, 1 ; Lande, 1 ; Guibert, 1 ; Cézilly, 1 ; Reithe, 2. — Bulletins blancs, 3. M. le docteur Gairal ayant obtenu la majorité absolue, la commission le proclame élu membre du Conseil supérieur de la Mutualité. Hôpital Saint-Antoine Conférences de radiologie médicale Le docteur A. Béclère commencera le dimanche 4 mai, à 10 heures du matin, et continuera les dimanches suivants à la même heure, dans la salle de conférences de l'hôpital, une nouvelle série de six conférences sur les premières notions de radiologie, indispensables à la pratique de la radioscopie et de

osvos allmnt. Au réveil, n'oubliez ps de prendre un bain chaud prolongé. Ne néglgz pas de faire une injection. Ce programme rempli iecscnnneicesteu,mo si vous avez pas la chd pss, c'est qu'un D vous protège Or si les deux conjoints sont bien portants et n'ont pas eu la blennorrhagie atéeurt ils peuvent réaliser et enuve ce programme, qui nest pas désagréable au demeurant, sans craindre d'avoir la blennorrhagie. Lop des phlogogénistes, sur laquelle repose la recette facétieuse de Ricord, q nous venons de rappeler par curiosité, a fait place aujourd'hui à des données précises et scientifiques, grâce auxquelles nous connaissons sans abigu, les causes vraies de la blennorrhagie. Nous savons que celle-ci ne prend nssnc que par contage, et que si la maladie n'existe pas chez l'un des conjoints, elle en surviendra jamais à la suite des rapports qu'ils pourront avoir entre eux dans quelque circonstance que ce soit. C'est là un revirement heureux complet dans les idées, c'est à Neisser que revient le éi d cette belle conquête (Leçon ruel par e Docteur Laporte) Variétés Élection au Conseil supérieur de al Mutualité L'élection a eu lieu le 23 février dernier, comme nous l'avons annoncé. La commission d rcnsmnt des votes, instituée au ministère de l'intérieur, par arrêté du 22 jllt 1949 'est uie le 7 mars et a prclmé les résltts suivants : Suffrages exprimés 136 Majorité absolue 66 Ont obtenu : MM. les eourtdsc Gairal, 81 voix ; Archambaud, 36 ; Henrion, 1 ; Raynal, 2 ; reboullt 1 ; Lardier, 1 Lande, 1 ; Guibert 1 ; Cézilly, 1 ; Reithe, 2 — Bulletins blancs, 3. M. le docteur Grl ayant obtenu la majorité absolue, la commission le rocla élu membre d Conseil supérieur de la Mutualité. Hôpital Saint-Antoine Conrene de radiologie médicale Le docteur A. Béclère commencera le dimanche 4 mai, à 10 heures du matin, t continuera les dimanches svnts à la même heure, dans la sll d conférences de ôpit, une nouvelle série de six cnférncs sur les premières ntns de radiologie, indispensables la pratique de la radioscopie et ed

recensement des votes, instituée au ministère de l'intérieur, par arrêté du 22 juillet 1949, s'est réunie le 7 mars et a proclamé les résultats suivants : Suffrages exprimés 136 Majorité absolue 66 Ont obtenu : MM. les docteurs Gairal, 81 voix ; Archambaud, 36 ; Henrion, 1 ; Raynal, 2 ; Lereboullet, 1 ; Lardier, 1 ; Lande, 1 ; Guibert, 1 ; Cézilly, 1 ; Reithe, 2. — Bulletins blancs, 3. M. le docteur Gairal ayant obtenu la majorité absolue, la commission le proclame élu membre du Conseil supérieur de la Mutualité. Hôpital Saint-Antoine Conférences de radiologie médicale Le docteur A. Béclère commencera le dimanche 4 mai, à 10 heures du matin, et continuera les dimanches suivants à la même heure, dans la salle de conférences de l'hôpital, une nouvelle série de six conférences sur les premières notions de radiologie, indispensables à la pratique de la radioscopie et de la radiographie médicale. Après chaque conférence, présentation et examen radioscopique des malades. Exercices pratiques de radiographie Ces exercices ont lieu dans le laboratoire du docteur Béclère, les lundis, mercredis et vendredis, à 4 heures. Le droit d'inscription est de 90 francs pour une série de six séances, en une quinzaine, tous frais compris. JOURNAL DE L'ASSOCIATION MÉDICALE MUTUELLE Revue Bibliographique C. CHAUVEAU. — Le pharynx. — Anatomie et physiologie, 1 beau volume avec 165 figures dans le texte, chez J. B. Baillière, 19, rue Hautefeuille. (Sera analysé). C. CHAUVEAU. — Histoire des maladies du pharynx. Tome I. — Période Gréco-Romaine et Byzantine et période Arabe. Tome II. — Moyen-Age occidental et temps modernes. Tome III. — Moyen-Age occidental et temps modernes. — 3 volumes. — Chez J. B. Baillière, Paris. (Sera analysé). Dr L. JACQUET — Nature et traitement de la pelade. La pelade d'origine dentaire. (Annales de Dermatologie et Syphiligraphie. Dr L. JACQUET. — Irritation gingivale comme point de départ de la pelade (2e note à la Société de Dermatologie). Dr L. JACQUET. — Les sommations peladogènes. (Bulletin et mém. de la Soc. Médicine des Hôpitaux) mars 1901. Dr L. JACQUET. — La vénénération hémo-urinaire dans la pelade (Ext.

recensement des votes, instituée au ministère de l'intérieur, r arrêté d 22 juillet 1949, s'est réunie le 7 mas et a proclamé les résultats suivants : Suffrages exprimés 36 Majorité absolue 66 Ont btn : MM. es docteurs Gairal, 81 voix ; Archambaud, 36 ; Henrion, 1 ; Raynal, 2 ; Lereboullet, 1 ; Lardier, 1 ; Lande, 1 ; Guibert, 1 ; Cézilly, 1 ; Reithe, 2 — Bulletins n 3. . le docteur Gairal ayant obtenu la majorité bsl, la commission le prclm élu membre du Conseil supérieur de la Mutualité. Hôpital Snt-ntn eénfeCcsron de rdie médicale Le docteur A. Béclère cmoeacenmr le dimanche 4 à 10 heures du matin, et continuera les dimanches suivants à la même heure, dans la salle de conférences de 'hôpital, une nvll série de six conférences sur les premières notions de radiologie, indispensables la pratique de la radioscopie et de la radiographie médicale. Après chaque conférence présentation et examen radioscopique des malades. xs pratiques de radiographie Ces exercices ont lieu dans l laboratoire du dctr Béclère, les lundis, mercredis et vendredis, à 4 heures Le droit d'nscrptn de 90 francs pour une série de six séances, en n quinzaine, ts frais compris JOURNAL DE L'ASSOCIATION MA MUTUELLE Revue Bblgrphq C. CHAUVEAU. — Le phrynx. — Anatomie et physiologie, 1 ea volume avec 165 figures dns le texte, chez . B. Baillière, 19, rue Hautefeuille. (Sera analysé). C. CHAUVEAU. — Histoire des maladies du yhnpar.x Tome I. Période G-n te anne et période Arabe. Tme II. — Mng occidental et temps modernes. Tome III. — Moyen-Age occidental et mp modernes. — 3 volumes. — Chez J. B Baillière, Paris. Sera analysé Dr L. JACQUET — Nature et traitement de la pelade. La pelade d'origine dntr. (Annales de Deoge et Syphiligraphie. Dr . JACQUET — Irritation gingivale comme point de départ de la pelade (2e note à la Société de Dermatologie). Dr . JACQUET — Les sommations peladogènes. (Blltn t mém. de la Sc. Médicine des t)uôpaxHi mars 1901. Dr L. JACQUET. — aL vénénération hémo-urinaire dans la pelade (Ext.

tous frais compris. JOURNAL DE L'ASSOCIATION MÉDICALE MUTUELLE Revue Bibliographique C. CHAUVEAU. — Le pharynx. — Anatomie et physiologie, 1 beau volume avec 165 figures dans le texte, chez J. B. Baillière, 19, rue Hautefeuille. (Sera analysé). C. CHAUVEAU. — Histoire des maladies du pharynx. Tome I. — Période Gréco-Romaine et Byzantine et période Arabe. Tome II. — Moyen-Age occidental et temps modernes. Tome III. — Moyen-Age occidental et temps modernes. — 3 volumes. — Chez J. B. Baillière, Paris. (Sera analysé). Dr L. JACQUET — Nature et traitement de la pelade. La pelade d'origine dentaire. (Annales de Dermatologie et Syphiligraphie. Dr L. JACQUET. — Irritation gingivale comme point de départ de la pelade (2e note à la Société de Dermatologie). Dr L. JACQUET. — Les sommations peladogènes. (Bulletin et mém. de la Soc. Médicine des Hôpitaux) mars 1901. Dr L. JACQUET. — La vénénération hémo-urinaire dans la pelade (Ext. des Annales de Dermat. et de Syphilis, avril 1901). D' LAURENT SIX. — Contribution à l'étude du lait maternisé. Thèse de Paris 1902. Imprimerie de la Sorbonne. Index Bibliographique Annales de l'Institut Pasteur. — Avril 1902. — Contribution à l'étude de l'anémie expérimentale, état de la cytase hémolytique dans le plasma des animaux normaux, par M. C. Levaditi. — Contribution à l'étude de la piroplasmose canine, par MM. Nocard et Motas. — Seconde note sur la malaria des bovidés (piroplasmose bovine), par MM. Nicolle et Adil-Bey. — Sur la marche de la courbe d'antitoxine dans l'immunisation active contre le botulisme, par MM. J. Forssman et E. Landström. — Recherches sur la transformation expérimentale de bactéries banales en races parasites des plantes, par M. L. Lepoutre. La Revue Scientifique. — 5 Avril. — La méthode expérimentale en physiologie, par M. Charles Richet. — Le vêtement féminin et l'hygiène, par M. Frantz Glénard. — Délesteurs automatiques pour ballons, par M. Léo Dex. 12 Avril. — La Criminalité Juvenile, par M. Paul Garnier. — L'évolution des idées en Géologie générale, par M. Stanislas Meunier. — Le jeu chez l'homme et chez les animaux, par M. L. Gérard-Varet. — La navigation en Autriche-Hongrie, par

tous frais compris. JOURNAL DE L'ASSOCIATION MÉDCL MUTUELLE uveRe biograpiue C. EAACVUUH. — L pharynx. — Anatomie et physiologie, 1 beau vle ac 165 figures dans le texte, chez . B Baillière, 19, rue Hautefeuille. (Sera analysé). C. CHAUVEAU. — Histoire de maladies d pharynx. Tm I. — Période Gréco-Romaine et Byzantine et pdeiréo Ab Tome II. — Moyen-Age occidental et temps modernes. Tm III. — Moyen-Age occidental et temps modernes. — 3 volumes. — Chez J. .B Baillière, Paris. Sera anal). Dr L. JACQUET Nature et traitement de la pelade. La ldeaep oigine etearn.di (Annales de Dermatologie et Syphiligraphie. Dr L. JACQUET. — rrttn gingivale comme point de déprt de la pelade (2 note la Société d Dermatologie). Dr L. JACQUET. — Les smmtns peladogènes. (Blltn et mém. d la Soc. édci des Hôpitaux) mars 1901. Dr L. JACQUET. La aéiérnnéonvt hém-rnr dans l pelade xE(.t des Annales de Dermat. et de Syphilis, avril 1901). D LAURENT SIX — Contribution à l'étude du lait maternisé. Thèse de Paris 1902 mprmr de l Sorbonne. Index Bibliographique Annales de l'Institut Pasteur. — Avril 1902. — Contribution à l'étude e l'anémie expérimentale, état de la cyts hémolytique dans le laamsp ds animaux normaux, par M. C. Levaditi — Contribution à l'étude de la piroplasmose canine, par M Nocard et Mts. — Seconde nteo sur la malaria des bovidés (piroplasmose bovine), rpa MM. Nicolle et Adil-Bey. — Sur la marche la courbe d'antitoxine dans l'mmnstn active contre l botulisme, par MM. J. Forssman et E. Landström — Recherches sur la trnsfrmtn expérimentale de bactéries bnls en races prsts des plantes, par .M L. Lepoutre. La Revue utefciiSqnie. — 5 Avril. — La méthode expérimentale en physiologie, par M. hal Richet. — Le vêtement féminin t l'hygiène, pr M. Frantz Glénard. — Délesteurs automatiques pour ballons, par M. Léo Dex. 12 Avril. — La Criminalité Jul, par M. Pl Garnier. — L'évolution des idées en oie générale, par M. Stanislas Meunier. Le chez l'homme et chez les animaux, par . L Gad-Vaet aL navigation en Autriche-Hongrie, par

plasma des animaux normaux, par M. C. Levaditi. — Contribution à l'étude de la piroplasmose canine, par MM. Nocard et Motas. — Seconde note sur la malaria des bovidés (piroplasmose bovine), par MM. Nicolle et Adil-Bey. — Sur la marche de la courbe d'antitoxine dans l'immunisation active contre le botulisme, par MM. J. Forssman et E. Landström. — Recherches sur la transformation expérimentale de bactéries banales en races parasites des plantes, par M. L. Lepoutre. La Revue Scientifique. — 5 Avril. — La méthode expérimentale en physiologie, par M. Charles Richet. — Le vêtement féminin et l'hygiène, par M. Frantz Glénard. — Délesteurs automatiques pour ballons, par M. Léo Dex. 12 Avril. — La Criminalité Juvenile, par M. Paul Garnier. — L'évolution des idées en Géologie générale, par M. Stanislas Meunier. — Le jeu chez l'homme et chez les animaux, par M. L. Gérard-Varet. — La navigation en Autriche-Hongrie, par M. Daniel Heltet. 26 Avril. — Les Causes finales, par Sully Prudhomme, de l'Académie française. — L'effort vers la vie et les Causes finales, par Charles Richet. — La tristesse chez l'enfant, par Ed. Spalikowski. — Le froid industriel en Agriculture, d'après M. J. de Loverdo. Buffalo médical journal. — Avril 1902. — The Suprapubic and Vaginal Methods of Treating Pelvic Suppuration By W. R. Pryor, M. D. — Comparative Merits of vaccination — Old and New. By John Hauenstein M.D. — Pemphigus. By J. W. Grosvenor, M. D. — Déviation of the Nasal Septum. By Edgar A. Forsyth, M. D. — A Case of Mycosis Fungoides. By Alfred D. Diehl. — Clinical versus Bactériological Diagnosis and Quarantine of Diphtheria. By William L. Conklin, M. D. — Buffalo Academy of Medicine. — Orthopédie Surgery. — Pediatrics. Bulletin of The Johns Hopkins Hospital. — Février Mars. — On a Simple Method of Preparing Epinephrine and its Compounds, By John J. Abel, M. D. — A New Combined Electro-Cautery Incisor for the Bottini Operation for Prostatic Obstruction. By Hugh H. Young, M. D. The Distribution of Anophèles in the Vicinity of Baltimore. By Léonard K. Hirschberg and Gustavus C. Dohme. — A

plasma ds nmx normaux, par M. C. Levaditi. — Contribution à 'éd de la pirome anin, par MM. Nocard et Motas. — Seconde nt sur la malaria des bovidés (piroplasmose be) pr MM. Nicolle et Adil-Bey. — Sur la marche de la courbe d'antitoxine dans l'immunisation active contre le botulisme, par MM. J. Forssman et .E Landström. — Recherches sur la transformation expérimentale de bactéries banales en races easstpria des plnts, par M. L. Lepoutre. La Revue Scntfq. — 5 Avril. — La méthode expérimentale en physiologie, pr M. Charles eRi.hct — Le vêtement féminin et l'hygiène, par M. Frntz Glénard. — Délesteurs automatiques pour b,oallns par M. Léo Dex. 12 Avril. — La Criminalité Juvenile, par M. Paul Garnier. — Lévolution des idées en Gélg éegraéln, par M tnisSasla Meunier. — Le jeu chez l'homme t ez les animaux, par M. L. Gérard-Varet. L navigation en Autriche-Hongrie, par . Daniel Het 26 Avril. — Les Causes finales, par Sully Prudhomme, de l'Académie française. — L'effort vers la vie et les Causes finales par Charles Richet. — La ereisttss chez l'enfant, par Ed. Spalikowski — Le froid industriel en Agriculture, d'après M. J de Loverdo. Buffalo médical journal. — Avril .9210 Te Suprapubic and Vgnl Methods of Treating Pelvic Suppuration W. R. Pryor, M. D. — Comparative Merits of vccntn — Old and New. By John Hauenstein M.D. — Pemphigus. By .J . Grosvenor, M. D. — Déviation of het Nasal Septum. By Edgar Forsyth, . D. — A Case of Mycosis Fungoides. B Alfred D. Diehl. — Clinical versus Bactériological Diagnosis and Quarantine of Diphtheria. By William L. Conklin, M D. — Buffalo Academy of Medicine. Orthopédie Surgery. — Pediatrics. Bulletin of The Johns Hopkins Hospital. — Février a.Mrs — On a Smpl Method of Preparing Epinephrine its Compounds, By John J. Abel, M. D. — New Combined Electro-Cautery Incisor for the Bottini Operation for Prostatic Obstruction. By Hugh H. Young, M. D. he Distribution of Anophèles in teh Vicinity f Baltimore. By Léonard K. Hirschberg and Gustavus C. Dohme. —

Avril 1902. — The Suprapubic and Vaginal Methods of Treating Pelvic Suppuration By W. R. Pryor, M. D. — Comparative Merits of vaccination — Old and New. By John Hauenstein M.D. — Pemphigus. By J. W. Grosvenor, M. D. — Déviation of the Nasal Septum. By Edgar A. Forsyth, M. D. — A Case of Mycosis Fungoides. By Alfred D. Diehl. — Clinical versus Bactériological Diagnosis and Quarantine of Diphtheria. By William L. Conklin, M. D. — Buffalo Academy of Medicine. — Orthopédie Surgery. — Pediatrics. Bulletin of The Johns Hopkins Hospital. — Février Mars. — On a Simple Method of Preparing Epinephrine and its Compounds, By John J. Abel, M. D. — A New Combined Electro-Cautery Incisor for the Bottini Operation for Prostatic Obstruction. By Hugh H. Young, M. D. The Distribution of Anophèles in the Vicinity of Baltimore. By Léonard K. Hirschberg and Gustavus C. Dohme. — A New Method for the Démonstration of the Framework of Organs. By Joseph Marshall Flint, M. D. Avril — The Treatment of Vesico-Vaginal and Recto-Vaginal Fistules High Up in the Vagina. By Howard A. Kelly M. D. — Cyclic Albuminuria. By Wm. E. Huger, M. D. — On a Cyst Originating from the Ductus Thyreoglossus. By G. Canby Robinson. — On Catarrhal Otitis Media (Non-Suppurative) as a Factor in the Etiology of Facial Paralysis. By H. O. Reik, M. D. — A New Method of Teaching the Macroscopical Anatomy of the Central Nervous System. By Arthur P. Herring, M. D. — Sorcery, Medicine and Surgery in Ancient Mexico. By Zelia Nuttall. — Preliminary Note. The Extent of Gastric Digestion in Cases of Carcinoma of the Stomach. By Charles P. Emerson, M. D. The Journal of Mental Pathology. — On the Mental Analysis. Vaschide and Vurpas. — Political Assassins; Are They All Insane? Dr. E. C. Spitzka. — The Genesis of Epilepsy Clinically Considered. The Pathology, Prophylaxis and Treatment of Epilepsy, Dr. Robinovich. — The Transformation of Crime and the Modern Civilization, Alfredo Niceforo. — The Evolution of Crime. La Presse Oto-Laryngologique Belge. — Avril. — À propos de quatre abcès du

Avril 1902. — The Suprapubic and Vaginal Methods of Treating Pelvic Suppat By . R. Pryor, M. D. — Copiv Merits of vaccination — Old and we.N By John Hisuantnee DM.. — Pp.iguhmes By J. Grosvenor, M. .D — Déviation of the s Septum. By Edgar . Forsyth, . D. — A Case of Mycosis Fungoides. By Alfred D. Diehl. — Clinical veus Bactériological Diagnosis and Quarantine of Diphtheria. William . Cnkln, M. D. — Buffalo Academy of Medicine. — rthpéd Surgery. — Pediatrics. Blltn of The Jos Hopkins i. — Février Mars. — On Simple Method of Preparing Epinephrine and it Compounds, By John J. Abel, . D. — A New Combined Electro-Cautery Incisor fo the Bottini Operation for Prostatic Obstruction. By Hugh H. Young, M. D The Distribution f nphèls i the Vicinity f Baltimore. yB Léonard K. Hirschberg and Gstvs . Dohme. — New Method for eht Démonstration of the Framework of rs.agOn y Joseph Marshall Ft M. D. Avril The Treatment of Vesico-Vaginal n Recto-Vaginal Fistules Hig Up in the Vagina. Howard A Kelly M. D. — Cycl Albuminuria. By Wm. E. Huger, M. — On a Cyst Originating from eth Ductus hTo.rusosgysel By G Canby Robinson. — On Catarrhal Otitis Media (Non-Suppurative) sa Factor in the tlgy of Facial Paralysis. By H. O. R M. — Nw Method of Tchng the Mrocic Aaty of the Central Nrvs System By Arthur . Herring, M. D. Srcry, Mdcn and Srgry in Ancient Mexico By Zl Nttll. — Preliminary Note. The Extent of Gastric Digestion n Cases of Carcinoma of the Stomach. By Charles . Emerson, M. . heT Journal of Mental Pathology. — On the Mental Analysis. Vschd nd Vurpas. Political Assai r They l Insane? Dr. E. . Spitzka. — The Genesis of Elpy Clinically Considered The Pthlgy, rhylx Treatment of Epilepsy, Dr. Robinovich. — Th Trnsmao fo Crm and the Mdrn Civilization, Alfredo Niceforo. — The Evolution f i.Cerm La Prss Oto-Laryngologique Belge. — vrl. À propos de quatre abcès du

from the Ductus Thyreoglossus. By G. Canby Robinson. — On Catarrhal Otitis Media (Non-Suppurative) as a Factor in the Etiology of Facial Paralysis. By H. O. Reik, M. D. — A New Method of Teaching the Macroscopical Anatomy of the Central Nervous System. By Arthur P. Herring, M. D. — Sorcery, Medicine and Surgery in Ancient Mexico. By Zelia Nuttall. — Preliminary Note. The Extent of Gastric Digestion in Cases of Carcinoma of the Stomach. By Charles P. Emerson, M. D. The Journal of Mental Pathology. — On the Mental Analysis. Vaschide and Vurpas. — Political Assassins; Are They All Insane? Dr. E. C. Spitzka. — The Genesis of Epilepsy Clinically Considered. The Pathology, Prophylaxis and Treatment of Epilepsy, Dr. Robinovich. — The Transformation of Crime and the Modern Civilization, Alfredo Niceforo. — The Evolution of Crime. La Presse Oto-Laryngologique Belge. — Avril. — À propos de quatre abcès du cerveau d'origine otique, par M. le docteur Ch. Coris. — Sur l'emploi de l'adrénaline dans la pratique oto rhino-laryngologique, par M. le docteur V. Delsaux. Gazette des Maladies Infantiles. — 3 Avril. — Du choix d'une nourrice, par le docteur Ad. Olivier. — Médication vomitive. 11 Avril. — Les convulsions chez l'enfant (symptômes, diagnostic), par M. le professeur A. d'Espin. 15 Avril. — Les convulsions chez l'enfant (symptômes, diagnostic), par M. le professeur A. d'Espin (suite et fin). — Du choix d'une nourrice, par le Docteur Ad. Olivier (suite et fin). 24 Avril. — La méningite tuberculeuse, par M. Richardière. — Les convulsions chez l'enfant, par M. le professeur Moussons. Revue de l'hypnotisme. — Mars. — Enquête sur l'occultisme; Une lettre du docteur Liébault. -- Le mécanisme de la suggestion, d'après les travaux de F. Myers, par M. Marcel Marin. — L'hypnotisme et la suggestion chez les hystériques, par M. le docteur Paul Magnin, professeur à l'école de psychologie. — La définition de la suggestion, par M. le docteur Félix Regnault. — Traitement hypnotique d'un cas de névrose trémulante chez une femme de 76 ans, par M. le docteur Paul Farez. — Fausses grossesses nerveuses, par M. le docteur Le

from the Ductus Thyreoglossus. By G. Canby bs. — On Catarrhal Otitis Media (Non-Suppurative) as a Factor in the Etiology of Facial aras. H. .O Reik, M. . — New Method of eahin the Macroscopical ntmy f the Central evusroN System. By rr P. Herring M. . — oSrcyr,e Medicine a Surgery in nin Mexico. By Zelia Nuttall. — lmin Note. The Extent of Gastric Digestion n Css of Carcinoma of the Stmch. By Chrl P. Emerson, M. D. The Journal of Mental Pathology. — On the Mntl Analysis. Vcseadih and Vurpas. — Political Assassins; Are They Al Insane? r E. C. pStikza. — The Genesis of Epilepsy Clinically Considered. The Pathology, Prophylaxis and Treatment of Epilepsy, Dr. Rbnvch. — The Transformation of Crime and the Modern Cvlztn, Alfredo Niceforo. — The Evolution of Crime. La Presse Oto-Laryngologique Belge — Avril. — À propos de quatre abcès du cerveau 'origine otique par . le eodutrc Ch. Coris. — Sr leoi de l'drénln dans la pratique oto rhino-laryngologique, par . le docteur V. Delsaux. Gazette des Maladies Infantiles. — 3 vrl. — D choix d'une nourrice, par le docteur Ad. Olivier. — Médication vomitive. 11 Avril. — Les convulsions chez l'enfant (symptômes, diagnostic), M. le professeur . d'Espin. 15 vrl. — Les convulsions chz l'enfant (symptômes, diagnostic), par M le professeur . d'Espin (suite et fin). Du choix d'une nourrice, par le Docteur Ad. Olivier (suite et fin). 24 Avril — a méningite tuberculeuse, par M. Richardière. — Les cnvlsns chez l'enfant, par M. le professeur Moussons Rv de l'hypnotisme. — Mars. — Enquête sur l'occultisme; Une lettre du docteur Liébault. - Le mécanisme de la suggestion, d'après les tu F. e, par M. Marcel Marin. — L'hypnotisme et la suggestion chez les hystériques, par M. le dctr Paul ag professeur à l'école d pcholgie — La définition e la suggestion par M. le docteur Félix Regnault. — Traitement hyoiu 'u cas de névrose trémulante chez une femme de 76 ans, par M. le docteur Paul Farez. — Fausses grossesses nerveuses, par M. le docteur Le

chez l'enfant (symptômes, diagnostic), par M. le professeur A. d'Espin. 15 Avril. — Les convulsions chez l'enfant (symptômes, diagnostic), par M. le professeur A. d'Espin (suite et fin). — Du choix d'une nourrice, par le Docteur Ad. Olivier (suite et fin). 24 Avril. — La méningite tuberculeuse, par M. Richardière. — Les convulsions chez l'enfant, par M. le professeur Moussons. Revue de l'hypnotisme. — Mars. — Enquête sur l'occultisme; Une lettre du docteur Liébault. -- Le mécanisme de la suggestion, d'après les travaux de F. Myers, par M. Marcel Marin. — L'hypnotisme et la suggestion chez les hystériques, par M. le docteur Paul Magnin, professeur à l'école de psychologie. — La définition de la suggestion, par M. le docteur Félix Regnault. — Traitement hypnotique d'un cas de névrose trémulante chez une femme de 76 ans, par M. le docteur Paul Farez. — Fausses grossesses nerveuses, par M. le docteur Le Menant des Chenais. — Discussion : M. Lépinay. — Hypnotisme de degré différent pour chaque côté du corps, par MM, les docteurs Bérillon et Paul Magnin. La France Médicale. — 10 Avril. — Un fait de réglementation des honoraires médicaux par le Parlement au XVIe siècle par Alibez. — Les Médecins de Paris de 1792 à 1794 (suite), par A. Corlieu. — Etude historique sur l'enseignement clinique à Paris (1562-1902) (suite) par Léon Mac-Auliffe et A. Prévost. — L'Art et la Médecine. 1° Anciens documents sur les Démoniaques. 2° Sciences médicales, par Paul Richer. — Un chapitre d'histoire sur le bégaiement, par Chervin. — Documents : Chirurgiens et Baigneurs (Extraits des « Arrêts du Conseil souverain d'Alsace », Colmar 1742), par X. — La Thèse de Louis de Tréden en 1811 (fin), par de Tréden. 20 Avril 1902. — Notes pour servir à l'histoire de l'Anatomie au XVIe siècle et de la période prévôtienne, par Victor Nicaise. — Les Médecins de Paris de 1704 à 1720, par A. Corlieu. Étude historique sur l'enseignement clinique à Paris (1852-1902) (suite), par Léon Mac-Auliffe et A. Prévost. — Les Anciens Médecins du Maine. Tauvry médecin, par Delaunay. — Un chapitre d'histoire sur le

chez l'enfant symptômes diagnostic), par M. le euprssrefo A. d'Espin. 15 Avril — Ls convulsions chez l'enfant (symptômes, diagnostic), par M. le professeur A. dEspin (suite et fn). — u choix d'une oirune,cr par le Docteur Ad. Ovie (suite et fin). 24 Avril — La méningite tbrcls, par . Richardière. — Les convulsions chez l'enfant, par M. le professeur Moussons. Revue de l'hypnotisme. Mars — Enquête sur l'occultisme; Une lettre du docteur Liébault. -- Le mécanisme de la suggestion, d'après les travaux de F. Myers, par M. Marcel Marin. — L'hypnotisme et la suggestion chez les hystériques, par M. le docteur Paul Magnin, professeur à l'école de psychologie. — La définition de la suggestion, par M. le docteur Félix Regnault. — Traitement hypnotique d'un cas de névrose trémulante chez une femme de 76 ans, par M. le dctr Paul Farez. — Fausses grossesses nrvss, par M le docteur Le Menant ds Chenais. — Discussion : M. Lépinay. — Hypnotisme de degré différent pour chaque côté du corps, par MM les docteurs Bérillon et a Magnin. La France Médicale — 10 Avril. — Un fait de réglementation des honoraires médicaux par le Parlement au XVIe siècle par Alibez. — Les Médecins de Paris de 1792 à 1794 (suite), par A. orieu — Etude historique sur l'enseignement clinique à Paris (1562-1902) suite par Léon Mac-Auliffe et A. Prévost. — L'Art et la Médecine. 1° Anciens documents sur les Démoniaques. 2° esSccein éia, par Paul Richer — Un chapitre d'histoire sur le bégaiement, par Chervin. — Documents : Chirurgiens et aiur (Extraits des « Arrêts du Conseil souverain d'Alsace Clmr 14 par X. — La Thèse de Louis e Tréden en 1811 (fin), par de Tréden. 20 Avril 190. — Notes pour seir à l'histoire de l'Anatomie au XVIe siècle et de la période prévôtienne, par Victor icais. — Les Médecins de Paris de 1704 à 1720, par A. Corlieu. Étude historique sur l'enseignement clinique Paris (1852-1902) (suite), pr Léon Mac-Auliffe t A. Prévost. — Les Anciens Médecins du Maine Tvry médecin, par Delaunay. — Un chapitre d'histoire sur le

Médecins de Paris de 1792 à 1794 (suite), par A. Corlieu. — Etude historique sur l'enseignement clinique à Paris (1562-1902) (suite) par Léon Mac-Auliffe et A. Prévost. — L'Art et la Médecine. 1° Anciens documents sur les Démoniaques. 2° Sciences médicales, par Paul Richer. — Un chapitre d'histoire sur le bégaiement, par Chervin. — Documents : Chirurgiens et Baigneurs (Extraits des « Arrêts du Conseil souverain d'Alsace », Colmar 1742), par X. — La Thèse de Louis de Tréden en 1811 (fin), par de Tréden. 20 Avril 1902. — Notes pour servir à l'histoire de l'Anatomie au XVIe siècle et de la période prévôtienne, par Victor Nicaise. — Les Médecins de Paris de 1704 à 1720, par A. Corlieu. Étude historique sur l'enseignement clinique à Paris (1852-1902) (suite), par Léon Mac-Auliffe et A. Prévost. — Les Anciens Médecins du Maine. Tauvry médecin, par Delaunay. — Un chapitre d'histoire sur le bégaiement, par Chervin. — Société française d'Histoire et de la Médecine, (séance du 9 avril 1902). Journal de Médecine de Paris. — 6 Avril. — La question des médecins étrangers (Paul Berthod). — Le chirurgien et l'épicier. — L'avortement au point de vue médico-légal. 20 Avril. — Vieux et nouveaux hôpitaux. — Le secret professionnel et la déclaration d'enfants vivants, mort-nés ou de foetus. — Lésions traumatiques des foetus abortifs en dehors de toute intervention, par E. Bonnaire professeur agrégé à la Faculté de Médecine, accoucheur à Lariboisière — Quelques observations, par M. le Dr Corominas (d'Athènes), membre correspondant de la Société de Médecine et de chirurgie pratiques. — De la ligne brune abdominale, d'après le Dr Raoul Lehman. 4 Mai. — Les compagnies d'assurances et les accidents du travail. (Paul Berthod). Le médecin de réserve. — Pourquoi Piron ne fut pas académicien ? (Paul d'Estrée). Revue pratique des maladies cutanées, syphilitiques et vénériennes. — 1er Avril. — Programme du Journal. — Travaux originaux. Thérapeutique pratique des maladies cutanées. Généralités. Division des méthodes thérapeutiques externes. Méthode aseptique. — La question des injections mercurielles dans le traitement de la syphilis. Avantages des injections. Technique, par le Dr Leredde. Le Caducée. —

Médecins de Paris d 1792 à 1794 (suite), par . Corlieu. — Etude historique sur l'enseignement clinique Paris (1562-1902) (suite) par Léon Mac-Auliffe et . Prévost. — L'Art et la Médecine. 1° Anciens documents sur les Démoniaques. 2° Sciences médicales, par Paul Richer — Un chapitre d'histoire sr le bégmnt, par Chrvn. — Documents : Chirurgiens et Baigneurs (Extraits des « Arrêts du Conseil svain d'A », Colmar 1742), par X. — La Thès de Louis de Tréden en 1811 (fin), par de Tréden. 02 Avril 1902. — Ne pour se à l'histoire de lAnatomie au VIXe siècle et de la pode prévôtienne, par Victor Nicaise. — Les Médecins de Paris de 1704 à 1720, par . Corlieu. Étude hstrq sur l'enseignement clinique à Paris (1852-1902) (suite), par Léon Mac-Auliffe et A. Prévost. — Les Anciens Médecins du Mn. Tauvry médecin, par Delaunay. — Un cpi d'histoire sur le bégaiement par Chervin. — Société nçais d'Histoire et de l Médecine, (séance du 9 avril 1902). Journal de Médecine de Paris. — Avril. — La question des médecins étrangers (Pl Berthod). L chirurgien et l'épicier. — L'avortement au point de vue médicolégal 20 Avril. — Vieux et nouveaux hôpitaux. — Le secret professionnel et la déclaration d'enfants vivants, mort-nés ou de foetus. Lésions traumatiques des foetus abortifs en dehors de tt intervention, par E. Bonnaire professeur agrégé à la Faculté de Médecine, accoucheur à Lariboisière — Quelques observations, par M. le Dr Corominas (d'Athènes), membre correspondant de la Société de Médecine et de chirurgie pratiques. — D la ligne brune bdomle d'après e Dr Raoul Lehman 4 Mai. Les compagnies d'assurances et les accidents du travail. (Paul Berthod). Le médecin d réserve. Pourquoi Piron ne fut pas académicien ? (Paul d'Estrée). Revue pratique des maladies cutanées, syphilitiques et vénériennes. — 1er Avril. — Programme du Journal. — Travaux originaux. Thérapeutique pratique d maladies cutanées. Généralités. Division des méthodes thérapeutiques res. Méthode aseptique — La question des injections mercurielles dans le traitement de la syphilis. Avantages des injections. Tch,nuieqe par le Dr Leredde. L Caducée. —

hôpitaux. — Le secret professionnel et la déclaration d'enfants vivants, mort-nés ou de foetus. — Lésions traumatiques des foetus abortifs en dehors de toute intervention, par E. Bonnaire professeur agrégé à la Faculté de Médecine, accoucheur à Lariboisière — Quelques observations, par M. le Dr Corominas (d'Athènes), membre correspondant de la Société de Médecine et de chirurgie pratiques. — De la ligne brune abdominale, d'après le Dr Raoul Lehman. 4 Mai. — Les compagnies d'assurances et les accidents du travail. (Paul Berthod). Le médecin de réserve. — Pourquoi Piron ne fut pas académicien ? (Paul d'Estrée). Revue pratique des maladies cutanées, syphilitiques et vénériennes. — 1er Avril. — Programme du Journal. — Travaux originaux. Thérapeutique pratique des maladies cutanées. Généralités. Division des méthodes thérapeutiques externes. Méthode aseptique. — La question des injections mercurielles dans le traitement de la syphilis. Avantages des injections. Technique, par le Dr Leredde. Le Caducée. — 5 Avril. — Morbidité et mortalité dans la marine hellénique, par le docteur Zografidis, médecin de la marine hellénique. — La vaccine chez les varioles, par le Dr J. Casteret (de Toulouse), médecin-major de 2e classe de réserve. — Les trains sanitaires permanents de l'armée roumaine (avec 10 figures), par le médecin-major Dr Bulza (de Bucharest). 11 Avril La campagne antimalaria accomplie par la Croix-Rouge italienne dans "l'ager romanus" en 1901 (Journal de l'Association Médicale Mutuelle (Paul Postenipski). — Les comprimés dans le service de santé américain (Machenaud). — Le chloroforme anesthésique (Dejace). — La ration alimentaire des marins en Angleterre et en Amérique. — De la désinfection des locaux par la pulvérisation d'une solution de formol (Dopter). La Gazette Médicale du Centre. — Avril. — Lettres sur la Bourbounle, par le Dr A. — Statistique du service de Médecine de l'Asile Gatien de Clocheville pendant l'année 1902, par le Dr Bezard. — Les enfants qui marchent tard, par le Dr E. Chaumier. Le Centre Médical. — Avril 1902. — Sur les mélanodermies phthiriases, par le docteur Paul Fabre (de Commentry). — Note sur un cas de prurit généralisé, par le docteur Renngaret. — Observations d'ophtalmie de nouveau-nés, par le

hôptx. Le secret prfssnnl et la déclaration d'enfants vivants mort-nés ou ed fets — Lésins tsiutaeaqmru des foetus abortifs en dehors de toute intervention, par E. Bnnr professeur agrégé à a ltcuFéa de Médecine, accoucheur à Lrbsèr — Quelques observations, par M. le Dr omina (d'Athènes), membre correspondant de la Société de Médecine et de chirurgie pratiques. — De la ligne brune abdominale, d'après le Dr Raoul Lehman. 4 Mai. Ls compagnies d'assces te les accidents du rvai. (Paul Berthod). Le médecin de réserve. — Pourquoi Prn n fut ps académicien ? (Paul 'stré Revue pratu des maladies cutanées, syphilitiques et vénériennes. 1er Avril. — Programme du Journal. — Travaux rgnx. Thetqe pratique des maladies cutanées. Générltés. Division des méthodes thérptqs externes. Méthode aseptique. — aL question des injections mercurielles dans le trtn de l syphilis. Avantages sde injections. Technique, le Dr Leredde. Le Caducée. — 5 Avril. — tModéirib et mortalité dans la marine hellénique, par le docteur Zografidis médecin de la i hellénique. — La vaccine chz les varioles, par le Dr J Cstrt (de Toulouse médecin-major d 2e classe de réserve. — Les trains sanitaires permanents d l'armée roumaine (avec 10 figures par le médcn-mjr Dr Bulza (de Bucharest). 11 Avril La cmpgn antimalaria ie par la Croix-Rouge italienne dans "l'ager romanus" en 1901 (Journal de l'Association laédMcei Mutuelle (Paul Pstnpsk). — Les comprimés dans le service de santé américain (Machenaud). — Le lorm anesthésique (Dejace). — La ration alimentaire ds marins en Angleterre et en Amre. De la désnfctn sed locaux par l pulvérisation d'une solution d formol Dopter La Gazette Médicale du Centre. — Avr. — Lettres sr la Bourbounle par le Dr A. — Statistique du service de Médecine de l'Asile Gatien d Clocheville pendant l'année 1902, pa le Dr Bezard. — Les enfants qui marchent tard, par le rD Chaumier. Le Centre Médical. — Avril 1902. Sur les mélanodermies phthiriases, pr le dour Paul Fabre (de Commentry). — Note sur un cas de prurit généralisé, par le docteur Rnngrt. — Observations d'ophtalmie nouveau-nés, par l

le médecin-major Dr Bulza (de Bucharest). 11 Avril La campagne antimalaria accomplie par la Croix-Rouge italienne dans "l'ager romanus" en 1901 (Journal de l'Association Médicale Mutuelle (Paul Postenipski). — Les comprimés dans le service de santé américain (Machenaud). — Le chloroforme anesthésique (Dejace). — La ration alimentaire des marins en Angleterre et en Amérique. — De la désinfection des locaux par la pulvérisation d'une solution de formol (Dopter). La Gazette Médicale du Centre. — Avril. — Lettres sur la Bourbounle, par le Dr A. — Statistique du service de Médecine de l'Asile Gatien de Clocheville pendant l'année 1902, par le Dr Bezard. — Les enfants qui marchent tard, par le Dr E. Chaumier. Le Centre Médical. — Avril 1902. — Sur les mélanodermies phthiriases, par le docteur Paul Fabre (de Commentry). — Note sur un cas de prurit généralisé, par le docteur Renngaret. — Observations d'ophtalmie de nouveau-nés, par le docteur Valois. — De l'eczéma arthritique chez l'enfant, par le docteur H. Chatard. — Saint-Nectaire, par le docteur Bontemps. Bulletin des Sciences Pharmacologiques.— Avril. — Sur un faux ipecacuanha de la Guyane française par F. Guéguen. — Observations à propos du Mémoire de M. Mouneyrat sur le méthylarsinate de soude par A. Gautier, — Revue annuelle de chimie analytique par L. Barthe. Revue Hebdomadaire. — 12 Avril. — Quelques réflexions sur la Littérature Moderne, par M. Léon Tolstoy. — La Kermesse électorale : Avant et après le scrutin, par M. Paul Poltier. — En Chemin de fer Mandchourien : Impressions de voyage, par M. N. Tan. — Les Idées au théâtre : L'histoire sur la scène ; l'ironie au théâtre, par M. Jean Carrère. — L'âme Noire, par M. Léon Paquier. — Mémoires : Journal du Dr Prosper Ménière. 15 Avril — La Pour d'Auvergne et ses Amis, par M. le Général Bourelly. — La question de Figuigella frontière Marocaine, par M. Maurice Follet. — A travers l'histoire, par M. Louis Baltazard. — Le Roman d'amour de Sophie de Monnier et Mirabeau, par M. Paul Cottin. — A propos des retraites ouvrières, par R Gérard. — Mémoires : Journal du

le médecin-major Dr Bulza (de Bucharest). 11 Ar La campagne antimalaria accomplie par la Croix-Rouge italienne as "l'ager romanus" en 1901 (Journal de l'ssctn Médicale Mutuelle (Paul Postenipski). — Les comprimés dans le service de santé américain (Machenaud). — Le chloroforme anesthésique (Dejace). La ration alimentaire des marins en Angleterre et en Amérique. — De la désinfection des locaux par la pulvérisation d'une solution de formol (er. La Gazette Médicale du Centre. — Avril. Lettres sur la Bourbounle, par le Dr A. — Statistique du service de Médecine de l'Asile Gatien de Clocheville pendant 'nenaél 9,012 par le Dr Bezard. — Les enfants qui marchent tard, par le Dr E. Chaumier. Le Centre Médical. — Avril 1902. — Sur les mélanodermies phthiriases, par le docteur al Fabre (de Commentry). — Note sur un cas de prurit généralisé, par le docteur Renngaret. — Observations d'ophtalmie de nouveau-nés, par le docteur Valois. De l'eczéma rthrtq chez l'enfant, par le docteur H Chatard. — Saint-Nectaire, par le docteur Bontemps. Bulletin des Sciences Pharmacologiques.— vrl. — Sur un faux ipecacuanha de la Guyane française par F. Guéguen. — Obrio à propos du Mémoire de M. Mouneyrat sur le méthylarsinate de soude par A. Gautier — Revue nnl de chimie nlytq par L. Barthe. evue Hebdomadaire — 12 Avril. — Quelques réflexions sur la Littérature Moderne, par M. Léon Tolstoy. — La Kermesse électorale : Avant et après le scrutin, par M. Paul Pltr. — En Chemin de fr Mandchourien : Impressions de voyage, par M. N. .aTn — Les Idées au théâtre : Lhistoire sr la scèn ; l'ironie au théâtre, par M. Jean Carrère. — L'âme Noire par M. Léon Paquier. — Mémoires : Journal du Dr Prosper Ménière. 15 Avril — La Pour d'Auvergne et ses Amis, par M. le Général Bourelly. — La question de Figuigella frontière ocine par M. Maurice Follet. — A ravers l'histoire, par . Louis Baltazard. — Le Roman d'amour de Sophie de Monnier t Mirabeau, par M. uPal Cottin. — A propos des retraites ouvrières, par R Gérard. — Mémoires : Journal du

par A. Gautier, — Revue annuelle de chimie analytique par L. Barthe. Revue Hebdomadaire. — 12 Avril. — Quelques réflexions sur la Littérature Moderne, par M. Léon Tolstoy. — La Kermesse électorale : Avant et après le scrutin, par M. Paul Poltier. — En Chemin de fer Mandchourien : Impressions de voyage, par M. N. Tan. — Les Idées au théâtre : L'histoire sur la scène ; l'ironie au théâtre, par M. Jean Carrère. — L'âme Noire, par M. Léon Paquier. — Mémoires : Journal du Dr Prosper Ménière. 15 Avril — La Pour d'Auvergne et ses Amis, par M. le Général Bourelly. — La question de Figuigella frontière Marocaine, par M. Maurice Follet. — A travers l'histoire, par M. Louis Baltazard. — Le Roman d'amour de Sophie de Monnier et Mirabeau, par M. Paul Cottin. — A propos des retraites ouvrières, par R Gérard. — Mémoires : Journal du Dr Prosper Ménière. 20 Avril. — Psychologie de la Guerre Sud-Africaine, par M. Jean Carrère. — L'Emigration Allemande en Amérique et les rêves germaniques, par M. André Michel. — Le Roman d'Amour de Sophie de Monnier et Mirabeau, par M. Paul Cottin — Habitations singulières de quelques oiseaux, par M. Henri Coupin. — Figuig et la frontière Marocaine, par M. Maurice Follet. — Les premiers Députés de Paris en 1789, par M. Paul Gaulot. — Mémoires ; Journal du Dr Prosper Ménière. Résumé des Statuts Formation et But de l'Association. — Art. 1. — Il est formé entre les docteurs en médecine Français, reçus dans une faculté de France et exerçant la Médecine dans le département de la Seine une Société mutuelle qui prend le nom d'Association Médicale Mutuelle du département de la Seine. Art. 2. — Elle a pour but d'allouer une indemnité pécuniaire de dix francs par jour aux Membres de l'Association placés par la maladie dans l'impossibilité absolue d'exercer leur profession, soit temporairement, soit d'une façon permanente. Conditions et Mode d'Admission dans l'Association. — Il faut être Français, être docteur en médecine d'une faculté française, n'avoir pas dépassé l'âge de 45 ans, adresser une demande d'adhésion au

par A. Gautier, — uevRe annuelle d chimie nlytq par L. arh Revue Hebdomadaire. — 12 vrl. — Quelques rfexi sur la Littérature Moderne, par M. Léon Tolstoy. — La Kermesse électorale : Avant et rè le scrutin par M. Paul Poltier. — En Chemin d fer Mandchourien : Impri de voyage, par M. N. Tan. — Les Idées théâtre : hsir sur l scène ; lironie au théâtre pra M. Jean Carrère. — L'âme Noire, par . Léon Paquier. — éore : Jrnl du Dr Prosp Ménière 15 Avril — La ou d'Auvergne ses Amis, par M. le Général Bourelly. — La question de Figuigella frontière Marocaine, par . Maurice Follet. — A trv l'histoire, par M. Louis Bltzrd. — Le Roman d'amour de Sophie de Monnier et Mirabeau par M. Paul Cottin. — A propos ds retraites ouvrières, pr Gérrd. remMiéos : Journal d Dr Prosper Ménière. 20 Avril. Psychlg de l Guerre Sud-Africaine, par M. Jean Carrère. — L'Emigration Allemande en Amérique e les rêves germaniques, par M. André Michel. — Le Roman d'Amour de Sophie de Monnier et Mirabeau par M. Paul Cottin — tnoaiisatHb singulières de quelques oiseaux, par M. Henri Coupin. Figuig et la frontière Marocaine, par M. Maurice Follet. — Les premiers Députés de Par en 1789, par M. P Gaulot. — Mémoires ; Journal du Dr rsrepoP Ménière. Résumé des Statuts Frmtn te But de l'Association. — Art. 1. — Il est formé entre les docteurs e médecine Français, reçus dans une faculté d France et exerçant la Médecine dans le déprtmnt de la Seine une Société mutuelle qui prend le nom d'Association Médicale Mutuelle du département de la Seine. Art. 2. — Elle a pour ubt d'allouer une indemnité pécuniaire de dix francs par jour aux Membres de l'Association placés pr la maladie sadn l'impossibilité asoe 'exercer lu profession soit temporairement, soit d'une façon permanente. Conditions et Mode d'Admission dans l'Association. — Il faut être Français, être docteur en médecine d'une faculté fraçse, n'avoir pas dépassé l'âge de 45 ns, adresser une demande dno'hisadé au

Henri Coupin. — Figuig et la frontière Marocaine, par M. Maurice Follet. — Les premiers Députés de Paris en 1789, par M. Paul Gaulot. — Mémoires ; Journal du Dr Prosper Ménière. Résumé des Statuts Formation et But de l'Association. — Art. 1. — Il est formé entre les docteurs en médecine Français, reçus dans une faculté de France et exerçant la Médecine dans le département de la Seine une Société mutuelle qui prend le nom d'Association Médicale Mutuelle du département de la Seine. Art. 2. — Elle a pour but d'allouer une indemnité pécuniaire de dix francs par jour aux Membres de l'Association placés par la maladie dans l'impossibilité absolue d'exercer leur profession, soit temporairement, soit d'une façon permanente. Conditions et Mode d'Admission dans l'Association. — Il faut être Français, être docteur en médecine d'une faculté française, n'avoir pas dépassé l'âge de 45 ans, adresser une demande d'adhésion au Secrétaire général dans laquelle on déclare accepter les Statuts et n'être atteint d'aucune maladie ou infirmité. Payer une cotisation mensuelle de dix francs, plus un droit d'entrée de 5 fr. par année d'âge payé une fois pour toutes au moment de l'admission, être domicilié et exercer dans le département de la Seine au moment de l'admission. Art. 14. — Les associés qui cessent d'exercer dans le département de la Seine, peuvent rester membres participants. Tout associé qui quitte la France perd ses droits à l'indemnité pendant son absence. La Corse, l'Algérie et la Tunisie font partie de la France. Obligations des Associés envers l'Association. — Art. 17. — En cas de maladie, une déclaration d'incapacité professionnelle devra être adressée par l'associé au Président de l'Association dès le début de la Maladie. En cas de déclaration tardive l'indemnité ne pourra courir qu'à partir du 3ème jour qui précèdera la date de la déclaration et accompagné du certificat médical qui doit l'accompagner. Art. 18. Lorsque l'associé cesse d'être malade et reprend ses occupations, il est tenu d'en prévenir de suite le Président, faute par lui de le faire il sera passible d'une amende de 20 francs. Art. 31.— Les cotisations se payent

Henri Coupin. — Figuig et la frontière Marocaine, par M. Mrc Follet. — Les premiers éts de Paris en 1789, par M. Pl Gaulot. — Mémrs Journal du Dr Prosper Ménière. Résumé des Statuts Formation et But de l'Association. Art. 1. Il est réfmo entre les docteurs en médecine Français, reçus dans une faculté d France et exerçant l Médecine dans le déprtmnt de la Seine une Société mutuelle prend le nom d'ssctn Médicale Mutuelle du département de la in. rt. 2. — Elle a pour but d'allouer une indemnité cunir de dix francs par jour aux Membres de l'Association placés par la maladie dans l'impossibilité absolue d'exercer leur profession oits temporairement, st d'une fon permanente. diniCsnoto t odMe d'dmssn dans l'Association. — Il faut êre Français, être docteur en in 'ne luactéf française, n'avoir pas dépassé l'âg ed 45 ns, adresser une demande d'adhésion au Secrétaire général dans laquelle on déclare accepter les Statuts 'être atteint 'aucune maladie infirmité. Payer une otsi mensuelle de dix francs plus un droit dentrée de fr. r année d'âge payé eun f pour toutes au moment l'amsso, être domicilié et exercer dans le département de la Sn au moment de l'admission. Art. 14. Les associés q cessent d'exercer dans le département de la Seine, peuvent steerr membres participants. Tout associé q quitte l France perd ses ot à l'indemnité pendant son absence. La Corse, lAlgérie et la nii font prt de la rane. Obligations ds Associés envers 'Association. — Art. 17. — En cas de maladie, une déclaration d'incapacité professionnelle devra être adressée par li au Président de l'Association s le débt de la Maladie. En as de déclaration tardive l'indemnité ne pourra cor q'à partir d 3ème jour iqu précèdera la date de la déclaration t accogné d certificat médical qui doit l'accompagner. Art. 18. Lorsque l'associé css d'être malade et reprend ses occupations, il est tenu d'en prévenir de suite le Présdnt, ute par lui de le faire il sera passible d'une end de 20 frncs. Art. 31.— Ls cotisations s payent

la Seine au moment de l'admission. Art. 14. — Les associés qui cessent d'exercer dans le département de la Seine, peuvent rester membres participants. Tout associé qui quitte la France perd ses droits à l'indemnité pendant son absence. La Corse, l'Algérie et la Tunisie font partie de la France. Obligations des Associés envers l'Association. — Art. 17. — En cas de maladie, une déclaration d'incapacité professionnelle devra être adressée par l'associé au Président de l'Association dès le début de la Maladie. En cas de déclaration tardive l'indemnité ne pourra courir qu'à partir du 3ème jour qui précèdera la date de la déclaration et accompagné du certificat médical qui doit l'accompagner. Art. 18. Lorsque l'associé cesse d'être malade et reprend ses occupations, il est tenu d'en prévenir de suite le Président, faute par lui de le faire il sera passible d'une amende de 20 francs. Art. 31.— Les cotisations se payent d'avance dans les dix premiers jours qui commencent le mois, le trimestre, le semestre ou l'année selon le mode de paiement choisi par l'Associé. Obligations de l'Association envers ses Membres. — Art. 23. — L'Association alloue une indemnité de dix francs par jour pour toute maladie du moi consultée par un administrateur ne excédant une durée de 8 jours et entraînant l'incapacité absolue d'exercer la profession médicale. Cette indemnité sera payée aussi longtemps que durera cette incapacité absolue. Art. 24. — Les nouveaux adhérents n'ont droit à l'indemnité qu'après six mois révolus de présence sur les contrôles. Art. 26. — La veuve ou à son défaut les enfants d'un associé qui décède après avoir versé cinq années de cotisations pourront avoir droit à une indemnité spéciale appelée indemnité de deuil. Administration, — Art. 20. — L'Association est administrée par un Conseil composé de dix-huit membres et nommés parmi les Associés participants ou honoraires. Nul ne peut être élu membre du conseil s'il n'est français, majeur et s'il ne jouit de ses droits civils et civiques. Art. 30. — Toutes les fonctions sont gratuites. — Le Conseil se réunit le 15 de chaque mois à la Faculté de Médecine, salle des

l Seine au moment de dssio t. 14. — Les associés qui cessent xerc dans le département de l Seine, peuvent rester membres participants. Tout c qui quitte a France perd ses droits à l'ndmnté pndnt osn absence. La Corse l'Algérie et la Tunisie font partie de la ance Obligations des Associés enver l'Association. — Art. 17. — En cs maladie, une déclrtn 'incapacité professionnelle devra être adressée pr l'associé Président de l'Association dès le début de la Maladie. En cas de déclaration trdv 'inmit ne pourra courir qu'à partir du 3ème jour u précèdera la de la déclaration et ccmpgné du certificat médical q doit l'accompagner. Art. 18. Lorsque l'associé cesse dêtre malade et reprend ses occupations il est tenu d'en prévenir de suite le Président, faute par lui de le air l e passible d'une amende de 20 francs. Art. 31.— Les ctstns se payent d'avance dans les dix premiers jours qui commencent le mois, l rimesre le semestre ou l'année selon le mode de paiement choisi par lAssocié otbsaOnilig de l'Association envers ses Membres. — Art. 23. — L'Association alloue une indemnité de dix nc par jour pr tt maladie du moi consultée par un administrateur ne adctxnée une durée de 8 jours et entraînant l'incapacité absolue d'exercer la pren médicale. Cette indemnité sera pé aussi longtemps que durera cette incapacité absolue. Art. 24. — Les nouveaux adhérents n'ont droit à l'indemnité qu'après six ms révolus de présence sur les contrôles. Art. 26. — veuve ou à son défaut les enfants d'un associé qui décède après avoir versé cinq années de cotisations pourront avoir droit une indemnité péc appelée indemnité de deuil Administration, — Art. 20. — L'Association es administrée par un Conseil composé de dix-huit mmbrs et nommés parmi les sscés participants honoraires. Nl ne peut tre élu membre du conseil s'il e'tsn ,fisnaaçr majeur et s'il e jouit de es droits civils et civiques. rt.A 30. — Toutes les fnctns sont gratuites. — Le Conseil se réunit le 15 de chaque mois à la Faculté de Médein, salle des

un administrateur ne excédant une durée de 8 jours et entraînant l'incapacité absolue d'exercer la profession médicale. Cette indemnité sera payée aussi longtemps que durera cette incapacité absolue. Art. 24. — Les nouveaux adhérents n'ont droit à l'indemnité qu'après six mois révolus de présence sur les contrôles. Art. 26. — La veuve ou à son défaut les enfants d'un associé qui décède après avoir versé cinq années de cotisations pourront avoir droit à une indemnité spéciale appelée indemnité de deuil. Administration, — Art. 20. — L'Association est administrée par un Conseil composé de dix-huit membres et nommés parmi les Associés participants ou honoraires. Nul ne peut être élu membre du conseil s'il n'est français, majeur et s'il ne jouit de ses droits civils et civiques. Art. 30. — Toutes les fonctions sont gratuites. — Le Conseil se réunit le 15 de chaque mois à la Faculté de Médecine, salle des théâtres à 8 heures 1/2 du soir. Art. 31. Le Président est élu pour 5 ans; les Vice-présidents pour 2 ans; les autres Membres du Conseil pour un an. Art. 32. — Les associés se réunissent en Assemblée générale une fois par an dans le premier trimestre, sur convocation. La présence aux Assemblées est obligatoire sous peine d'une amende de 5 fr. à motif de lettre d'excuse. Art. 33. — Les présents Statuts ne peuvent être modifiés avant 5 ans. Principaux avantages résultant de l'approbation ministérielle. — 1* Faculté de posséder des objets mobiliers, de prendre des immeubles à bail et faire tous les actes relatifs à ces droits. 2* Faculté de recevoir les dons et legs. Lorsqu'il s'agit de dons ou legs dépassant le chiffre de 5.000 francs, l'acceptation est soumise à l'autorisation du Président de la République. PARIS, 11, RUE ALEXANDRE-DUMAS, Le Gérant: R. NOGVJE, "Normand, rue Feydeau, 5. "Nitot, rue Saint-Lazare. 105. Nigay, boulevard Voltaire, 123 Noël (Jules) boulevard Malesherbes, 94. "Nogué, place de la République, 8. Obissier, boulevard Saint-Denis, 6. Oettinger, M. H. rue Matignon, 12. Pailly, avenue de Vincennes, 12. à Nogent-sur-Marne. Pallier, rue des Martyrs, 24. Tarenteau, rue du Rocher, 73. Pascalis, rue Réaumur,

un administrateur ne excédant une durée de 8 jours et entraînant l'incapacité absolue d'exercer la profession médicale. Cette ndmnté sera payée aussi longtemps que durera ctt incapacité absolue. Art 24. — es nouveaux adhérents n'nt droit à demné qu'après six mois révolus de présence sur les contrôles. rt. 26 — La veuve ou à son défaut les enfants dun associé qui décède après avoir versé cinq années de ctstns prrnt avoir droit à une indemnité spéciale epéapel den de deuil. Administration, — Art. 20. — L'Association est administrée par un Conseil composé de dix-huit membres et nommés parmi les Associés participants e.rhirnooas Nul n peut être él membre du conseil s'l n'est français, majeur et sil ne jouit de ses droits civils et civiques. Art. 30. — Toutes les fonctions on gratuites. — Le Conseil s rént le 15 de chaque mois à la Faculté d Médecine, salle des théâtres à 8 heures 1/2 du soir. Art. 31. L Président est élu pour 5 ans; les Vc-présdnts pour ans; les aues Membres du Conseil pour un an. Art. 32. — Les oés se unise en slée générale une fs par an dans le premier trimestre sur convocation. L présence aux Assemblées set gteiroboila sous peine d'une amende de 5 fr. à motif de lettre d'excuse. Art 33. — Les présents Statuts ne peuvent être modifiés avant 5 ans. Prncpx vntgs résultant de l'pprbtn ministérielle. — *1 Faculté d posséder des objets mobiliers, de prendre des immeubles à bail et faire ts les actes relatifs à ces droits. 2* Fclté de recevoir les dons te legs Lorsqu'il s'agit de don ou legs dépassant le chiffre de 5.000 cs,anfr l'acceptation est sms l'autorisation d Pésidet de la République. PRI,SA 11, RUE ALEXANDRE-DUMAS, e Gérant: R. NOVJE, "Normand, rue Feydeau, 5. "Nitot, rue SaintLazare 105. Nigay boulevard Voltaire, 123 Noël (Jules) boulevard Malesherbes, 4.9 "Nogué, plc de la République, 8. Obissier, blvrd Saint-Denis, 6. Oettinger, M. H. rue Matignon, 12. Ply avenue de Vincennes, 12. à Nogent-sur-Marne. Pllr, rue ds Martyrs, 24. Tarenteau, r du Rchr, 73. Pascalis, rue Réaumur,

présence aux Assemblées est obligatoire sous peine d'une amende de 5 fr. à motif de lettre d'excuse. Art. 33. — Les présents Statuts ne peuvent être modifiés avant 5 ans. Principaux avantages résultant de l'approbation ministérielle. — 1* Faculté de posséder des objets mobiliers, de prendre des immeubles à bail et faire tous les actes relatifs à ces droits. 2* Faculté de recevoir les dons et legs. Lorsqu'il s'agit de dons ou legs dépassant le chiffre de 5.000 francs, l'acceptation est soumise à l'autorisation du Président de la République. PARIS, 11, RUE ALEXANDRE-DUMAS, Le Gérant: R. NOGVJE, "Normand, rue Feydeau, 5. "Nitot, rue Saint-Lazare. 105. Nigay, boulevard Voltaire, 123 Noël (Jules) boulevard Malesherbes, 94. "Nogué, place de la République, 8. Obissier, boulevard Saint-Denis, 6. Oettinger, M. H. rue Matignon, 12. Pailly, avenue de Vincennes, 12. à Nogent-sur-Marne. Pallier, rue des Martyrs, 24. Tarenteau, rue du Rocher, 73. Pascalis, rue Réaumur, 55. "Pasquier, rue Gustave-Courbet, 7. Pasteau, Cité, avenue de Villemain, 13. Paulin-Méry, place d'Italie, 7. Peignon, rue St-Martin, 203. vPellegrin, 10, rue Saint-Charles, à Menton (Alpes-Maritimes). Peschot, rue d'Allemagne, 84. "Petit, Cl., rue de Varennes, 22. Teyrandou-Duverdier, rue Linné, 31. Peyrot, A. F. P. et Ch. H., rue Lafayette, 33. Pézard (De), boulevard Malesherbes, 8. Picard, rue du faubourg Saint-Honoré, 121 'Piekiewicz, 79, boulevard Hausmann. Pignol, rue Pigalle, 31. Pilon, boulevard des Filles-de-la-Cité, 20. Pigot, rue de Choisy, 26. Pirodon, rue Blanche, 64. ■Planès, boulevard St-Michel, 15. Plateau, faubourg St-Honoré, 225. Picque, rue de Dinikerque, 32 ter vPlignon, rue du Moulin, Créteil. Portafax, rue Lafayette, 219. Pouget, faubourg du Temple, 124. 'Poyet, rue de Milan, 19. Prost, à Vincennes. 'Trieur; 1, place des Vosges Puig, à Vincennes. Putei, avenue de Neuilly 152. à Neuilly-sur-Seine. •Quénu, A. F. P. et Ch. H., rue de Londres, 46. •Queudot, modes Capucines, 4. tRabé, Maurice, rue de Sèvres, 127. Rafinégeau, Villa des Pages, au Vésinet. Rafinesque, chaussee, de la Muette, 8 Ravanier, rue d'Aumale, 15. Redard, rue de Turin, 3. URecht, boulevard Magenta, 13 Regeard, rue Bourg-l'Abbé, 5. Rémy, A. F. P., rue de Londres, 31 (Renault, boulevard St-Michel, 136. Retterer, A. F. P.,

présence x Assemblées est obligatoire sous peine d'une amende de 5 fr. à mtif de lettre d'xcs. Art. 33. — Ls présents Statuts ne peuvent être modifiés avant 5 ans. Prncpx avantages résultant de lapprobation ministérielle. — 1* Fclté de posséder des ob mobiliers, de prendre des muibseeml bl et fir tous les actes relatifs à ces droits. 2* Faclté de recevoir les dons et legs. Lorsqu'il s'agit de dons ou legs dépassant l chiffre de 5.000 francs, lacceptation est soumise l'autorisation du Président de la République. PARIS 11, RUE ALEXANDRE-DUMAS, Le Gérant: R. NOGVJE, "Normand, rue Feydeau, 5. "Nitot, rue Saint-Lazare. 105. Nigay, boulevard Voltaire, 123 (Jules) boulrd Mlshrbs, 94. "Nogué, place de la éu . Obissier, boulevard Snt-Dns, Oettinger, M. H. rue Matignon, 12 Plly, neauev de Vincennes, 12. à Nogent-sur-Marne. Pallier, rue des Martyrs, 24. Tarenteau, rue du Rocher, 73 Pascalis, rue Réaumur, 55. "Pasquier, rue Gustave-Courbet, 7. Pasteau, Cité, avenue de Villemain, 13. Pln-Méry, place d'Italie, 7. Peignon, rue St-Martin, 203 vPellegrin, 10, rue Saint-Charles, à Menton (Alpes-Maritimes). Peschot, rue d'Allemagne, 84. "Petit, C., r de Varennes, 22. Teyrandou-Duverdier, rue Lnné, 31. Peyrot, A. . P. et Ch. H., reu Lafayette, 33. Pézard (De), ol Malesherbes, 8. Picard, rue du bafrgouu SaintHonoré 121 iiePkzci'e,w 79, boulevard Hausmann. Pignol, rue e, 31. Pilon, boulevard des Filles-de-la-Cité, 20. Pigot, rue de Chsy, 26. drnoo,iP rue Blanche, 64. ■Planès, boulevard StMichel 15. Plateau, ugbaofru St-Honoré, 225. Picque, rue de Dinikerque, 32 ter vPlignon, rue du Moulin, tCi.rlée Portafax, rue Lafayette, 219. Pouget, faubourg du Temple, 124. 'Poyet, de Milan, 9.1 Prost, sineenV.nc 'Trieur; 1 lc ds Vosges Puig, à Vincennes. Pt, avenue de Neuilly 152. Neuilly-sur-Seine. •un, A. F. P. et Ch. H., r de Londres, 46 •Queudot, modes Capucines, 4. tRabé, Maurice, rue de Sèvres, 7. Rafinégeau, Villa des Pages, au Vésinet. Rafinesque, chaussee d la Muette, 8 Ravanier, rue d'Aumale, 15. Redard, rue de r, 3. URecht, boulevard Magenta 13 gar rue Bourg-l'Abbé, 5. Rémy, A. . P., r de Lndrs, 31 (Renault, boulevard St-Michel, 136. Retterer, A. F. P.,

Pézard (De), boulevard Malesherbes, 8. Picard, rue du faubourg Saint-Honoré, 121 'Piekiewicz, 79, boulevard Hausmann. Pignol, rue Pigalle, 31. Pilon, boulevard des Filles-de-la-Cité, 20. Pigot, rue de Choisy, 26. Pirodon, rue Blanche, 64. ■Planès, boulevard St-Michel, 15. Plateau, faubourg St-Honoré, 225. Picque, rue de Dinikerque, 32 ter vPlignon, rue du Moulin, Créteil. Portafax, rue Lafayette, 219. Pouget, faubourg du Temple, 124. 'Poyet, rue de Milan, 19. Prost, à Vincennes. 'Trieur; 1, place des Vosges Puig, à Vincennes. Putei, avenue de Neuilly 152. à Neuilly-sur-Seine. •Quénu, A. F. P. et Ch. H., rue de Londres, 46. •Queudot, modes Capucines, 4. tRabé, Maurice, rue de Sèvres, 127. Rafinégeau, Villa des Pages, au Vésinet. Rafinesque, chaussee, de la Muette, 8 Ravanier, rue d'Aumale, 15. Redard, rue de Turin, 3. URecht, boulevard Magenta, 13 Regeard, rue Bourg-l'Abbé, 5. Rémy, A. F. P., rue de Londres, 31 (Renault, boulevard St-Michel, 136. Retterer, A. F. P., boul. St-Michel, 29. ■Ricapet, boul. Emmanuels, 30. . "Richard, boulevard du Montparnasse, 12 Richer, rue Jacob, 30. 'Riche. 6, rue de St-Pétersbourg. Ritt, à Fontenay-sous-Bois. ''Rivière, rue Moncey, 16. Robert, rue du Rocher, 60. 'Robin, rue de Provence, 71. 'Roche, rue de l'Arcade, 16. Rocher, Emile, rue de Paris, 28 à Colombes. Rodier, boulevard Haussmann, 73. Roglet, rue St-Honoré, 243. Roussan, avenue Victor-Hugo, 106. Roser, boulevard Malesherbes, 65 URoll, rue de Charenton, 237. Romme, rue Saint-Jacques, 161. 'Rondeau, Président Honoraire de l'Association, château de Roussainville, par libellés (Eure-et-Loir). Rosapelly, rue de Bucy, 10. 'Rotillon, boul. Bonne-Nouvelle, 8. Rouffilange, rue St-Georges, 27. "Rouillon, rue Saint-Hilaire, 34, à La Varenne. Rousseaux, boul. Montparnasse 123 sRousseau, r. Compte, à St-Denis. 'Ruelle, rue Beauchamp, 24. Ruelle, fils, rue Tronchet, 28. Saint-Hilaire, rue de Berlin, 14, Saint-Laurens, rue du Parc, 29, à Fontenay-sous-Bois. Sainte-Martin, avenue Malakoff, 47. Saintu, rue de Montmartre, 61. Sallefranque, avenue de la Mairie, au Parc Saint-Maur. Saury, rue de Tocqueville, 22. Sauvez, rue St-Pétersbourg-g, 17. Sauvineau, rue des Mathurins, 42bis Savornin, rue de Flandre, 118. Schorieder, faub. St-Antoine, 139. Schotter, vne de Hennecin, 6. Sébileau, A. F. P. et Ch. H., rue de Londres, 58. Sebillot, rue Croix-des-Péllicanbamps, Croix-des-Péllicanbamps. Sénac, rue

Pézard De ubdalorev Malesherbes, 8. ard rue du faubourg Saint-Honoré, 121 'Piekiewicz, 79, boulevard Hausmann. logiPn, re Pigalle, 31. Pilon boulevard des Filles-de-la-Cité, 20. Pigot, rue de Choisy, 26. Pirodon, rue Blanche, 6.4 ■Planès, boed St-Michel, 15. ata faubourg St-Honoré, 225. Picque, rue de Dinikerque, 32 tre vPlignon, r du Moulin, Créteil. Portafax, rue Lafayette, 219. Pouget, faubourg du Temple, 124. 'Poyet, ure de Milan, 19. rotsP, Vincennes. 'Trieur; 1, place des Vosges Puig, à Vincennes. Putei, avenue de Neuilly 1.52 à Neuilly-sur-Seine. •Quénu, . F. P. et Ch. H., de Londres, 46. •Qdt, modes Capucines, 4. tRabé, Maurice, rue de Sèvres 127. Rafinégeau, Villa des Pages, au Vésinet. Rafinesque, chaussee, de l ,Muttee 8 Ravanier, r d'Aumale, 15. ea rue de Turin, 3. htc,UeR boulevard Magenta, 13 Rgrd, rue Brg-l'bbé, 5 Rémy, A. F. P., re de Londres, 31 (Renault, boulevard St-Michel, 136. Retterer, F. P. u St-Michel, 29. ■Ricapet, boul manel 30. . "Rchrd, boulevard du Montparnasse, 12 Richer, rue Jacob, 30. hR'.eic 6, e de StPétersbourg Rtt, à Ft-ssBo ''Rivière, rue Moncey, 16 Robert, rue du ,hreocR 60. 'Robin, rue de Provence, 71. 'Roche, rue de l'Arcade, 16. Rocher, Emile, rue de Paris, 28 à olme Rodier, ovar Haussmann, 73. Roglet, rue St-Honoré, 243. Roussan, e Victor-Hugo, 106. Roser, boulevard Malesherbes, 65 URoll, rue de Charenton, 237. Romme, rue Saint-Jacques, 161. 'Rondeau, Président Honoraire e l'Association, htea de Roussainville, p libellés (Eure-et-Loir). Rosapelly, r de Bucy, . Rln'oliot, boul. Bonne-Nouvelle, 8. Rouffilange, r St-Georges, 27. "Rouillon, rue Saint-Hilaire, 34, à La Varenne. Rssx, boul. Montparnasse 123 sRueau, r. Cmpt, à St-Denis. 'Ruelle, rue Beauchamp, 24. Ruelle, fils, rue Tronchet, 28. iairinSlHt-,ea rue de Berlin 14, Saint-Laurens, rue du Parc, 29, à Fontenay-sous-Bois. SainMrn avenue oaMflf,ka 47. Saintu, rue de Montmartre, 61. Sallefranque, avenue de l Mairie, au Parc Saint-Maur. Saury, rue de Tocqueville, 22. Sauvez rue St-Pétersbourg-, 17. Sauvineau, rue sed Mathurins, 42bis Savornin, rue de Flndr, 118. Schorieder, fa St-Antoine, 139. Schotter, vne de ne,nneicH 6. Sébileau, A. F. P. et Ch. H., rue de Londres, .58 Sebillot, r Croix-des-Péllicanbamps, Croix-des-Péllicanbamps. Sénac, rue

à Colombes. Rodier, boulevard Haussmann, 73. Roglet, rue St-Honoré, 243. Roussan, avenue Victor-Hugo, 106. Roser, boulevard Malesherbes, 65 URoll, rue de Charenton, 237. Romme, rue Saint-Jacques, 161. 'Rondeau, Président Honoraire de l'Association, château de Roussainville, par libellés (Eure-et-Loir). Rosapelly, rue de Bucy, 10. 'Rotillon, boul. Bonne-Nouvelle, 8. Rouffilange, rue St-Georges, 27. "Rouillon, rue Saint-Hilaire, 34, à La Varenne. Rousseaux, boul. Montparnasse 123 sRousseau, r. Compte, à St-Denis. 'Ruelle, rue Beauchamp, 24. Ruelle, fils, rue Tronchet, 28. Saint-Hilaire, rue de Berlin, 14, Saint-Laurens, rue du Parc, 29, à Fontenay-sous-Bois. Sainte-Martin, avenue Malakoff, 47. Saintu, rue de Montmartre, 61. Sallefranque, avenue de la Mairie, au Parc Saint-Maur. Saury, rue de Tocqueville, 22. Sauvez, rue St-Pétersbourg-g, 17. Sauvineau, rue des Mathurins, 42bis Savornin, rue de Flandre, 118. Schorieder, faub. St-Antoine, 139. Schotter, vne de Hennecin, 6. Sébileau, A. F. P. et Ch. H., rue de Londres, 58. Sebillot, rue Croix-des-Péllicanbamps, Croix-des-Péllicanbamps. Sénac, rue Ménilmontant, 40. Sereno, rue Thérèse, 14. Signes, boulevard Diderot, 138. Simon, rue de Vaugirard, 188. Simon Robert, rue de Vernèuil, 60 Spindler, rue Étienne-Marcel, 29. Sôcquet, boulevard Richard-Lenoir, 6 Souloule Sédillot, 3. Soulier, boulevard des Batignolles, 43. Solfier, Paul, 145, rue de Versailles, à Boulogne-sur-Seine. Stieg, rue Pierre-Gilbert, 4 bis. Sureau, rue Milton, 4 Tachard, rue des Aubépines, 233, à Chevry. Tarnaud-Henvé, 12 Tarrius, 7 avenue-suivante. Lavéra, rue d'Allemagne, 5. Thébault, rue Compans, 14. Teissier, Pierre, 17, rue Bonaparte. Teullière, rue de la République, à Saint-Denis. Thierry, rue Madame, 23. Thill, H., 88. rue Doudeauville. Thiroux, rue Thimonnier, 4. Thoinot, rue de l'Odéon, 8. Thomas, rue Louis-Le-Grand, 19. Thoumas, rue de Billy, 188. Thouvenel, à Antony. Thuvien, avenue de Neuilly, 109. à Neuilly-sur-Seine. Toledano, rue de Bourgogne, 22. Touchard, rue de l'Arcade, 14. Toulouse, rue de Grenelle, 42. Tourangin, boulevard Voltaire, 20 bis. Tourneux, à Vaugirard d'Éauqueffé par Martigne-Fréhal, Ille-et-Vilaine. Tournelet, rue des Lombards, 38. Tournier, rue Louis Blanc, 67. Touvenaux, avenue Victor-Hugo. 27. Triboulet. M.H. cité d'Antin. 5. Tripet Jules, r. de Compiègne. 2. Ungauer. boul. Sebastopol. 108. Valentin, boulevard St-Germain, 176. Valude, rue de l'Université, 96. Van Gelder, rue Mollet, 68. Veillard, rue de la Verrerie, 34. Venluéjol,

à Colombes. Rodier, boulevard Haussmann, 73. Roglet, uer St-Honoré, 243. Roussan, avenue VctrHg, 106. Roser, boulevard Malesherbes, 65 URoll, rue d Charenton, 237. Romme, rue SaintJacques 161. 'Rondeau, Président Honoraire de l'Association, château de Roussainville, pr libellés (Eure-et-Loir). Rosapelly rue ed Bucy, 10. 'Rotillon, boul. Bonne-Nouvelle, 8. Rouffilange, re St-Georges, 27 "Rouillon, rue Saint-Hilaire, 34, à L Vrnn. Rousseaux, ou. Montparnasse 123 sRousseau, r. Compte, à St-Denis. 'Ruelle, rue Beauchamp, 24. ull fils, rue Tronchet, 28. Snt-Hlr, rue de Berlin 14, Saint-Laurens, rue du Parc, 29 à FontenaysousBois Sainte-Martin, avenue Malakoff, 47. Saintu, rue de Montmartre, 61. Sallefranque, avenue de la Mairie, au Parc SaintMaur uy, u de Tocqueville, 22 Sauvez, rue St-Pétersbourg-g, 17. Sauvineau, rue eds Mthrns, 42bis Savornin, rue d Flandre, 118. Schorieder, fab St-Antoine, 19. Schotter, vn de Hennecin, 6. Sébl, A. F. P. et Ch. H., rue de Londres, 58. Sebillot, rue Croix-des-Péllicanbamps, Croix-des-Péllicanbamps. Sénac, rue Ménilmontant, 40. Sereno, rue Thérèse, 14. Signes, boulevard Diderot 138. Simon, r de Vaugirard, 188. Simon Robert, rue de Vernèuil, 60 Spindler, rue Étnn-Mrcl, 29. Sôcquet, ulead Richard-Lenoir, 6 Souloule Sédillot, . Soulier, blvrd des tignl, 43. Solie Pu, 145, rue de Versailles, à Boulogne-sur-Seine. Stieg, rue Prr-Glbrt, 4 bis. Sureau, rue Milton, 4 Tachard, rue des Aubépines, 233, à Chevry. Tarnaud-Henvé, 12 Tarrius, 7 avenue-suivante. Lavéra, rue d'Allemagne, 5. Thébault, rue Compans, 14. Teissier, ie 17, rue Bonaparte. Teullière, rue de la République, à SaintDenis Thierry, r Madame, 32. Thill H., 88 rue Doudeauville Thiroux, rue Thimonnier, 4. Thnt, rue de l'Odéon, 8. Thomas, rue Louis-Le-Grand, 19. oum, rue d lByl,i 188. Thouvenel, Antony. Thuvien avenue de Neuilly, 109. à lu-Sein Toledano, rue de gBooegun,r 22. Touchard, rue de lre 14. Toulouse, rue e Grenelle, 42. Tourangin, boulevard Voltaire, 20 bis. Tourneux à Vgrrd d'Éauqueffé par Martigne-Fréhal, Ille-et-Vilaine. Tournelet, rue de Lombards, 38. Tournier, rue Louis Blanc, 67. Tux avenue Vctr-Hg. 27. Triboulet. M.H. cité Ant 5. Tripet Jules, r. de o.mpgiCène 2 Ungauer. bl. Sebastopol. 108. Valentin boulevard St-Grmn, 6 ,Vleadu rue de l'Université, 96. Van Gelder, u elMto,l 68. Veillard, rue de l rre, 34. Venluéjol,

Sureau, rue Milton, 4 Tachard, rue des Aubépines, 233, à Chevry. Tarnaud-Henvé, 12 Tarrius, 7 avenue-suivante. Lavéra, rue d'Allemagne, 5. Thébault, rue Compans, 14. Teissier, Pierre, 17, rue Bonaparte. Teullière, rue de la République, à Saint-Denis. Thierry, rue Madame, 23. Thill, H., 88. rue Doudeauville. Thiroux, rue Thimonnier, 4. Thoinot, rue de l'Odéon, 8. Thomas, rue Louis-Le-Grand, 19. Thoumas, rue de Billy, 188. Thouvenel, à Antony. Thuvien, avenue de Neuilly, 109. à Neuilly-sur-Seine. Toledano, rue de Bourgogne, 22. Touchard, rue de l'Arcade, 14. Toulouse, rue de Grenelle, 42. Tourangin, boulevard Voltaire, 20 bis. Tourneux, à Vaugirard d'Éauqueffé par Martigne-Fréhal, Ille-et-Vilaine. Tournelet, rue des Lombards, 38. Tournier, rue Louis Blanc, 67. Touvenaux, avenue Victor-Hugo. 27. Triboulet. M.H. cité d'Antin. 5. Tripet Jules, r. de Compiègne. 2. Ungauer. boul. Sebastopol. 108. Valentin, boulevard St-Germain, 176. Valude, rue de l'Université, 96. Van Gelder, rue Mollet, 68. Veillard, rue de la Verrerie, 34. Venluéjol, b. d. Filles-d'Calvaire. 7 Vesper, pass. Rouget-de-l'île (Lilas) Verdier, rue Nouvelle, 1. Tiard, rue de Saint-Quentin, 12 : Vicente, rue Legendre, 142. Villière, à St-Denis. Vignes, avenue Montaigne, 53. Villejean A. F. P. Hotel-Dieu. Villèprand, rue de Passy, 61. Virey, rue Saint-Merri, 12. Zibelin, faubourg Saint-Antoine, 70. Zielinski, place de la Nation, 30, É. Wattelet, 4. rue Si-Dominique. Wawenheim, rue Richer, 1. Weill, rue de Châteaudun, 28. Weil, Emile, rue des Apôtres 9. Véber Alfred, rue de Cérisoles, 6. Weil, boulevard Magenta, 151. Willette, rue Lepic, 27. Wirbel, rue des Ecoles, 38. Avis très important MM. les Sociétaires sont instamment priés de s'adresser : Pour les déclarations de maladie, reprise du travail, envoi des bons d'indemnité, au Président : Docteur DESCOUST 37, Rue Etienne-Marcel (lor A.) Pour les déclarations de candidatures, demandes de statuts, changements d'adresse, au Secrétaire-Général : Docteur THOUMAS 188, rue de Belleville (20e A.) Pour les réclamations relatives aux finances, au Trésorier ; Docteur FISSIAUX 0, rue Martel (10e A.)

Sureau, rue Milton, 4 Tachard r des ueén,ipsAb 3 à Chevry. Tarnaud-Henvé, 12 Tarrius, 7 avenue-suivante. Lavéra, eur d'Allemagne, 5 héul, rue Compans, 14. Tssr, Pierre, 17, rue Bonaparte. Teullière, rue de la République, à Saint-Denis. Thierry, rue Madame, 23. Thill, H 88. rue Doudeauville. Thiroux, ue hinn 4. ot,ihonT rue ed lOdéon 8. Thomas, rue Ln-oe-usdaL,riG 19. Thoumas, rue de B, 188. Thouvenel, à Antony Thuvien, vn de Neuilly, 9. à Neuilly-sur-Seine. Toledano, r de Bourgogne, 22. Touchard, rue de 'Arcade, 14. uTosle,uo rue de Grenelle, 42. Trngn, boulevard Voltaire 20 bis. Tourneux à Vaugirard d'Éauqueffé par Martigne-Fréhal, leeiane. Tournelet, eur des Lombards, 38. Torni, rue Louis Blanc 67. Tvnx, an Victor-Hugo. 27. Triboulet. . cité 'Antin. 5. ripet Jules, r. de Cmpègn. . Ungauer. boul. Seasol. 108. Valentin, blvrd St-Germain, 176. Vld, rue de lUniversité 96. Van Gldr, u Mollet, 68. Veillard, rue de la Vrrr, 34. Venluéjol, b . Filles-d'Calvaire. 7 Vesper, pass. Rgt-d-l'îl Lilas Verdier, rue Nouvelle, 1. Tiard, uer de Saint-Quentin, 12 : Vicente, rue Legendre, 142. Vllèr, à -Dnet.Sis Vignes avenue Montaigne, 53. Villejean A. F P. Hotel-Dieu. Villèprand, rue de Passy, 61. Virey, rue Saint-Merri, 12 Zibelin, faubourg Saint-Antoine, 70. Zielinski, place d la Nation, 30 É. Wattelet, . rue Si-Dominique. Wawenheim, rue Richer, 1. Wll, rue de Châteaudun, 28. Weil, Emile rue des Apôtres 9. Véber Alfred, rue de éCrs,oilse 6. Weil, boulevard Magenta, 151. Willette, r Lepic, 27. Wirbel, rue des Ecoles, 38. Avis très mprtnt MM. les Scétrs sont emstmtainn rié de s'adresser : Pour les déclarations de maladie, reprise du travail, envoi des nsob tménni'ide,d au Présdnt : Docteur DESCOUST 37 Rue EtneMael (lor A.) Pour ls déclrtns de candidatures mdeaesnd de sttts, changements d'as, au crtae-ér : Docteur THOUMAS 188 e de Belleville (20e A.) Pour les réclamations relatives aux finances, ua Trésorier ; Ducetro FISSIAUX 0, rue Martel (10e A.)

la Nation, 30, É. Wattelet, 4. rue Si-Dominique. Wawenheim, rue Richer, 1. Weill, rue de Châteaudun, 28. Weil, Emile, rue des Apôtres 9. Véber Alfred, rue de Cérisoles, 6. Weil, boulevard Magenta, 151. Willette, rue Lepic, 27. Wirbel, rue des Ecoles, 38. Avis très important MM. les Sociétaires sont instamment priés de s'adresser : Pour les déclarations de maladie, reprise du travail, envoi des bons d'indemnité, au Président : Docteur DESCOUST 37, Rue Etienne-Marcel (lor A.) Pour les déclarations de candidatures, demandes de statuts, changements d'adresse, au Secrétaire-Général : Docteur THOUMAS 188, rue de Belleville (20e A.) Pour les réclamations relatives aux finances, au Trésorier ; Docteur FISSIAUX 0, rue Martel (10e A.)

l Nation, 30 É. Wattelet, 4. rue Si-Dominique. Wawenheim, rue Richer . Weill, rue de Châteaudun 28. Weil, Emile, rue des Apôtres 9 Vébr Alfred, r de Cérisoles, 6. Weil, boulevard Magenta, 151. Willette, rue Lepic 27 Wirbel, rue des Ecoles, 38 As très important MM. les Sociétaires sont instamment priés de s'adresser : Pour les déclarations d maladie, eprie du travail, envoi de bons 'indemnité, Ptésenrid Docteur DESCOUST 37, Rue Etienne-Marcel (lor A Pour les déclarations d candidatures, demandes de statuts, changements dadresse au Secrétaire-Général : Docteur THOUMAS 188, rue de Belleville (20e ) Pour e réclamations relatives aux finances, au Trésorier ; cuetrDo FISSIAUX 0, re Martel (10e A.)