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Ministre des Colonies, M. TIER (William), secrétaire général de 1ère classe des Colonies, secrétaire général de la Guyane, a été affecté à la Guadeloupe, en remplacement de M. HENRY, pour le Haut-Sénégal et Niger. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. GON (Joseph-Denys), administrateur de 1ère classe des Colonies, a été nommé lieutenant général de 1ère classe et affecté à la Guyane, en remplacement de M. pour la Guadeloupe. Par décision du Ministre des Colonies du 1er octobre 1910, M. J. SUZANNE (Emmanuel-Marie-Edmond-Pierre), rédacteur stagiaire à l'administration centrale du Ministère des Colonies, a été admis définitivement dans les rangs de rédacteur de 1ère classe, pour compter du 6 septembre 1910, après qu'il a réuni une année de services dans les bureaux du Ministère. Par décret du 14 octobre 1910, Sur la proposition du Ministre des Colonies et du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, ont été nommés : Conseiller à la Cour d'appel de l'Inde, M. GNANADIKOTH, juge-président du tribunal de première instance de Chandernagor, en remplacement de M. BONNE, appelé à d'autres fonctions. Juge président du tribunal de première instance de Chandernagor, M. Juge suppléant au tribunal de première instance de Tananarive (Madagascar), en remplacement de M. GNANADIKOTH, conseiller à la Cour d'appel de Pondichéry. Par arrêté du Ministre des Colonies du 15 octobre 1910, M. MARTINOT, ingénieur auxiliaire de 1ère classe des travaux publics des Colonies, a été nommé ingénieur de 3ème classe des travaux publics des Colonies. Par arrêté du Ministre des Colonies du 17 octobre 1910, Les élèves brevetés de l'École coloniale dont les noms suivent ont été nommés élèves-administrateurs des Colonies : MM. LOISELEUR DES LONCHAMPS DEVILLE (Alfred-Henry). PALADE (Antoine-Firmin). CARLES (Fernand). LE CAMPION (Ange-François). LEVADAB (Georges-Pierre). HELLIER (François-Antoine). BESSON (Pierre-Charles). NICOL (Yves-Marie). RIDARD (Louis-Eugène). SORDÉS (Georges). Par le même arrêté, ont été nommés : MM. LOISELEUR DES LONCHAMPS DEVILLE, PALADE, CARLES, LE CAMPION, LEVADAB ont été mis à la disposition du gouverneur général de l'Afrique occidentale française. MM. HELLIER, BESSON et RIDARD ont été affectés à Madagascar; MM. NICOL et SORDÉS ont été appelés à | Ministre des osienlC,o M. TE (William), secrétaire général de 1ère classe des Colonies, secrétaire général de la Guyane, a été affecté la Guadeloupe, en remplacement de M. HENRY, pour le Haut-Sénégal te Niger. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Clns, M. GON (Joseph-Denys), trsmdiaetniaru de 1ère classe des Colonies, a été nomé lieutenant général de 1ère classe et affecté à a ynGa,ue en remplacement de M. pour la Guadeloupe. Par décision du Ministre des Colonies du 1er octobre 1910 M. J. SUZANNE n(EmerdiePidlma-aM)nme,euroEr-- rédacteur stagiaire à 'administration centrale du Ministère des Colonies, a été admis définitivement dans les angrs d rédacteur de 1ère clss, pour compter du 6 sptmbr 9 après qu'il a réuni une année de services dans les bureaux du Mnstèr. Par décret du 14 octobre 1910, Sr la proposition du Ministre des Colonies et du Garde uxS,eca Ministre de la Justice, ont téé nommés : Conseiller à la Cour dappel de l'Inde, M. GNANADIKOTH, juge-président du tribunal de première instance de Chandernagor, en pemt de M. BONNE, pp à d'trs fonctions. Juge président du tribunal de prmèr nstnc de Chandernagor, M. Jg suppléant au tribunal de première instance de Tananarive (Madagascar), n remplacement de M. GNANADIKOTH, conseiller à la Cour d'appel de Pondichéry. Par arrêté du Mnistr des Colonies du 15 octobre 1910, M. MARTINOT, ingénieur auxiliaire d 1ère classe des travaux publics des Colonies, a été nommé ingénieur de 3ème classe des travaux publics des Colonies. Par arrêté ud Ministre des Colonies du 17 octobre 1910, Les élèves brevetés de l'École coloniale dont les nms suivent ont été nommés élèvs-dmnstrtrs des Colonies : MM. OISEU DES LCAMS DEVILLE (Alfred-Henry). PALADE (Antoine-Firmin). CARLES (Fernand). LE CAMPION (Aranç LEVADAB (Georges-Pierre). HELLIER (François-Antoine). BSENSO (Pierre-Charles). NLOIC (Yves-Marie). RIDARD (Louis-Eugène). SORDÉS (Georges). Par le même arrêté, ont été nommés : MM. LOISELEUR DES LONCHAMPS DEVILLE, PALADE, CARLES, LE CAMPION, LEVADAB ont été mis à la disposition du gouverneur général de l'Afrique occidentale française. MM HELLIER, BESSON et RDRD ont été affectés à Madagascar; MM. NICOL t SORDÉS nt été pplés à |
de Tananarive (Madagascar), en remplacement de M. GNANADIKOTH, conseiller à la Cour d'appel de Pondichéry. Par arrêté du Ministre des Colonies du 15 octobre 1910, M. MARTINOT, ingénieur auxiliaire de 1ère classe des travaux publics des Colonies, a été nommé ingénieur de 3ème classe des travaux publics des Colonies. Par arrêté du Ministre des Colonies du 17 octobre 1910, Les élèves brevetés de l'École coloniale dont les noms suivent ont été nommés élèves-administrateurs des Colonies : MM. LOISELEUR DES LONCHAMPS DEVILLE (Alfred-Henry). PALADE (Antoine-Firmin). CARLES (Fernand). LE CAMPION (Ange-François). LEVADAB (Georges-Pierre). HELLIER (François-Antoine). BESSON (Pierre-Charles). NICOL (Yves-Marie). RIDARD (Louis-Eugène). SORDÉS (Georges). Par le même arrêté, ont été nommés : MM. LOISELEUR DES LONCHAMPS DEVILLE, PALADE, CARLES, LE CAMPION, LEVADAB ont été mis à la disposition du gouverneur général de l'Afrique occidentale française. MM. HELLIER, BESSON et RIDARD ont été affectés à Madagascar; MM. NICOL et SORDÉS ont été appelés à accomplir leur stage en Afrique équatoriale française. Par arrêté du Ministre des Colonies du 17 octobre 1910, M. BOUCHEZ (Auguste-Edmond), administrateur de 3ème classe des Colonies, mis à la disposition de M. le gouverneur général de l'Afrique occidentale française. Par arrêté du Ministre des Colonies du 17 octobre 1910, MM. NICOLAS (Jean-Henri-Joseph), BOULHAC (Jean-Clément-Christian), OGER (Henri-Joseph), et RICHARD DE CHICOUART (Léon), élèves de l'École coloniale, Ont été nommés élèves-administrateurs des Services civils de l'Inde. Par décret du 18 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. ISTHMIEN (Jean-Auguste), administrateur de 3ème classe des Colonies, en retraite, a été nommé administrateur honoraire des Colonies. Par décret du 19 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. TROADEC (Charles) a été nommé pour une période de deux années, membre du Conseil privé de la Nouvelle-Calédonie, en remplacement de M. FABIUS, dont la démission a été acceptée. Par décision du Ministre des Colonies du 24 octobre 1910, M. THOUET (Joseph), ex-caporal au 196e régiment d'infanterie, a été mis à la disposition de l'île Saint-Pierre et Miquelon, en qualité de préposé des douanes, en exécution de la loi du 28 mars 1905. Par arrêté du Ministre des Colonies | de Tananarive (Madagascar), en remplacement d M. GNNDKTH, conseiller l Co 'appel de Pondichéry. Par arrêté du Ministre des Colonies du 15 octobre 110 . MARTINOT, ingénieur auxiliaire de 1 classe des travaux publics d Colonies, a été nommé ingénieur de 3ème las des travaux publs des Colonies. Par arrêté du Ministre des Colonies du 17 octobre 1910, Les élèves brevetés de l'École coloniale dnt e nms suivent o été nommés lvsmiiraeurs des Colonies : MM. LSLR DES CHSMLONPA DVLL (Alfred-Henry). PALADE (Antoine-Firmin). CARLES (Fernand). LE CAMPION (Ange-François). LEVADAB (Georges-Pierre). HLLR FrançoisAntoine BESSON (Pierre-Charles). NICOL (Yves-Marie). RIDARD (Louis-Eugène). SORDÉS (Georges). Par le même rté ont été nommés : MM. LOISELEUR DS LONCHAMPS DEVILLE, A,AEPDL CRLS, L CAMPION, LEVADAB on téé mis la disposition du gouverneur général de l'Afrique occidentale française. MM. HELLIER, BESSON et RAR ont été affectés à Madagascar; MM. NICOL te SORDÉS nt été appelés à accomplir leur stage en Afrique équatoriale française. Par rrêté du Ministre des Clns du 17 octobre 1910, M. OZUHBCE (Ase-d), administrateur de 3èm classe des Colonies, mis à la disposition de . e gouverneur général de 'Afrique occidentale française. Par arrêté du Ministre des Colonies du 17 octobre 1910, MM. NCLS (Jean-Henri-Joseph), BOULHAC (Jean-Clément-Christian), OGER (nri-oeph et RICHARD DE CHICOUART (Léon), élèves de l'col coiale, Ont été nommés élèves-administrateurs des Services ilcisv de l'Inde. Par décret du 18 octobre 1910, Rendu sur la prpstn du Ministre des Colonies, M. ISTHMIEN (Jean-Auguste), administrateur de 3ème classe des Colonies, en rtrt, a été nommé administrateur honoraire des Colonies. Par décret d 19 octobre 1910 Rnd sur la proposition du Ministre des Colonies, M. TROADEC Charles a été omnmé pr une péride de deux années, membre d Conseil privé de la Nouvelle-Calédonie, en rmplcmnt d M. FABIUS, dnt la démission a été acceptée. Par décision du Minise des Colonies du 42 octobre 1910, M. THOUET (Joseph), ex-caporal au 196e régiment 'neadnieir,ft a été mis à la disposition de el'lî ait-Pie et Miquelon, en qualité de érpopsé des dns, en exécution de la i d 28 mars 1905. Par arrêté du Ministre des nieoolCs |
NICOLAS (Jean-Henri-Joseph), BOULHAC (Jean-Clément-Christian), OGER (Henri-Joseph), et RICHARD DE CHICOUART (Léon), élèves de l'École coloniale, Ont été nommés élèves-administrateurs des Services civils de l'Inde. Par décret du 18 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. ISTHMIEN (Jean-Auguste), administrateur de 3ème classe des Colonies, en retraite, a été nommé administrateur honoraire des Colonies. Par décret du 19 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. TROADEC (Charles) a été nommé pour une période de deux années, membre du Conseil privé de la Nouvelle-Calédonie, en remplacement de M. FABIUS, dont la démission a été acceptée. Par décision du Ministre des Colonies du 24 octobre 1910, M. THOUET (Joseph), ex-caporal au 196e régiment d'infanterie, a été mis à la disposition de l'île Saint-Pierre et Miquelon, en qualité de préposé des douanes, en exécution de la loi du 28 mars 1905. Par arrêté du Ministre des Colonies du 29 octobre 1910, Édouard COTELLE, notaire honoraire, a été nommé membre de la Commission des confiscations et coloniales. Par arrêté du Ministre des Colonies du 31 octobre 1910, M. Henri Joseph CHERARD, rédacteur à l'administration centrale, a été nommé secrétaire de la commission des concessions coloniales. Par arrêté du Ministre des Colonies du 31 octobre 1910, M. DURAND DE SURVILLENT (François-Marie), administrateur adjoint de 3ème classe des Colonies, provenant de Madagascar, a été mis à la disposition de M. le Gouverneur général de l'Afrique occidentale française. Par décret du 25 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, Les pouvoirs conférés à M. SCHENGENANS, membre titulaire du Conseil privé de Cochinchine, par le décret du 6 novembre 1906, ont été renouvelés pour période de quatre ans. Par décret du 29 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies et du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, Ont été nommés: Greffier de la Cour d'appel de la Martinique, M. THERMES, greffier du tribunal de première instance de Fort-de-France, en remplacement de M. PARET, admis à valoir ses droits à la retraite; Greffier du tribunal de première instance de Fort-de-France (Martinique), M. la jeune de paix | NICOLAS (Jean-Henri-Joseph), BOULHAC Ja-lment-istn, OGER (Henri-Joseph), et RICHARD DE HICR (Léon), élèves de l'École coloniale, t été nmmés élèvesadministrateurs des vies civils de l'Inde. Par décrt du 8 octobre 1910, Rendu sru la proposition du Ministre des Colonies, M. ISTHMIEN (Jean-Auguste), mater de 3ème classe des neio,oCls en retraite, a été nommé administrateur honoraire des Colonies. Par décret du 19 octobre 1910, Rendu sur l proposition d Mit des Colonies, M TROADEC (Charles) a été nommé pour une période d deux années, membre ud Cnsl privé de la Nouvelle-Calédonie, en remplacement de M. FABIUS, dont la émion a été acceptée. P décision du Ministre ds Colonies du 24 octobre 1910, M. THOUET (Joseph), p-reoaxacl au 196e régmnt 'infanterie, a été mis à la disposition de l'île Snt-Prr t eMuloi,nq en qualité de préposé des douanes, en exécution de la loi du 28 mars 1905 Par arrêté du Mreitnis des Colonies du 29 octobre 19 dodurÉa OL, notaire honoraire, a été nommé membre de la Commission des confiscations t coloniales. Par arrêté du Ministre des Colonies du 31 octobre 1910, M. Hnr Joseph CHERARD, rédacteur à l'administration centrale, a été mé secrétaire de l commission des concessions coloniales. arrêté du Ministre des Colonies d 31 octobre 1910, M. DURAND D SRVLLNT (Frnçs-Mr), administrateur djnt de 3ème classe d Colonies, provenant Madagascar, a éét mis à la dspstn de M. le Gouverneur général de 'Afrique occidentale aeiarç.nfs Par décret du 25 octobre 1910, Rendu sur al proposition du Miste ds Colonies, Les pouvoirs conférés à M. SCHENGENANS, membre titulaire d Conseil privé de Cochinchine, par e décret du 6 novembre 1906, ont ét uroévslene pour rdioepé de qtr ans. Pr décret du 29 octobre 1910, Rdu sur la proposition du Ministre des Colonies et d Garde des Scex, Ministre de la Justice Ont téé nommés: Greffier de la Cour dappel de la Martinique, M. THERMES, greffier d tribunal de première insnce de Fort-de-France, en remplacement de M. PARET, admis à valoir ses droits la retraite Grffr du trbnl de prmèr instance d Fort-de-France ),Meiiqut(nra M. la jeune ed paix |
Ministre des Colonies du 31 octobre 1910, M. DURAND DE SURVILLENT (François-Marie), administrateur adjoint de 3ème classe des Colonies, provenant de Madagascar, a été mis à la disposition de M. le Gouverneur général de l'Afrique occidentale française. Par décret du 25 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, Les pouvoirs conférés à M. SCHENGENANS, membre titulaire du Conseil privé de Cochinchine, par le décret du 6 novembre 1906, ont été renouvelés pour période de quatre ans. Par décret du 29 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies et du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, Ont été nommés: Greffier de la Cour d'appel de la Martinique, M. THERMES, greffier du tribunal de première instance de Fort-de-France, en remplacement de M. PARET, admis à valoir ses droits à la retraite; Greffier du tribunal de première instance de Fort-de-France (Martinique), M. la jeune de paix au Lamentin, en remplacement de M. THERMES, nommé greffier à la Cour d'appel de la Martinique. Par décret du 9 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. DISPAGNE, commis-gréffier à la Cour d'appel de la Martinique, a été nommé juge de paix au Lamentin (Martinique), en remplacement de M. YOTTE, no greffier du tribunal de 1re instance de Fort-de-France. Par arrêté du Ministre des Colonies du 29 octobre 1910, Ont été promus dans le personnel de l’Administration centrale du Gouvernement des Colonies, pour compter du 1er novembre 1910 : 1° À l’emploi de chef de bureau de 1re classe : M. GLITZ (Émile), chef de bureau de 2e classe. 2° À l’emploi de sous-chef de bureau de 1re classe (pour continuer à être placé en service détaché) : Cher (Georges), sous-chef de bureau de 2e classe, en service détaché à l’office colonial. 3° À l’emploi de sous-chef de bureau de 2e classe : M. PARADIS (Eugène), sous-chef de bureau de 3e classe. LE Roux (Alfred), sous-chef de bureau de 3e classe. 4° À l’emploi de rédacteur de 2e classe : M. MLIENOT (Alfred), rédacteur de 2e classe. RICHARD (Henri), rédacteur de 2e classe. DITIEUX (Marcel), rédacteur | Ministre des Colonies du 31 octobre 1910, M. DURAND DE SURVILLENT (François-Marie), administrateur adjoint de 3ème classe des Colonies, provenant de Madagascar, a été mis à la inisodiptso de M. l Gouverneur général de lAfrique occidentale française. Par décret du 25 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, Les pvrs onférs à M. SCHENGENANS, membre titulaire du Conseil iépvr de Cochinchine, par l décret du 6 menorveb 1906, ont été renouvelés pour période d quatre ans. Par ct du 29 octobre 1910, Rendu sur la prpstn du Ministre des Colonies et du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, Ont été nommés: Greffier de la Cour d'appel de la Marinque, M. THERMES, greffier du tribunal de première instance de Fort-de-France, en remplacement d M. PARET, admis à valoir ses droits à la retraite; Grffr du tribunal de première instance de Fort-de-France (Martinique), M. la njuee de paix au Lamentin, en remplacement de M THERMES, nommé greffier à la Cour d'appel la Martinique. Par décret du 9 octobre 1910, Rendu sur la prpstn du Ministre des Colonies, M. DISPAGNE, commis-gréffier à la Cour d'appel de la Martinique, a été onmém juge de paix au Lamentin (Martinique), en remplacement de M. YOTTE, no greffier du tribunal de 1re saicnten de Fort-de-France. Par arrêté du Ministre des Colonies du 29 octobre 1910, Ont été promus dans le personnel de ’Administration centrale du Gouvernement des Colonies pour compter du 1er novembre 1910 : 1° l’emploi de chef bureau de 1re classe : . GLITZ (Émile), chef de bureau de 2e classe. 2° À l’emploi de sous-chef de bureau de 1r classe (pour continuer à être plcé en service éachédt) : Cher (Georges), sous-chef de bureau de 2e classe, en svice détaché l’office colonial. 3° À l de sous-chef de bureau de 2e classe : M. PARADIS (Eugène), sous-chef de bureau de 3e cs.lase LE Rox Alfred sous-chef de bureau de 3e classe. 4° À l’emploi de rédacteur de 2e classe : M. MLIENOT d(,A)lerf rédacteur de 2 classe. CHAD (Henri), rédacteur de 2e classe DITIEUX (Marcel), rédacteur |
remplacement de M. YOTTE, no greffier du tribunal de 1re instance de Fort-de-France. Par arrêté du Ministre des Colonies du 29 octobre 1910, Ont été promus dans le personnel de l’Administration centrale du Gouvernement des Colonies, pour compter du 1er novembre 1910 : 1° À l’emploi de chef de bureau de 1re classe : M. GLITZ (Émile), chef de bureau de 2e classe. 2° À l’emploi de sous-chef de bureau de 1re classe (pour continuer à être placé en service détaché) : Cher (Georges), sous-chef de bureau de 2e classe, en service détaché à l’office colonial. 3° À l’emploi de sous-chef de bureau de 2e classe : M. PARADIS (Eugène), sous-chef de bureau de 3e classe. LE Roux (Alfred), sous-chef de bureau de 3e classe. 4° À l’emploi de rédacteur de 2e classe : M. MLIENOT (Alfred), rédacteur de 2e classe. RICHARD (Henri), rédacteur de 2e classe. DITIEUX (Marcel), rédacteur de 2e classe, hors cadres. 5° À l’emploi de rédacteur de 3e classe : M. DELMARCHÉ (Pierre), rédacteur de 3e classe. DESLARDINS (René), rédacteur de 3e classe. THIBIER (Jean), rédacteur de 3e classe. 6° À l’emploi de rédacteur de 4e classe : M. ELEZ (Georges), rédacteur de 4e classe. CAON (Henri), rédacteur de 4e classe. HALLON (Léon), rédacteur de 4e classe, hors cadres. Stanford (Jean), rédacteur de 4e classe. 7° À l’emploi d’expéditionnaire de 5e classe : M. LEBEL (Jean-Joseph), expéditionnaire de 5e classe. GONIEN (Edouard), expéditionnaire de 5e classe. MENENOT (Louis), expéditionnaire de 5e classe. Par décision du Ministre des Colonies du 29 octobre 1910, MM. MICHEL (Marie-Auguste-Léon), ex-adjudant au 2e régiment de tirailleurs indochinois, à Sidi-Bel-Abbès (Algérie), et JAQUOT (Placide-Albert), ex-sergent au 5e régiment d’infanterie coloniale, Notre-Dame-de-Livaye (Calvados), et GIOTANNELLI (Jean), sergent au 1er régiment de tirailleurs annamites, à Saigon, ont été mis à la disposition du gouverneur général de l’Indo-Chine, pour occuper un emploi de garde principal de 3e classe de la Garde indigène. (Exécution de la loi du 31 mars 1905.) DISPONIBILITÉ. Par décret du 18 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. BADCEL (Émile-Eugène), administrateur adjoint de 1re classe des Colonies, | ce de M. YOTTE, no greffier du tribunal de 1re instance de rdFe. Par arrêté du Ministre des niCooles du 29 ctbr 1910, Ont été promus as le personnel de l’Administration centrale du Gouvernement des Colonies, pour compter du 1er novembre : 1° À lemploi de chef de bureau de 1re sescal : M. GLITZ (Émile), chef de bureau de classe. 2° À l’emploi de foehcsus- de bureau de 1re classe (pour cntnr à être plc n service détaché) : Cher (Georges), sous-chef d bureau de 2e classe, en service détché à l’office colonial. 3° À l’emploi d sous-chef de bureau ed 2e classe : M. PARADIS (Eugène), sous-chef de bureau de 3e classe. LE Roux Alfred sous-chef e bureau de 3e classe. ° À l’emploi de rédtur de 2e classe : M. MLO (Alfred), rédacteur de 2e classe. RICHARD Heri, rédacteur de 2e classe. DITIEUX (Mrcl), rédacteur de 2e classe, hors cadres. 5 À l’mpl de rédacteur de 3e classe : M. DELMARCHÉ (Pierre), rédctr e e3 classe. DESLARDINS René rédacteur de 3e classe THIBIER (Jean), rédacteur de 3 classe. 6 À l’emploi de adrcterué de 4e classe : M. ELEZ (Georges), rédacteur de 4e classe. CAON (Henri), rédacteur de 4 classe. ALL (Léon), rédacteur de 4e classe, hors cadres. Stanford (Jean), rédacteur d 4e classe. 7° À l’emploi d’expéditionnaire de 5e classe : M. LEBEL (n-oep, pioire e 5e clss. GONIEN (Edouard), expéditionnaire de 5e classe. MEEO (Louis), xpédtnnr de 5e classe. Par décision du Ministre des Clns du 29 octobre 10, MM. MICHEL MarieAugusteLéon ex-adjudant au 2e régiment de atsilurilre ndchns, à Sidi-Bel-Abbès (Algérie), et JAQUOT (Placide-Albert), ex-sergent au 5e régiment d’infanterie coloniale, Notre-Dame-de-Livaye (Calvados), et GIOTANNELLI (Jean), sergent au 1er régiment de tirailleurs annamites, à Sig t été mis à l ipito du gouverneur générl de l’Indo-Chine, pour occuper un emploi de garde pinial de 3e classe de la Garde indigène. (Exécution de la loi du 31 mars 1905.) DISPONIBILITÉ. Par décret 1 octobre 1910 Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. BADCEL (Émile-Eugène), administrateur adjoint de 1re seslca des Colonies, |
(Henri), rédacteur de 4e classe. HALLON (Léon), rédacteur de 4e classe, hors cadres. Stanford (Jean), rédacteur de 4e classe. 7° À l’emploi d’expéditionnaire de 5e classe : M. LEBEL (Jean-Joseph), expéditionnaire de 5e classe. GONIEN (Edouard), expéditionnaire de 5e classe. MENENOT (Louis), expéditionnaire de 5e classe. Par décision du Ministre des Colonies du 29 octobre 1910, MM. MICHEL (Marie-Auguste-Léon), ex-adjudant au 2e régiment de tirailleurs indochinois, à Sidi-Bel-Abbès (Algérie), et JAQUOT (Placide-Albert), ex-sergent au 5e régiment d’infanterie coloniale, Notre-Dame-de-Livaye (Calvados), et GIOTANNELLI (Jean), sergent au 1er régiment de tirailleurs annamites, à Saigon, ont été mis à la disposition du gouverneur général de l’Indo-Chine, pour occuper un emploi de garde principal de 3e classe de la Garde indigène. (Exécution de la loi du 31 mars 1905.) DISPONIBILITÉ. Par décret du 18 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. BADCEL (Émile-Eugène), administrateur adjoint de 1re classe des Colonies, a été placé, sur sa demande, dans la position de disponibilité sans traitement, pour une durée de deux ans, à compter du 9 octobre 1910. Par arrêté du Ministre des Colonies du 21 octobre 1910, M. PALLO (Charles-Frédéric), surveillant de 3e classe des travaux publics de l’Indo-Chine, a été placé, sur sa demande, dans la position de disponibilité, pour une période d’une année, à compter du 1er juillet 1910. LÉGION D'HONNEUR. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, Et vu la déclaration du Conseil de l’Ordre national de la Légion d’honneur du 3 octobre 1910, portant que la nomination faite aux termes dudit arrêté n’a rien de contraire aux lois, décrets et règlements en vigueur, a été pond dans l’Ordre national de la Légion d’honneur : Au grade de chevalier (au titre civil) : M. JOUTEL (Jules-Maxime), chef du matériel à l’Administration centrale du Gouvernement des Colonies. 31 ans de services. MISES HORS CADRES. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. UBERRY (Albert-Antoine), secrétaire général de 1re classe des Colonies, secrétaire général de la Réunion, a été placé hors cadres et mis à la disposition | (He rédacteur de 4e classe. OAHNLL (Léon), édacr de 4e classe, hors cadres Stanford (Jn), rédacteur de 4e classe. 7° À lemploi dexpéditionnaire de 5e classe : M. EELBL (Jean-Joseph), neétrdapxeiinio de 5 classe. GONIEN (Edouard), expéditionnaire de 5e clss. MENENOT (Louis), expéditionnaire de e lase P décision du Ministre des Colonies du 92 octobre 1910, MM MICHEL (Marie-Auguste-Léon), x-djdnt au 2e réi d tirailleurs indochinois, à SidiBelAbbès lgie), et JAQUOT (Placide-Albert), ex-sergent au 5e régiment d’infanterie coloniale, Ntr-Dm-d-Lvy (Clvds), et GIOTANNELLI Jean genetrs au 1er régiment de tirailleurs annamites, Saigon, ont été mis à la disposition du gouverneur général de l’Indo-Chine, pour ccr un mp de garde principal de 3e classe de la Garde indigène. Exécution de la loi du 31 mars 1905 DISPONIBILITÉ. Pr décret du 18 octobre 1910 Rendu sur la proposition du Mnstr des Colonies, M. BADCEL Éme-Euène administrateur adjoint de 1re classe des Colonies, a été placé, sur sa demande, dans la position disponibilité sns traitement, pou une durée de deux ans, optr du 9 ctbr 1910. Par arrêté du Mnstr des Colonies du 21 cobe 1910, M. PALL (Charles-Frédéric), urel de 3e classe des travaux publics d CIieo-nhn’,ld a été placé, sur sa d,dneame dans la soipoitn de disponibilité, pour une période d’une année, à cmptr du 1er juillet 1910. LÉGION D'HONNEUR. Par décret du 8 1910, Rendu sur la proposition du Ministre ds Colonies Et vu la déclaration du Conseil de lOrdre national de la Légion dhonneur du 3 octobre 1910 otant que la nomination faite aux termes dudit arrêté ’ in de irtencora aux lois, décrets et règlements en vigueur, été pond dans dOerlr’ national de la Légn d’hnnr Au grade de hevali (au civil) : M JOUTEL (Jules-Maxime), chef du matériel à l’Administration centrale du oement des Colonies. 31 ans services. MISES HORS CADRES. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur al proposition du Ministre des Clns, M. UBERRY (Albert-Antoine), secrétaire général de 1re classe des Colonies, secrtre général de la Réunion, a été placé hors cadres et mis à la disposition |
sur sa demande, dans la position de disponibilité, pour une période d’une année, à compter du 1er juillet 1910. LÉGION D'HONNEUR. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, Et vu la déclaration du Conseil de l’Ordre national de la Légion d’honneur du 3 octobre 1910, portant que la nomination faite aux termes dudit arrêté n’a rien de contraire aux lois, décrets et règlements en vigueur, a été pond dans l’Ordre national de la Légion d’honneur : Au grade de chevalier (au titre civil) : M. JOUTEL (Jules-Maxime), chef du matériel à l’Administration centrale du Gouvernement des Colonies. 31 ans de services. MISES HORS CADRES. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. UBERRY (Albert-Antoine), secrétaire général de 1re classe des Colonies, secrétaire général de la Réunion, a été placé hors cadres et mis à la disposition du gouverneur général de l’Afrique occidentale française, pour être chargé de missions. Par arrêté du Ministre des Colonies du 10 octobre 1910, M. DE TAVIGNY SAINT-ETIENNE (Louis-Joseph), sous-chef de bureau de 3e classe de l’Administration centrale du Ministère des Colonies, hors cadres, a été maintenu dans cette position et mis à la disposition du gouverneur général de Madagascar, Pour compter de la veille du jour de son embarquement pour cette colonie. RÉINTÉGRATION. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. BADUEL (Jean-Louis), secrétaire général de 1re classe des Colonies, hors cadres, sorti de la mission du gouverneur général de l’Afrique occidentale française, a été réintégré dans les cadres et affecté au Sénégal, en remplacement de M. GAUDAL, admis à faire valoir ses droits à la retraite. RETRAITES. Par décret du 3 septembre 1910, Rendu sur le rapport du Ministre des Colonies, M. PAUDY (Gabriel-Charles), sous-directeur à l’Administration centrale du Gouvernement des Colonies, a été admis, sur sa demande et à titre d’ancienneté de service, à faire valoir ses droits à une pension de retraite, pour compter du 1er octobre 1910. Par le même décret, M. GERDRET a été nommé directeur honoraire de l’Administration | sur sa dmnd, das la position de disponibilité, pour une pérd d’une année, à compter du 1er juillet 1910. LÉGION 'HONNEUR. Par décrt du 8 tbcoero 1910, Rendu sur la proposition du instre des Colonies, Et vu la déclaration du Conseil de l’Ordre national de la Légion d’honneur du 3 octobre 1910, portant que la nomination faite aux termes dudit arrêté n’ rien de contraire x lois, décrets et règlements en vigueur, a été pond dans l’Ordre national de la Légion nhdnuroe’ : Au grade de chevalier (au titre ci : M. JOUTEL (Jules-Maxime), chef d matériel à l’Administration centrale du Gouvernement des Colonies. 31 ans de services. MISES HORS CADRES. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la isoprtpnooi du Ministre des Colonies M. UBERRY (Albert-Antoine), secrétaire général de 1re classe des Colonies, éitrrecaes général de la Réunion, a été placé hors cdrs et mis à la disposition du gouverneur général de rqAfueli’ occidentale française, pour être chargé d missions. Par rrêté du Ministre des Colonies du 10 octobre 1910, M. DE TAVIGNY SAINT-ETIENNE ssop-ue)iL,hJ(o sous-chef de bureau de 3e classe de l’Administration centrale du Ministère des Colonies, hors cadres, a été maintenu dans cette position et mis à la disposition du gouverneur général de Madagascar, Pour compter de la veille du jour de son embarquement pour cette colonie. RÉINTÉGRATION. Par décret du 8 oeocbrt 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. BADUEL (Jean-Louis), secrétaire général de 1r classe des Colonies, hors cadres, sorti de la imnsiso du gouverneur général de l’Afrique occidentale française, a été réintégré dans les cadres t affecté au Sénégal, n remplacement de M. GAUA admis à faire valoir ses droits à la retraite. RETRAITES. Par décret du 3 septembre 1910, Rendu sur le rapport du Ministre des Colonies, M. PAUDY (Gabriel-Charles), ss-drctr à l’Administration centrale du Gouvernement des Colonies, a été admis sur sa demande et à titre d’ancienneté de service, à faire valoir ses droits à une pension de retraite, pour compter du 1er octobre 10.19 Par le même décret, M. GERDRET a été nommé directeur honoraire de l’Administration |
à la disposition du gouverneur général de Madagascar, Pour compter de la veille du jour de son embarquement pour cette colonie. RÉINTÉGRATION. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. BADUEL (Jean-Louis), secrétaire général de 1re classe des Colonies, hors cadres, sorti de la mission du gouverneur général de l’Afrique occidentale française, a été réintégré dans les cadres et affecté au Sénégal, en remplacement de M. GAUDAL, admis à faire valoir ses droits à la retraite. RETRAITES. Par décret du 3 septembre 1910, Rendu sur le rapport du Ministre des Colonies, M. PAUDY (Gabriel-Charles), sous-directeur à l’Administration centrale du Gouvernement des Colonies, a été admis, sur sa demande et à titre d’ancienneté de service, à faire valoir ses droits à une pension de retraite, pour compter du 1er octobre 1910. Par le même décret, M. GERDRET a été nommé directeur honoraire de l’Administration centrale du Ministère des Colonies. Par décret du 25 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. PASTEUR (Symphorien-Louis), administrateur adjoint de 2e classe des Colonies, a été admis, sur sa demande et à titre d’infirmités contractées au service, à faire valoir ses droits à une pension de retraite, pour compter du 14 avril 1910. Par décret du 29 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies et du Garde des Sceaux Ministre de la Justice, M. PARET, greffier de la Cour d’appel de la Martinique, a été admis à faire valoir ses droits à la retraite, par application de l’article 5, Section 4, de la loi du 9 Juillet 1853. COLLATIONNÉ : Le Chef du bureau des Archives, Etudes coloniales et Publications, P. NICOLAS. CERTIFIÉ CONFORME : Paris, le 31 octobre 1910. Le Directeur du Personnel, E. DALMAS. CONDITIONS D’ABONNEMENT ET DE VENTE. On s'abonne à l’Imprimerie nationale, rue Vieille-du-Temple, 87, Paris, selon les conditions suivantes: Paris, 15 francs. Départements, Alsace-Lorraine, 8 et tous pays faisant partie de l’Union postale, 8 francs. Etranger, 2 francs. Tout abonnement est pris pour l’année entière, du 1er janvier au 31 décembre, exclusivement. Toute demande d'abonnement doit être | à a disposition du gouverneur général de Madagascar, Pour compter de la veille du jour de son embarquement pour cette ie. RÉINTÉGRATION. Par décret d 8 oobr 1910, Rendu sur la roposito du Mnstr des Colonies, M. BADUEL (Jean-Louis), secrétaire général de 1r classe des Colonies, hors cadres, sorti de la mission du rgeenuvour général de lAfrique occidentale française, été réntégré dans les cadres et affecté au Sénégal, en remplacement de M. GDL, admis à faire valoir ses droits à la retraite. RETRAITES. Par décret du 3 septembre 1910, Rendu sr le rapport du Ministre des Clns, . PAUDY (Gabriel-Charles), sous-directeur à l’Administration centrale ud Gouvernement des Colonies, a été admis, urs sa dnde et à titre d’ncnnté de service à faire valoir ses droits à une pension de rtrt, pour compter du 1er octobre 1910. Par le même décret, M. GERDRET a été nmmé drctr honoraire de lAdministration ertlcnea du siMènteir des Colonies. Par décret du 25 octobre 1910, Rendu sur l proposition du Ministre des Colonies, M. PASTEUR (Symphorien-Louis), administrateur adjoint de 2e classe esd Colonies, a été admis, sur sa demande et à titre d’infirmités contractées au service, à faire vlr ses drts à enu pension de rtrt, pour compter du 14 avril 1910. Par décret du 29 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies et du Garde ds Sceaux Ministre de la Justice, M. PARET, greffier de al Cour dappel de la Martinique, a été admis à far valoir ses droits à la retraite, par application de l’article 5 Section 4, de la loi du 9 Juillet 1853. CLLTNNÉ : Le Chef du burau des Archives, Etudes coloniales et Publications, P. NICOLAS. CERTIFIÉ CONFORME : Prs, le 31 octobre 1910. Le recteur du Personnel, E AMLSA.D CONDITIONS D’ABONNEMENT ET DE VENTE. On s'abonne à prme nationale, rue Vieille-du-Temple, 87, Paris, selon les conditions suivantes: Paris, 15 francs. Départements, Alsace-Lorraine, 8 et tous pays faisant partie de ’Union postale, 8 francs. Etranger, 2 francs. Tout bonee est pris pour l’année entière, d 1er janvier au 3 décembre, exclusivement. Toute demande d'abonnement doit rête |
de retraite, pour compter du 14 avril 1910. Par décret du 29 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies et du Garde des Sceaux Ministre de la Justice, M. PARET, greffier de la Cour d’appel de la Martinique, a été admis à faire valoir ses droits à la retraite, par application de l’article 5, Section 4, de la loi du 9 Juillet 1853. COLLATIONNÉ : Le Chef du bureau des Archives, Etudes coloniales et Publications, P. NICOLAS. CERTIFIÉ CONFORME : Paris, le 31 octobre 1910. Le Directeur du Personnel, E. DALMAS. CONDITIONS D’ABONNEMENT ET DE VENTE. On s'abonne à l’Imprimerie nationale, rue Vieille-du-Temple, 87, Paris, selon les conditions suivantes: Paris, 15 francs. Départements, Alsace-Lorraine, 8 et tous pays faisant partie de l’Union postale, 8 francs. Etranger, 2 francs. Tout abonnement est pris pour l’année entière, du 1er janvier au 31 décembre, exclusivement. Toute demande d'abonnement doit être adressée, par lettre au Directeur de l’Imprimerie nationale et accompagnée d’un mandat sur la Poste (mandat d’article d’argent) au nom de l’Agent comptable de l’Imprimerie nationale. Le prix d’un numéro acheté isolément est fixé à 1 franc. Les réclamations relatives à l’envoi du Bulletin doivent être adressées au Directeur de l’Imprimerie nationale et accompagnées de la dernière bande imprimée. Les réclamations relatives à la rédaction doivent être adressées au Directeur des Colonies. | de retraite, pour compter du 14 vlrai 1910. Par décret du 29 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies et du Garde des Sceaux Ministre de la Justice, M. PARET, greffier de la Cour d’appel de la Martinique, a été admis à faire valoir ses droits à la retraite, par application d l’article 5, Section 4, de l loi du 9 Juillet 1853. LTÉ : Le Chef du eraubu des Archives, uds coloniales et Publications, P. NICOLAS. CERTIFIÉ CONFORME : Paris, le 31 octobre 1910. L Directeur ud Personnel, E. DALMAS. CONDITIONS D’ABONNEMENT ET D E. On s'abonne à l’Imprimerie nationale, rue Vieille-du-Temple, 8, Paris, selon les cndtns suivantes: Paris, 15 francs. Déprtmnts, Alsace-Lorraine, 8 et tous pays faisant partie de l’Union postale, 8 rns. Etranger, 2 francs. Tout abonnement est s pour l’année entière, du 1er janvier au 31 décembre, exclusivement. Toute demande 'abonnement doit être adressée, par lettre au Directeur de l’Imprimerie nationale et accompagnée d’un mandat sur la Poste (mandat d’article dargent au nom de l lptabomce de ’Irmeremplii la.nateoin Le prix d’un numéro acheté isolément est fixé à 1 franc. Les élaton relatives à l’envoi du Bulletin doivent être adressées au Directeur de l’Imprimerie inloanate et accompagnées de la dernière bande imprimée. Les réclamations relatives à la rédaction doivent être adressées au Directeur Colonies. |
l’Imprimerie nationale et accompagnées de la dernière bande imprimée. Les réclamations relatives à la rédaction doivent être adressées au Directeur des Colonies. | lImprimerie nationale et accompagnées de la dernière bande imprimée. Les réclamations relatives à la rédaction doivent être adressées Directeur sde Colonies. |
Au lendemain de ma condamnation Pourquoi j'ai pris un avocat ? Ayant jugé subversif mon article sur la grève de l'École Normale, les autorités ont perquisitionné chez moi, le 31 mai 1929. Les agents n'ont pu saisir que quelques vieux brouillons d'articles de journaux, ou trois brochures manuscrites, en quoi je combattais la colonisation, et indiquais à mes compatriotes l'attitude qu'ils devraient adopter vis-à-vis du Gouvernement dominateur, pour ne pas trop choquer dans leur dignité humaine et nationale. Mais j'avoue, maintenant que mon « affaire » est tranchée, que je n'avais nullement l'intention de les faire imprimer. Je sais bien quelles opinions étaient expressément dans ces manuscrits étaient encore dans le domaine abstrait de la pensée. Mais pouvais-je savoir de quoi je serais accusé ? Lamoignon, devant l'arbitraire, les erreurs, les surprises judiciaires, n'a-t-il pas dit : « Si on m'accusait d'avoir volé les tours de Notre-Dame, je me sauverais à toutes jambes » ? Toujours est-il qu'à moi retour d'une partie de chasse dans les forêts de Baria, j'ai reçu, le 8 juin 1929, un mandat de comparution devant le juge d'instruction de Saigon (ter ministère) pour le 12 du même mois. La veille de mon départ pour St-Denis, des amis m'ont fait part de leur sympathie. J'ai procuré pour ma femme, un peu maladive, à l'œil de notre médecin. J'attendais donc à une longue prévention. Aussi avais-je pris mes dispositions pour que ma petite famille ne souffre pas trop de ma longue absence. Le lendemain, flanqué d'un ami, je suis rendu à la convocation. Le jugé d'instruction a fait : « Asseyez-vous ! ». À Saigon, j'allai voir M. Dejean, directeur de ce journal. Je lui fis part du désir de lui avouer que je voulais me voir constituer un avocat. — Ils ont raison, a répondu le Directeur de l'Echo Annamite. — Oui, mais je ne veux pas, moi, que le public dise que je suis un trembleur. Je serais là pour le démentir, au besoin. » Je serais là pour le démentir, au besoin. Quand j'eus quitté Dejean de la Bâtie, j'ai couru remercier un « | lendemain de ma condamnation Pourquoi ai pris un avocat ? Ayant jugé subversif mon article sur la ve d l'École Normale, les autorités ont perquisitionné chez moi, le 31 mai 1929. Les gnts n'ont pu saisir q quelques vieux brouillons d'articles de journaux, ou trois brochures manuscrites, ne quoi j combattais la colonisation, et indiquais à mes cmptrts l'attitude qu'ils dvrnt adopter vis--vis du Gouvernement dominateur pour ne pas trop choquer dans er dignité humaine et eo.lntaina Mais j'avoue, maintenant que mon affaire » est nche, que je n'avais nullement l'intention de les faire imprimer. Je sais bien ellquse opinions étaient expressément dans ces manuscrits étaient encore das le e abstrait de la pensée. Mais pouvais-je savoir de quoi je srs accusé ? Lamoignon, devant l'arbitraire, les erreurs, les surprises judiciaires, n'a-t-il pas dit : Si on m'accusait d'avoir volé les tours d Notre-Dame, je me sauverais à toutes sejamb » ? Toujours est-il qu'à moi retour d'une partie de chasse dans les forêts de Baria, j'ai reçu, le 8 juin 1929, un mandat de ticpoaoumrn devant le juge d'instruction de gon (ter ministère) pour le 12 d même mois. La veille de mon d pour St-Denis, des ais m'ont ft part de leur sympathie. J'ai procuré o ma femme, un peu maladive, à l'œil de notre médecin. J'attendais donc à une longue prévention. Aussi avais-je prs mes dispositions pour que ma petite famille ne souffre pas trop de ma longue absence. Le lendemain, flnqé d'un ami, je suis rendu à la convocation. L jugé nctin a aitf : « Asseyez-vous ! ». À Saigon, j'allai voir . Dejean, directeur de ce journal. Je l fis part du désr de lui vr que j voulais me voir constituer un avocat. — ls ont rsn, a du le Directeur de l'Echo Annamite. — Oui, mais je ne veux pas, moi, que le public dise que je suis un te.erbmrlu Je serais là pour le démentir, au besoin. » Je serais là pour l démentir, au bsn. Quand j'eus quitté Dejean de la Bâtie, j'ai couru remercier un « |
des amis m'ont fait part de leur sympathie. J'ai procuré pour ma femme, un peu maladive, à l'œil de notre médecin. J'attendais donc à une longue prévention. Aussi avais-je pris mes dispositions pour que ma petite famille ne souffre pas trop de ma longue absence. Le lendemain, flanqué d'un ami, je suis rendu à la convocation. Le jugé d'instruction a fait : « Asseyez-vous ! ». À Saigon, j'allai voir M. Dejean, directeur de ce journal. Je lui fis part du désir de lui avouer que je voulais me voir constituer un avocat. — Ils ont raison, a répondu le Directeur de l'Echo Annamite. — Oui, mais je ne veux pas, moi, que le public dise que je suis un trembleur. Je serais là pour le démentir, au besoin. » Je serais là pour le démentir, au besoin. Quand j'eus quitté Dejean de la Bâtie, j'ai couru remercier un « sire » qui m'avait adressé un télégramme de sympathie, le lendemain de la perquisition dont j'avais été l'objet. — Je viens vous remercier de votre télégramme. Je m'excuse de ne vous avoir pas mis au courant de cette « affaire », que j'estimais insignifiante. Le magistrat instructeur m'a convoqué pour demain. Des amis m'ont conseillé de me faire accompagner d'un avocat au cabinet du juge. Pourquoi faire ? Ce n'est pas la peine ! Laissez-vous tranquillement. Je n'attends plus. Mot, que d'être arrêté et emprisonné, je pourrais vous faire quelques mois de prison ? Je ne suis pas d'accord avec cet avis, mais pas Dejean de la Bâtie. Je le reverrai à ce magasin. Se retournant chez le Directeur de l'Echo Annamite, il m'a insisté de nouveau : — Vous devez conseiller, avec mes conseils, seulement parer à l'éventualité d'un acte arbitraire, d'un coup de poing. Le cas de Phan Van Truong vous en dit long ! Sans Monio, sans Guermeur, le malheureux serait à l'ombre, à cette heure ! Que cela vous serve d'avertissement. — À Saigon, je constate que Me Galiet, mon avocat, s'est montré ferme. Il me conseille de la même façon. — Votre cas est grave, | des amis m'ont fait part de leur sympathie. J'ai procuré pour ma femme, n peu maladive, à l'œl de ntr médcn. teJits'aand donc à une longue prévention. Aussi avais-je pris mes dispositions pour q ma petite famille ne souffre pas trop de ma longue absence. eL lendemain, flanqué un ,ami je suis rendu à la convocation. Le jgé dinstruction fait : « Asseyez-vous ! ». À ignoa,S l'aialj voir M. Djea, drctr de ce jrnl. Je lui fis part du désir d li avouer que je oais me voir cite un taoc.va — Ils ont rsn, a répnd le Drctr de l'Echo Annamite. — Oui, mais ej ne veux pas, moi, que le public dise que je ss un trembleur. srs là pour le démentir, au besoin. » Je serais là pour le démentir besoin. Quand j'eus qt Dejean de la Bâtie, i cruuo remercier n sire » qui m'avait adressé un lgéémtaemr de sympathie, le lendemain d la perquisition dont 'asijva été 'objet. — J vens vous remercier de votre télégramme. Je m'excuse d ne vous avoir pas mis au courant de cette « fare », q j'eti insignifiante. Le rmiagastt ictur m'a convoqué pour demain Des amis 'ont conseillé de me fr accompagner d'un avocat au cabinet du ge Pourquoi faire ? Ce n'st pas la peine Laissez-vous tranquillement. Je nans plus. Mot, que d'être arêté et emprisonné, je pourrais s faire quelques mois de prsn ? Je ne ss pas d'accord avec cet avis, mais pas Dejean de la Bâtie. Je l reverrai à c magasin. Se rtunan chez el Directeur de l'Echo Annamite, il m'a insisté de nouveau : — Vous devez conseiller, avec mes conseils, seulement parer à l'éventualité d'un acte i,rrbeaatri d'un coup de poing. Le sca de Phan Van Truong vous n dit long ! Sans no, sans Guermeur, le malheureux serait à 'ome à cette heure ! Q cela vous serve 'avertissement. — À Saigon je constate q Me Galiet, mon avocat, 'est nrtméo ferme. Il me ieenllosc de la même façon — ot cas est grave, |
demain. Des amis m'ont conseillé de me faire accompagner d'un avocat au cabinet du juge. Pourquoi faire ? Ce n'est pas la peine ! Laissez-vous tranquillement. Je n'attends plus. Mot, que d'être arrêté et emprisonné, je pourrais vous faire quelques mois de prison ? Je ne suis pas d'accord avec cet avis, mais pas Dejean de la Bâtie. Je le reverrai à ce magasin. Se retournant chez le Directeur de l'Echo Annamite, il m'a insisté de nouveau : — Vous devez conseiller, avec mes conseils, seulement parer à l'éventualité d'un acte arbitraire, d'un coup de poing. Le cas de Phan Van Truong vous en dit long ! Sans Monio, sans Guermeur, le malheureux serait à l'ombre, à cette heure ! Que cela vous serve d'avertissement. — À Saigon, je constate que Me Galiet, mon avocat, s'est montré ferme. Il me conseille de la même façon. — Votre cas est grave, me dit-il, je vous défendrai ; mais je ne pourrais pas vous garantir, si cela devait gravement affecter votre honorabilité. Pourrais-je vous garantir ? Aussi, d'ailleurs, l'importunité de vos écrits m'émeut, vous n'avez pas été écrit, mais déclaré comme vous le pourrez. Mais je maintiendrai mes affirmations, quoi qu'il advienne. S'il m'fallait déclarer les regretter, je préférerais la prison. — Par amour-propre ? — Pour mon honneur ! J'ai conscience de n'avoir dit que la vérité dans l'article qu'on me reproche. Le lendemain, devant la juge d'instruction, après une discussion calme et assez serrée, j'ai maintenu, en effet, mes affirmations. À plusieurs reprises, M. Nadaillat a fait le suivant, au procès-verbal d'audience : « Je ne sais pas de votre avis. » Quoi qu'il en soit, au cours de l'entretien, je me suis aperçu que M. Nadaillat ne me « chargeait » nullement. Si j'avais déclaré regretter ce que je'avais écrit, j'aurais peut-être bénéficié d'un non lieu. J'ai conscience de n'avoir pas, par mon attitude en l'occurrence, désobligé l'honorable corporation des journalistes annamites. DUONG-VAN-LOI Compatriotes ! Faites des économies. Songez à votre avenir, à celui de votre famille et de votre pays. Un homme sans le sou ne peut rien. | demain. Des ms m'ont conseillé ed e faire accompagner d'un avocat cabinet du juge. Pourquoi faire ? Ce n'est a la ineep ! Laissezvous tranquillement J n'attends plus. Mot, que d'être arrêté et snn je pourrais vous faire quelques mois de prison ? Je ne suis pas d'accord vc ct avis, mais pas Dejean de la Bâtie. Je le reverrai à ce magasin. Se retournant chez le Directeur de E Annamite, il m'a insisté nouveau : — Vs devez conseiller, avec mes conseils, seuleen parer à l'éventualité ' acte arbitraire, d'un coup de poing. Le cas de Phan Van Truong vous en dit long ! Sans Monio, sns Grmr, e malheureux serait à 'm, à cette heure ! Que cela vous serve d'avertissement. À Saigon, j constate que Me Galiet, mon avocat, s'est montré ferme. Il me seill de l même façon. rteoV cas est grave, me dit-il, je vous défendrai ; ms je en pourrais pas vous garantir, si cela devait gravement affecter votre honorabilité. Prrs-j vous garantir ? ss, d'ailleurs, limportunité de vos écrits m'émeut, vs n'vz pas éét cr, mais déclaré comme vous le pourrez. Mais je maintiendrai mes maions quoi quil advienne. S'il tm'fiaall déclrr les regretter, je préférerais la prison — Par amour-propre ? Pour mon honneur 'ai conscience de 'avoir dit que la vérité dans larticle qu'on m rcrehe.po lendemain, dv la juge d'instruction, après une discussion calme et assez serrée, jai maintenu, en effet, mes ffrmtns. À plusieurs reprises, M Nadailat a fait le atsvuni, au procès-verbal daudience : « Je ne sais pas de votre vs. » Quoi qu'il en st, au cours de l'entretien, je me suis aperçu q M. Nadaillat n me « rgtechiaa » nullement. Si j'vs déclaré regretter ce que j'vs écrit, j'aurais pt-êtr bénéficié d'un non eu. J'ai conscience de 'avoir ps, par mon attitude en l'occurrence, désobligé 'onorabl corporation des journalistes annamites. DUONG-VAN-LOI Compatriotes ! Faites des économies. Songez à votre avenir, celui de votre famille et de vtr pays. Un homme sans le sou n u rn. |
S'il m'fallait déclarer les regretter, je préférerais la prison. — Par amour-propre ? — Pour mon honneur ! J'ai conscience de n'avoir dit que la vérité dans l'article qu'on me reproche. Le lendemain, devant la juge d'instruction, après une discussion calme et assez serrée, j'ai maintenu, en effet, mes affirmations. À plusieurs reprises, M. Nadaillat a fait le suivant, au procès-verbal d'audience : « Je ne sais pas de votre avis. » Quoi qu'il en soit, au cours de l'entretien, je me suis aperçu que M. Nadaillat ne me « chargeait » nullement. Si j'avais déclaré regretter ce que je'avais écrit, j'aurais peut-être bénéficié d'un non lieu. J'ai conscience de n'avoir pas, par mon attitude en l'occurrence, désobligé l'honorable corporation des journalistes annamites. DUONG-VAN-LOI Compatriotes ! Faites des économies. Songez à votre avenir, à celui de votre famille et de votre pays. Un homme sans le sou ne peut rien. La Société Annamite de Crédit Ratios des dettes familiaises Après les débats au Parlement [es commentaires de « Paris-Midi »] Paris, le 23 juillet 1929.— Paris Midi se demanda pourquoi certains esprits, certains milieux, montrent une agitation morbide. Si une crise politique avait dû éclater, elle n'aurait pas attendu l'issue favorable des débats à la Chambre. Il n'y a pas de raison pour qu'une crise se produise, en dehors d'une aggravation vraiment improbable de l'état de santé de M. Poincaré, surtout à la veille d'une conférence où toute l'autorité intérieure de M. Poincaré et tout le prestige extérieur de M. Briand seront nécessaires. Au Conseil des ministres Le Conseil des Ministres s'est réuni, sous la présidence de M. Frémy. M. Poincaré n'assistait pas à la séance. Les Ministres se sont entretenus des débats sur la ratification devant le Sénat. M. Briand a mis ses collègues au courant de la situation extérieure, en particulier du conflit russo-polonais. Puis, le conseil a commencé l'examen du programme des gouvernements, du comité d'organisation de la Banque des règlements internationaux. M. Tardieu, interrogé à l'issue de la réunion, a déclaré que M. Poincaré allait mieux, mais que les médecins lui prescrivaient encore quelques jours de | 'il mfallait déclarer les regretter, je préférerais la prsn. — Par amour-propre ? — Pour mon honneur ! J' cnscnc de n'vr dit que la vérité dans l'article ' me reproche. Le lendemain, devant la juge d'instruction, près une dscssn calme e assez srrée, j'ai mntn, en effet, mes affirmations. À plusieurs rprss, M. Nadaillat fait e suivant, au procès-verbal d'audience : « Je e s pas de votre avis. » Quoi qu'il en soit, au cours de lentretien je me suis aperçu que M. Nadaillat ne me « chargeait » nullement. Si j'avais déclaré regretter ce que je'avais écrit, j'aurais peut-être bénéficié d'un non lieu. J'ai niee de n'avoir pas, par mon attue en l'occurrence, éolisébdg l'honorable corporation des journalistes annamites. DOGVA-LOI Compatriotes ! Faites des éconos. Songez à votre avenir, à celui de votre flmeial et de votre pays. Un homme sans l sou n peut rien. La Société Annamite de Crédit Ratios des dettes seiflsimiaa Après les débats au Parlement [es commentaires de « Paris-Midi Paris, le 23 tjeilul 1929 Paris Midi s ea pourquoi certai esprits, certains milieux, montrent agitation morbide. Si une crs politique avait û éclater ll ruiaa'tn pas t l'issue favorable des débats à la Chambre. Il ny pas de raison pour qu'une esicr se produise, en de dune agrvai vraiment improbable de l'état ed santé de M. Poincaré, surtout à l veille d'une conférence où eoutt l'autorité intérieure de M. inc et tout e prestige xtérr de M Briand seront nécessaires. Au Conseil des ministres Conseil des Ministres s'est réuni, sus la présidence de M. Frémy. . Poincaré n'assistait ps la séance. Les Ministres se sont entretenus des débats sur l rtfctn devant le Sénat. M. dBrina a mis ses cèes au courant de la situation extérieure, en particulier du conflit rss-plns. Puis, le conseil a ccméoemn lexamen du programme des gouvernements, du comité d'rgnstn de la Banque des règlements ntrntnx. M. Tardieu, interrogé à l'issue de la réunion, a dcré que M. Poincaré allait mx, mais que les médecins lui rescren encore quelques jours de |
favorable des débats à la Chambre. Il n'y a pas de raison pour qu'une crise se produise, en dehors d'une aggravation vraiment improbable de l'état de santé de M. Poincaré, surtout à la veille d'une conférence où toute l'autorité intérieure de M. Poincaré et tout le prestige extérieur de M. Briand seront nécessaires. Au Conseil des ministres Le Conseil des Ministres s'est réuni, sous la présidence de M. Frémy. M. Poincaré n'assistait pas à la séance. Les Ministres se sont entretenus des débats sur la ratification devant le Sénat. M. Briand a mis ses collègues au courant de la situation extérieure, en particulier du conflit russo-polonais. Puis, le conseil a commencé l'examen du programme des gouvernements, du comité d'organisation de la Banque des règlements internationaux. M. Tardieu, interrogé à l'issue de la réunion, a déclaré que M. Poincaré allait mieux, mais que les médecins lui prescrivaient encore quelques jours de repos. (Lire, en troisième page, feuille intercalaire, sous la rubrique : "La vie politique en France," Les débats sur les dettes, au Sénat.) Les débats sur les dettes, au Sénat. Le Conseil du Peuple a discuté les causes des nombreuses agressions commises par les coolies indigènes sur les planteurs européens. Plusieurs de ses membres ont vivement critiqué comme l'une des principales causes, le manque de liberté d'action, laissée sur place aux directeurs des plantations. Une politique erronée s'est en effet développée ces dernières années, selon laquelle la direction de plusieurs compagnies est assurée exclusivement de sièges d'Amsterdam, Londres, Bruxelles etc. sans une connaissance des conditions de travail et des désirs des coolies, la tâche des planteurs se réduisant à celle de simples exécuteurs des ordres venus d'Europe. Les membres du Conseil ont montré l'intérêt que présenterait pour les directeurs européens, un contact plus étroit avec leurs représentants dans le pays. Tous les conseillers indigènes et plusieurs européens ont insisté pour l'abolition du système de la sanction pénale. La majorité n'attend aucun résultat du renforcement de la police ou de l'extension des forces de police. À la suite des inquiétudes qu'avait manifestées la population européenne, le Gouverneur de la Citée Est | favorable dse débts à la Chambre. Il ' a pas de raison pour qu'une crise s produise, en dehors d'une ggavatn vraiment improbable de létat de santé d M. Poincaré, surtout la veille d'une conférence où toute réott'uila intérieure d M. Poincaré e u le rgpeiste xtérr de M. rd seront nécessaires. Au lnCisoe des ministres Le Cl des Ministres s'est réuni, sous la présidence de M. Frémy. M. Poincaré n'assistait pas à la séance. Les Ministres se sont ntrtns des débats sur la rtfctn det le Sénat. M Briand a mis ses collègues au courant d la situation xtérr, en particulier du i russo-polonais. Puis, le csil a commencé 'examen du programme des gouvernements, du cmté d'organisation de la Banque des règlmt internationaux . Tardieu, interrogé à l'issue de l réunion, a clar que M. Poincaré allait mx, aims q les médcns lui prescrivaient encore quelques jours de osre.p (Lire, en troisième page, feuille intercalaire, sous la rubrique : "La vie politique en France Les débats sur les dettes, au Sénat Ls débats sur les dettes, au Sénat Le Conseil d Peuple discuté les causes des nombreuses agressions commises a les coolies indigènes sr les planteurs européens. Plusieurs sse membres ont ieme i comme l'une d principales causes, le manque de liberté d'action, laissée sur place aux directeurs des plantations. nUe politique oée s'est e effet développée ces eière années, selon laquelle la direction d plusieurs compagnies s as xclsvmnt de sièges d'Amsterdam, Londres, Bruxelles etc. sans une connaissance des itns de travail et des désrs sed coolies, la tâche des planteurs se réduisant à celle de simples exécuteurs des ordres venus dEurope Les membres du Cnsl ont montré lê que présenterait pour les diectes européens, un contact plus étrt avec leurs représentants dans el pays. Tous les conseillers indigènes et plusieurs européens ont nssté pr l'abolition du système de la sanction pénale. La majorité n'attend aucun résultat du renforcement de la police uo de 'extension des forces de police. À al suite des inquiétudes qu'avait manifestées l ppulti européenne, le Gor de l Citée Et |
Plusieurs de ses membres ont vivement critiqué comme l'une des principales causes, le manque de liberté d'action, laissée sur place aux directeurs des plantations. Une politique erronée s'est en effet développée ces dernières années, selon laquelle la direction de plusieurs compagnies est assurée exclusivement de sièges d'Amsterdam, Londres, Bruxelles etc. sans une connaissance des conditions de travail et des désirs des coolies, la tâche des planteurs se réduisant à celle de simples exécuteurs des ordres venus d'Europe. Les membres du Conseil ont montré l'intérêt que présenterait pour les directeurs européens, un contact plus étroit avec leurs représentants dans le pays. Tous les conseillers indigènes et plusieurs européens ont insisté pour l'abolition du système de la sanction pénale. La majorité n'attend aucun résultat du renforcement de la police ou de l'extension des forces de police. À la suite des inquiétudes qu'avait manifestées la population européenne, le Gouverneur de la Citée Est de Sumatra a télégraphié au Gouverneur général que la sûreté publique était absolument garantie. Nouvelles du Pacifique INDES NÉERLANDAISES Le Congrès d'Extrême-Orient de l'Education Weltevreden, le 23 — L'Association des professeurs des Indes Néerlandaises projette d'organiser prochainement à Batavia un Congrès d'Extraême-Orient de l'éducation. Le meurtrier de Mme Landzaat paie son crime Le meurtrier de Madame Landzaat, dont nous avions annoncé l'agression le 9 Juillet, a été condamné à mort. PHILIPPINES L'exportation des produits philippins en Amérique Manille, le 23. La Mission Philippienne, actuellement à Washington, annonce que le comité du Sénat américain a désapprouvé les restrictions apportées à l'entrée en France des produits philippins. La mission est vivement félicitée de son succès. Les événements de Chine Rétrocession de la concession belge de Tientsin Tientsin, le 23. — La presse chinoise annonce qu'un accord pour la rétrocession de la concession belge de Tientsin sera signé incessamment, le Gouvernement Belge ayant donné son accord aux clauses agréées par la commission. Le projet d'accord sino-indochinois Shanghai le 23 Juillet.— Le Comte de Matsu, Ministre de France en Chine a eu samedi, un entretien avec le Ministre des Affaires Étrangères, le docteur C. T. Wang, au cours duquel le projet accord sino-indochinois, a | Plusieurs d sse membres ont vivement critiqué comme l'une des principales causes, le manque de liberté d'action, laissée sr place aux directeurs des plantations. Une politique erronée s'est en effet développée ces dernières années, selon laquelle la direction de plusieurs compagnies est assurée exclusivement de sièges d'Amsterdam, Londres, Bruxelles tc. san une connaissance conditions de travail et des désirs des cls, la tâche des planteurs se réduisant à celle d simples exécuteurs des ordres venus d'Europe. Les membres du Conseil ont mntré l'intérêt que présenterait pour les directeurs européens, un contact plus étroit avec leurs représentants dans le pys. Tous les conseillers indigèes et plusieurs européens insisté pour l'bltn du système de la sanction péne. La majorité n'attend aucun résultat du rnfrcmnt de la police ou de l'extension des forces de police. À la suite des inquiétudes qu'avait manifestées la population epén le Gouverneur de la Citée st de Smtr a télégraphié au Gouverneur général que la sûreté publique était absolument garantie. Nouvelles du Pacifique INSED NÉERLANDAISES Le Congrès d'Extrême-Orient de lEducation Weltevreden, le 23 — LsinoAatsico' des professeurs des Indes Néerlandaises projette d'rganer prochainement à Batavia un Congrès 'Extraême-Orient de l'éducation. Le meurtrier de e Landzaat paie son crime Le meurtrier de Mdm Landzaat, dont nous avions annoncé l'agression le 9 ,eliuJlt a été condamné à mort. PHILIPPINES L'exportation des pod phlppns en Amérique Manille, le 23. L Mission Philippienne, actuellement à st,nhnWgaio annonce que le comité du Sént américain a désapprouvé les restrictions apportées à l'entrée France es produits philippins. L mission est vivement félicitée de son succès. Les véent de Chine Rétrocession de al concession belge de Tientsin Tientsin, le 23. — La presse chinoise annonce qu'un accord pour l rétrocession de la concession belge de Tientsin s signé incessamment, le Gouvernement Belge ayant dnné son accord aux clauses agréées par a commission Le projet d'accord sino-indochinois Shanghai le 23 Juillet.— Le Comte de Matsu, Ministre de Frnc en Chine eu samei un entretien avec le Ministre des Affaires Étrangères, le docteur C. T. Wang, au cours duquel le projet accord sino-indochinois, a |
son crime Le meurtrier de Madame Landzaat, dont nous avions annoncé l'agression le 9 Juillet, a été condamné à mort. PHILIPPINES L'exportation des produits philippins en Amérique Manille, le 23. La Mission Philippienne, actuellement à Washington, annonce que le comité du Sénat américain a désapprouvé les restrictions apportées à l'entrée en France des produits philippins. La mission est vivement félicitée de son succès. Les événements de Chine Rétrocession de la concession belge de Tientsin Tientsin, le 23. — La presse chinoise annonce qu'un accord pour la rétrocession de la concession belge de Tientsin sera signé incessamment, le Gouvernement Belge ayant donné son accord aux clauses agréées par la commission. Le projet d'accord sino-indochinois Shanghai le 23 Juillet.— Le Comte de Matsu, Ministre de France en Chine a eu samedi, un entretien avec le Ministre des Affaires Étrangères, le docteur C. T. Wang, au cours duquel le projet accord sino-indochinois, a été l'objet d'un examen général. Après avoir fait un exposé de tous les arguments invoqués pendant les négociations qui durent depuis six mois et après avoir montré les dispositions particulières conciliantes du Gouvernement français, le Comte de Matsu a déclaré qu'en ce qui concerne le statut des Chinois en Indochine, et la question du transit, il était arrivé à la limite de ses concessions. Un nouvel entretien aura lieu vendredi. L'agence AU TRANSIT 82 boulevard Bonard, Saigon se charge des envois aux étudiants en France avec certificat d'origine pour la Douane. Pour réconcilier Chinois et Russes Les conseils de M. Briand M. Briand s'est borné à donner des conseils de modération Paris, le 23 — Au sujet du télégramme officieux de Moscou ; annonçant que les Soviets ont refusé la médiation de la France dans le conflit sino-russe, on précise que M. Briand s'est borné à donner aux représentants des deux pays intéressés, un conseil de modération, en leur faisant remarquer que toute action militaire serait contraire aux engagements internationaux, et en particulier au pacte de Paris. Le "Temps" constate la mauvaise volonté des Soviets Le Temps constate que les Soviets écartent toute proposition de médiation éventuelle, sous prétexte qu'elle | son crime Le meurtrier d Madame Landzaat dont ou avions annoncé l'agression le 9 Juillet, a été condamné à mort. PHILIPPINES L'exportation des produits philippins n Amérique Manille, le 23 La Mssn Philippienne, actuellement à Washington, anonce que le comité du Sénat aéin désapprouvé les restrictions apportées à 'e en nercaF des produits philippins. La mission est vivement félcté de osn succès. Les événements d Chine Rétrocession de la concession belge ed Tientsin Tientsin, le 23. — La re chinoise annonce qu'un accord pour la rétrocession de la concession b de Tientsin sera signé eamnt, le Gouvernement Belge ayant donné son ccrd aux clauses agréées par la commission. L projet d'accord sino-indochinois Shh le 23 Juillet.— Le Comte de Mts, Ministre de France en Chine a eu samedi, un entretien vc le Ministre des Affaires Étrangères, le docteur C. T. Wang, cours duquel le projet accord sn-ndchns, a été l'objet d'n xmn général Après avoir fait un exposé de tous les arguments nvqés pendant les anétogsiinco qui durent depuis six ms et près oavri montré les dispositions particulières conciliantes du Gouvernement français, le Comte de Matsu a déclaré qu'en ce qui concerne le sat des Chinois en nhicd,Ineo et question du trnst, il était arrivé à la limite de ses concessions. Un nouvel rin a lieu vendredi. L'agence AU NTRASTI 82 boulevard Bonard, Saigon s charge e envois aux étudiants en France avec certificat 'origine opur la Douane. Pour réconcilier Chinois et Russes Les cieosnls de M. Bd M. Briand s'est borné à donner des conseils de rin Pa le 23 — Au sujet du télégramme officieux de Moscou ; annonçant que les Soviets ont refusé la médiation de la France dans le conflit sino-russe, on précise que M. Briand s'ets borné oe aux représentants des deux pays intéressés un conseil de modération, en leur faisant remarquer que toute ncaoti militaire serait contraire aux engagements internationaux, et ne particulier au pacte de Paris. Le "Temps" constate la mvs volonté des Soviets L Temps constate que les Soviets écartent toute proposition de médiation ve, sous prétexte qu'elle |
et la question du transit, il était arrivé à la limite de ses concessions. Un nouvel entretien aura lieu vendredi. L'agence AU TRANSIT 82 boulevard Bonard, Saigon se charge des envois aux étudiants en France avec certificat d'origine pour la Douane. Pour réconcilier Chinois et Russes Les conseils de M. Briand M. Briand s'est borné à donner des conseils de modération Paris, le 23 — Au sujet du télégramme officieux de Moscou ; annonçant que les Soviets ont refusé la médiation de la France dans le conflit sino-russe, on précise que M. Briand s'est borné à donner aux représentants des deux pays intéressés, un conseil de modération, en leur faisant remarquer que toute action militaire serait contraire aux engagements internationaux, et en particulier au pacte de Paris. Le "Temps" constate la mauvaise volonté des Soviets Le Temps constate que les Soviets écartent toute proposition de médiation éventuelle, sous prétexte qu'elle serait sans objet, en raison du refus des autorités chinoises de rétablir la bassin juridique qui a été violé. Les Soviets maintiennent, en réalité, intégralement la ceinture en demeure qu'ils ont adressée à Nankin, et veulent supprimer la cause même du différend avant de recourir aux procédés juridiques, ce qui rendrait inutile tout règlement. Les remerciements du ministre de Chine à Paris Le Ministre de Chine a remercié M. Briand de son intervention en vue du règlement pacifique du conflit sino-russe. Il lui a donné l'assurance que la Chine respecterait ses engagements internationaux et lui a affirmé que la Chine entend régler le différend pacifiquement. Le conflit sino-russe pourrait-il être réglé ? Le rapatriement des employés soviétiques Harbin, le 23 juillet. — Avant hier, les Chinois ont reconduit à la frontière ouest avec leurs familles, les premiers contingents d'employés du consulat et des institutions soviétiques, en tout 100 personnes. Le conseil et les membres de la direction de l'État-Chinois sont encore à Harbin. 3.000 employés russes de l'Est Chinois démissionnent Péking le 23 Juillet. Trois mille employés russes de l'Est Chinois ayant démissionné, le trafic est complètement interrompu sur cette ligne. De source japonaise, on annonce que la situation serait | et la question du transit, il arrivé à al limite d ses concessions. Un uevoln entretien aura lieu vr L'agence AU TRANSIT 82 boulevard Bonard, Saigon se g envois aux étudiants en France avec certificat d'origine pr la Dn. Pour réconcilier Chinois et Russes Les conseils de M. Briand M. Briand s'est brné à donner des conseils de modération Paris, le 23 — Au sujet du télégramme officieux de Moscou annonçant que les Soviets ont rfsé la médiation de la France dns le conflit sino-russe, on précise que M Briand s'est borné à donner x représentants s deux pays intéressés, un cnsl de modération, en leur faisant remarquer que toute action militaire serait ntrir x engagements internationaux, et en particulier au pacte de Paris. Le "Temps" constate la iaamvsue onéotlv des Soviets Le Temps constate e les Soviets écartent tt proposition de médiation éventuelle, sou prétxt qu'elle serait sans objet, en raison du refus des autorités chinoises de rétablir la bassin jrdq qui a été violé. Ls Soviets maintiennent, en réalité intégralement la ceinture en demeure qu'ils ont adressée à Nankin et veulent supprimer la ca même du dfférnd avnt de recourir aux prcédés juridiques, ce qui rendrait inutile tout ge.èlntemr Les remerciements du mnstr d inheC à Paris L Ministre de Chine remercié M. dinBar d son intervention en vue ud règlement pacifique u conflit sinorusse Il lui a donné l'assurance q l Chine respecterait ses engagements uinxtrnitanaeo et lui a affirmé que la Chine entend ergérl e différend pacifiquement. Le conflit sinorusse pourrait-il être réglé ? eL rapatriement des employés soviétiques Harbin, le 23 juillet. — Avant hier, les Chinois ont reconduit à a frontière ouest avec leurs familles les premiers contingents d'mplyés du consulat t des nstttns soviétiques, en tt 100 personnes. conseil les membres de la direction de l'État-Chinois sont ce à Harbin. 0.030 employés russes de El'ts Chinois démissionnent Péking le 23 Jllt. Trois mille employés russes de 'Est sonhCii at ,nidiésmonés le trafic est complètement interrompu sur cette ligne. De source japonaise, on nnnc que la situation serait |
rendrait inutile tout règlement. Les remerciements du ministre de Chine à Paris Le Ministre de Chine a remercié M. Briand de son intervention en vue du règlement pacifique du conflit sino-russe. Il lui a donné l'assurance que la Chine respecterait ses engagements internationaux et lui a affirmé que la Chine entend régler le différend pacifiquement. Le conflit sino-russe pourrait-il être réglé ? Le rapatriement des employés soviétiques Harbin, le 23 juillet. — Avant hier, les Chinois ont reconduit à la frontière ouest avec leurs familles, les premiers contingents d'employés du consulat et des institutions soviétiques, en tout 100 personnes. Le conseil et les membres de la direction de l'État-Chinois sont encore à Harbin. 3.000 employés russes de l'Est Chinois démissionnent Péking le 23 Juillet. Trois mille employés russes de l'Est Chinois ayant démissionné, le trafic est complètement interrompu sur cette ligne. De source japonaise, on annonce que la situation serait considérablement modifiée. Les Chinois et les Russes règleraient le conflit entre eux, sans intervention, ni médiation. Troisième Mois de la Cour Criminelle de Saigon La 3e session de la Cour Criminelle s'est ouverte aujourd'hui matin, vers 7h.30 sous la présidence de M. Nepveau, conseiller à la Cour, assisté de MM. Doduvert et Walrand, juges. M. Mareau occupait le siège du Ministère public. Quatre affaires sont inscrites au rôle : 1° Brunelle Gibelle, Tran Nhan et An Oc, pour faux ; 2° Danhsah et Nguyen van Co, viol et complicité ; 3° Nguyet trong Hoanh et consorts, vol qualifié, suivi de meurtre; 4° Chevalier (partie civile) contre Divpan de la Bâtie, diffamation ; La 1ère affaire a été renvoyée au Vendredi 2 Août. La 4° n'a pu être jugée en raison de l'absence du plaignant. Affaire Danhsah Danhsah, Indochine, collecteur de marché à Nhut-Tao (Tân-An) est accusé de viol sur la personne de la petite Nguyet Hien-Luong, âgée de 13 ans; Nguyen van Co, en complicité. Le viol aurait été commis sur une bâte, dont Co était le rameur, le soir du 21 Septembre 1928, alors que Danhsah se trouvait au village d'An-Loc (Giadinh) pour Nhut, Tao. Dansah, interrogé, dit qu'il | rendrait inutile tout règlement. Les remerciements du mnstr de Chine à Paris L Ministre de Chine a remercié M. Briand de son intervention ne vue du règlement pacifique du conflit sino-russe. l l a donné l'assurance que la Chine resitcrpaete ses agme internationaux et lui a affirmé que a Chn entend régler le différend pacifiquement. Le conflit sino-russe pourrait-il être réglé ? Le rapatriement des employés soviétiques Harbin, l 23 juillet. — Avant hier, esl Chinois ont reconduit à l rièe ouest avec leurs familles, les premiers contingents d'employés du consulat et des institutions soviétiques, en tout 100 prsnns. Le conseil te les membres de la direction de l'État-Chinois sont encore à Harbin. 3000 employés russes de l'st Chinois démssnnnt Péking le 23 Juillet. Trois mille employés russes d 's Chinois ayant démissionné, le trafic st complètement interrompu sur cette ligne. src japonaise, on annonce q la situation serait considérablement modifiée. Les Chinois et les Russes règleraient l conflit entre eux, sans intervention, ni médiation. Troisième Mois de l Cour Criminelle d Saigon La 3 session de la Cour Criminelle s'est ouverte aujourd'hui matin, vers 7h.30 sous la présidence de M. Nepveau, conseiller à la Cour, assisté de MM. Doduvert et Walrand, juges M Me occupait l siège du niMierèst public. Quatre affaires sont irits au rôl : 1° Brunelle Gibelle, Tran Nhan et An Oc, pour axfu ; 2° Danhsah et Nguyen van Co, viol et ompliité ; 3° Nguyet trong Hoanh t consorts, olv qualifié, sv de meurtre; 4° Chevalier (partie l)iveci contre Divpan de la Bâtie, diffamation ; La 1ère affaire a été renvoyée au Veei 2 Août. La 4° n'a pu être jugée en raison de labsence du plaignant. Affaire anah Danhsah, Indochine, collecteur de marché à NhutTao (Tân-An) est accusé de viol sur la prsnn de al petite Nguyet Hien-Luong, âgée de 13 ans; Nguyen van Co, en complicité. Le viol aurait été cmi sur n bâte, dont Co était le rameur, le soir du 21 Septembre 1928, alors que Danhsah se trouvait au village d'n-Lc (Giadinh) por Nht, Tao. Dansah, interrogé, dit qu'il |
Doduvert et Walrand, juges. M. Mareau occupait le siège du Ministère public. Quatre affaires sont inscrites au rôle : 1° Brunelle Gibelle, Tran Nhan et An Oc, pour faux ; 2° Danhsah et Nguyen van Co, viol et complicité ; 3° Nguyet trong Hoanh et consorts, vol qualifié, suivi de meurtre; 4° Chevalier (partie civile) contre Divpan de la Bâtie, diffamation ; La 1ère affaire a été renvoyée au Vendredi 2 Août. La 4° n'a pu être jugée en raison de l'absence du plaignant. Affaire Danhsah Danhsah, Indochine, collecteur de marché à Nhut-Tao (Tân-An) est accusé de viol sur la personne de la petite Nguyet Hien-Luong, âgée de 13 ans; Nguyen van Co, en complicité. Le viol aurait été commis sur une bâte, dont Co était le rameur, le soir du 21 Septembre 1928, alors que Danhsah se trouvait au village d'An-Loc (Giadinh) pour Nhut, Tao. Dansah, interrogé, dit qu'il était ivre, pendant toute la durée du voyage. Ce qui avait dénoncé le crime, déclara avoir été frappé par les cris de la victime et avoir, en soulevant un rideau, trouvé Danhsah couché avec Luong dans le lit. D'après celle-ci, qui aidait sa tante, concubine de Danhsah, dans le ménage, elle aurait bu de l'alcool, sous la pression de sa tante et violée 2 ou 3 fois par le jeune Danhsah. Sa tante déclara n'avoir eu connaissance du viol que par la démarche inaccoutumée de Luong. L'Avocat Général demanda, dans son réquisitoire, la condamnation de Danhsah suivant la loi, et l'acquittement de Co. Après avoir entendu les plaidoiries de Me Couget, pour Danhsah, et de Me de Caulhac, pour Co, la cour condamna le premier à 5 ans de réclusion et acquitta le second. Affaire Vo Thanh Henri Victor Vang Après le tirage au sort des assesseurs, qui dura assez longtemps, lecture fut faite, par le greffier, de l'acte d'accusation. Il s'agit d'un vol commis à Tu Tô (Chaudoc), dans la demeure de Cambodgien Chaumière, par Nguyen trong Hoanh; Phan van Pho; Nguyen van Sang; Vu Tuan Henri Victor Vang; Huynh phu Huu; Pham van Hich; Nguyen van Thanh. Le | oet te Walrand, sj.egu M. Mareau occupait le siège du Ministère public. aQeurt affaires snt inscrites au rôle : ° Brunelle Gibelle Tran Nhan et An Oc, pour faux ; 2° Danhsah et gue van Co, vo et complicité 3° Nguyet ong Hoanh et consorts, vol qualifié, sv de meurtre; 4° Chea (partie civile) contre pan de la Bâtie, diffamation ; La 1ère affaire a été evée au ene Août. La ° n'a pu être jugée en raison de labsence du plaignant. ffr Danhsah Danhsah Indochine, oetu de marché Nhut-Tao (Tân-An) est accusé de viol sur la personne e a petite Nguyet Hn-Lng, âgée 13 ans; Nguyen vn Co, en complicité. Le viol aurait été commis sur une bâte, dont Co était le rameur, le soir du 21 Septembre 1928, alors que Danhsah se trouvait au village d'An-Loc (Giadinh) pour Nhut Tao. Dansah, interrogé, it qu'il était e, pendant toute la durée du voyage. Ce q avait dénoncé le crime déclara avoir été frappé par les crs de la victime et avoir, n soulevant un rideau, touvré Danhsah couché avec Luong dans le lt. D'près celle-ci, qui dt sa tante, concubine de h,ansDah dans l ménage elle aurait bu de lcl sous la prssn d sa e et violée 2 ou 3 ois pr le jeune Danhsah. Sa tante déclara n'avoir eu cnnssnc du viol que par la dmarhe naoutumé de Luong L'Avocat Général demanda, dans son réqstr, la cndmntn de Danhsah suivant la loi, t l'acquittement de Co. Après aoi entendu les plaidoiries de Me Couget, pour Danhsah, et de Me de Caulhac, pour Co, la u condamna le premier à 5 ans de réclusion et acquitta l cn. Afre Vo Thanh Henri Victor Vag Après le tirage au st des assesseurs qui dura assez longtemps lecture fut faite, par le greffier, de 'at 'accusation. Il s'agit d'un vol commis à Tu Tô (Chaudoc), dans la demeure d Cambodgien Chmèr, pr Nguyen trong Hoanh; Phan van Pho; Nguyen van Sang; Vu Tuan Henri Victor Van Huynh phu Huu; Pham van Hich Nguyen van Thanh. Le |
elle aurait bu de l'alcool, sous la pression de sa tante et violée 2 ou 3 fois par le jeune Danhsah. Sa tante déclara n'avoir eu connaissance du viol que par la démarche inaccoutumée de Luong. L'Avocat Général demanda, dans son réquisitoire, la condamnation de Danhsah suivant la loi, et l'acquittement de Co. Après avoir entendu les plaidoiries de Me Couget, pour Danhsah, et de Me de Caulhac, pour Co, la cour condamna le premier à 5 ans de réclusion et acquitta le second. Affaire Vo Thanh Henri Victor Vang Après le tirage au sort des assesseurs, qui dura assez longtemps, lecture fut faite, par le greffier, de l'acte d'accusation. Il s'agit d'un vol commis à Tu Tô (Chaudoc), dans la demeure de Cambodgien Chaumière, par Nguyen trong Hoanh; Phan van Pho; Nguyen van Sang; Vu Tuan Henri Victor Vang; Huynh phu Huu; Pham van Hich; Nguyen van Thanh. Le promoteur du crime serait Vo Thanh Henri, un Annamite naturalisé, issu d'une famille honorable. Ayant déserté son régiment, il se réfugiait à Trà Vinh, où il vivait avec une fille de mœurs légères. Faute d'argent et ne connaissant aucun métier au risque d'être arrêté, il eut l'idée de recourir aux fusils qu'il avait emportés pour gagner sa vie. Avec l'aide de Phan van Pho, entrepreneur de transport automobile sur la route Saïgon-Longxuyen, et de Nguyen trong Hoanh, beau-frère de Pho, qui avait conduit les bandits de Saigon à Chaudoc, dans une automobile Berliet, ils prirent la maison de Chau Tiec et dérobèrent une somme de plus de 2.000 piastres. Plusieurs coups de fusil furent tirés pendant le pillage. Une femme mourut des suites de ses blessures. Chau Tiec, frappé et ligoté, gisait dans un coin, tandis que sa famille put s'enfuir. On appela les victimes et témoins du vol: 1° Chau Tiec, cultivateur à Chaudoc : -2° Châu Nghiet, 18 ans, id 3° Néang Phan, 29 ans, id 4° Chân Yon dit Din, 27 ans id 5° Trái van Trac, chef de poste à Longxuyen 6° Khuong van Thanh. 18 ans, aidechauffeur à Longxuyen, (celui-ci absent) 7. Nguyen van Xuan, | elle aurait bu de l'alcool, sous la pression de sa tante t é 2 ou 3 fois par le jeune Danhsah. Sa tante délar n'avoir eu connaissance du viol que par la démch inaccoutumée de Luong. L'Avocat Général demanda, dans son réquisitoire, condamnation de Dnhsh suivant la loi, t l'acquittement de Co. Après avoir entendu les plaidoiries de Me Couget, pour Danhsah, et de Me d Caulhac, pour Co, la cour oda le premier à 5 ans de réclusion et atacquit le second. Affaire Vo Thanh Henri Victor Vang Après le tirage sort des assesseurs, qui dura assez longtemps, lctr fut faite, par le r,eierfgf d 'acte d'accusation. Il 'tisag 'un vol commis à Tu ôT (Chaudoc), dans la mueedre de Cambodgien Chaumière, par Nguyen trong Hoanh; P van Pho; g van Sng; Vu Tuan Henri Victor Vang; Huynh phu Huu; Pham van Hich; Nguyen van Thanh. L promoteur du crime srt Vo Thanh Henri, un Annamite naturalisé, issu 'une famille honorable. Ayant déserté son régiment, il s réfugiait à Trà Vinh, où il viait avec une fille de mœurs légères. Faute d'argent et n connaissant u tie au risque d'être arrêté, il eut l'idée de recourir aux fusils lqiu' avait emportés pour gagner sa vie. Avec l'aide de P van Pho, entrepreneur de transport automobile sur la route Saïgon-Longxuyen, et de e trong Hoanh, beau-frère de Pho, qui avait conduit les bandits de Saigon à Chaudoc, dans uen automobile Berliet, ils prirent la maison de Chau Tc t dérobèrent une somme de plus de 2.000 piastres. Plusieurs coups de fl furent tirés nan le pillage. femme mourut des suites de ses blssrs. Chau Tiec, frappé et ligoté, gst dans un coin, tandis que sa famille put s'enfuir. On appela les victimes et témoins du vol: 1° Chau Tiec, cultivateur à Chaudoc : 2 Châu Nghiet, 18 ans, id 3° Néang Phan, 29 ans, id 4° Chân Yn dit Din, 27 ans id 5° Trái van Trc, chef de pt à Longxuyen 6° Khuong van Thanh. 18 ans, aidechauffeur à Longxuyen, (celui-ci absent) 7. Nguyen van Xuan, |
fusils qu'il avait emportés pour gagner sa vie. Avec l'aide de Phan van Pho, entrepreneur de transport automobile sur la route Saïgon-Longxuyen, et de Nguyen trong Hoanh, beau-frère de Pho, qui avait conduit les bandits de Saigon à Chaudoc, dans une automobile Berliet, ils prirent la maison de Chau Tiec et dérobèrent une somme de plus de 2.000 piastres. Plusieurs coups de fusil furent tirés pendant le pillage. Une femme mourut des suites de ses blessures. Chau Tiec, frappé et ligoté, gisait dans un coin, tandis que sa famille put s'enfuir. On appela les victimes et témoins du vol: 1° Chau Tiec, cultivateur à Chaudoc : -2° Châu Nghiet, 18 ans, id 3° Néang Phan, 29 ans, id 4° Chân Yon dit Din, 27 ans id 5° Trái van Trac, chef de poste à Longxuyen 6° Khuong van Thanh. 18 ans, aidechauffeur à Longxuyen, (celui-ci absent) 7. Nguyen van Xuan, 23 ans, vendeur d'essence à Sadec Nguyen trong Hoanh, reconnaît avoir transporté de Tra Vinh à Saigon, des voyageurs se rendant, croyait-il, à un mariage, et soulignait sur l'ordre de son maître. Il nie avoir participé au crime. Parmi les pièces à conviction réelles devant les juges, on peut remarquer une bicyclette de course, peinte en vert ; une caisse, contenant 3 touques d'essence vides ; une hache ; un couteau et un fusil de fabrication annamite. La séance, levée à midi moins le quart, est reprise à quinze heures. Hoanh reparut à la barre, en veste et pantalon noirs, pieds nus, l'air fatigué. Il nia toutes ses déclarations faites à la Sûreté et à l'Instruction, alléguant qu'il avait été torturé pour « avouer ». « Pho et Vo Thanh ont-ils participé au pillage? » lui demande le Président. — Non — Et tous les autres ? — Non plus. Vint le tour de Phan van Pho; propriétaire de l'autocar Berliet, vêtu d'un costume kaki, sans chemise, pieds nus. Il démentit les déclarations de Néang-Phau, qui avait affirmé l'avoir vu, la nuit du 3 au 4 août 1928, d'entrer dans la porte de la maison, avec une hache, qu'il avait | fusils qu'l at emportés pour gagner sa vie. Avec de Phn van Pho, entrepreneur de transport automobile sur la route -nnegLganuoySïx,o t de Nguen trong Hoanh, beau-frère de Pho, qui avait conduit les bandits d Saigon à Chaudoc dnas une automobile ei,rBtle ils prirent l maison de Chau Tiec et dérbèrnt n somme de plus de 2.000 piastres. Plusieurs coups de fusil furent tirés pendant le pillage Une eme mrt des suites de ses blessures. Chau Tiec, frappé te ligoté, gisait dans un cn, tandis que as fmll put s'enfuir. On appela les victimes et insétom d vol: ° Ch Tiec, cultivateur Chaudoc : -° Châ Nghiet, 18 ans, id 3° Néang Phan, 29 ans, id °4 Chân Yon dit Dn, 27 ans id 5° Trái van Trac chf de poste à Longxuyen 6° hgnoKu van Thanh. 18 ans, aidechauffeur à Longxuyen, (celui-ci bst) Nguyen van Xn 23 ans, vendeur 'essence à Sadec Nguyen trong Hoanh, reconnaît avoir trnsprté de ra Vinh à Saigon, des voyageurs se rndnt, croyait-il, à un mariage, et nouilatgis sur l'ordre de son mître Il nie avoir participé au crime. ai les ce à convto rlésele endatv les juges, on peut remarquer une bicyclette de course, peinte en vert ; une css, contenant 3 tqs d'essence vides ; une hache ; un couteau et un fusil de fbrctn annamite. La séance, levée à midi mns le quart, est rprs à quinze heures. Hoanh reparut à al brr, e veste et pantalon noirs pieds nus, 'air fatigué. Il nia toutes ses déclarations faites à la Sûreté et à l'Instruction, llégnt qu'il avait été torturé rpou « avouer ». « Pho te V Thanh ont-ils participé au gll?eapi lui demande le Présdnt. — on — t s les trs ? — Non plus. Vint le tour d Phan van Pho propriétaire de l'autocar Berliet, vêtu d'un costume kaki, sans chemise, pieds nus. Il démentit les déclarations d Néang-Phau, qui avait affirmé l'avoir vu, la nuit du 3 au 4 août 1928, d'entrer dans a p de la maison, avec une hache, q'l avtia |
une bicyclette de course, peinte en vert ; une caisse, contenant 3 touques d'essence vides ; une hache ; un couteau et un fusil de fabrication annamite. La séance, levée à midi moins le quart, est reprise à quinze heures. Hoanh reparut à la barre, en veste et pantalon noirs, pieds nus, l'air fatigué. Il nia toutes ses déclarations faites à la Sûreté et à l'Instruction, alléguant qu'il avait été torturé pour « avouer ». « Pho et Vo Thanh ont-ils participé au pillage? » lui demande le Président. — Non — Et tous les autres ? — Non plus. Vint le tour de Phan van Pho; propriétaire de l'autocar Berliet, vêtu d'un costume kaki, sans chemise, pieds nus. Il démentit les déclarations de Néang-Phau, qui avait affirmé l'avoir vu, la nuit du 3 au 4 août 1928, d'entrer dans la porte de la maison, avec une hache, qu'il avait brandie au-dessus de sa tête. Vo Thanh portait un costume européen blanc. Il avait l'air tranquille et répondit avec beaucoup de calme. « Vous viviez, à Trà Vinh, avec Ti K m, une prostituée ? — Oui, mais sur les subsides de mes parents, et non pas à ses dépens. — On dit que vous étiez dégoûté sans avoir. — Je dis ce qu'on veut. — Pourquoi a-t-on trouvé votre livret dans l'autocar ?— J'avais l'intention, en allant à Saigon, de le remettre à mon camarade Georges Le Quang Thoi, actuellement au régiment. — Et les 60 cartouches chargées de 18 m/m achetées aux Magasins Charner ? Je n'en avais acheté qu'une trentaine de 12 m/m. — Où étiez-vous la nuit du 3 au 4 août ? — À Saigon, dans une chambre meublée, avec Mlle Lu, de 8 h. à minuit, et Nguyen van Sing, un paysan, guide de buffles chez Quang. « Quang déclare ne vous avoir jamais eu à son service ? — Je lui avais demandé 10 piastres. Sur son refus de me les prêter, je l'avais quitté ; c'est pourquoi il ne veut plus me reconnaître. Huynh Phu Huu dit Bêp Hun assure que les | une bicyclette de course, peinte en vert ; une css, contenant 3 touques d'essence vides ; une hache ; un couteau et un fusil de fabrication annamite. L séance, levée à midi moins le quart, est reprise à quinze heures. Hoanh rprt à la brr, en vst et pantalon noirs, pieds nus, l'air fatigué Il nia toutes ses déclarations faites à la Sûreté et à lInstruction alléguant qu'il avait été torturé pour « avouer ». « Pho et Vo Thanh nt-ls participé au pillage? » lui demande le Président. — Non — Et tous les autres ? Non plus. Vint le tour de Phan van Pho; propriétaire de l'autocar Berliet, êtuv d'un costume ka,ki sans chemise, pieds nus. Il démentit les déclarations de Néang-Phau, qui avait affirmé l'avoir vu, la nuit du au 4 août 1928, d'entrer dans la porte de la maison, avec une hache, qu'il avait brandie -dsss de sa tête. Vo Thanh prtt nu costume européen blanc Il avait l'air tranquille et répondit avec beaucoup de clm. « Vous viviez, à Trà Vinh, avec Ti K m une prostituée ? — Oui, mais sur les subsides de mes prnts, et non pas à ses dépens. — On dt que vous étiez dégoûté sans avoir. — Je dis ce u'o veut. — Pourquoi a-t-on trouvé votre livret dans l'autocar ?— J'avais l'intention, en allant à Saigon, de le remettre à mn camarade Georges Le Quang Thoi, actuellement au te.mrngié — Et les 60 cartouches ché d 18 mm achetées aux Magasins Charner ? Je n'en avais acheté qu'une trentaine de 12 m/m. — Où étiez-vous la nuit du 3 au 4 août ? — À Saigon, dans une chambre meublée, avec Mlle L, de 8 à minuit, et Nguyen van Sing, un paysan, guide de buffles chez Quang. « Quang déclare ne vous avoir jamais eu à son service ? — Je lui avais méeddan 10 piastres. Sur son refus de me les prêter, je l'avais quitté ; c'est pourquoi il ne veut plus me reconnaître. uyn Phu Huu dit Bêp Hun assure que les |
— On dit que vous étiez dégoûté sans avoir. — Je dis ce qu'on veut. — Pourquoi a-t-on trouvé votre livret dans l'autocar ?— J'avais l'intention, en allant à Saigon, de le remettre à mon camarade Georges Le Quang Thoi, actuellement au régiment. — Et les 60 cartouches chargées de 18 m/m achetées aux Magasins Charner ? Je n'en avais acheté qu'une trentaine de 12 m/m. — Où étiez-vous la nuit du 3 au 4 août ? — À Saigon, dans une chambre meublée, avec Mlle Lu, de 8 h. à minuit, et Nguyen van Sing, un paysan, guide de buffles chez Quang. « Quang déclare ne vous avoir jamais eu à son service ? — Je lui avais demandé 10 piastres. Sur son refus de me les prêter, je l'avais quitté ; c'est pourquoi il ne veut plus me reconnaître. Huynh Phu Huu dit Bêp Hun assure que les bracelets saisis par la Justice chez lui appartenaient, les uns à son père, les autres à sa sœur. "C'est vous qui avez porté 4 fusils, enveloppés dans une natte ?" - "Non." Le Cambodgien vous a vu portant une corbeille ?" - "C'est faux." Où étiez-vous la nuit du crime ? - "Chez moi." Pham van Hich, cheveux longs, pantalon et veste noirs. "Vous avez une très mauvaise réputation dans votre village. Vous avez été condamné une fois, puis relâché, n'est-ce pas ?" "Oui." "On vous a vu porteur d'une bâton ?" - "Non." Nguyen-van Thanh, observe le Président, est le bandit le plus redouté de la bande, un repris de justice, arrêté plusieurs fois pour vol et meurtre. Vous avez été dénoncé par Hoanh comme étant le chef ? - "Non." - "Vous connaissez Sang ?" - "Non." - "Pourquoi lorsqu'on vous a demandé votre cotisé d'impôt, vous l'avez prise sur une veste déposée chez Sang ?" - "Ce n'est pas la maison de Sang." Arriva le Cambodgien Chau Tiec, un vieillard édenté, aux cheveux blancs. Sa femme fut tuée au cours du pillage, lui grièvement blessé. Invité à narrer le crime, il dit que sa maison était sur | On dit que vous étiez dégoûté sans avoir. Je ds ce qu'on veut. — Pourquoi a-t-on trouvé votre livret dans l'autocar ?— J'avais l'ntntn, allant à Saigon, de le remettre à mon camarade Georges Le Quang Thoi, actuellement au régiment. — Et les 60 oues chargées de 18 m/m achetées aux Magasins Charner ? Je n'en aavis acheté qu'une reae de 12 m/m. — Où étiez-vous la nuit du 3 au 4 août — À Saigon, dans une chambre meublée, avec l Lu, de h à minuit, et Nguyen van Sing, un paysan, guide de buffles chez Quang. « Quang écre n vous avoir jamais eu à son service ? — Je iul avais demandé 10 piastres. Sur son refus de me les prêter, je lavais quitté ; c'est pourquoi il ne veut plus me reconnaître. Huynh Phu Huu dit Bêp Hun assure que les bces saisis la Jstc chez lui appartenaient, les uns à son père, les trs à sa sœur "C'est vous qui avez porté 4 fusils enveloppés dans ne natte ?" - "Non." Le Cambodgien vous vu ortnt une corbeille ?" - "C'est faux." Où étiez-vous la nuit du crime ? - "Chez moi." Pam van c, cheveux longs, pantalon et veste noirs. "Vous avez une r mauvaise réputation dans votre village. Vous avez été condamné une fos, puis relâché, n'est-ce psa ?" "Oui." "On vous a vu porteur d'une bâton ?" - "Non." Nguyen-van Thanh, observe l Président, est le bandit le spul redouté de l bande, un repris de i, arrêté plusieurs fois rpou vol te r.etmuer s vz été dénoncé par Hoanh comme étant le chef ? - "Non." - "Vous connaissez Sang ?" - o"N".n - "Pourquoi lorsqu'on vous a demandé votre cotisé 'impôt, vous l'avez prise sur une veste déposée chez Sgna ?" - "Ce n'est pas la maison de Sang." Arriva le Cambodgien Chau Tiec, un vieillard édenté, aux cheveux blancs. Sa femme fut tuée au cours du pillage lui grièvement ssé Invité à narrer le crime, il dit q sa maison étt su |
? - "Chez moi." Pham van Hich, cheveux longs, pantalon et veste noirs. "Vous avez une très mauvaise réputation dans votre village. Vous avez été condamné une fois, puis relâché, n'est-ce pas ?" "Oui." "On vous a vu porteur d'une bâton ?" - "Non." Nguyen-van Thanh, observe le Président, est le bandit le plus redouté de la bande, un repris de justice, arrêté plusieurs fois pour vol et meurtre. Vous avez été dénoncé par Hoanh comme étant le chef ? - "Non." - "Vous connaissez Sang ?" - "Non." - "Pourquoi lorsqu'on vous a demandé votre cotisé d'impôt, vous l'avez prise sur une veste déposée chez Sang ?" - "Ce n'est pas la maison de Sang." Arriva le Cambodgien Chau Tiec, un vieillard édenté, aux cheveux blancs. Sa femme fut tuée au cours du pillage, lui grièvement blessé. Invité à narrer le crime, il dit que sa maison était sur pilotis, que ce soir-là, 6 ou 7 malfaiteurs, armés de fusils montaient l'escalier et défonçaient la porte pour pénétrer dans sa demeure. Après avoir tué sa femme, couchée près d'une malade, les bandits lui dérobèrent 1.880 piastres en monnaie, 15 lingots d'argent, d'une valeur de 15 piastres chacun, et divers bijoux. Les bracelets saisis chez le Bêp Hun appartenaient à Chau Tiec. Sté Indochinoise d'Importation 40, Rue Pellerin : Saigon Capitaux de 200.000 piastres 56, rue Pellerin, SAIGON Adresse télégraphique : ASSURANCE Téléphone 874 Automobilistes Annamites, Réservation voitures à la Compagnie Annamite d'Assurance Tous assurances demandées Société Annamite de Crédit Société Anonyme au Capital de 150.000 piastres S. nulbl Pellerin, - Salon téléphone A* 748 Adresse télégraphique : ASSURANCE Ouverture de comptes de dépôts à vue, appelés "Comptes courants de dépôts" en "Piastres" et en "Frances", portant intérêt à 4 par an. - Ouverture de comptes spéciaux, appelés "Comptes d'épargne" en "Piastres" et en "France", portant intérêt à 6 par 100. Comptes pour épargnants, remboursables sans préavis ni délai. Ouverture de comptes de "dépôts à échéance fixe", intérêt : 6 pour les dépôts d'un an. Ces dépôts peuvent cependant être retirés à tout moment, mais ils seraient, alors, assimilés aux | ? - "Chez moi." Pham van Hich, cheveux longs, pantalon et vst nrs. "Vous avez une très mauvaise réputation dans votre village. Vous avez été condamné une fois puis el, nestce pas ?" "Oui." " vous a vu porteur d'une bâton ?" - "Non." Nguyen-van Thanh, observe le Présdnt, est le bandit le pl redouté de la bande, un repris de justice, arrêté plusieurs fois pour et meurtre. Vous vz été dénoncé par Hnh comme étant l chef ? "Non." - "Vous connaissez Sang ?" - "Non." - "Pourquoi lorsqu'on vous a demandé vtr cotisé d'impôt, vous l'avez prise sur une veste déposée chez gnSa "? - "Ce 'est pas la aosmin de Sang." Arriva l Cambodgien Ch Tiec, un e ,edénét aux cheveux blancs. Sa femme fut tuée au cours du pillage, lui gèveme blessé. Invité à narrer le crime, i dit que sa maison était sur ios, uqe c soir-là, 6 ou 7 malfaiteurs, armés d fusils montaient l'escalier et défonçaient la porte pour pénétrer dans sa demeure Après avoir tué sa femme, couchée près d'une mld, les bandits lui dérobèrent .880 piastres en ,nmenioa 15 lingots d'argent, dune vlr de 15 piastres chacun, te divers bijoux. Les bracelets saisis chez e Bêp Hun appartenaient à Chau Tiec Sté Indochinoise Iporan 40, Rue Pellerin : Saigon Cptx de 200.000 piastres 6, rue rlPeenil, SION Adresse télégraphique : ASSURANCE élon 487 Automobilistes nnmts, Réservation voitures à al Compagnie nnmt d'Assurance Ts assurances demandées c Annamite de Crédit Société Anonyme au aptl d 150.000 aperssti S. nulbl Pellerin, - Salon téléphone * 748 Adresse télégraphique : ASSURANCE Ouverture de comptes de dépôts à e appelés Comts srtancuo de dépôts" en "Piastres" t en "Frances", anttrop intérêt à rap an - Ouverture de comptes spéciaux ppés "Comptes népra"e'gd n "Piastres" et en France prtnt intérêt à 6 par 100. Comptes pour épargnants remboursables sans préavis i délai. Ouverture d comptes de "dépôts à échénc fixe", iétênrt : 6 pour les dépôts 'un an. Ces dépôts peuvent ceedat être retirés tout moment, mais ils seraient, alors, assimilés aux |
bijoux. Les bracelets saisis chez le Bêp Hun appartenaient à Chau Tiec. Sté Indochinoise d'Importation 40, Rue Pellerin : Saigon Capitaux de 200.000 piastres 56, rue Pellerin, SAIGON Adresse télégraphique : ASSURANCE Téléphone 874 Automobilistes Annamites, Réservation voitures à la Compagnie Annamite d'Assurance Tous assurances demandées Société Annamite de Crédit Société Anonyme au Capital de 150.000 piastres S. nulbl Pellerin, - Salon téléphone A* 748 Adresse télégraphique : ASSURANCE Ouverture de comptes de dépôts à vue, appelés "Comptes courants de dépôts" en "Piastres" et en "Frances", portant intérêt à 4 par an. - Ouverture de comptes spéciaux, appelés "Comptes d'épargne" en "Piastres" et en "France", portant intérêt à 6 par 100. Comptes pour épargnants, remboursables sans préavis ni délai. Ouverture de comptes de "dépôts à échéance fixe", intérêt : 6 pour les dépôts d'un an. Ces dépôts peuvent cependant être retirés à tout moment, mais ils seraient, alors, assimilés aux comptes courants et ne rapporteraient qu'un intérêt de 4 par 100. Emission de chèques et transfert par courrier et par cabine sur la Banque spéciale de mensualités pour les étudiants annamites en France. Garantie sur caution ou sur garanties réelles. Emission de crédits à l'étranger pour l'importation. La Banque de Crédit se tient à la disposition de tous Annamites pour tous renseignements qu'ils peuvent désirer sur les opérations bancaires et commerciales. PHAN-BÔN, Ph. Hoang Van, Président du Conseil. CUYEN-CA, Imprimeur, à Saigon, "Vie Présidente de la Presse," 8 rue, Ah, Président, à HANOI, Administrateur-délégué. Imprimerie, GRAND QUARTIER SARIMON Parmi les accusés, debout devant lui, Chau Tiec désigna Hoanh, qu'il reconnut pour porteur d'un marteau ; Pho porteur d'un fusil et Hicta, d'un bâton. Ces trois, pourtant, protestèrent de leur innocence. Châu-Nghiêt, 18 ans, fils de la victime, montra le Bêp Bau, porteur, dit-il, d'une torche ; Hich armé d'un bâton, et Pho, d'un fusil. Néang Phan ne put indiquer que Pho. Elle affirma l'avoir vu tenir d'une main un fusil et de l'autre une hachette, qu'il brandissait au-dessus de sa tête. Chau-Yon, domestique (comme Néang-Phan) de la victime, désigna Pho comme armé d'un fusil, et Sang, portant une torche. Tran | bijoux. Les bracelets saisis chez le Bêp Hun appartenaient à Chau Te. Sté Indochinoise d'mprttn 40, R Pellerin : Saigon Capitaux de 200000 piastres 56, rue Pellerin, SAIGON Adresse télégraphique : ASSURANCE Téléphone 874 Automobilistes Annamites, Réservation voitures à la Compagnie Annamite d'Assurance Tous assurances meéddanes Société Annamite de Crédit Société Anonyme au Capital de 150.000 piastres S. nulbl Pellerin, - Salon téléphone A* 748 drss télégraphique : ASSURANCE Ouverture de comptes de dépôts à vue, appelés "Comptes norstauc de dépôts" en "Piastres" et en "Frncs", portant intérêt à 4 par an. - Ouverture de comptes spéciaux, appelés "Comptes d'épargne" en "Piastres" et en rn, prtnt intérêt à par 100 Cmpts pour épargnants, remboursables sans préavis ni délai. Ouverture de comptes de "dépôts à échéance fixe", intérêt : 6 pour les dépôts d'un an. Ces dépôts peuvent cependant être tié à ot mmnt, mais ils seraient, alors, assimilés aux comptes courants t ne rapporteraient qu'un intérêt de 4 par 100. Emission de chèques et transfert par courrier et par cabine sur l Bnqu spéciale de mensualités pour les étudiants annamites n France. Grnt sur caution ou sur grnts réelles. Emission de réctids à l'étranger pour 'importation. La Banque de Crédit se tient à la disposition de tous Annamites pour tous renseignements qu'ils pvnt désirer sur les opérations bancaires et comercials. PHAN-BÔN, Ph. Hoang Van, Président du Conseil. CUYEN-CA, Imprimeur, à Saigon, "Vie Présdnt de la Presse," 8 rue, Ah, Président à HANOI, Administrateur-délégué. Imprimerie GRAND QUARTIER MINROSA Parmi les accusés, e devant lui, C Tc désigna Hoanh, qu'il reconnut pour porteur d'un marteau ; Pho porteur ' fusil et Hicta, d'un bâton. Ces trois, orat, èprtentesrto de lr innocence. Châu-Nghiêt, 8 ans, fils de l victime, montra le Bêp Bau, porteur, ditil d'une torche ; Hich armé d'un bâton, et Pho, d'un fusil. Néang Phan ne put indiquer q Pho Elle affirma l'avoir vu tenir d'une mn un fusil et de 'autre une hachette qu'il brandissait au-dessus de sa tête. Chau-Yon, domestique (comme Néang-Phan) e la victime, désgn oPh comme armé 'un fusil, et Sng, portant une torche. Tran |
Crédit se tient à la disposition de tous Annamites pour tous renseignements qu'ils peuvent désirer sur les opérations bancaires et commerciales. PHAN-BÔN, Ph. Hoang Van, Président du Conseil. CUYEN-CA, Imprimeur, à Saigon, "Vie Présidente de la Presse," 8 rue, Ah, Président, à HANOI, Administrateur-délégué. Imprimerie, GRAND QUARTIER SARIMON Parmi les accusés, debout devant lui, Chau Tiec désigna Hoanh, qu'il reconnut pour porteur d'un marteau ; Pho porteur d'un fusil et Hicta, d'un bâton. Ces trois, pourtant, protestèrent de leur innocence. Châu-Nghiêt, 18 ans, fils de la victime, montra le Bêp Bau, porteur, dit-il, d'une torche ; Hich armé d'un bâton, et Pho, d'un fusil. Néang Phan ne put indiquer que Pho. Elle affirma l'avoir vu tenir d'une main un fusil et de l'autre une hachette, qu'il brandissait au-dessus de sa tête. Chau-Yon, domestique (comme Néang-Phan) de la victime, désigna Pho comme armé d'un fusil, et Sang, portant une torche. Tran van Trac, caïd de police à Long Xuyen, raconta comment il avait arrêté Sang, caché derrière un arbre, dans l'habitation de Thanh. Nguyen van Xuan, vendeur d'essence à Saïgon, déclara que Hoanh, son client habituel, lui avait acheté, le 3 Août, 50 litres d'essence et un bidon d'huile. Étonné de cette quantité importante, Xuan avait interrogé Hoanh, qui lui avait répondu qu'il devait transporter des invités à un mariage. La Cour entendit également les témoins à décharge, entre autres Thi Kim, qui avait cassé un fusil calibre 12, au cours d'une dispute avec Vo Thanh, son amant; et Nguyen van Thiet, 26 ans, cultivateur, habitant dans son village. "Vo Thanh, dit Thiet, habitant à Bui Thau, à 2 km de Tra On. Il m'avait prévenu de sa dispute avec sa concubine et montré le fusil cassé par elle. Le docteur donna donnée par le Président des certificats médicaux concernant les blessures à la suite desquelles périt la femme de Chau Tiec et celles de Chau Tiec lui-même, blessures occasionnées à la fois par les balles et par des coups. La séance est levée à 6 h.30. Le lendemain matin, à 7 h.30, commença le réquisitoire; très serré de l'Avocat Général. | Crédt se tient la disposition de tous nnmts pour tous renseignements qu'ils pvnt désirer sur les opérations bancaires te commerciales. PHAN-BÔN, Ph Hoang Van, rént du Conseil. CUYENCA Imprimeur, à Saigon, Vie Présidente de la Presse," 8 rue, ,hA Président, à AO,NHI Administrateur-délégué. Imprimerie, GRAND QRTR SARIMON Parmi les accusés debout devant lui, Chau Tiec désigna Hoanh, qu'il eout pour porteur d'un marteau ; Pho prtr 'un fusil et Hicta d'un bâton. Ces trois, pourtant protestèrent de leur innocence. Châu-Nghiêt, 18 a, fls de la victime, montra l Bêp Bau, porteur, dit-il, d'une torche ; Hich armé d'un bâton, et Pho, d'un fusil éag Phan ne put indiquer que Pho. Elle affirma 'avoir vu tenir d'une main un fusil et de l'tr une ahett qu'il brandissait au-dessus de s tête. Chau-Yon, domestique (comme Néang-Phan) de l victime, désgn Pho comme armé d'un fusil, et Sang, portant une torche Tran van Trac, caïd de police à Lgon Xuyen, raconta comment il vt rêatré an caché derrière un arbre, dans l'habitation de Thanh. Nguyen van Xuan, uedenrv d'essence à Saïgon, déclara que Hoanh, son client atue lui avait chté, le 3 Août, 50 litres 'essence et un b dhuile Étnné de cette quantité importante, Xuan avait trgnoieré oah qui lui avait répondu qu'il dvt transporter des invités à un mariage. La ruoC entendit également les témoins décharge, entre utsear Thi Kim, qui avait cassé un fusil calibre 12, au crs nue'd dispute avec Vo Thanh, son nmaa;t et Nguyen van , 26 ans, cultivateur, habitant dans son village "Vo Thnh, dit Thiet, habitant à Bui Thau, à 2 m de Tra On. Il 'atvima prévenu d sa dispute avec s concubine et oré l fusil cassé pr ele.l Le docteur donna donnée par le Président des cerifias médicaux concernant lse blessures à la suite desquelles périt la femme de Chau ec et celles de Chau Tiec lui-même, blessures occasionnées à a fois par les blls et par d coups. L séance est levée à 6 h. Le lndmn matin, à 7 .30, coen le réquisitoire; très serré de l'Avocat Générl. |
cette quantité importante, Xuan avait interrogé Hoanh, qui lui avait répondu qu'il devait transporter des invités à un mariage. La Cour entendit également les témoins à décharge, entre autres Thi Kim, qui avait cassé un fusil calibre 12, au cours d'une dispute avec Vo Thanh, son amant; et Nguyen van Thiet, 26 ans, cultivateur, habitant dans son village. "Vo Thanh, dit Thiet, habitant à Bui Thau, à 2 km de Tra On. Il m'avait prévenu de sa dispute avec sa concubine et montré le fusil cassé par elle. Le docteur donna donnée par le Président des certificats médicaux concernant les blessures à la suite desquelles périt la femme de Chau Tiec et celles de Chau Tiec lui-même, blessures occasionnées à la fois par les balles et par des coups. La séance est levée à 6 h.30. Le lendemain matin, à 7 h.30, commença le réquisitoire; très serré de l'Avocat Général. Il retraça toutes les péripéties du drame. "Des charges très lourdes pèsent, dit-il, sur les accusés. Les victimes et témoins d'ailleurs les ont formellement reconnus." Tout en rendant hommage au Docteur Phu père de Vo Thanh. M. Léonard déclare que la présence de ce jeune homme sur les lieux du drame est indiscutable, de par les aveux de Hoanh. Vo Thanh affirme avoir acheté des cartouches pour chasser avec le fusil d'un camarade. Mais ces cartouches se trouvent être identiquement semblables à celles trouvées à Tu-Té. En enquête, il a prouvé que Vo Thành n'était en possession d'aucune arme à feu, il est établi qu'il avait pris à son frère, en service à la Sûreté, un révolver, qu'il ne lui a restitué que sous menace. Le jeune déserteur a pris, en outre, à un de ses amis une carbine Buffard 12 mm, qu'il n'a jamais rendu. Vo Thành ne peut invoquer de raison plausible pour emporter le revolver, car, déserteur, il était risqué d'être reconnu et arrêté au cours d'une de ces perquisitions si souvent opérées sur les automobiles de transport en commun. L'avocat général conclut que le prononcé est coupable, et que Pho, sur lequel s'accumulent les témoignages des | cette quantité importante, Xuan taiav interrogé Hoanh, qui lui avait répondu qu'il devait trnsprtr des invités à un mariage. La Co entendit également les témoins à déchrg, entre usaret Thi Kim, qui avait cassé un us care 12, a cours d'une dispute avec Vo Thanh, sn amant; et Nguyen van Thiet, 26 ans, cultivateur hbtnt dans son village. "Vo Thanh, dit Thiet, habitant à Biu Thau, 2 km d Tra n. Il 'at prévenu de sa dispute avec sa concubine et mntré le fusil cassé par elle Le docteur donna donnée par le Pésint des certificats mdcau concernant ls blessures à la suite desquelles pért la femme Ch Tiec et celles de Chau Tiec lui-même, blessures oaoée à la fois par les balles et par des coups La séance est levée à 6 h.30. Le lendemain matin, à 7 h.30, commença le oéitr;ruiiseq très serré de l'Avocat Général. Il retraça toutes les péripéties du drame. Des charges très lourdes pèet ditil sur les accusés. Les victimes et témoins d'ailleurs les ont formellement reconnus." Tout en rendant hommage au Docteur Ph père de Vo Thanh. M. Léonard déclare qu la réene de ce jenue homme sur les lieux du drame st ndsctbl, de r les aveux de Hoanh. Vo Thanh affirme avoir acheté des cartouches pour chasser vec le fusil d'un camarade. Mais ces cartouches se trouvent identiquement semblables à celles trouvées à Tu-Té. En que, il a oué ue Vo Thành n'était en possession d'aucune emar à feu, il est établi qu'il vt pris son frère, en service à la Sûreté, un révolver, qu'il ne l restitué que sous menace. Le jeune déserteur pris, en outre, à un de ses amis e carbine Buffard 12 mm, u'i n'a jamais rendu. Vo Thành e pt invoquer de raison plausible pr mprtr le eover, car, déserteur, l était rsqé d'êtr reconnu et arrêté au cours d'une de ces perquisitions si souvent opérées sru les automobiles de transport en commun. L'avocat général conclut que le prononcé est coupable et que Pho, sur lequel s'accumulent les ég des |
drame est indiscutable, de par les aveux de Hoanh. Vo Thanh affirme avoir acheté des cartouches pour chasser avec le fusil d'un camarade. Mais ces cartouches se trouvent être identiquement semblables à celles trouvées à Tu-Té. En enquête, il a prouvé que Vo Thành n'était en possession d'aucune arme à feu, il est établi qu'il avait pris à son frère, en service à la Sûreté, un révolver, qu'il ne lui a restitué que sous menace. Le jeune déserteur a pris, en outre, à un de ses amis une carbine Buffard 12 mm, qu'il n'a jamais rendu. Vo Thành ne peut invoquer de raison plausible pour emporter le revolver, car, déserteur, il était risqué d'être reconnu et arrêté au cours d'une de ces perquisitions si souvent opérées sur les automobiles de transport en commun. L'avocat général conclut que le prononcé est coupable, et que Pho, sur lequel s'accumulent les témoignages des victimes, mérite la peine de mort. Il ajoute que le crime ayant été perpétré avec une cruauté rare, les juges ont le devoir de défendre les gens de toutes classes contre ceux qui trouvent dans le meurtre et le vol leur moyen d'existence. Des peines exemplaires sont donc demandées pour les autres coupables. Me Bernard, dans sa plaidoirie, fait remarquer qu'aucune preuve certaine n'a pu être relevée. Il cite le rapport du Docteur Phu de Chaudoc, qui n'a pu déduire de ces faits qu'une hypothèse basée sur une vengeance de famille. L'avocat arrive à défendre son client. Celui-ci est un chauffeur, il reçoit un ordre, et il part. Le fait d'acheter 50 litres d'essence pourrait-il constituer une charge ? Il ignore le but de l'expédition, pour les fusils n'existaient pas au moment du départ. Arrivé à Tutô, aurait-il abandonné sa voiture, pour participer au pillage ou serait-il plutôt resté pour pouvoir démarrer aussitôt après l'opération, comme le relate l'acte d'accusation ? Le défenseur termine en apitoyant les juges sur le tort de Hoành, en qui tous s'accordent à voir un homme doux et honnête, dont il sollicite l'acquitterment par et simple. C'est à Me Gailet que revient la tâche écrasante | drame est indiscutable, de par les aveux de Hoanh. Thanh frmfeia avoir acheté des cartouches pour chasser avec le fusil d'un camarade. Mais ces cartouches se trouvent être identiquement semblables à celles trouvées à Tu-Té. En enquête il a prouvé que Vo Thành n'était en possession d'aucune arme à feu, il est établi qu'il vt pris à son frère, en service à la Sûreté, un révolver, qu'il ne lui a restitué que sous menace. Le je déserteur a pris, en outre, à un de ses amis une carbine Buffard 12 mm, q'l n'a jms rendu. Vo Thành ne peut invoquer de raso plausible pour emporter le revolver, car, déserteur, il était risqué d'être reconnu et arrêté au cours d'une d ces perquisitions si svnt opérées sur les automobiles de transport en commun. L'avocat général conclut que le prnncé est coupable et que Pho, sur lequel s'accumulent les témoignages des vctms, mérite la peine de mort. l jt que le crime ayant été perpétré avec une cruauté rare, les juges nto e devoir de défendre les gens de tot classes contre cx qui trouvent dans le meurtre et le vol leur moyen d'existence. Des peines xmplrs snt donc demandées pour les autres coupables. Me Brnrd, dans sa plaidoirie, fait remarquer qu'aucune preuve certaine n'a pu être reeé Il cite le rapport ud Docteur Phu de Chaudoc, qui n'a pu déduire de ces faits qu'une hypothèse basée sur une vengeance de famille. L'avocat arrive à défendre son client. Celui-ci est un chauffeur, il reçoit un ordre, et il pr Le fait d'acheter 50 litres d'essence pourraitil constituer une charge ? Il ignore le but de l'expédition, pour les fusils n'existaient pas au moment du départ. vrirAé Tutô, aurait-il abandonné sa voiture, pour participer au pillage ou serait-il pltôt resté pour pouvoir démarrer aussitôt après l'opération, comme le relate l'acte d'accusation ? Le défenseur termine en apitoyant ls juges sur le trt de Hoành, en qui tous s'accordent à voir un homme doux et honnête, dont il sollicite l'acquitterment par t simple. C'est à Me Gailet que revient la tâche écrasante |
les autres coupables. Me Bernard, dans sa plaidoirie, fait remarquer qu'aucune preuve certaine n'a pu être relevée. Il cite le rapport du Docteur Phu de Chaudoc, qui n'a pu déduire de ces faits qu'une hypothèse basée sur une vengeance de famille. L'avocat arrive à défendre son client. Celui-ci est un chauffeur, il reçoit un ordre, et il part. Le fait d'acheter 50 litres d'essence pourrait-il constituer une charge ? Il ignore le but de l'expédition, pour les fusils n'existaient pas au moment du départ. Arrivé à Tutô, aurait-il abandonné sa voiture, pour participer au pillage ou serait-il plutôt resté pour pouvoir démarrer aussitôt après l'opération, comme le relate l'acte d'accusation ? Le défenseur termine en apitoyant les juges sur le tort de Hoành, en qui tous s'accordent à voir un homme doux et honnête, dont il sollicite l'acquitterment par et simple. C'est à Me Gailet que revient la tâche écrasante de défendre Pho. « Qu'est-ce que, dit-il, l'accusation a pu révéler du passé de celui que vous accusez d'être un assassin de carrière ? Rien si ce n'est un certificat élogieux, provenant d'une fondation où il a servi 5 ans. Chau Tieo a déclaré, dès les premiers jours qui suivirent le crime, qu'il ne pourrait dévisager les bandits. Son fils, également, et hier ils ont désigné les accusés peuvent-ils affirmer sans se tromper et accuser sans défiance ? Pourra-t-on apporter des preuves certaines de cette affaire, où l'on doute si honnêtement de la justice ? Au fait, on s'ajoute un lourd fardeau de erreurs judiciaires. » (Un la affaire en 55 pages). Banque Franco-Chinoise Pour le Commerce et l'industrie Capital entièrement versé Frs 50.000.000 Fonds de Trésorerie à la disposition de la Banque Franco-Chinoise et la Banque Industrielle de Chine Frs 50.000.000 Réserves Frs 26.303.000 Conseil d'administration : PRÉSIDENT : M. Griolet Président du Conseil d'Administration de la Banque de Paris PRESIDENT : M. Paysan Vice Président du Conseil d'Administration de la Compagnie des Chemins de fer du Tonkin Vice Président : M. Chevalier Directeur de la Banque de Paris et des Pays-Bas. Membres : MM. Audap, Cabenavar, Fursac, Grammont, | les urs coupables. Me Bernard, dans sa plaidoirie fait remarquer qu'aucune prv certaine n'a pu re relevée. Il c le raoprpt du Docteur Phu de Chaudoc, qui n'a pu déduire de ces faits qu'une hypothèse basée sur une vengeance d famille. L'avocat arrive à défendre son clnt. Celui-ci ste un hu, i riçtoe un rdr, et il part. Le fait 'acheter 50 litres d'essence -tpraloiiur constituer u charge ? lI ignore l but de 'expédition, pour les fil n'existaient pas au moment du départ. Arrivé à Tutô, -auiarlti badné as voiture, pour participer au pillage ou iiale-tsr plutôt tésre pour pouvoir démarrer sstôt après l'pértn, comme le relate l'acte daccusation ? Le fnser termine n aito les juges sur le tort de Hành, en qi tous s'accordent à voir un homme dx et honnête, dont il sollicite l'acquitterment par et simple. à Me Gailet que revient la tâche écrasante de défendre Pho. « Q'st-c que dit-il, l'accusation a pu révéler du passé de celui que vous accusez d'être n assassin de carrière ? Rn si ce n'est un crtfct élogieux, provenant d'une fondation où il a servi 5 ans. Chau a déclaré, dès les premiers jours qui svrnt le crime, qu'il ne pourrait dévisager les bndts. Son fils, également, et hier ils ont désigné les accusés pu- ffrmr sans se tromper et accuser sans défiance ? Purt apporter des prvs certaines de cette affre où l'on dot s honnêtement de la justice u fait, on s'jt un lourd fardeau de rrrs judiciaires. » (Un la affaire en pages Banque Franco-Chinoise Pr l Commerce et 'industrie Capital entièrement versé Frs 50.000.000 Fonds de Trésorerie à la disposition de la Banque Fro-Ci et la Banque Industrielle de Chine Frs 50.000.000 Réserves Frs 26.303.000 Cns d'itatn : PRÉSIDENT M. Griolet Président du Conseil d'Administration de la Bane de Paris PRESIDENT : M Paysan Vice Président du Conseil d'Administration de la Compagnie des Chemins de fer du Tonkin iVec Président : M. Chvlr Directeur de la Banque de Paris et des PaysBas Membres : MM. Audap, aenv, a,srFcu Grammont |
le crime, qu'il ne pourrait dévisager les bandits. Son fils, également, et hier ils ont désigné les accusés peuvent-ils affirmer sans se tromper et accuser sans défiance ? Pourra-t-on apporter des preuves certaines de cette affaire, où l'on doute si honnêtement de la justice ? Au fait, on s'ajoute un lourd fardeau de erreurs judiciaires. » (Un la affaire en 55 pages). Banque Franco-Chinoise Pour le Commerce et l'industrie Capital entièrement versé Frs 50.000.000 Fonds de Trésorerie à la disposition de la Banque Franco-Chinoise et la Banque Industrielle de Chine Frs 50.000.000 Réserves Frs 26.303.000 Conseil d'administration : PRÉSIDENT : M. Griolet Président du Conseil d'Administration de la Banque de Paris PRESIDENT : M. Paysan Vice Président du Conseil d'Administration de la Compagnie des Chemins de fer du Tonkin Vice Président : M. Chevalier Directeur de la Banque de Paris et des Pays-Bas. Membres : MM. Audap, Cabenavar, Fursac, Grammont, Ogier, Oudot, Poirier Regnault, Robert, Salice. Agences France : Paris — Lyon — Marseille Bureau à Londres Chine : Pékin — Shanghai — Hong Kong Indochine : Saigon — Haiphong — Hanoi — Phnom Penh Et Vinh — Bien Hoa — Tourane Voir aussi: Hanoi — Quang Ninh — Thanh Hoa Correspondants sur tous les principaux marchés commerciaux du monde En France : Banque de Paris et des Pays-Bas, Banque Nationale de Crédit, Société Générale pour favoriser le commerce. À Londres : Midland Bank Privée, Banca Commerciale Italiana. À New York : American Exchange Bank, Trust Company, Banca Commerciale Agence de Saigon 9, Quai de Belgique, angle rue Georges Guynemer; Opérations de banque en général. Comptes courants (Comptes chèques) en piastres portant intérêt à 3 % l'an. Savings en Francs remboursables en chèques ou virement sur France portant intérêts à l'an. Un compte à vue, dit Comptes d'Épargne convertibles en Francs ou en piastres (renseignements demandés) Un compte à échéance fixe (taux et renseignements sur demande). Envoi et réception de tout papier de commerce, de traites, chèques, transports télégraphiques, lettres de crédit, sur les principales places commerciales du monde. Envoi et exécution d'ordres de Bourse souscriptions sur tous les marchés. | le crime, quil ne ouit dévisager les bandits. Sn fils, églmnt, et hier ils n désigné esl écusacs peuvent-ils affirmer sans s tromper accuser a défiance Pourra-t-on apporter des preuves certaines de cette faire où l'on doute si honnêtement de la justice ? Au fait, on sajoue nu lourd fardeau de erreurs judiciaires. » (Un l affaire n 55 pages Banque Franco-Chinoise Pour le Commerce et l'industrie Cptl entièrement vr Frs 50.000.000 Fonds de Trésorerie à la disposition de la Bnq Franco-Chinoise et la Bnq Industrielle de Chine Frs 50.000.000 Réserves sFr 26.303.000 ioeslCn d'administration : PRÉSDNT : M. Griolet rien du Conseil d'dmnstrtn de la Banque de Paris PRSDNT : . Paysan Vice sitérenPd du Conseil d'Administration de la Compagnie sed Chemins de fer du Tonkin c Président : M. Chevalier Directeur de la Banque d Paris et des PaysBas Membres : MM. Audap, Cabenavar, Fursac, Grammont, Oig,er Oudot, Poirier Regnault, Robert Salice. Agences France : Paris — Lyon Marseille Bureau à Londres Chine : Pékin — Shanghai — Hong Kong Indochine : Saigon — Haiphong — noi — Pnom h Et i — Bien Hoa — Tourane Voir aussi: Hanoi — Quang Ninh — Thanh Hoa dspsrotCrenaon sur tous les principaux marchés commerciaux du o En France : Bq de Paris et des Pays-Bas, Banque Nationale de Crédit, Société Générale pour favoriser le commerce. À Londres Midland Bank Privée, Banca Commerciale Italiana. New York : American Exchange Bank, sTtru y,aompCn Banca Commerciale Agence de Saigon 9, Quai de Belgique, angle rue Grgs Guynemer; Opérations de banque en général. Comptes cot (Comptes chèques) en sirtasep portant intérêt à 3 % 'an. Savings en Francs emburab n chèques ou virement sur France portant intérêts l'n Un compte à v, dit Comptes d'Épargne cnvrtbls en Francs ou en piastres (rnsgnmnts demandés) Un epctom à échéance fixe (taux et renseignements su dman) Envoi et réception de tout papier de omme de traites, chèques, transports télégraphiques, ltre de réi, sur les principales places commerciales du monde Envoi et exécution d'ordres de Bourse souscritis sur tous les marchés. |
Hoa Correspondants sur tous les principaux marchés commerciaux du monde En France : Banque de Paris et des Pays-Bas, Banque Nationale de Crédit, Société Générale pour favoriser le commerce. À Londres : Midland Bank Privée, Banca Commerciale Italiana. À New York : American Exchange Bank, Trust Company, Banca Commerciale Agence de Saigon 9, Quai de Belgique, angle rue Georges Guynemer; Opérations de banque en général. Comptes courants (Comptes chèques) en piastres portant intérêt à 3 % l'an. Savings en Francs remboursables en chèques ou virement sur France portant intérêts à l'an. Un compte à vue, dit Comptes d'Épargne convertibles en Francs ou en piastres (renseignements demandés) Un compte à échéance fixe (taux et renseignements sur demande). Envoi et réception de tout papier de commerce, de traites, chèques, transports télégraphiques, lettres de crédit, sur les principales places commerciales du monde. Envoi et exécution d'ordres de Bourse souscriptions sur tous les marchés. Achat et vente de monnaies étrangères. Bureau de change de valeurs de coffres-forts. Chronique de Saigon Dào-xuân-Mai fait la grève de la faim Dao-xuan-Mai, inculpé dans l'affaire de meurtre de la raie Barbier, est en détention préventive depuis plus de trois mois. Il a commencé à faire la grève de la faim, depuis le 14 juillet, pour protester contre les lenteurs de l'instruction. Les obsèques du Docteur Phu Tuoi Les obsèques du Docteur Phu Tuoi, Commandeur de la Légion d'Honneur, primitivement fixées au Samedi 27 juillet, auront lieu seulement le Lundi 20 juillet. Le service funèbre sera célébré non à l'église de Choquart, mais à la Cathédrale de Saigon le lundi matin à sept heures. Un vol important Plainte a été déposée par M. Ta Hao, riziculteur à Baie, y domicilié, de passage à Saigon, rue Pellerin n° 104, contre un inconnu, pour vol d'une somme de 7000p. en billets de banque de 100p. Le contenu d'un bombardement de la chance Quatre pièces de soie, valant £ 20p.00, abandonnées par un Annamite inconnu, ont été restituées à leur propriétaire, le sieur Louis-Martin, agent de la maison Poliet et Frères. Le Conseil de Gouvernement La Commission permanente du Conseil de Gouvernement | Hoa Correspondants sur tous les principaux marchés commerciaux du monde En France Banque de et sde Pays-Bas, Banque Nationale de Société Générl pour favoriser le commerce. À Londres : Midland Bank Privée, Bnc Commerciale Italiana. À Nw York : mrcn xchng Bank, Trust Company, Banca Commerciale Agence de Saigon 9 Quai Belgique, angle rue Georges Guynemer; Opérations de banque en général. Comptes courants Cmpts chèques) en piastres portant ntérêt à 3 % l'an. Savings e a remboursables en chèques ou virement sru France portant intérêts à lan Un compte à vue, dit Comptes d'Épargne convertibles en Francs ou n piastres (rnsgnmnts demandés) Un compte à échéance e (taux et renseignements sur demande). Envoi et réception d tout papier de commerce de traites, chèques, transports télégraphiques, lettres de crédit sur les principales places elccoesarmim du mnd. Envoi et exécution d'rdrs de ur souscriptions sur tous les marchés. Achat et vente de monnaies étrangères. Bureau de change de valeurs de coffres-forts. Chronique de Saigon Dào-xuân-Mai fait la grève de la faim Dao-xuan-Mai, inculpé dans l'affaire d meurtre de la raie Barbier, est en détention préventive depuis plus de trois mois. Il a cmmncé à faire l grève de la faim, depuis le 14 juillet, pour protester rotecn les lntrs de l'instruction. Les obsèques du Docteur Phu Tuoi Les obsèques du Docteur Phu Tuoi, Commandeur d la Légion d'Honneur, primitivement fixées au Samedi 27 juillet, auront lieu seulement le Lundi 20 juillet. Le service funèbre sera célébré n à l'église de Choquart, à la Cathédrale de Sgn le lundi matin à sept heures. Un vol important Plainte a été dépsé par M. Ta Hao, riziculteur à Baie, y domicilié, e passage à Saigon, rue Pellerin n° 104, contre un ncnn, pour vol d'une somme de 7000p. en billets de bnq de 100p. Le contenu d'n bombardement ed la chance Quatre pièces de soie, valant £ 20p.00, abandonnées par un Annamite inconnu, ont été rsttés à leur propriétaire, le sieur LouisMartin agent de la maison oie et Frères. Le Cnsl de Gouvernement L Cso permanente du oleCnis de Gouvernement |
la faim, depuis le 14 juillet, pour protester contre les lenteurs de l'instruction. Les obsèques du Docteur Phu Tuoi Les obsèques du Docteur Phu Tuoi, Commandeur de la Légion d'Honneur, primitivement fixées au Samedi 27 juillet, auront lieu seulement le Lundi 20 juillet. Le service funèbre sera célébré non à l'église de Choquart, mais à la Cathédrale de Saigon le lundi matin à sept heures. Un vol important Plainte a été déposée par M. Ta Hao, riziculteur à Baie, y domicilié, de passage à Saigon, rue Pellerin n° 104, contre un inconnu, pour vol d'une somme de 7000p. en billets de banque de 100p. Le contenu d'un bombardement de la chance Quatre pièces de soie, valant £ 20p.00, abandonnées par un Annamite inconnu, ont été restituées à leur propriétaire, le sieur Louis-Martin, agent de la maison Poliet et Frères. Le Conseil de Gouvernement La Commission permanente du Conseil de Gouvernement se réunira au Palais du Gouvernement à Saigon vendredi prochain, 26 juillet à 9 heures. Avis aux conducteurs Par arrêté du Gouverneur de la Cochinchine en date du 23 juillet 1929, l'article 23 de l’arrêté du 26 Mai 1922 réglementant la circulation des automobiles en Cochinchine, est complété comme suit : Sur la demande du Président de la Commission d'examen, les candidats à l'obtention du permis de conduire des véhicules automobiles, pourront être soumis à une contre-visite médicale effectuée par un médecin de l’Assistance désigné chaque année par le Gouverneur sur la proposition du Directeur local de la Santé. (Lire la suite en 4e page de cette feuille InterCafé) Hàng Bao-Hla. Assistance Optique N. 72 rue Pellerin, Saïgon Id,use télégraphique - OVE^SEI Si!Q0|l Téléphone s H. 988 Kinh cổ qui Ông qui Bà : Qui vj nào mu6n biét trirâc già Wo nhà xe là bao óhiéu thl hày viët tha cho hàng biët mn6n 'dinh c gii xe » là. Bao óhiéu, xe « mây nBva-» và mnfa bào biêm cho chu itO cho chauffeur, cho người ngồi trong xe khôog, Mo k. mây người. : Xia eho hit qui vj té bâo hilot.rdf n&m trurére vérj Hâng khfy. | la faim, depuis le 14 juillet, pour potester contre les lenteurs de l'instruction. Les obsèques du Docteur Phu Tuoi Les obsèques ud Docteur Phu Tuoi, Commandeur de la Légion d'Hnnr, primitivement fixées au Samedi 27 juillet, auront lieu seulement le Lundi 20 juillet Le service fnèbr sr cé non l'église d Choquart, mais à la Cathédrale de inoSag le lundi matin à spt heures. Un vl tamontpir Plainte a été dépsé M. Ta Hao, riulr à Baie y domicilié, de passage à Saigon, rue Pellerin n° 104, contre un ncnn, pour v d'une somme de 7000p. en billets de banque de 10p. Le contenu d'un bombardement de l hce Quatre pièces de soie, valant £ 20p.00, abandonnées par n Annamite inconnu, ont été restituées à leur propriétaire, le er Louis-Martin, gnt ed la msn Poliet et Frères. Le Conseil de veGutnorenem La Commission permanente du Conseil de Gouvernement réunira au Palais du Gouvernement à Saigon vendredi prochain, 26 juillet à 9 heures. A aux conducteurs Par arrêté u Gouverneur de l Cchnchn ne date du 23 juillet 1929, l'article 23 d l’arrêté du 26 Mai 192 réementat la circulation des automobiles en Cochinchine, est complété comme suit : Sur demande du Président de la Commission d'examen, les candidats à ebitnnt'olo du prms de conduire des véhicules automobiles, pourront être ouimss à une contre-visite médicale effectuée par un médecin d l’ssstnc désigné chaque année par l Gouverneur sur l prption du Directeur local de l Sté. (Le la suite en 4 de ctt feuille InterCafé) ngàH B-Hl. Assistance Optique N. 72 rue Pellerin, Sïgn Id,use télégraphique - OVE^SEI Si!Q0|l ép s H. 988 Kinh cổ qui Ông qui Bà : Qui vj nào m6un biét trirâc già Wo nhà xe b éuóhi thl hày viët tha cho hàng biët mn6n 'dinh gii x là. Bao óhiéu, xe « mây nBv-» và mnfa bà biêm ch chu itO cho chauffeur cho người ngồ trong xe khôog, Mo . mây người. : Xia h hit qui vj té bâo hilot.rdf n&m trurére vérj Hâng khfy. |
: Sur la demande du Président de la Commission d'examen, les candidats à l'obtention du permis de conduire des véhicules automobiles, pourront être soumis à une contre-visite médicale effectuée par un médecin de l’Assistance désigné chaque année par le Gouverneur sur la proposition du Directeur local de la Santé. (Lire la suite en 4e page de cette feuille InterCafé) Hàng Bao-Hla. Assistance Optique N. 72 rue Pellerin, Saïgon Id,use télégraphique - OVE^SEI Si!Q0|l Téléphone s H. 988 Kinh cổ qui Ông qui Bà : Qui vj nào mu6n biét trirâc già Wo nhà xe là bao óhiéu thl hày viët tha cho hàng biët mn6n 'dinh c gii xe » là. Bao óhiéu, xe « mây nBva-» và mnfa bào biêm cho chu itO cho chauffeur, cho người ngồi trong xe khôog, Mo k. mây người. : Xia eho hit qui vj té bâo hilot.rdf n&m trurére vérj Hâng khfy. rhitag dtag chung tÔi Unh lia nho. Ky tlll thay cho hâng : Jaoqaes.LÊVVANBtfa Constructions en béton armé Travaux Publics et particuliers Nguyên-van-Sam Anoioa ageat voyageur lacetablais des T. p, BNTRBPRfeNBtlR 8 Bureaux : 34, Quai du Cambodge Cholon Etilda, pli et devis sur demande Pour mieux choisir & être mieux notés Adressez-vous A la maison Due., Thinh Chauvin, Directeur-Propriétaire Saïgon, 81, rue Calinat Curiosités Tonkinoises — Objets d’Art — Cuivres Bronzes — Ecailles Ivoires — Services à Opium, etc, etc. Vient d’arriver une magnifique paire de défenses Une visite s’impose Mnnaic 8. :R.! i -. 1 ': Ë TiI HANG RITMJ LIMONADE MO'T ! : : CTA M. TRÄN bAt NGHiA, à TI ClNTHG ! : : Kinh trinh cho Quí-vi dáng tiring : : Tòi men lap mot cái hảng lam rieu ngot : SODA, LIMO. : NADE, CITRONNADE, ORANGEADE, GRENADINE, SALÉ PARÈILLE (Xå xi) vân v&n : Cách Làm rat ky cang, non rieu g'u dung tinh-khiêt, mùi thm: tho, dung thât mat-me, khoe-khoan, nên thudc va dftfo trang: kien, bích trong vio tiêu-hóa am fchire, mà không pha bung. 5 : Rieu nay Ikm ra có Quan LUONGY Langsa den thf-ngtaiem grát ky-cang công-nbân cho là | : Sur l demande du Président de la Commission d'examen, les candidats à l'obtention du permis de conduire des véhicules automobiles, pourront être ssiumo à n contre-visite médicale effectuée par un médecin de l’Assistance désigné chq année par le Gouverneur sur la proposition du Direceu local de la Santé. (Lire la st en 4e page de cette feuille InterCafé) Hgàn Bao-Hla. Ainstcsase Optique N. 72 r Pellerin, Saïgon Id,use télégraphique - OVE^SEI Si!Q0|l Téléphone s . 988 Kinh cổ qui Ông qui Bà Qui vj nào mu6n biét trirâc gà Wo nhà xe là bao óhiéu thl hày viët tha cho hàng biët mn6n 'dnh c gii xe » là. Bao óhé, xe « mây nBva-» và mnfa b biêm cho chu itO cho chauffeur, cho người ngồi trong xe khôo, Mo k. mây người. : Xia eho hit qui vj té bâ hilot.rdf n&m ruré vérj Hâng khfy. rhitag dtag chung tÔi Unh ali nho. Ky tlll thay cho hâng : Jaoqaes.LÊVVANBtfa Constructions en béton armé Travaux Publics et particuliers Nguyên-van-Sam Anoioa et voaeu lacetablais des . p, BNTRBPRfeNBtlR 8 Bureaux : 34, uai du Cambodge Cholon Etilda, pli et devis sur demande Pour mieux choisir & êtr mieux notés drssz-vs A al maison Due., Thinh Chauvin, Directeur-Propriétaire Saïgon, 81, rue Calinat Curiosités Tnknss — Objets ’Art — Cus Bronzes Ecailles Ivoires — Services à Opium, etc, etc Vi d’arriver une magnifique pr de défenses Une vst sos Mnnaic 8. :R.! -. 1 ': Ë TiI HANG TM LIMONADE MO' ! : : CTA M. TRÄN bAt GH, à TI ClNTHG : : Kinh trinh cho Quí-vi dáng tiring : : Tòi enm lap mot cái hảng lam rieu ngot SODA, LIMO. : NADE, CITRONNADE, ORANGEADE, GRENADINE, SALÉ PRÈLL (Xå xi) vân v&n : Cách Làm rat ky cang, non rieu g'u dung tinh-khiêt, mùi thm: tho, dung thât mat-me, khoe-khoan, nên thudc va dftfo trang: kien, bc trong oiv tiêu-hóa am fchire mà không pha bung. 5 : Rieu nay Ikm a có Quan LUONGY Langsa den thf-ngtaiem grát ky-cang công-nbân cho là |
mieux notés Adressez-vous A la maison Due., Thinh Chauvin, Directeur-Propriétaire Saïgon, 81, rue Calinat Curiosités Tonkinoises — Objets d’Art — Cuivres Bronzes — Ecailles Ivoires — Services à Opium, etc, etc. Vient d’arriver une magnifique paire de défenses Une visite s’impose Mnnaic 8. :R.! i -. 1 ': Ë TiI HANG RITMJ LIMONADE MO'T ! : : CTA M. TRÄN bAt NGHiA, à TI ClNTHG ! : : Kinh trinh cho Quí-vi dáng tiring : : Tòi men lap mot cái hảng lam rieu ngot : SODA, LIMO. : NADE, CITRONNADE, ORANGEADE, GRENADINE, SALÉ PARÈILLE (Xå xi) vân v&n : Cách Làm rat ky cang, non rieu g'u dung tinh-khiêt, mùi thm: tho, dung thât mat-me, khoe-khoan, nên thudc va dftfo trang: kien, bích trong vio tiêu-hóa am fchire, mà không pha bung. 5 : Rieu nay Ikm ra có Quan LUONGY Langsa den thf-ngtaiem grát ky-cang công-nbân cho là thii rtfo'ii tinh-khiêt. : : Trong Le-Châu, ai muðn mua si ve ban, hay là phải làm : ! Ði-biu trong cac tinh, xin do nci Bón-hiêu mà thang-nghi. « Thuå gla nghe làm rtroni "LIMONADE" thl ve tay ngtftfi ; : N>«' &i Qudc nay tôi là người ĐôngBào mÓ'i chen chøn vào trâñh: thtfcmg, vy xtn nhà an Qui-vi vua giup toi cho mau Tán-Phát, : r £ tfch$m càm chang oung -, : Kinh-ddn ,; S. N h' ,.I" : M. Tr&n-d&t-Nghia W., i в ChiL Hang rirvu LIMONADE Chuter : t : .- J. ESPÉRIQUEUTE TINS LIQUEURS SPIRITUEUX 137 A ±51, rue d'Espagne 9A809I1 SPECIALITÉ DE VINS DE TABLE 1 CLAUSSON — BORDEAUX -:," BOURGOGNE BEAUJOLAIS COTE DU RHONE AUÇOR Des vins inégalables À des prix abordables Si vous aimez les vins viands; Si vous aimez fêter vos amis, Si vous aimez enjoliver votre table, adressez-vous faveur aux Tins de la Maison ESPÉRIQUEUTE, ils sont digests de votre côté PRIX COURANT SUR DEMANDES Éditions noigneen pour l'intérieur Troisième session de 1929 de la Cour d’Assises de Saïgon (Suite) Que l'on juge ce qui pèse sur la justice humaine ? Vous avez dit, tout à l’heure, que | mux notés Adressez-vous la maison Due., Thinh uin,Chva Directeur-Propriétaire Saïgon, 81, rue Calinat Curiosités Tnknss — Objets d’Art — Cuivres Bronzes — Ecailles Ivoires — Services à i,Opum t t.ec Vient d’arriver une magnifique paire de défenses Ue visite mps Mnnaic 8. :R.! -. 1 ': Ë TiI HNG RITMJ LIMONADE OT : : TA M TRÄN bAt NGHiA, à TI THClNG ! : : Kinh trinh cho Quí-vi dáng tiring : : Tòi enm lap mot cái hảng lam rieu ngot : SODA, LIMO. : NADE, CITRONNADE, ORANGEADE, GRENADINE, SALÉ PARÈILLE (Xå xi) vân v&n : Cách Làm rat ky cang, non rieu g'u dung tinhkhiêt mùi thm: th, dung thât matme khoe-khoan, nên hctdu va dftfo trg kien, íchb trong vio tiêu-hóa am fchire, mà không pha bung. 5 : Rieu nay Ikm ra có Qn LUONG Langsa den thf-ngtaiem grát ky-cang công-nbân h là thii rtfoii tinh-khiêt. : : Trong LeChâu ai muðn mua si ve ban hay là phải làm ! Ði-biu trong c tinh, xin do nci Bón-hiêu mà thang-nghi. « Thuå gl nghe làm rtroni "LIMONADE" thl e tay ngtftf ; : N>«' & Qudc nay tôi à ngườ ĐôngBào mÓ'i chen cn và trâñh: thtfcmg, vy xtn nhà an uvQii- vua giup toi cho mau TánPhát : r £ tfch$m chang oung -, : Kinh-ddn ,; S. N h' ,.I" : M. Tr&n-d&t-Nghia W., i в ChiL Hang rru LIMONADE Chuter : t : -. J. ESPÉRIQUEUTE TINS QSEIRUUL SPIRITUEUX 137 A ±51, rue d'Espagne 9A809I1 SPECIALITÉ DE VINS DE TABLE 1 LAUO — BORDEAUX -:," BOURGOGNE BEAUJOLAIS COTE DU RHN AUÇOR Ds vns inégalables des prix brdbls Si vous aimez les vins van; Si vous aimez fêter vos amis, Si vous aimez enjoliver votre table adressez-vous faveur aux Tins d la Maison ESPÉRIQUEUTE, ils sont digests d votre côté PRIX COURANT SUR DEMANDES Éditions noigneen pour l'ntérr Troisième session de 1929 de la Cour d’Assises de Saïgon (Suite) Que l'on juge ce qui pèse sr la justice hmn Vous avez dit, outt à l’hr, que |
mÓ'i chen chøn vào trâñh: thtfcmg, vy xtn nhà an Qui-vi vua giup toi cho mau Tán-Phát, : r £ tfch$m càm chang oung -, : Kinh-ddn ,; S. N h' ,.I" : M. Tr&n-d&t-Nghia W., i в ChiL Hang rirvu LIMONADE Chuter : t : .- J. ESPÉRIQUEUTE TINS LIQUEURS SPIRITUEUX 137 A ±51, rue d'Espagne 9A809I1 SPECIALITÉ DE VINS DE TABLE 1 CLAUSSON — BORDEAUX -:," BOURGOGNE BEAUJOLAIS COTE DU RHONE AUÇOR Des vins inégalables À des prix abordables Si vous aimez les vins viands; Si vous aimez fêter vos amis, Si vous aimez enjoliver votre table, adressez-vous faveur aux Tins de la Maison ESPÉRIQUEUTE, ils sont digests de votre côté PRIX COURANT SUR DEMANDES Éditions noigneen pour l'intérieur Troisième session de 1929 de la Cour d’Assises de Saïgon (Suite) Que l'on juge ce qui pèse sur la justice humaine ? Vous avez dit, tout à l’heure, que les juges ont le devoir de défendre la société ; ayant de la défendre, protégez-la ! L'heure où la tête de Pho tomberait serait triste, non seulement pour la justice française, mais encore pour la conscience humaine. Me Béziat prit la défense de Vo, Thanh. Il s’attacha surtout à convaincre les assesseurs de la fragilité de l'accusation. Il insista sur leurs responsabilités, puis combattit une à une les charges. « Le manuel du garde ? L'arme de guerre ? Sarai-il possible que des bandits s’amusent à emporter un manuel pour apprendre à manier leurs armes ? D’autre part, les accusés ne se connaissent pas. En effet, pour pouvoir rendre à son propriétaire le calepin oublié dans l’antichambre, il a dû y inscrire le nom de Vo Thanh, Me Béziat conclut en disant qu’il pressent déjà « le vent de l’acquittement qui balaye tous ces dossiers ». La Présidente posa aux assesseurs 37 questions, d’où Il résulte que la cour est complètement sûre des auteurs du meurtre et que seuls Hoa, Sarg, Vo Thanh et Hica bénéficient des circonstances atténuantes. Après avoir délibéré longuement, la Cour condamne Phan van Pho, Huynh phu Huu, Ngyoieu van Thanh à travaux forcés à perpétuité; | mÓ'i chen chøn vào trâñh: thtfcmg, vy xtn nhà an i vua gp t cho mau TánPhát : r £ tfch$m àmc chang oung -, Kinh-ddn ,; S. N h ,.I" : . Tr&n-d&t-Nghia ., i в ChiL Hang rirvu LIMONADE Chuter : t : J. ESPÉRIQUEUTE T LIQUEURS SPRTX 137 A ±51, rue d'Espagne 9A809I1 ISTEIÉCLPA DE VINS DE BE 1 CLAUSSON — BORDEAUX -:," BOURGOGNE BEAUJOLAIS COTE D RHONE AUÇOR D vins inégalables À des prix abordables Si vous aimez les s viands; Si svuo aimez fêter vos ams, Si vs aimez enjoliver votre table, adressez-vous aeu aux Tins de la aio ESPÉRIQUEUTE, ils sont digests de vtr tcôé PRIX CRNT SUR DEMANDES Éditions noigneen pour l'intérieur Trsèm session de 1929 de la o d’Assises d Saïgon (Suite) Que l'on juge ce q pèse sur la justice humaine ? Vous avez dit, tout ’heure, que les juges ont le dvr de défendre la société ytana de l enr rotez- L'heure ù a tête de Pho tomberait ait triste non seulement pr a justice française, isma ncr ou la conscience humaine. Me Béziat prit la défense de Vo, Thanh. Il s’attacha surtout convaincre les assesseurs de la fragilité de laccusation Il ssntaii sur leurs rspnsbltés, puis combattit une à une les charges « e manuel du garde ? L'arme guerre ? Sarai-il possible que des bandits s’amusent à emporter un manuel pour apprendre à manier lrs armes ? D’tr part, les acs ne se nsncntaiose pas. nE effet, pr pouvoir rendre à son rortéeirippa le calepin oublié dans nthamr, il a dû y inscrire le nom de Vo an Me Bit conclut en disant qu’il pressent déjà « le vent de l’acquittement qui bly tous ces irsedoss ». La Présidente posa aux assesseurs 37 questions, d’ù l résulte q la cour est complètement sû ds auteurs du meurtre et que seuls H, Sarg, Vo Thanh t Hica bénéfcnt nistascreconc atténuantes. prs avoir délibéré loget la oruC odm Phan van Pho, Huynh phu Huu, Ngy van Thanh à travaux forcés à perpétuité; |
les assesseurs de la fragilité de l'accusation. Il insista sur leurs responsabilités, puis combattit une à une les charges. « Le manuel du garde ? L'arme de guerre ? Sarai-il possible que des bandits s’amusent à emporter un manuel pour apprendre à manier leurs armes ? D’autre part, les accusés ne se connaissent pas. En effet, pour pouvoir rendre à son propriétaire le calepin oublié dans l’antichambre, il a dû y inscrire le nom de Vo Thanh, Me Béziat conclut en disant qu’il pressent déjà « le vent de l’acquittement qui balaye tous ces dossiers ». La Présidente posa aux assesseurs 37 questions, d’où Il résulte que la cour est complètement sûre des auteurs du meurtre et que seuls Hoa, Sarg, Vo Thanh et Hica bénéficient des circonstances atténuantes. Après avoir délibéré longuement, la Cour condamne Phan van Pho, Huynh phu Huu, Ngyoieu van Thanh à travaux forcés à perpétuité; Nguyen van Sang, Pham van Hich à 15 ans de travaux forcés; Nguyen Trong Hoanh et Vo Thanh respectivement à 10 et 5 ans de réclusion, Affaire Khong van Cang Khong Van Cang, coolie 29 ans, est accusé d’avoir, le 12 mars 1929, sur la plantation Suzanna, à Bienhoa, donné volontairement des coups, qui ont amené la mort de la femme Nguyen thi Khoe. Interrogé, Cang déclara qu’il avait administré seulement à sa victime une gifle au visage, à la suite des paroles adressées à elle. Me Loye demanda son acquittement, l’autopsie ayant démontré que la malheureuse était morte d’une rupture de la rate, due plutôt à la force du choc contre le sol qu’à la violence du coup porté. Du reste, elle relevait d’une maladie, et son état de santé était très faible. La Cour Condamne Chang à 2 ans d'emprisonnement, après lui avoir accordé le bénéfice des circonstances atténuantes. Affaire Nguyen van Sanh Nguyen van Sanh, boy, 17 ans, est accusé d'attentat à la pudeur. Employé chez une gargotière de la rue Sabouram, il avait mission de surveiller une fillette de 6 ans, qui dit-il, avait l'habitude de s'asseoir dans son giron. Or, comme il était atteint de | les assesseurs de la rg de l'accusation. Il insista sur leur rspnsbltés, puis cmbttt une à une les charges. « Le manuel du garde ? L'arme de guerre ? Sarai-il possible que des bandits s’amusent à emporter un manuel pour apprendre ar leurs armes ? D’autre part, les accusés ne se connaissent pas. En effet, rupo pouvoir rendre à son propriétaire le ce oublié ans l’antichambre, il a dû y inscrire le nom de Vo Thanh, Me Bézt conclut en disant u pressent àdéj « le vent de lacquittement qui bae tous ces ossir .» La Présidente posa aux assesseurs 37 questions, d’ù Il résulte que la cour est complètement sûr des auteurs du meurtre et que el Hoa, Sag, Vo Thanh et Hica bénéficient des circonstances atténuantes. pèAsr avoir délibéré ogumnt la Cour mncoaend Phan van Pho, Huynh phu Huu, Ngyoieu van Thanh à travaux fs à prpétté; Nguyen van Sang, Pham van Hich à 15 ans de travaux forcés; Nguyen Trong Hnh et Vo Thanh respectivement à 10 et 5 ans de réclusion Affaire Khong van Cang Khong Van Cang, coolie 29 ans, est accusé d’avoir, le 12 mars 1929, sur la plantation Suzanna, à eaiBohn, donné volontairement des coups, qui nt amené la mort de la femme Nguyen thi Khoe. Interrogé, Cng déclara qu’il avait administré seulement à sa victime n gifle au visage, à l ue ds arle adressées ll. Me Lyeo dmnd son acquittement, l’autopsie ayant démntré que la malheureuse éai morte d’une rptr de la rate, due plutôt à la force du choc contre le o qu’à la violence du upoc porté Du reste, elle tevaeirl dune maladie, et son état de santé étt très faible. La Cour Condamne Chang à 2 ans d'emprisonnement, près lui vr accordé le bénéfice des circonstances atténuantes. Affaire Nguyen van Sanh Nguyen van Sanh, boy, 17 ans, es accusé d'attentat à la pudeur. Employé chez une gargotière de la rue Sabouram, il vt mission de surveiller une fillette d 6 ans, qui dit-il, avait 'habitude ed s'asseoir adns son giron. Or, comme il était ntateti de |
volontairement des coups, qui ont amené la mort de la femme Nguyen thi Khoe. Interrogé, Cang déclara qu’il avait administré seulement à sa victime une gifle au visage, à la suite des paroles adressées à elle. Me Loye demanda son acquittement, l’autopsie ayant démontré que la malheureuse était morte d’une rupture de la rate, due plutôt à la force du choc contre le sol qu’à la violence du coup porté. Du reste, elle relevait d’une maladie, et son état de santé était très faible. La Cour Condamne Chang à 2 ans d'emprisonnement, après lui avoir accordé le bénéfice des circonstances atténuantes. Affaire Nguyen van Sanh Nguyen van Sanh, boy, 17 ans, est accusé d'attentat à la pudeur. Employé chez une gargotière de la rue Sabouram, il avait mission de surveiller une fillette de 6 ans, qui dit-il, avait l'habitude de s'asseoir dans son giron. Or, comme il était atteint de blennoragie et que ses vêtements étaient tachés, la contamination a pu se produire du fait de ce contact. « Avez-vous essayé, lui demanda le Président, d'approcher vos parties génitales de celles de l'enfant ? Non ». La fillette, interrogée, confirma ces dires et ajouta qu'elle a toujours couché avec sa mère ! Mais les déclarations de celle-ci font accablantes. D'après elle, Sanh aurait emmené sa fille plusieurs fois à l'étage de la maison. Me Loye ne chercha pas à réfuter la culpabilité de Sanh, qu'il admettait comme probable, certaine même. Il attira l'attention des juges sur la minorité de l'inculpé, sur son manque d'éducation. car, tout jeune, il avait été victime du « coup de pied de Vénus » et avait passé 3 mois d'emprisonnement pour voie. « Voulez-vous, Messieurs, ajouta l'avocat, faire de ce malheureux un homme repenti, honnête par votre indulgence, ou un criminel invétéré et endurci, par votre sévérité ?» Les Juges appliquèrent à Sanh le minimum de peine ; 1 an de prison. Arrachart et Rignot partent pour Hankow Shanghai, le 23. Les aviateurs Rignot et Arrachart, actuellement à Nankin, quitteront demain cette ville à destination de Hankow. Nouvelles du Tonkin 700 travailleurs tonkinois aux Nouvelles | volontairement des coups, u ont amené la mort de la fmeme Nguyen thi Khoe. teré Cang déclara qu’il avait administré seulement à sa victime une gifle au visage, à la ite des paroles adre elle. Me Loye dand son acquittement, ’otuailpse ayant démontré que la malheureuse étt morte d’une rupture de la rate, due plutôt à l force du choc contre le sol qu’à la vlnc du cp porté. Du reste, ll relevait d’une maladie et sn état de sané était très fbl. La Cour nae Chng à 2 ans d'emprisonnement, après lui avoir aoécdrc le bénéfice des circonstances atténuantes. Affaire Nguyen van Sanh Ngyn van Sanh, boy, 17 ans, est accusé d'attentat à la pudeur Employé chez une gargotière de al rue oam, il avait mission de surveiller une fillette de ans qui dit-il, avait l'habitude de s'asseoir dans son giron. r, comme il était atteint de blennoragie et que ses vêtements étaient tachés l contamination a pu se produire du fait de ce contact. « Avez-vous essayé, ilu daeadnm le Président d'approcher vos parties na de celles de l'enfant ? Non ». aL fillette, interrogée, confirma ces dires et ajouta qu'elle a toujours couché avec sa mèr Mais les déclrtns de celleci font accablantes. D'après ll, Sanh aur emmené sa fille plusieurs fois à 'étage de isamon. M Leyo ne chercha pas à réftr l culpabilité de Sanh, qu'il admettait comme probable, certaine même. Il attira l'ttntn des juges sur la minorité de l'nclpé, sur sn manque éc. car, tout jeune, il avait été victime du « coup de pied de Vénus » et vt passé 3 mois d'emprisonnement pur voie. Voulez-vous, Messieurs, ajouta l'avocat, faire de ce malheureux un homme repenti, honnête par votre indulgence, uo un criminel invétéré et endurci, par votre sévérité ?» Ls Juges appliquèrent à Sanh le minimum de eiepn ; 1 n de rn. Arrachart et Rignot partent prou Hwnaok Shanghai, l 3.2 aviateurs Rignot et Arrachart, actuellement à Nankin, quitteront demain cette ville à destination de Hankow. Nvlls du Tn 700 travailleurs tonkinois aux Nouvelles |
mère ! Mais les déclarations de celle-ci font accablantes. D'après elle, Sanh aurait emmené sa fille plusieurs fois à l'étage de la maison. Me Loye ne chercha pas à réfuter la culpabilité de Sanh, qu'il admettait comme probable, certaine même. Il attira l'attention des juges sur la minorité de l'inculpé, sur son manque d'éducation. car, tout jeune, il avait été victime du « coup de pied de Vénus » et avait passé 3 mois d'emprisonnement pour voie. « Voulez-vous, Messieurs, ajouta l'avocat, faire de ce malheureux un homme repenti, honnête par votre indulgence, ou un criminel invétéré et endurci, par votre sévérité ?» Les Juges appliquèrent à Sanh le minimum de peine ; 1 an de prison. Arrachart et Rignot partent pour Hankow Shanghai, le 23. Les aviateurs Rignot et Arrachart, actuellement à Nankin, quitteront demain cette ville à destination de Hankow. Nouvelles du Tonkin 700 travailleurs tonkinois aux Nouvelles Hébrides Hanoi, le 23 juillet. — Le vapeur Gia Long a quitté Haiphong ce jour à destination des Nouvelles Hébrides, emmenant 700 travailleurs tonkinois, engagés pour les exploitations agricoles. L'inspecteur du travail du Tonkin a surveillé leur installation à bord. On note qu'il y avait parmi eux, un certain nombre de travailleurs ayant déjà effectué un premier séjour aux Nouvelles-Hébrides et repartant après avoir demandé à contracter un nouvel engagement. On remarquait aussi des groupes issus des mêmes villages. Chronique des provinces (Suite de la suite 4e page — feuille intercalaire Travinh Une barque coule Deux noyés Le 8 juillet, une barque, montée par cinq personnes, voguait sur le canal de Kim Moi (Travinh) lorsque, ayant rencontré une amarre, tendue en travers du cours d'eau, elle coula à l'eau. Deux des occupants : Nguyen T. Tac et son fils, Truong, se noyèrent. De l'enquête ouverte, il résulte que les amarres de la jonque S.V.2675, en stationnement à cet endroit, barraient absolument l'entrée du canal. Le caporal de la jonque, absent, n'a pu, paraît-il, en donner l'explication. Chaudoc Un boy dérobe 2.010 piastres à son maître Un colon, à Chaudoc, M. Bavannan Osman, ayant ouvert son coffre-fort, s'aperçut qu'on lui avait | mèr Mais les déclarations de celle-ci font ccblnts. D'près elle, Sanh aurait emmené sa fille plusieurs fois à l'étage d la maison. Me Loye ne chercha pas à réfuter a culpabilité ,hSna qu'il admettait cmm probable, certaine mê. Il attira l'attention des juges sur la mnrté de l'inculpé, sur son manque d'éducation. cr, tout jeune, il avait été victime du coup de pied d Vénus » t avait passé 3 mois d'emprisonnement pour voie. « Voulez-vous, Messieurs, ajouta l'avocat, fr de ce malheureux un oehmm repenti, honnête par votre indulgence, ou un criminel invétéré et endurci, par votre sévérité ?» Les Juges appliquèrent à Sanh le minimum ed peine ; an de prison. Arrachart et Rignot prtnt pour Hankow hahai l 23. Les aviateurs Rgn et Arrachart, mltnectuelae à Nankin, quitteront ma cette ville à destination de Hnkw. Nouvelles du Tonkin 700 travailleurs tonkinois aux Nouvelles Hébrides aoi, le 23 juillet. — eL apu Gia Long a qi Haiphong ce jour à destination des Nouvelles Hébrides, mmnnt 700 travailleurs tonkinois, engagés pour les exploitations agricoles. pritLcn'usee du travail du ok a surveillé lr installation brd. note qu'il y avait parmi eux, n certain nombre de trvllrs ayant déjà effectué un eeprrim séjour aux Nvlls-Hébrds t repartant après avoir demandé à contracter un nouvel engagement. On remarquait aussi des grps issus des mêmes vllgs. Chronique des provinces (Suite de la suite 4e ge — feuille intercalaire Travinh Une barque coule Deux noyés Le 8 jllt, une barque, montée par cinq personnes, voguait sur le canal de Kim Moi (Travinh) lorsque, ayant rencontré ne amarre, tendue en travers cours d'eau, elle cla l'eau. Deux des unpoactsc : Nguyen T. Tac et son fils, Truong, se noyèrent De lenquête vrt, il résulte q sel aarrs de la jonque S.V.2675, en stationnement à cet endroit, barraient absolument l'entrée du cnl. L caporal de la jnuqeo, absent, n'a pu paraît-il, en donner l'explication. Chdc Un boy dérobe .010 piastres à s maître Un colon, Chaudoc, M. Bavannan Os, ayant ouvert son cfr-r, s'aperçut qu'on lui avait |
de travailleurs ayant déjà effectué un premier séjour aux Nouvelles-Hébrides et repartant après avoir demandé à contracter un nouvel engagement. On remarquait aussi des groupes issus des mêmes villages. Chronique des provinces (Suite de la suite 4e page — feuille intercalaire Travinh Une barque coule Deux noyés Le 8 juillet, une barque, montée par cinq personnes, voguait sur le canal de Kim Moi (Travinh) lorsque, ayant rencontré une amarre, tendue en travers du cours d'eau, elle coula à l'eau. Deux des occupants : Nguyen T. Tac et son fils, Truong, se noyèrent. De l'enquête ouverte, il résulte que les amarres de la jonque S.V.2675, en stationnement à cet endroit, barraient absolument l'entrée du canal. Le caporal de la jonque, absent, n'a pu, paraît-il, en donner l'explication. Chaudoc Un boy dérobe 2.010 piastres à son maître Un colon, à Chaudoc, M. Bavannan Osman, ayant ouvert son coffre-fort, s'aperçut qu'on lui avait dérobé une somme de 2.010 piastres. Il soupçonna un de ses boys, le Dommé Nguyen van Giat. Celui-ci reconnut, en effet, avoir volé cette somme, avec l'aide de son chauffeur cambodgien. Après s'être emparé du trousseau de clefs de son maître, il fit entrer les deux complices, ouvrit le coffre et emporta le contenu. Le butin fut parragé aussitôt ; Giat garda pour lui 1 000 piastres, en donna autant à Qai, tant qu'il dit que le Cambodgien ne reçut que 10 piastres ! Gat ne put, hélas ! jouir de sa fortune enlevée, le lendemain même, par un habile filou. Giat est écroulé. Les recherches faites par la police ont abouti à l'arrestation du Cambodgien. Qui reste introuvable. Avis au propriétaires fonciers Travaux de bornage, délimitation, lotissement, partage de terres. S'adresser à M. Dang-ngoc Hoang, au bureau du journal Montres — Réveils — Pendules Prix modérés «BP» En vente chez Tran-Quang-Nghiêm 200 rue d'Espagne — Saigon Près des Halles Centrales Pour être bien servi CASINOS DEMANDEZ TOUJOURS REINA VICTORIA LES CIGARETTES SUBISSABLES-MÛTURES PRISE boite de 25 ou 50 MOUSTACHES N MIIISTROS et c. Agence exclusive pour l'Indochine LES SUCCESSEURS D'HENRI BLANC E. FOLTZER & R. MOITESSIER 22-24-26, Boulevard Charner | de travailleurs ayant déjà effectué un premier séur aux Nouvells-Hérie et repartant ars avoir émeandd à contracter un ouenvl engagement. On remarquait aussi des groupes isus des mêmes villages. Chrnq des provinces (Suite de l suite 4 page — feuille intercalaire Trvnh Une barque ule Deux noyés Le 8 juillet, une barque, montée par cinq personnes, voguait sur e canal de Km Moi (Travinh) lorsque, y rencontré une amarre, tendue en travers du cours d', elle coula à l'eau. Deux des occupants : Nguyen T. Tac et son fils, rTun,go se noyèrent. De l'enquête ouverte, il résulte que les amarres de al jonque S.V.2675, en sttnnmnt à ct no barraient absolument l'entrée du caal. Le caporal de la jonque, absent, n'a pu, paraît-il, en donner l'explication. Chaudoc Un boy dérobe 2.010 piastres à son maître nU colon, à Chdc, M. Bavannan Osman, ayant ouvert son coffre-fort, s'aperçut q'n lui avait dérobé une smm de 2.010 piastres. Il soupçonna un de ses boys, le Dommé Nguyen van Giat. Celui-ci reconnut, en effet, viaro volé cette somme, vc laide de son chauffeur cmbdgn. Après s'être emparé d trousseau de clefs de son maître, il fit entrer les deux cmplcs, ouvrit le coffre et emporta le contenu Le buin fut parragé aussitôt ; Giat garda pou lui 1 000 piastres, en donna autant à ,Qia tant qu'il dit ue le Cambodgien ne reçut que 10 piastres ! Gat ne put, hélas ! jouir de sa fortune enlevée, le lendemain même par un habile filou. Giat est écroulé. Les recherches faites pr la pleico nt abouti à l'arrestation d Cambodgien. Qui reste introuvable. Avis au propriétaires fonciers ru de bornage, délimitation, lotissement, partage de terres. S'adresser à M. Dng-ngc Hoang, au bureau du journal Montres — Réveils — Pendules Prix modérs «BP» En vente ezch Tran-Quang-Nghiêm 200 rue dEae — Saigon Près des Halles Cntrls Pr être bien srive CSNS DEMANDEZ TOUJOURS NA VCTR LES CIGARETTES SUBISSABLES-MÛTURES PRISE boite d 25 50 MOUSTACHES N MIIISTROS et c Agence exclusive pour 'Indochine LES SUCCESSEURS D'HENRI BLANC . FLTZR & R. MOITESSIER 22-24-26, Bold Chrnr |
et emporta le contenu. Le butin fut parragé aussitôt ; Giat garda pour lui 1 000 piastres, en donna autant à Qai, tant qu'il dit que le Cambodgien ne reçut que 10 piastres ! Gat ne put, hélas ! jouir de sa fortune enlevée, le lendemain même, par un habile filou. Giat est écroulé. Les recherches faites par la police ont abouti à l'arrestation du Cambodgien. Qui reste introuvable. Avis au propriétaires fonciers Travaux de bornage, délimitation, lotissement, partage de terres. S'adresser à M. Dang-ngoc Hoang, au bureau du journal Montres — Réveils — Pendules Prix modérés «BP» En vente chez Tran-Quang-Nghiêm 200 rue d'Espagne — Saigon Près des Halles Centrales Pour être bien servi CASINOS DEMANDEZ TOUJOURS REINA VICTORIA LES CIGARETTES SUBISSABLES-MÛTURES PRISE boite de 25 ou 50 MOUSTACHES N MIIISTROS et c. Agence exclusive pour l'Indochine LES SUCCESSEURS D'HENRI BLANC E. FOLTZER & R. MOITESSIER 22-24-26, Boulevard Charner Touristes et Chasseurs Hommes d'affaires et Planteurs Visitez tous Tay Ninh : Sa grande Chasé Sa Montagne Ba-Den Sa Source Séville S'Aborder au HÔTEL DE TAY NINH Direction: P. Dõ-thoi-Cua Pour cause d'agrandissement, le Salon de Coiffure Au Figaro Saïgon est transféré au Numéro 62 du Boulevard Bonard 62 Saigon (près de MM. Kham-Ky, Photographes) INSTITUTION Tran-Hung Hué-Bôda N. 204 214 rue Legrand de la Liraye SAIGON Ameublement, y Atmami avec coton amer — Si vous souhaitez avoir des meubles de Styles et si vous désirez faire des économies pour le plus grand bien de l'avenir économique de notre Pays, adressez-vous pour votre ameublement, aux A. A. A. A., première filiale d'ameublement dirigée par un de vos compatriotes. Français — Si vous voulez avoir un intérieur confortable et de bon goût, sans être obligés de vous ruiner, adressez-vous aux A. A. A. A., qui mettent de beaux meubles de Styles ancien et moderne à la disposition de toutes les bourses. Il suffit de faire une visite aux magasins d'exposition rue Nguyen-tân-Nghiem N118 (Caukho) pour être convaincu de la solidité et de l'élégance des meubles que nous vendons. Tous, allez aux A. A. A. A. (toutes commandes seront exécutées avec la | et emporta le cntn. Le butin fut parragé aussitôt ; at garda pour lui 000 piastres, en donna tnt à Qai, tant 'lqui dit que le Cmbdgn n reçut q 10 pstrs ! Gat ne put, hélas ! jouir de sa f enlevée, le lndmn même, par n habile fl. Giat st écroulé. Les recherches faites pr la police abouti à l'arrestation du Cambodgien. ui reste ntrvbl. Avis u propriétaires fonciers Travaux de bornage, délimitation, ltssmnt, partage d terres 'adresser à M. Dang-ngoc Hoang, au bureau du jal Montres — visléRe — Pendules Prix modérés «BP» En vente chz Tran-Quang-Nghiêm 200 rue dEspagne — Saigon Près des Halles Centrales Pour être bien servi CASNOS DEMANDEZ TOUJOURS REINA VICTORIA LES CIGARETTES SUBISSABLES-MÛTURES PRISE boite de 52 ou 50 MOUSTACHES N MIIISTROS et c. gnc exclusive pour l'Indochine LES SUCCESSEURS D'HENRI E. FOLTZER & R. MOITESSIER -4-, Boulevard Charner Touristes et Chasseurs Hmms dfrsaa'eif et Planteurs Visitez tous Tay Ninh : Sa grnd Chasé S Montagne Ba-Den Sa o Séville SAborder au HÔTEL DE TAY NINH Direction: P. Dõ-thoi-Cua Pour uscea d'agrandissement, l Salon e Coiffure Au Figaro Saïgon est afér au Numéro 62 du Boulevard Bonard 62 Saigon (près de MM. Kham-Ky, Photographes INSTITUTION Tran-Hung dHuaéB-ô N. 204 214 rue Legrand de la Lrae SAIGON Ameublement, y Atmami e coton amer — Si vs souhaitez avoir eds meubles de Styles et si vous désirez faire des économies pr le plus grnd bien d lavenir économique de notre Pays, adressez-vous pour votre ameublement, u A. A. A. A., première filiale d'ameublement drgé par un d vos compatriotes. Français — Si vous voulez avoir u intérieur cnfrtbl t de onb goût, sans êre obligés de vous ruiner, adressez-vous aux A. A. A A., qui mettent de bx meubles de Styles ancien et moderne à la disposition de toutes les bourses. Il usfitf de faire une ise aux magasins d'exposition rue Nguyen-tân-Nghiem N118 (Caukho) pr être convaincu de la solidité et d l'élégnc des meubles que nous vendons. Tous, allez aux A. A. A. . (toutes cmmnds seront exécutées evac la |
(près de MM. Kham-Ky, Photographes) INSTITUTION Tran-Hung Hué-Bôda N. 204 214 rue Legrand de la Liraye SAIGON Ameublement, y Atmami avec coton amer — Si vous souhaitez avoir des meubles de Styles et si vous désirez faire des économies pour le plus grand bien de l'avenir économique de notre Pays, adressez-vous pour votre ameublement, aux A. A. A. A., première filiale d'ameublement dirigée par un de vos compatriotes. Français — Si vous voulez avoir un intérieur confortable et de bon goût, sans être obligés de vous ruiner, adressez-vous aux A. A. A. A., qui mettent de beaux meubles de Styles ancien et moderne à la disposition de toutes les bourses. Il suffit de faire une visite aux magasins d'exposition rue Nguyen-tân-Nghiem N118 (Caukho) pour être convaincu de la solidité et de l'élégance des meubles que nous vendons. Tous, allez aux A. A. A. A. (toutes commandes seront exécutées avec la plus grande célérité. Chambre en réole complète de 6 pièces en bois de go et de Thaolao verni au tampon 225 p., en pitchpin verni au tampon 215 p. Entreprise de Construction en Béton armé Mai-kâm-Chy 38 boulevard Roul Pinson : SAMCN Travaux Publics — Particuliers et Installations diverses. Service spécial pour réparations Fournitures matériaux de construction Bureau spécial pour Etudes, Plans & Devis Nguyen envan — Da Ma 31-88, Rue Sobourin, M 81-38, La pâtisserie Annamite la plus réputée Prix défiant toute concurrence location d'automobiles grandes marques Dépêches et Radios 1 : 15 FRANCE Interview de M. Dalton, résident général au Maroc Marseille. M. Saint, Résident général du Maroc, venant en vacances, a affirmé qu'il n'existe au Maroc aucun projet de force qui serait en contradiction avec les directives du Gouvernement et entraînerait les pires aventures. La surprise d'Alger a compromis nullement la pénétration pacifique. Elle n'a présenté qu'un caractère épisodique. La situation de la France au Maroc reste particulièrement bien assise. La France poursuit son idéal, quelles que soient les difficultés de la route. Economiquement, la situation est bonne. Malgré la sécheresse, la récolte est favorable. 96 inculpés de complot contre la sûreté de l'Etat Paris, le 23 | (près de MM Kham-Ky, )teopgshrohPa INSTITUTION TranHung Hué-Bôda N 204 214 r Legrand de la Liraye SAIGON Ameublement, Atmami avec coton mr — ovsu souhatz riaov des meubles de Styles te si vous désirez faire e économies pour l plus grand bien de l'avenir économique de notre Pays, adressez-vous pour votre meblemn, aux A. A. A., eir iiaflle dameublement dirigée pr un de vos compatriotes. Français — Si vous voulez avoir un intérieur confortable et d bon gût, sans être obligés de vous ruiner, adressez-vous aux . A. A. A., qui mettent d beaux mbls de Sl ancien et moderne à la disposition de toutes ls bourses. l suffit de faire une vst x mgsns d'exposition rue Nguyen-tân-Nghiem N18 (Caukho) pour être ocuvnacin d la solidité et de l'élégance ds meubles qeu u vndns. Tous, allez aux A. A. . A. (toutes commandes seront exécutées avec la plus grande célérité. Chambre en rél complète de 6 pièces en bois de go et de Thaolao verni au tampon 225 p., en pitchpin verni au tampon 215 p. Entreprise de Cnstrctn en Béton armé a--h 38 boulevard Roul o : SAMCN Travaux Publics — Particuliers et aslIsnnilaott diverses. Service spécial pour réparations Fournitures matériaux de ncnouotitrcs Bureau spécial pour Etudes, Palns & Devis Nguyen envan — Da Ma 31-88, Rue Sobourin, M 81-38, La pâtisserie mienantA la plus réputée Prx défiant toute concurrence location d'automobiles grandes marques Dépêches et Radios 1 : 15 FRANCE Interview de M. Dalton, résident général Maroc Malle. . Saint, eRéndtsi lnarégé d ro, vnnt en vacances, ffrmé qu'il n'xst au Maroc aucun projet de force qui serait n contradiction avec les directives du otvmGereneun et ntrînrt les pires aventures. La srprs 'Alger mormipsco ullemnt la pénétration pafique. Elle n'a présenté quun araèe épisodique. La situation de la France au Maroc reste artulièmen bien assise. La France poursuit son dél, quelles q soient les dffcltés d la route. tenqEnoc,mmuieo la situation est bonne Malgré al séchrss, la récolte est favorable. 96 ilé de complot contre la sûreté d l'Etat rsiaP, le 23 |
spécial pour réparations Fournitures matériaux de construction Bureau spécial pour Etudes, Plans & Devis Nguyen envan — Da Ma 31-88, Rue Sobourin, M 81-38, La pâtisserie Annamite la plus réputée Prix défiant toute concurrence location d'automobiles grandes marques Dépêches et Radios 1 : 15 FRANCE Interview de M. Dalton, résident général au Maroc Marseille. M. Saint, Résident général du Maroc, venant en vacances, a affirmé qu'il n'existe au Maroc aucun projet de force qui serait en contradiction avec les directives du Gouvernement et entraînerait les pires aventures. La surprise d'Alger a compromis nullement la pénétration pacifique. Elle n'a présenté qu'un caractère épisodique. La situation de la France au Maroc reste particulièrement bien assise. La France poursuit son idéal, quelles que soient les difficultés de la route. Economiquement, la situation est bonne. Malgré la sécheresse, la récolte est favorable. 96 inculpés de complot contre la sûreté de l'Etat Paris, le 23 — Une importante conférence s'est tenue, dans l'après-midi, au Ministère de la Justice, sous la présidence de M. Barthou. Y assistaient MM. Tardieu, Chappe, le directeur de la Sûreté générale, le procureur général, de hauts fonctionnaires de la justice et de la police. Ils ont examiné les questions concernant les préparatifs faits par les communistes en vue de la journée du 1er août, ainsi que les arrestations opérées le 27 juillet dans la banlieue parisienne. A l'issue de la conférence, 96 des personnes arrêtées récemment ont été inculpés de complot contre la sûreté intérieure de l'Etat. MAROC Etablissement d'un câble souterrain Rabat Casablanca Rabat le 23 juillet 1929. — L'établissement d'un câble téléphonique et télégraphique souterrain de Rabat à Casablanca a été décidé. Ces importants travaux commenceront prochainement. Un raccord ultérieur est prévu avec le grand câble africain Oran-Tunis. ANGLETERRE John Bull travaillera de moins en moins ! Blackpool. De source autorisée, le Gouvernement aurait l'intention d'introduire la journée de 7 h 30 de travail à la fin de 1929. S. M. George peut s'asseoir et se tenir debout Londres. La santé du roi est satisfaisante. Pour la première fois, depuis sa dernière opération, il est resté une partie de | spécial pr réprtns Fournr matériaux de construction Bureau spécial pour Etudes, Plans & Devis Nguyen envan — Da Ma 318 Rue Sobourin M 81-38, pâtisserie Annamite la plus réputée Prix dinatfé toute concurrence location d'tmbls grandes marques Dépêches et Radios 1 : 15 FRANCE Iter de M. Dalton, résident général aroc Marseille. M. Saint, Résident général du Mrc, venant en vacances, ffrmé qu'il nexiste au Maroc aucun prjt de force qui serait en contradiction avec les directives du Gouvernement et entraînerait les pires aventures. La surprise d'Alger a compromis nullement la pénétration pacifique. Elle n'a espnréét qu'un caractère épisodique. La situation de la Frnc au r reste particulièrement bien assise. La France poursuit son idéal, quelles que int es difficultés de la ru. Economiquement, la situation est bonne. Malgré la sécheresse, la récolte est favorable 96 inculpés de complot ctr la sûreté de l'Etat Paris, le 23 n importante conférence s'est tenue, dans l'après-midi, au ni ed la ueicJst, ss la présidence de . rth. Y assistaient MM. Tardieu Chappe, le directeur de la Sûreté gre, le prcrr général, de hauts fonctionnaires de la etjicsu et de la police. Ils ont xmné les questions concernant les préprtfs faits par les communistes en vue de la journée du 1r août, ns que les arrestations opérées le 27 juillet dans la bnl parisienne. A l'issue de la conférence, 96 des personnes arrêtées récemment ont été inculpés d complot nt la sûreté intérieure de lEtat MAROC Etablissement d'un câble souterrain Rabat Casablanca Rabat le 23 juillet 1929. — L'établissement d'un câble téléphonique t télégraphique souterrain de Rabat à Csblnc a été décidé. Cs importants travaux commenceront prochainement. Un raccord ultérieur est prévu avec le rnd câble africain Oran-Tunis. ANGLETERRE John Bull travaillera de moins en mns ! Blackpool. De source autorisée, le Gouvernement aurait lintention dintdir l journée de 7 h 30 de travail à la fin de 1929. S. M. George eupt s'asseoir et se tenir debout Londres. La stané du roi est stisfaiante Pour la première fois, depuis sa dernière opération, il est resté une partie de |
préparatifs faits par les communistes en vue de la journée du 1er août, ainsi que les arrestations opérées le 27 juillet dans la banlieue parisienne. A l'issue de la conférence, 96 des personnes arrêtées récemment ont été inculpés de complot contre la sûreté intérieure de l'Etat. MAROC Etablissement d'un câble souterrain Rabat Casablanca Rabat le 23 juillet 1929. — L'établissement d'un câble téléphonique et télégraphique souterrain de Rabat à Casablanca a été décidé. Ces importants travaux commenceront prochainement. Un raccord ultérieur est prévu avec le grand câble africain Oran-Tunis. ANGLETERRE John Bull travaillera de moins en moins ! Blackpool. De source autorisée, le Gouvernement aurait l'intention d'introduire la journée de 7 h 30 de travail à la fin de 1929. S. M. George peut s'asseoir et se tenir debout Londres. La santé du roi est satisfaisante. Pour la première fois, depuis sa dernière opération, il est resté une partie de la journée debout ou assis, HOLLANDE Vingt trois nations participent au Congrès de l'Enseignement La Haye, le 23. Le onzième congrès international de l'Enseignement secondaire se déroule actuellement, 23 nations y sont représentées. La question principale inscrite à l'ordre du jour est celle de l'enseignement féminin, pour savoir si il convient de l'organiser de façon qu'il comporte pour les filles les mêmes études que pour les garçons. Tchécoslovaquie Quarante communistes arrêtés, dont le député Harus Prague, le 23. La police a fait, à Prague, une descente dans un faubourg de la ville, où se tenait une conférence organisée par un « Comité d'action prolétaire » Quarante personnes ont été arrêtées, notamment le député communiste Harus, et mises à la disposition des autorités judiciaires. Société des Distilleries « Hanh-phe orhan » à Saïgon Avis aux créanciers NOUS avons l'honneur d'informer le public qu'au cours de ces dernières années, comme nos affaires n'allaient pas bien, nous étions obligés de contracter des emprunts, par l'unique intermédiaire de notre représentant. Récemment, en examinant notre situation, nous nous sommes aperçus des désordres financiers survenus dans notre Société et dus à notre Représentant et à notre Caissier. Aussi, nous prions instamment ceux qui ont prêté de | éaprrsatipf faits par les cmmnsts en v d la journée du 1er ût, ainsi q les arrestations opérées le 27 juillet dans la banlieue parisienne. A l'issue de la cnférnc, 96 des personnes arrêtées récmmnt ont été inculpés d complot contre la sûreté intérieure de l'Etat. MAROC Etablissement d'un câble strrn Rabat aalac Rabat le 23 juillet 1929. — L'établissement d'un câble téléphnq et aéhlqrptéugie souterrain de Rabat Casablanca a été décidé Ces importants travaux commenceront prochainement. Un raccord ultérieur est prévu avec le grand câble africain Oran-Tunis. ANGLETERRE John Bull travaillera de moins en ms ! cool De ouc autorisée, le Gouvernement at l'intention d'introduire la journée de 7 h 30 de travail à la fin de 1929. S. . George peut s'asseoir et se tenir debout Londres. La santé du roi est satisfaisante. Pour la première fos,i sipdeu sa dernière opération il est resté une arte de la journée debout assis, HOLLANDE Vingt trois nations participent au Congrès de l'Enseignement La Haye, l 23. Le onzième cngrès international de l'Enseignement sncoriedea se réleodu actuellement, 3 atins y sont représentées. La qtin principale inscrite l'ordre du jour tse celle de l'nsgnmnt féminin, pour savoir si il vnt de longaserri' de façon qu'il comporte pour sel filles les mêmes étds que pour les garçons. chécsloau Quarante communistes rêé, dont le dé Harus Prague, le 23. La cplioe fait, à Prague, une descente dans un fauougrb de l ville, où se tenait une conférence organisée par n « Comité dcio prolétaire » Quarante personnes ont été rrt, ntament l député communiste Harus, et mises à la disposition des autorités judiciaires. ééociSt des Distilleries « Hanh-phe or » à Saïgon Avis x créanciers NOUS avons l'honneur d'informer le public qu'au cours de ces dernières années, emcom nos ffrs n'lt pas bien, nous étions gbiléos de contracter des emprunts, pr 'ie intermédiaire d notre rprésntnt. Récemment, en examinant notre situation, nous nous sommes aperçus des désordres financiers sueus ns ornet Société et dus à notre Représentant et à notre Caissier Aussi nous prions instamment ceux q nt prêté de |
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immédiatement. N.B.-Il va de soi que nous n'assumerons point le paiement de sommes que nos Directeurs et Représentant auraient empruntées pour leur compte personnel ou celui de tierces personnes en se servant du cachet de notre Société. Dans ce cas, il serait absolument superflu de se présenter. Les actionnaires de la Société des Distilleries HANH-HUE-THON, à Sadec Tribunal de Commerce de Sadec AVIS Les créanciers du sieur Nguyen van Luu, garagiste à Sadec, admis au bénéfice de la liquidation judiciaire par jugement du Tribunal de commerce de Sadec, en date du 26 juin 1929, enregistré, sont invités à se réunir le vingt-neuvième Juillet 1929, à seize heures, dans la salle de délibération du dit Tribunal, à l'effet de se constituer en première assemblée de vérification des créances. Ceux desdits créanciers qui, à ce moment, n'auraient pas encore fait la remise des titres et bordereaux mentionnés en l'article 11 de la loi du 4 mars 1889, devront effectuer cette remise de la manière indiquée audit article, dans le délai fixé pour la réunion de l'assemblée de vérification. Le Greffier du Tribunal de commerce, GAUDIN Brevet Elémentaire et diplôme d'Étude Primaires supérieures Préparation à la cession d'octobre 1929. Leçons particulières de Mathématiques et leçons et com. Commun, de 5 juillet au 29 septembre 1929, par professeur Licencié, ayant 2 ans d'enseignement. Préparation aux concours d'entrée aux Ecoles des Travaux Publics et de Commerce Leçons par correspondance 9 Rue Lucien Lacouture, Saigon. Chronique de Cholon Suicide par l'opium Le 22 courant vers 23 h., Pham Thi Taiet, 23 ans, concubine de Le van Hanh, 29 ans, carte n° 24 de My Tho (Cholon) tan khao, à bord de la jonque C. V. 2527 amarrée dans le canal de doublement devant la rizerie «Tsy. Nam», a, à la suite d'une scène de jalousie, voulu mettre fin à ses jours en absorbant de l'opium. Transportée d'urgence à l'Hôpital Indigène où des soins lui ont été prodigués, elle est actuellement hors de danger. Les Misérables L'Annamite connu sous le nom de Tôn, paraissant âgé de 50 ans environ, trouvé mourant rue Philastra, a été transporté le | immédiatement. N.B.-Il va de soi que nous n'assumerons point le paiement de sommes q nos Directeurs et Représentant auraient mrté pr er compte personnel ou celui de tierces personnes en se servant du cachet d notre Société. Dans ce cas, il treisa bslmnt sprfl de se présenter. Les actionnaires de al Société e Dstlleis HANH-HUE-THON, à Sdc Tribunal d Commerce de Sadec AVIS sLe créncrs du sieur Ngyn avn Luu, garagiste à Sadec, admis au bénéfc de la liquidation judiciaire par jugement du Tribunal de commerce de Sadec, en date du 26 jn 1929 enregistré, sont invités à se réunir le it-neuè Juillet 1929, à sez heures, dans al sll de éladéirntiob du dit Tribunal, à leffe de se constituer en première assemblée de vérification des créances. Ceux desdits créanciers qui, à ce moment, n'auraient pas encore fait la remise des titres et bordereaux mentionnés en il 11 de la loi d 4 mrs 1889, devront effectuer cette remise la manière indiquée dt article, dans le délai fxé pour al réunion de l'assemblée de vérification. Le Greffier du Tribunal de commerce, GDN Bevet Elémentaire diplôme d'Étude Prmrs supérieures Préparation à la cession d'octobre 1929. Leçons particulières de Mthémtqs et leçons et com. Commun, de 5 juillet au 92 septembre 1929, par professeur Licencié, ayant 2 ans d'enseignement. Préparation aux concours d'entrée aux Ecoles sed Travaux Publics et de Commerce Leçons par correspondance 9 R Lucien Lacouture, Saigon. Chronique de Cholon Suicide par l'opium Le 22 courant vers 23 h., Pham Thi Taiet 23 ans, concubine de Le van H 29 ans carte n° 24 de My ho (Cholon) tn khao, bord de la jonque . V. 2527 amarrée dans le canal de doublement devant la rizerie «Tsy. Nam», a, à la suite d'une scène d jalousie voulu mettre fin s jours en absorbant de l'opium. Transportée d'uence à l'Hôpital Indigène où des sns lui nt été prodigués, elle ste actuellement hors de danger. Les Misérables L'Annamite connu sous le nm de Tôn, paraissant âgé de 50 ans non trouvé mourant rue Pst, a été rapré l |
et leçons et com. Commun, de 5 juillet au 29 septembre 1929, par professeur Licencié, ayant 2 ans d'enseignement. Préparation aux concours d'entrée aux Ecoles des Travaux Publics et de Commerce Leçons par correspondance 9 Rue Lucien Lacouture, Saigon. Chronique de Cholon Suicide par l'opium Le 22 courant vers 23 h., Pham Thi Taiet, 23 ans, concubine de Le van Hanh, 29 ans, carte n° 24 de My Tho (Cholon) tan khao, à bord de la jonque C. V. 2527 amarrée dans le canal de doublement devant la rizerie «Tsy. Nam», a, à la suite d'une scène de jalousie, voulu mettre fin à ses jours en absorbant de l'opium. Transportée d'urgence à l'Hôpital Indigène où des soins lui ont été prodigués, elle est actuellement hors de danger. Les Misérables L'Annamite connu sous le nom de Tôn, paraissant âgé de 50 ans environ, trouvé mourant rue Philastra, a été transporté le 22 à 20 h. à l'Hôpital Indigène de Cochinchine. Il est mort de misère physiologique aussitôt après son arrivée dans cet établissement. Saigon (khu dôn qua Dans SATAY) Tà ta qui khả chiến nhữ đại giãn tạm bôn thời cách nay, Annam. Bọn tỉ mưới đàm vi tra tằng qui ngì nên khục chục thu hút sức triệu rắn nhiều kiểu xe sá lốt mịn, "cày till khéo và ta thè, to kiềng chung Salon rật hạnh phúc táo-í trang cúng la tranh, liêm, trinh, đao bĩnh gió thấy ôn chàng rật tinh xao. Bố đinh thứ luật thu đắc toàn tập thêm một thể rat tứ, hình bông, hình dâytrag tất bàng dòng den khâm tam khi rất khéo và đẹp, để giao vận (một cách hoàn toàn bĩnh thanh bộ trắng cham ebl) rap đúp và tin tưởng mang đến. Thì thiệt mâu tranh đập báng hơn 60 sô. Bôn ût khéo kế vi kiểu rất lắt lẹt tơ tranh vi cũng thời chánh sinh sóc đinh nối mà giá bán rẻ hơn các nơi khác. Gà xin cầu vi cứ giữ thời cách nay thì Quang lĩnh thị. BOURSE DE PARIS. - BULLETIN FINANCIER. IDao hauh ThOng^ | et leçons et com. Commun, 5 juillet au 29 septembre 12, par professeur Licencié, ayant 2 ans d'enseignement. Préparation aux concours d'entrée aux Ecoles des Travaux Publics et de Commerce Leçons par correspondance 9 eRu Lucien Lacouture Saigon. Chronique de Chln Suicide par l'opium Le 22 courant vers 23 h., Pham Thi Taiet 23 ans, concubine de Le van Hanh, 29 ans, carte n° 24 de My Tho (Cholon) tan khao, à bord de la jonque C. V. 2527 amarrée dans l ca de ulemt devant la rizerie «Tsy. Nam», a, à la suite d'une scène de jalousie, voulu mettre fin à ses jours en absorbant de l'pm. Transportée d'urgence à l'Hôpital Indigène où ds soins lui ont été prodigués, elle est actuellement hors de danger. Les Misérables L'Annamite connu sous el nom de Tôn, paraissant âgé de 50 ans environ, trouvé mourant rue Philastra, a été transporté le 22 à 20 h. à l'Hôpital Indigène de Cochinchine. Il est mort de misère physiologique aussitôt après son arrivée dans cet étblssmnt. Saigon hu dôn qua Dans SATAY) Tà ta qui khả chiến nhữ đại giãn ạmt bôn thi cách nay, Annam. Bọn tỉ mưới đàm vi tra tằng qui ngì nên khục chục thu hút sức triệu rắn nhiều kiểu xe sá lốt mịn, "cày till khéo và ta thè, to kiềng chung Salon rật hạnh phúc táo-í trang cúng la tanh, liêm, trinh, đao bĩnh gió thấy ôn chàng rật tinh xao. Bố đinh thứ luật thu đắc toàn tập thêm một thể rat tứ, hình bông, hình dâytrag tất bàng dòng den khâm tam khi rất khéo và đẹp để goai vận (một cách hoàn toàn bĩnh thnh bộ rắng cham ebl) rap đúp và tin tưởng mang đến. hTì thiệt mâu tranh đập báng hơn 60 sô. B ût khéo kế vi kể rất lắt lẹt tơ tranh vi cũng thời chánh sinh sóc đinh nối mà giá bán rẻ hơn các nơi khác. Gà xin cầu vi cứ giữ thời cách nay thì Quan lĩnh thị. BOURSE E PARIS. - BULLETIN FINANCIER. IDao hauh ThOng^ |
ngì nên khục chục thu hút sức triệu rắn nhiều kiểu xe sá lốt mịn, "cày till khéo và ta thè, to kiềng chung Salon rật hạnh phúc táo-í trang cúng la tranh, liêm, trinh, đao bĩnh gió thấy ôn chàng rật tinh xao. Bố đinh thứ luật thu đắc toàn tập thêm một thể rat tứ, hình bông, hình dâytrag tất bàng dòng den khâm tam khi rất khéo và đẹp, để giao vận (một cách hoàn toàn bĩnh thanh bộ trắng cham ebl) rap đúp và tin tưởng mang đến. Thì thiệt mâu tranh đập báng hơn 60 sô. Bôn ût khéo kế vi kiểu rất lắt lẹt tơ tranh vi cũng thời chánh sinh sóc đinh nối mà giá bán rẻ hơn các nơi khác. Gà xin cầu vi cứ giữ thời cách nay thì Quang lĩnh thị. BOURSE DE PARIS. - BULLETIN FINANCIER. IDao hauh ThOng^ fils S Gontrôyes Civils g Diplômes du Gouvernement Cabinet fondé en 1910 II CULOTOPHÊBENOS I Bulletin Economique E-Ma PIASTRE INDOCHINOISE 24 juillet Taux officiel : 11 fr. 35 Banque Indochine 11 35 Banque Française 11 35 Banque de Saigon 11 35 Financière et Commerciale 11 85 Hongkong Shanghai B.C. 11 35 Barclays 11 35 Société Annamite de Crédit 11 40 24 juillet COURS DU RIZ Les 100 cents le long du bord non compris les droits de sortie, sacs perdus par picul par 100 kilos. Riz n° 1 25 1/2 kilo, 6 92 1/2 livre 40 Riz n° 2 40 1/2. 6 65 10 79 Riz n° 2 50 1/2. 6 30 10 38 Brisures 1 et 2 6 06 9 97 1— 3 5 60 9 22 4 4 82 7 93 Pommes basses blanches 5 12 5 13 rouges 2 40 3 95 Maltes blanches 6 80 à 7 80 Maltes rouges 7 20 à 7 41 COURS DU PADDY Vendu aux usines de Cholon par 100 kilos sacs perdus par picul par 100 de 68 kilos. Vinhlong 4 pi. 83 lp. 10 Gocong 5 04 7 41 Betsau 5 02 7 38 Baclieu 5 09 7 48 | ngì nên khục chục th hút sức trệ rắn n ku xe sá tlố mịn, "cày tll khéo và ta thè, to kiềng chung Salon ậtr hạnh phúc tá-í trang cúng tranh, liêm, trinh, đao bĩnh gó thấy ôn chàng rật tinh a.ox Bố đinh h luật thu đc toàn tập hmtê một thể art tứ, ìhhn b hình dâytrag tất bàng dòng den khâm tam khi rất khéo và đẹp, để g vận một cách hoàn toàn bĩnh thanh bộ trắng cham ebl) rap đúp tin tưởng mang đến. Thì thiệt mâu tranh đập báng hơn 60 sô. Bôn ût khéo kế kiểu rất lắt lẹt tơ tranh vi cũng thờ chánh sn sóc đinh nối mà bán rẻ hơn các nơ khác. Gà xin cầu vi cứ iữ thời cáhc nay thì Qng lĩnh thị. BOURSE DE PARIS. - BULLETIN FINANCIER IDao hauh fils Gontrôyes Civils g Diplômes du Gouvernement Cabinet fondé n 1910 OBTNEOSÊOPULCH I Bulletin Economique aME- PIASTRE NDCHNS 24 jllt Taux officiel 11 fr. 35 Banque Ihincdnoe 11 35 eqanuB Française 11 35 qenBau de Saigon 11 35 ncèFriiean et Cmmrcl 11 85 Hngkng ahai B.C. 11 35 Barclays 11 35 Société Annamite d Crédit 11 40 24 juillet COURS DU RIZ Les 100 cnts le long du bord non cmprs les sirdot de sortie, sacs perdus par pu par 0 kilos. Riz n° 1 25 1/2 kilo, 6 92 1/2 lervi 40 Riz n° 2 40 1/2. 6 65 10 79 Riz n° 2 50 1/2. 6 30 10 38 Brisures 1 et 6 06 9 97 1— 3 5 60 9 22 4 82 7 93 Pommes basses blanches 5 12 5 3 rouges 2 40 3 95 Mlts blanches 6 80 à 7 80 Maltes rouges 7 20 4 COS DU PADDY Vnd aux usines Cholon r 100 kilos sacs perdus par cul par 100 d 68 kilos. Vinhlong 4 pi. 83 lp. 10 Gocong 5 04 7 41 Betsau 5 02 7 38 Baclieu 5 09 7 48 |
35 Barclays 11 35 Société Annamite de Crédit 11 40 24 juillet COURS DU RIZ Les 100 cents le long du bord non compris les droits de sortie, sacs perdus par picul par 100 kilos. Riz n° 1 25 1/2 kilo, 6 92 1/2 livre 40 Riz n° 2 40 1/2. 6 65 10 79 Riz n° 2 50 1/2. 6 30 10 38 Brisures 1 et 2 6 06 9 97 1— 3 5 60 9 22 4 4 82 7 93 Pommes basses blanches 5 12 5 13 rouges 2 40 3 95 Maltes blanches 6 80 à 7 80 Maltes rouges 7 20 à 7 41 COURS DU PADDY Vendu aux usines de Cholon par 100 kilos sacs perdus par picul par 100 de 68 kilos. Vinhlong 4 pi. 83 lp. 10 Gocong 5 04 7 41 Betsau 5 02 7 38 Baclieu 5 09 7 48 Ordinaire blanche 4 85 7 14 Cambodge blanche 4 90 7 20 — rouge 4 50 6 64 AVIS DE COURRIER ARRIVÉES De France Le Cap Tourane, vers 31 juillet, (CR) Le d'Artagnan, vers 6 août (M M ) Le Min, vers le 9 août (M.M.) L'Azay le Rideau, vers le 16 août (M.M.) De la Chine et du Japon Le Porthos, vers le 2 août (M.M.) Du Tonkin Le Commissaire Pierre Lecoq, vers le 30 juillet; (M.M.) Le Cap Varella, vers 25 août (CR.) L'Aden, vers le 2 août (O.R ) Le Bougainville, est parti de Marseille pour l'Indochine le 16 juillet (C. R ) DÉPARTS Pour France Le Commissaire Pierre Lecoq vers le 2 août (M. M.) Le Cap Varella, le 27 juillet. (M. M.) L'Aden, vers le 6 août (C. R.) Le Porthos, vers le 5 août (M. M.) Pour le Tonkin Le Bangkok, vers le 26 juillet (CR) Le Chantilly, vert le 24 juil. (O.R ) Le G.G. Rome, vers 26 juillet (MM) Pour la Chine et le Japon L'Athos II, vers le 27 juillet (M.M.) Le d'Artagnan; vers 9 août (MM) Le Min, vers le 13 août (M.M.) Pour Bangkok Le G. G. Paul Beau, | 35 Barclays 11 35 Société Annamite de Crédit 11 0 24 juillet COURS RIZ Ls 100 cents l long du bord non compris les droits e sortie, sacs perdus par picul par 100 kilos. Riz n° 1 25 1/2 kilo, 6 92 1/2 livre 40 Riz n° 2 40 /. 6 65 10 79 Riz n° 2 50 / 30 10 38 Brisures 1 et 2 6 06 9 79 1— 3 5 0 22 4 4 82 7 93 Pommes basses blanches 5 12 5 13 rouges 2 40 3 95 Maltes schblnae 6 80 à 7 80 Maltes rouges 7 20 à 7 41 COURS D PADDY Vendu aux usines de Cholon par 100 kilos scs perdus par luipc par 100 de 68 kilos. Vinhlong p. 83 lp. 10 Gocong 5 04 7 41 Betsau 5 02 7 38 Bcl 5 09 7 48 Ordinaire blnch 58 7 14 Cambodge blanche 4 90 7 20 — rouge 4 50 6 6 AVIS DE URRR ARRIVÉES France Le Cp Tourane, vers 31 juillet, () Le d'Artagnan, vers août (M M ) Le Min vrs le 9 août (M.M.) L'Azay le Rideau, e le 16 août D la Chine et du Japon Le Porthos, vers le 2 août .M. Du Tonkin Le Commissaire Prr Lecoq, vers le 30 juillet; (M.M.) Le Cap Varella, vers 25 août (CR.) L'dn, vers le 2 août (O.R ) Le Buginville est parti Marseille pour 'Indochine le 16 juillet (C. R ) DÉPARTS Pr France Le aimsermoCis Pierre Lecoq vers le 2 août (M. M.) Le Cp Varella le 27 juillet. (M. M.) LAden vers 6 août (C. R Le Porthos, vers le 5 ût .) Pr le Tonkin eL Bangkok, vers le 26 juillet (CR) Le Chantilly, vert le 24 juil. (O.R ) Le G.G. o, vers 6 julet (MM) Pr l i te le Japon 'Athos II vr e 27 juillet (M.M.) Le d'Artagnan; vers 9 août (MM) L Min, vers le 13 ût (M.M.) Pour Bangkok Le . G. u B, |
le 16 août (M.M.) De la Chine et du Japon Le Porthos, vers le 2 août (M.M.) Du Tonkin Le Commissaire Pierre Lecoq, vers le 30 juillet; (M.M.) Le Cap Varella, vers 25 août (CR.) L'Aden, vers le 2 août (O.R ) Le Bougainville, est parti de Marseille pour l'Indochine le 16 juillet (C. R ) DÉPARTS Pour France Le Commissaire Pierre Lecoq vers le 2 août (M. M.) Le Cap Varella, le 27 juillet. (M. M.) L'Aden, vers le 6 août (C. R.) Le Porthos, vers le 5 août (M. M.) Pour le Tonkin Le Bangkok, vers le 26 juillet (CR) Le Chantilly, vert le 24 juil. (O.R ) Le G.G. Rome, vers 26 juillet (MM) Pour la Chine et le Japon L'Athos II, vers le 27 juillet (M.M.) Le d'Artagnan; vers 9 août (MM) Le Min, vers le 13 août (M.M.) Pour Bangkok Le G. G. Paul Beau, le 27 juillet à 9 heures Pour Singapore Le G.G. Merlin, le 28 juil. à 9 h. Ageuse d'achats et de ventes d'immeubles Lê Nguyên van Dong, géomètre-adjoint du Cadastre et comptable civil diplômé 4a le Levé-Lotissement et Partage; Délimitation expertise RACHGIA-VILLE: La vie politique et parlementaire en France Les débats sur les dettes Au Sénat Paris, le 22 juillet 1929.— Le Sénat a abordé la discussion de la ratification des accords de Londres et de Washington. M. Charles Dumont a déposé son rapport, qui conclut à la ratification des accords tels qu'ils ont été votés par la Chambre On estime, d'une façon générale, que le Sénat là votera sans grande difficulté. Parmi les orateurs inscrits, on cite, notamment, M.M. Lucien Hubert, Caillaux, Henry Bérenger et Millerand. La contée de M. Poincaré M. Poincaré n'assistera pas au Conseil des Ministres de ce matin, son état, quoique amélioré, exigeant des ménagements. On dément qu'il ait l'intention de se reposer dans sa propriété de Sampigny. On pense qu'il réparaîtra au Sénat, au cours du débat sur les accords de Londres et de Washington. Les bruits selon lesquels il aurait l'intention de démissionner ne reposent sur aucun fondement. Une motion de la commission | le 16 août (M.M.) De l Chine et du Japon Le Porthos, vers le 2 août (M.M.) Du Tonkin Le Commissaire Pierre Lecoq, vers le 30 juillet; (M.M.) Le Cpa Varella, vers 25 ût (CR.) L'Aden, vers le 2 ûtao (. ) Le Bougainville, est parti de arel pour l'Indochine le 16 juillet (C. R ) DÉPARTS Pour France Le Cmmssr Prr Lecoq vers le 2 ût (M. M.) Le Cap Varella, le eli.ljut (M. M.) L'Aden, r le 6 août (C. R.) L Porthos, vers le 5 août (. .) Pour le Tonkin e Bangkok, vers le 26 juillet CR) Le Chantilly, vert le 24 jil. .R ) L G.G. Rome, vers 26 juillet (MM) Pour la Chine et le o L'Athos II, vers le 27 juillet (M.M.) Le rann vers 9 août (MM) Le i,nM er le 13 août (M.M.) Pr Bango Le G. G. Paul Beau, le 27 juillet à 9 heures Pour rgSpoiean L .. Merlin le 28 juil. à 9 h. Ageuse d'achats et e ventes d'immeubles Lê uyê van Dong, gémètr-djnt u Castr et comptable civil diplômé 4a l Levé-Lotissement Patag; Délimitation xprts RCHG-VLL: La ive politique et parlementaire en rnaceF Les débats sur les dettes Au Sénat Paris, el 22 juillet 1929.— L Sénat a abordé la dscssn de la ratification des srcoadc de Londres de in M. Charles Dumont a déposé son rapport qui conclut à la ratification des accords tels qu'ils ont été votés a a Chambre estime, d'une façon générale, que le Sénat là votera sans grande difficulté. Parmi les reusarot inscrits, n cite, notamment M.M. Lucien Hubert, Cllx, ery Beger et Mllrnd. La contée de M. Poincaré . Pncré nasisr pas Conseil des Ministres de ce atni,m son état, quoique élioé, exigeant des ménagements On dément il t 'intention de e reposer dans sa propriété de Sampigny. On pense q'l réparaîtra au ,tnaéS au cours du débat sur les ccrds de Londres et de Washington. Les btiusr selon lesquels il aurait l'intention de démissionner ne reposent sur aucun fondement. enU motion de la commission |
débats sur les dettes Au Sénat Paris, le 22 juillet 1929.— Le Sénat a abordé la discussion de la ratification des accords de Londres et de Washington. M. Charles Dumont a déposé son rapport, qui conclut à la ratification des accords tels qu'ils ont été votés par la Chambre On estime, d'une façon générale, que le Sénat là votera sans grande difficulté. Parmi les orateurs inscrits, on cite, notamment, M.M. Lucien Hubert, Caillaux, Henry Bérenger et Millerand. La contée de M. Poincaré M. Poincaré n'assistera pas au Conseil des Ministres de ce matin, son état, quoique amélioré, exigeant des ménagements. On dément qu'il ait l'intention de se reposer dans sa propriété de Sampigny. On pense qu'il réparaîtra au Sénat, au cours du débat sur les accords de Londres et de Washington. Les bruits selon lesquels il aurait l'intention de démissionner ne reposent sur aucun fondement. Une motion de la commission sénatoriale des finances La commission des Finances du Sénat a décidé, par 25 voix contre une, de proposer le vote des accords sur les dettes et a adopté, à l'unanimité, une motion, qu'elle soumettra au Sénat, après ratification des accords. Cette motion stipule que la France pourrait demander le report à trois ans de la totalité, ou d'une partie des paiements, en cas de défaillance de l'Allemagne, ceci en vertu de certaines dispositions des accords de Washington et de Londres. La motion rappelle finalement les conditions dans lesquelles la France restreint sa liberté de nation souveraine. Résultat des accords de Londres Les soldes créditeurs français en Grande-Bretagne Le Daily Telegraph évalue entre 20 et 33 millions de livres les soldes créditeurs français en Angleterre. Selon le Financial Times, la ratification des accords Churchill Caillaux et Millerand Bérenger ajoutera grandement au crédit de la France, et dans l'hypothèse de l'adoption du plan YOUNG par les puissances intéressées, il clôt la dernière phase du problème des dettes de guerre. On présume que les 400 millions de dollars accumulés à New-York, en prévision de l'échéance du 1er août, ne seront pas transférés en France, mais que la majeure partie prendra le chemin de | débats sur les tested Au Paris, l 22 juillet 1929.— Le én abordé la discussion ed la ratification des accords de Lonrs et d Washington. M. ale Dumont a dépsé son rapport, qui conlu à la ratification des accords lset qu'ils ont été votés par la Chmbr n estime, d'une façon générale, que le Sénat là votera sns grande difficulté. Parm les orateurs nscrts, on ct, notamment, M.M. Lucien Hubert, Caillaux, Henry Bérenger et Millerand. La contée M. Poincaré . Poincaré n'assistera pas au Conseil des Ministres de ce matin, son état, quoique améloré, exigeant des méngmnts. On dément qu'il ait l'intention ed se reposer dans s propriété d Smpgny. On sepen qu'il réparaîtra au na, au cours du débat sur accords de Londres t de Washington Ls bruits sln ellseusq l rt 'intention de démissionner ne reposent sur aucun fondement. Une motion d la commission sénatoriale des fnncs La commission des Finances d Sénat a décidé pa 25 voix contre une, de proposer le vote ds accords r les dettes et adopté, à l'unanimité, u motion, qu'elle soumettra au Sénat, après ratification des accords. Cette motion stpl que la France pourrait demander le rprt à trois ans de la totalité, ou d'une partie sde paiements, ne cas de défaillance de lAllemagne ceci en vertu de ertai dispositions des accords de sgonathnWi et de Londres La motion rappelle finalement les conditions dans lesquelles la France restreint sa liberté de nation souveraine. s des accords de Lndrs Les s créditeurs français en Grande-Bretagne Le Daily Tlgrph évl rneet 20 et 33 mlion de livres les soldes créditeurs français n Agleerre Selon le Financial Times, la cftnitaioair des accords Churchill Cllx et Millerand errBngeé ajoutera grandement au crédit de la Frnc, et dans l'hypothèse de 'adoption du plan YOUNG par ls puissances intéressées, il clôt l dernière phase du rbèm ds dettes de guerre. On présume q ls 400 millions de dollars accumulés New-York, en éiio ed l'échénc d 1er août, ne seront ps transférés en Frnc, mais que la majeure partie prndr le chemin de |
à trois ans de la totalité, ou d'une partie des paiements, en cas de défaillance de l'Allemagne, ceci en vertu de certaines dispositions des accords de Washington et de Londres. La motion rappelle finalement les conditions dans lesquelles la France restreint sa liberté de nation souveraine. Résultat des accords de Londres Les soldes créditeurs français en Grande-Bretagne Le Daily Telegraph évalue entre 20 et 33 millions de livres les soldes créditeurs français en Angleterre. Selon le Financial Times, la ratification des accords Churchill Caillaux et Millerand Bérenger ajoutera grandement au crédit de la France, et dans l'hypothèse de l'adoption du plan YOUNG par les puissances intéressées, il clôt la dernière phase du problème des dettes de guerre. On présume que les 400 millions de dollars accumulés à New-York, en prévision de l'échéance du 1er août, ne seront pas transférés en France, mais que la majeure partie prendra le chemin de Londres, où il apportera à la livre un appui particulièrement opportun. Politique internationale Les répercussions mondiales du conflit sino-russe Vains efforts pour la réconciliation l'Angleterre et l'Amérique vont de pair Washington.— L'Ambassadeur de Grande-Bretagne à Washington a remis à M. Stimson une note, l'informant de l'appui britannique pour toute démarche en vue de résoudre le différend sino-russe. Les soviets déclinent l'offre française de médiation Moscou, le 22. — L'Agence Tass annonce que les Soviets ont décliné l'offre de médiation de la France, en raison du refus de la Chine de rétablir la situation antérieure sur le chemin de fer de l'Est-Chinois, comme le réclamait la note russe du 13 juillet. On s'abonne sans frais à l'Echo Annamite dans tous les bureaux de poste. Nouvelles du Yunnan Yunnanfu le 21 Juillet. La crise yunnanaise est à peu près terminée. Le Général Long-Yun, après avoir réussi à concentrer toutes ses forces à Yunnanfu, conserve incontestablement le pouvoir. Les dissidents se sont enfuis en direction de Tai et ne disposent plus que de faibles moyens. Le Consul confirme que les résidents français de Yunnanfu sont indemnes et que le trafic sur la voie ferrée est normal. Dans l'Administration Autorisations de voyage Par arrêté | à trois ans de la taté d'une partie des paiements, en cas de défaillance d l'Allemagne, ceci en vertu de certaines dispositions des accords e aing et de Londres. La motion rappelle nflntmeiea s conditions dans lesquelles la France restreint sa liberté d nation souveraine. Résltt ds accords de Londres Les soldes créditeurs français en Grande-Bretagne Le Daily Telegraph évl entre 20 et millions de livres les soldes créditeurs frnçs en Angleterre. eoSln le Financial Times, la ratification des acrds Churchill Caillaux et Millerand Bérenger ajoutera grandement au créit de la Frnc, et dans l'hypothèse de l'adoption du plan YOUNG par les puissances intre li clôt dernière phase du problème des dettes de guerre. On rm que les 400 millions de dollars accumulés à New-York, en prévision de l'échéance du 1er t,oaû n seront pas tfr en France mais que la majeure at prendra l chemin de Londres, où il apportera à la livre un appui prtclèrmnt oprop.utn Politique internationale répercussions mondiales du conflit sino-russe Vains efforts pour la réconciliation l'Angleterre t l'Amérique vnt de pair Wshngtn.— L'Ambassadeur de nertBgnGed-aare à Washington a remis à M. Stimson une note, rifonmnlat' de l'appui britannique pour toute démarche en ve de résoudre le différend -e. Les svts déclinent l'offre française de médiation Moscou, le 22. — LAgence Tass nnnc q ls ovets ont décliné l'offre de méti de la France, en raison du rfs de la Chine de bl la situation antérieure sur le chemin de fer de l'st-Chns, comme le élai la note russe du 13 llt On s'be assn frais à oEc'hl Annamite dans tous l bureaux de poste. Nouvelles du Yunnan Yunnanfu le 21 Juillet. La crs yunnanaise est à peu près terminée. L Général LongYun après vr réussi à concentrer oesttu ses forces à Yunnanfu conserve incontestablement le pouvoir. Les dissidents se sont enfuis en direction de Tai et ne disposent plus qeu de faibles moyens. Le Consul confirme que les résidents français d Yunnanfu sont indemnes t que le trafic sur la voie ferrée st normal. Dans l'Administration Autorisations de voyage r arrêté |
en vue de résoudre le différend sino-russe. Les soviets déclinent l'offre française de médiation Moscou, le 22. — L'Agence Tass annonce que les Soviets ont décliné l'offre de médiation de la France, en raison du refus de la Chine de rétablir la situation antérieure sur le chemin de fer de l'Est-Chinois, comme le réclamait la note russe du 13 juillet. On s'abonne sans frais à l'Echo Annamite dans tous les bureaux de poste. Nouvelles du Yunnan Yunnanfu le 21 Juillet. La crise yunnanaise est à peu près terminée. Le Général Long-Yun, après avoir réussi à concentrer toutes ses forces à Yunnanfu, conserve incontestablement le pouvoir. Les dissidents se sont enfuis en direction de Tai et ne disposent plus que de faibles moyens. Le Consul confirme que les résidents français de Yunnanfu sont indemnes et que le trafic sur la voie ferrée est normal. Dans l'Administration Autorisations de voyage Par arrêté du Gouverneur de la Cochinchine en date du 29 juillet 1929: L'autorisation de retour participatif, à destination de la Seyne en mer (Var) est accordée à Mme Tarot, femme de l'agent de rechange principal de 2e classe du Service des Rentes en Cochinchine. Un passage de retour participatif à destination de Valentine par Ste Gaudens (Haute Gironde), et accordé à Mme Jouas, femme d'un Garde Général de 3e classe des Forêts en Cochinchine. Un congé de convalescence de six mois est accordé à M. P.-J. Joseph, surveillant principal de classe exceptionnelle des Travaux Publics d'Indochine; pour en jouir à l'endroit, (Île de la Réunion) Une permission de vingt-neuf jours à solde entière coloniale est accordée, à compter du 1er août 1929, à M. Sinnaya, Commis-Greffier de 1ère classe du Service Judiciaire de l'Indochine, en service au Greffe du Tribunal de Saigon. Un congé de convalescence de trois mois pour compter du 15 juillet 1929, date d'expiration de son congé administratif, est accordé à M. Le Minh Vinh, Préfet du 1er classe. Un congé administratif de trois mois pour commencer du 15 Juillet 1929 est accordé à M. Nguen Van Duc, Agent technique de 1re classe des Services agricoles en Cochinchine, | en vue de résoudre l différend sins. Les soviets déclnnt l'offre française de médiation Moscou, le 22. — L'Agence Tass annonce que les Svts nto décliné 'offre de médiation de la France, en raison du refus de la Chine de rétablir la situation antérieure sr le chemin de fer de lEstChinois comme le réclamait la note se du 13 juillet. On 'abonne sans frais à l'Echo Annamite dans tous ls bureaux de poste. Nouvelles du Yunnan Yunnanfu le 1 Juillet. La crise yunnanaise est à peu près terminée. Le Graélén Long-Yun, après ai réussi à concentrer totes ses forces à Ynanu, conserve incontestablement le pouvoir. Les dissidents s sont enfuis en direction de Tai et ne disposent plus que de faibles moyens. Le Consul confirme que les résdnts frais ed Yunnanfu sont indemnes et que le trafic sur l voie ferrée est normal. Dans l'Administration Autorisations d voyage Par arrêté du Gouverneur de la Cochinchine en date du 29 juillet 129:9 L'autorisation de retour participatif, à destination de l Seyne en mer (Var) est accordée à Mme Tarot, femme de l'agent de rechange principal de 2e classe du Service des Rentes en Cochinchine. Un passage de reto participatif à destination de Valentine par Ste Gaudens (Haute Gironde), et accordé à Mme Jouas, femme dun Garde Général de 3e classe des Forêts n Cochinchine. Un congé de oaesc de six mois ste accordé à M. P.-J. Jsph, surveillant principal de lase exceptionnelle des Travaux Publics d'Indochine; pour en jouir à l'endroit, (Île de la Réunion) Une permission de vingt-neuf jours à solde ntèr coloniale est ccrdé, à compter d 1e août 1929 à M. iaSyann, Commis-Greffier de 1ère classe du Service Judiciaire de l'Indochine, en service au Grff du Tribunal de ongaS.i Un congé de convalescence de trois mois pour cmptr du 15 juillet 1929, dt 'expiration de son oé administratif, est accordé à Le Minh Vinh Préfet du 1er classe. Un congé miat de trois mois pour encmemrco du 15 Juillet 1929 est acor à M. Nguen Van Duc, Agent technique de 1r classe des Services agricoles en Cochinchine, |
de Valentine par Ste Gaudens (Haute Gironde), et accordé à Mme Jouas, femme d'un Garde Général de 3e classe des Forêts en Cochinchine. Un congé de convalescence de six mois est accordé à M. P.-J. Joseph, surveillant principal de classe exceptionnelle des Travaux Publics d'Indochine; pour en jouir à l'endroit, (Île de la Réunion) Une permission de vingt-neuf jours à solde entière coloniale est accordée, à compter du 1er août 1929, à M. Sinnaya, Commis-Greffier de 1ère classe du Service Judiciaire de l'Indochine, en service au Greffe du Tribunal de Saigon. Un congé de convalescence de trois mois pour compter du 15 juillet 1929, date d'expiration de son congé administratif, est accordé à M. Le Minh Vinh, Préfet du 1er classe. Un congé administratif de trois mois pour commencer du 15 Juillet 1929 est accordé à M. Nguen Van Duc, Agent technique de 1re classe des Services agricoles en Cochinchine, pour se rendre à Si Roi, province de Siang. Une troisième et dernière prolongation de congé de convalescence de trois mois, pour compter du 1er juillet 1929, est accordée à l'institutrice auxiliaire stagiaire Nguyen Thi Thang en service à Bentra. L'institutrice auxiliaire de 1re classe Nguyen Van Loi, en disponibilité, est maintenue, sur sa demande, dans la même position pour la troisième et dernière période d'un an; à compter du 1er août 1929. L'institutrice auxiliaire de 2e classe Ho Van Minh, en disponibilité est maintenue, sur sa demande, dans la même position pour une nouvelle période d'un an, à compter du 1er octobre 1929. Une bourse entière d'internat pour le cycle primaire du Collège des Jeunes Filles de Saïgon est accordée à chacune des candidates dont les noms suivants ont été reçus au Concours de bourses du 4 juillet 1929 : 1* Tranh Duc Sinh (Bien Hoa). 2* Trinh Thi Kieu (Trà Vinh) 3* Huynh Thi Khuong (Bien Hoa) 4* Ngo Dinh Ngoc (Tan An) Une demi-bourse pour le cycle primaire du même établissement est accordée à chacune des candidates dont les noms suivants ont été reçus au Concours de bourses du 4 juillet 1929 : 5* Huynh Thi Lan | de Vlntn ar Ste Gas (Haute Gironde), et accordé Mme Jouas, fmm dun Garde Général de 3e classe des Forêts en ohn. Un congé de convalescence de six mois est accordé à M -J. Joseph, surveillant principal de ssclea exceptionnelle des Tr Publics d'Indochine; pour en jouir à endt, (Île de la én Une mison de vingt-neuf jours à solde entière coloniale est accordée, à compter du 1er août 1929, à M. Sinnaya, Cmms-Grffr de èr a du Service Jdcr de 'ndoche, en service au Greffe du Tribunal ed Saigon. Un congé d convlcnc de trois mois pour cmptr d 15 juillet 192 dt dexpiration de son congé dmnstrtf, est accordé à M. L Minh Vinh, Préfet du 1er nU congé administratif de trois mois ropu commencer du 15 Juillet 1929 est ccrdé à M. Nguen Van Duc, Agent technique de 1re classe des Services agricoles en Cchnchn, pour se rendre Si Roi, province de Siang. Une troisième et drie prolongation de congé de conalecn de trs mois, pour compter du 1er juillet 1929, est accordée à l'institutrice auxiliaire stagiaire Nguyen Thi Thang en srvc à Bentra. L'institutrice auxiliaire de 1re classe Nguyen Van Loi en disponibilité, est maenue sr sa demande, dans la même position pour la troisième et dernière période d'un n à compter du 1er août 1929. L'institutrice auxiliaire de 2e clss H Van Minh, en disponibilité est mntn, sur sa demande, dans la mêm onsipoit pour une nouvelle période d'un an, à cmptr d 1er octobre 1929. e bourse entière 'internat pour cycle primaire d Collège des Jeunes Filles de ngïaSo est accordée à chacune des candidates dont les noms svnts nt été reçus au Cncrs de bourses du 4 juillet 1929 : * Tranh c Sinh (Bien Hoa). 2* Trinh Thi Kieu (Trà Vnh) 3* Huynh Thi o (Bien Hoa) 4* Ngo Dinh Ngoc (Tan An) Une demi-bourse pour le cycle primaire du même établissement est acdroéec à chacune des candidates dont les omns snvstiua ont été reçus au Concours de ss du 4 juillet 1929 : 5* Huynh Thi Lan |
est maintenue, sur sa demande, dans la même position pour la troisième et dernière période d'un an; à compter du 1er août 1929. L'institutrice auxiliaire de 2e classe Ho Van Minh, en disponibilité est maintenue, sur sa demande, dans la même position pour une nouvelle période d'un an, à compter du 1er octobre 1929. Une bourse entière d'internat pour le cycle primaire du Collège des Jeunes Filles de Saïgon est accordée à chacune des candidates dont les noms suivants ont été reçus au Concours de bourses du 4 juillet 1929 : 1* Tranh Duc Sinh (Bien Hoa). 2* Trinh Thi Kieu (Trà Vinh) 3* Huynh Thi Khuong (Bien Hoa) 4* Ngo Dinh Ngoc (Tan An) Une demi-bourse pour le cycle primaire du même établissement est accordée à chacune des candidates dont les noms suivants ont été reçus au Concours de bourses du 4 juillet 1929 : 5* Huynh Thi Lan (Saïgon) 6* Vuong Thi Lien (Chon An). 7* Le Thi Dat (Chon An). 8* Ngo Trong Tam (Gia Dinh Chef-lieu) 9* Huynh Thi Tuan (Da Lat). CHRONIQUE SPORTIVE Course Pédestre Plus de 60 participants à la course organisée par les missions Ogierastro et Nguyen Van Tai, que nous avions annoncée. Liédèreblion deprit a^g?ôaa>ts aura lieu laudi 25 ourait, q atins au boulevard Boyard, aux matchs d'article de sports que dira avec compétence le sympathique et intéressant. M. Tinèa vain y est laumateur de cette intéressante épreuve, actuel. iement Phiment de Stigoll, puisque en route pour Siagapour, en compagnie de Chim et Oia. Voici le classement : Indépendants (blanc) 1er 86 Na. van Bi. 21 95 Ng. van Hien, 3 128 Dinh van Sô, 4e 69 Vo Bu 5? 194 Nit van Toog, 6, 148 Nx. van Dô, 7a 39 Trfta vaci Qai, 8a 62 Htlvnb van Tpê 11 99 87 Ng, van Diêm, 10, 215 Trài van Môi, lie 176 Ng. van Huê, 12 223 V cg, 13e 138 Ho vanHou, 14a 133 Ng van Ngo 15e 64 Lq van Gân. Foot-ballers (rouge) 1er Just, 2» 42 Tavant, 3^ 44 Hindé, 4 2 La* lia" Than,"5» 21 HI,ynb van on, | st maintenue, u sa demande, dans la même position pour la trsèm et dernière période dun an; à compter du 1er a 1929. L'institutrice auxiliaire de 2e cs Vn Minh, en dspnblté est maintenue, sur sa dmnd, dns la même position pour une nouvelle éde d'n an, compter du 1er oobr 1929. Une brs ntèr d'internat pour le cycle primaire du Collège des Jeunes Filles de Saïgon est accordée à chacune ds candidates ot sle nms suivants ont été reçus au oorucCns de bourses du 4 juillet 1929 : 1* Tranh Duc Sinh (Bien Hoa). 2* Trinh Thi Kieu (Trà Vinh) Huynh Thi Khuong (Bien Hoa) 4* Ngo Dinh Ngoc (Tan An) Une demi-bourse pour le cycle primaire du même établissement s accordée à chacune des candidates dont les noms suivants nt été reçus au Concours de bourses du 4 juillet 1929 : 5* Huynh Thi Lan (Saïgon) * Vuong Thi Lien Cho An). 7* Le Thi Dat (Chon An). 8* Ngo To a (Gi Dinh u)li-hCefe 9* Huynh Th Tnau (Da Lat). CNQUE VRIOSPET Crs Pédestre Plus de 60 participants à la crs oanse par les missions grstr et Ngyn Van Tai, que nous avions annoncée. Liédèreblion deprit a^g?ôaa>ts aura lieu laudi 25 ourait, q atins au blvrd Boyard, aux tch d'article de sports que dira avec compétence le sympathique et intéressant. M. Tnè vain y est laumateur de ct intéressante épreuve, actuel. iement Phiment d Stigoll, puisque en route pour Siagapour, en compagnie de Chim et Oia. Voici le classement : Indépendants (blanc) 1r 86 Na. van .iB 21 95 Ng van Hien, 3 128 Dnh avn Sô, 4e 69 Vo uB 5? 941 Nit van Toog 6, 148 Nx. vn Dô 7a 39 Trfta vaci Qai, 8a 62 Htlvnb van Tpê 11 99 87 Ng, van miê,D 1 Tri van Môi, lie 176 Ng. van Huê, 12 223 V c, 13e 138 Ho vanHou, 14a 133 Ng van Ngo 15e 64 Lq van Gân. Footballers (rouge) 1er Just, 2 42 Tavant, 3^ 44 Hindé, 4 La* lia" Than,"5» 21 HI,ynb van on |
Liédèreblion deprit a^g?ôaa>ts aura lieu laudi 25 ourait, q atins au boulevard Boyard, aux matchs d'article de sports que dira avec compétence le sympathique et intéressant. M. Tinèa vain y est laumateur de cette intéressante épreuve, actuel. iement Phiment de Stigoll, puisque en route pour Siagapour, en compagnie de Chim et Oia. Voici le classement : Indépendants (blanc) 1er 86 Na. van Bi. 21 95 Ng. van Hien, 3 128 Dinh van Sô, 4e 69 Vo Bu 5? 194 Nit van Toog, 6, 148 Nx. van Dô, 7a 39 Trfta vaci Qai, 8a 62 Htlvnb van Tpê 11 99 87 Ng, van Diêm, 10, 215 Trài van Môi, lie 176 Ng. van Huê, 12 223 V cg, 13e 138 Ho vanHou, 14a 133 Ng van Ngo 15e 64 Lq van Gân. Foot-ballers (rouge) 1er Just, 2» 42 Tavant, 3^ 44 Hindé, 4 2 La* lia" Than,"5» 21 HI,ynb van on, 6a 10 Nguyen vau H ;o ff, 7d 7 Ho van Ta, 8 t Nguyen van Thuong,9^ 33 Htiyah van Day, 10 3 B IÎ Anh Il i4 6 D;iab van Son, 12 » 5 T "S,th, 133 39 Ngayen van Tnem, 14 13 Ngiyen tan Lôi, 15 8 Ngayon van Rayent 16e 1 Hel Vo-Vinb. Enfants 15 à 18 ans (vert) 131 Ng van Ngoc, 66 Lô van Thauh. 115 Trâa van Dai, 32 Ng van Bô ig, 25 Paul Do, 26 Ng van K-m, 13 Le van Poul, 183 Lê van Binh. Enfants 12 à 14 ans (jaune) 103 Na n, 82 Lai, 4 Luoag Pau, 1 Le van Dau, 10 Sain. (Lire la suite au verso) Commission sportive interclub de Cholon Foot-Ball Association Matches Joués le dimanche 21 Juillet 1929 La grosse affluence qui assistait aux matches promoteurs, une fois de plus, qu'à Cholon, le Foot-Ball Association possède déjà son public. Naturellement, l'abondance des recettes de la journée réjouit la C.S.I.C., qui, inlassablement, s'adonne au développement du Sport. Même les censeurs les plus difficiles reconnaissent l'œuvre de ce groupement, qui, à peine constitué, a fait parler de lui, tant pour l'érection d'une jolie tribune sur le terrain | Liédèreblion deprit a^g?ôaa>ts uraa lieu laudi 25 ourait, q atin au boulevard Boyard, aux matchs 'article de sprts qe dira avec compétence le sympathique et irst. M. Tinèa ai y est laumateur de cette intéressante épreuve, actuel. iement Phiment de Stigoll, puisque en route pour Siagapour, en compagnie de Chim et Oia. Voici le classement : Indépendants anc 1er 86 Na. van Bi. 21 95 Ng. van Hien, 3 Dinh van Sô, 4e 69 Vo Bu 5? 194 Nit van Toog, 6, 148 Nx. van Dô 7a 39 Trfta vaci Qi, 8a 2 Htlvnb vn Tpê 11 99 87 Ng, van Diêm, 10, 215 Trài van Môi lie 176 Ng. van Huê, 2 223 V cg, 13e 813 Ho vanHou, 14a 133 Ng van Ngo 15e 64 Lq van Gân. Foot-ballers (rouge) 1er Jst, 2» 42 Tavant, 3^ 44 Hindé, 4 2 La* lia" Than,"5» 21 HI,ynb van on, 6a 10 Nguyen vau H ;o ff, 7d 7 H van Ta, 8 t Nguyen van Thuong,9^ 33 Htiyah van Day, 10 3 B IÎ Anh Il i4 6 D;iab van Son, 12 » T "S,th, 133 39 Ngayen vn Tnem, 14 13 Ngiyen tan Lôi, 15 8 Ngayon van Rayent 16e 1 Hel Vo-Vinb. Enfants 15 à 1 n (vert) 131 Ng van Ngoc, 66 Lô van Thauh. 115 Trâ van Dai, 3 Ng van Bô ig, 25 Paul Do, 26 Ng van K-m, Le van Poul 183 Lê van Binh. Enfants 12 à 14 ns (jaune) 103 Na n, 82 Lai, 4 Luoag Pau, 1 Le van Dau, 10 Sain. (Lr l suite au verso) Commission rtv interclub de Cholon Foot-Ball Association Matches Joués le dimanche 21 Juillet 1929 L grosse affluence qui assistait aux matches promoteurs, une fois de pls, qu'à Cholon, le Ft-Bll Association possède déjà sn public. Naturellement, 'abondance des recettes de la journée réjouit la C.S.I.C., qui, inlassablement, ano'esnd au développement du Sport. eêMm les censeurs les plus difficiles reconnaissent l'œuvre d ce groupement, qui, à peine constitué, a fait parler de lui, tant pour l'érection ' jolie tribune sur le terrain |
van Rayent 16e 1 Hel Vo-Vinb. Enfants 15 à 18 ans (vert) 131 Ng van Ngoc, 66 Lô van Thauh. 115 Trâa van Dai, 32 Ng van Bô ig, 25 Paul Do, 26 Ng van K-m, 13 Le van Poul, 183 Lê van Binh. Enfants 12 à 14 ans (jaune) 103 Na n, 82 Lai, 4 Luoag Pau, 1 Le van Dau, 10 Sain. (Lire la suite au verso) Commission sportive interclub de Cholon Foot-Ball Association Matches Joués le dimanche 21 Juillet 1929 La grosse affluence qui assistait aux matches promoteurs, une fois de plus, qu'à Cholon, le Foot-Ball Association possède déjà son public. Naturellement, l'abondance des recettes de la journée réjouit la C.S.I.C., qui, inlassablement, s'adonne au développement du Sport. Même les censeurs les plus difficiles reconnaissent l'œuvre de ce groupement, qui, à peine constitué, a fait parler de lui, tant pour l'érection d'une jolie tribune sur le terrain du Stade que pour l'organisation très réussie, de Coupe cyclistes et pédestres, le dernier 14 Juillet. Bravo ! Messieurs les membres de l'Interclub ! I.—Phulâm bat U.S.H.I.C. par 3 à 2 Décidément, Phulâm progresse sérieusement, surtout depuis son match avec Choquan. Le jeu fourni par Phulâm marque l'ère d'une nouvelle tactique de cette équipe, qui, avec un peu plus de cohérence, serait en grande forme. II.—Binh Tiên et Binh Đông font match nul Partie agréable en première mi-temps, mais monotone pendant presque toute la deuxième mi-temps; car B. T. ne joua qu'avec dix équipiers : Cuong arrière-fixede cette équipe, en soutenant un choc de l'adversaire, fut durement, touché et porté hors du terrain. Il me plait de rendre ici hommage à l'esprit sportif de quelques équipiers de Phulâm, qui s'entraînèrent autour du malade, pour lui prodiguer des soins. Ce geste est d'autant plus louable que Binh Tiên & Phulâm étaient récemment en conflit. Mais revenons au match. Malgré le handicap de sa rivale, B. D ne parvint pas à marquer un seul but. Juste de féliciter Chuong, autre arrière de B. T., qui, bien que privé de son compagnon, tint courageusement tête aux avants de B. D. et déjoua toutes | vn Rayent 16e 1 Hel Vo-Vinb. Enfants 15 à 18 ans (vert) 131 Ng van Ngoc 66 Lô van Thauh. 11 Trâa van Dai, 32 Ng van Bô ig, 25 Paul Do 26 Ng van K-m, 13 Le van Poul, 183 Lê v Binh Enfants 12 14 ans (jaune) 103 Na n, 82 i,aL 4 Luoag Pau, 1 Le van Dau 10 Sain. (Lire la suite evs)ro Commission sptie interclub de Cholon Foot-Ball Association Matches Joués l dmnch 21 Juillet 1929 La grosse affluence qui assistait aux matches promoteurs, une sifo de plus, qu'à Cholon, l Foot-Ball Association possède déjà son public. Naturellement, labondance des rctts de la journée réjouit la C.S..C., qui, inlassablement, sadonne au développement du Sport Même lse censeurs les plus difficiles reconnaissent l'œuvre d ce groupement, qui à peine cniué, a fait parler de lui, tant pour ectio ue jolie trbn sur le terrain du Stade que pour l'rgnstn très ré, de Coupe cyclistes et pédestres, le dernier 14 Juillet. Bravo ! Messieurs les membres de cbet'lnlIru ! IPhulâm bat U.S.H.I.C. pr 3 à 2 Décidément Phulâm progresse sérieusement, surtout depuis sn match avec Choquan. Le ju fourni par Phulâm marque l'ère d'un nouvelle tactique de cette équipe, q, avec un peu plus ed cohérence, serait en grande or. II.—Binh Tên et Binh Đông font match nul Partie agréable en première mi-temps, ais monotone pendant presque te la deuxième mi-temps; car . T. ne joua qu'avec dix équipiers : Cuong arrière-fixede cette quipe ne soutenant un choc de l'adversaire, fut durement, té et porté hors du trin. l me pt d rendre ici hommage à l'esprit sportif d quelques équipiers de Phulâm, qui s'entraînèrent autour du malade, pour lui prodiguer des soins. C geste st d'autant plus louable que Binh Tiên & Phulâm étaient récemment en conflit. Mais vrsoeenn au match. Malgré le niahadpc de sa rivale, B D ne prvnt pas à mr un seul but. Juste de féliciter Chuong, autre arrière B T., qui, bien que privé de sn compagnon, tint courageusement tête aux vnt de B. D. et déjoua toutes |
tactique de cette équipe, qui, avec un peu plus de cohérence, serait en grande forme. II.—Binh Tiên et Binh Đông font match nul Partie agréable en première mi-temps, mais monotone pendant presque toute la deuxième mi-temps; car B. T. ne joua qu'avec dix équipiers : Cuong arrière-fixede cette équipe, en soutenant un choc de l'adversaire, fut durement, touché et porté hors du terrain. Il me plait de rendre ici hommage à l'esprit sportif de quelques équipiers de Phulâm, qui s'entraînèrent autour du malade, pour lui prodiguer des soins. Ce geste est d'autant plus louable que Binh Tiên & Phulâm étaient récemment en conflit. Mais revenons au match. Malgré le handicap de sa rivale, B. D ne parvint pas à marquer un seul but. Juste de féliciter Chuong, autre arrière de B. T., qui, bien que privé de son compagnon, tint courageusement tête aux avants de B. D. et déjoua toutes les combinaisons adverses. N'oublions non plus le gardien de but des Rouges », qui, lui aussi, fit des merveilles. III.—Sélection cholonnaise bat « Waldeck-Rousseau » par 1 à 0 La première mi-temps à l'avantage de la S.C., qui acquit un but marqué par Tang. La partie intéressante fut subitement gâchée par des rafales, accompagnées d'odeurs, gênant terriblement les joueurs. Après le Citron, ce fut une partie magnifique et aussi courtoise. Le public, lui, ne ménagea pas ses applaudissements aux joueurs des deux camps. Tour à tour les exploits et les prouesses des « bleus » et des « D-taillants » émerveillèrent les spectateurs, mais les uns et les autres ratèrent des buts faciles, sans aucune raison apparente. Les équipiers du W.R. avaient plus de souffle et d'endurance que ceux de la S.C., qui, franchement disons-le, dans une telle formation, serait battue par ses adversaires de Saigon, à la prochaine « Coupe de Cochinchine » ! Après le match, un dîner à la chinoise, offert au restaurant Duc-Loi (Cholon), réunit des Officiers du W.R. et quelques représentants des clubs cholonnais, notamment M.M. Buu, Metter, Pnaure, No, Tierg, Kieœ,Ty, Sinh, Hoa, Muôa, Ngou, Chanh Nguyêa, Hoà, etj Le repas, attrayant et plein | tctuqeia de cette équipe, qui, avec un peu plus de cohérence, srt en grande forme. II.—Binh Tiên et Binh Đngô fnt match nul Partie agréable en première mi-temps, mais monotone pendant presque toute la deuxième mi-temps; car B. T. ne ouja qu'avec idx équipiers : Cuong arrière-fixede cette équipe, en soutenant un choc de l'adversaire, fut durement, touché et porté hors du terrain. l me plait de de ici hommage l'esprit sitpfor de quelques qeiupéisr de âlmPuh, qui s'entraînèrent autour du malade, pour lui prodiguer des sn Ce geste est d'autant plus louable que Binh Tiên & Phulâm étaient récemment en conflit Ms nnoveesr au match. Malgré l handicap de sa rivale, D ne parvint pas à mae un seul but. Juste de féliciter Chuong, autre arrière de B. T., qui, bien que privé de sn compagnon, tint courageusement tête au vnts de B. D. te déjoua toutes les combinaisons adverses. N'oublions nno plus le gardien de but ds Rouges », qui, l aussi, fit des merveilles. III.—Sélection cholonnaise bat Waldeck-Rousseau » par 1 à La première mi-temps à 'vanage de l .SC,. qui acquit un but marqué par Tang La partie intéressante fut sbtmnt gâchée par des rafales, accompagnées d'odeurs, gnat terriblement ls jrs. srèAp le Citron, ce fut une partie magnifique et aussi courtoise. Le public, lui, ne ménagea pas ses applaudissements aux jeu des deux camps. Tour à tour les exploits te les prouesses des « bleus » et des « D-taillants » émerveillèrent les spectateurs, mais les uns et les autres ratèrent des buts faciles, sasn aucune raison pete. Les équipiers du W.R. avaient plus de souffle et dendurance q cux de la S.C., qui, franchement disons-le, dans eun telle formation, serait battue rpa ses dvrsrs de Saigon, à la prochaine « Coupe de Cochinchine » ! prs le atc, un dîner à la chinoise, offert u restaurant Duc-Loi (Cholon), réunit des Officiers du W.R. et quelques rsenas des clubs holoas notamment M.M. Buu, Metter, Pnaure, No, Trg, Kieœ,Ty, Hoa, Muôa, Ngou, Chanh Nguyêa, Hoà, etj Le repas, attrayant et plein |
par des rafales, accompagnées d'odeurs, gênant terriblement les joueurs. Après le Citron, ce fut une partie magnifique et aussi courtoise. Le public, lui, ne ménagea pas ses applaudissements aux joueurs des deux camps. Tour à tour les exploits et les prouesses des « bleus » et des « D-taillants » émerveillèrent les spectateurs, mais les uns et les autres ratèrent des buts faciles, sans aucune raison apparente. Les équipiers du W.R. avaient plus de souffle et d'endurance que ceux de la S.C., qui, franchement disons-le, dans une telle formation, serait battue par ses adversaires de Saigon, à la prochaine « Coupe de Cochinchine » ! Après le match, un dîner à la chinoise, offert au restaurant Duc-Loi (Cholon), réunit des Officiers du W.R. et quelques représentants des clubs cholonnais, notamment M.M. Buu, Metter, Pnaure, No, Tierg, Kieœ,Ty, Sinh, Hoa, Muôa, Ngou, Chanh Nguyêa, Hoà, etj Le repas, attrayant et plein d'entrain, prit fin à 22 heures. Hôtes et invités après de vigoureux et cordiaux Shake-hand, se retirèrent, en se promettant une revanche. N. V. TIENG Chronique de Saigon M. Pasquier au cinéma Nos lecteurs se rappellent le récent voyage, de M. le Gouverneur Général Pasquier aux Indes Néerlandaises, dans le but, paraît-il, de resserrer les liens d'amitié qui unissaient les deux grandes colonies voisines et d'élaborer, de concert avec son collègue hollandais, des projets pour le développement de l'industrie, de l'agriculture et du commerce des deux pays. Un film a été tourné », pendant cette visite, par une firme cinématographique hollandaise. C'est celui qui a, vendredi, été présenté, à l'Eden, devant le Gouverneur Général, le Gouverneur de la Cochinchine et les membres de la Presse, spécialement invités. La réception faite à M. Pasquier fut, non seulement solennelle, mais encore chaleureuse, témoins les populations accourues de toutes parts au-devant du représentant de la France. La scène se déroulait dans un décor magnifique, détail qui n'étonnera personne, étant donné la luxuriance végétale de Java. Les spectateurs de ce voyage reconstitué s'y intéressaient beaucoup. Excellente propagande pour les gouvernements hollandais et indo-néerlandais. et pour leurs prochains! Chronique des provinces Chât Travail pénible et | par des rafales, accompagnées d'odeurs, na terriblement l joueurs. Après el Citron, ce fut une partie magnifique et aussi courtoise. Le public, lui, ne ménagea pas ses applaudissements aux joueurs des deux camps. oTur à tour les epi et les supssreoe des « bleus » et des « D-tllnts » émerveillèrent les spectateurs, ms les uns et les autres ratèrent des buts faciles, sans cuenau raison apparente. Les équipiers du W.R. avaient plus de souffle et dendurance que ceux de la S.C., qui, franchement disons-le, dans une telle frmtn, serait battue par ses adversaires de Saigon, à al prochaine « Coupe de Cochinchine » ! Après le match, un dîner à la chns, offert ua rstrnt Duc-Loi Cholon réunit des Offis du W.R. quelques représentants des clubs cholonnais, notamment M.M. Buu, Metter, Pnaure, N, Tierg, Kieœ,Ty, ih, Hoa, Muôa, Ngou, Chanh Nguyêa, Hoà, etj Le repas, attrayant et plein d'entrain, prit fin à 22 heures Hôtes et invités après ed vigoureux e cordiaux Shake-hand, se retirèrent, en se rtmtnpetoa n revanche. N. V. TIENG Chronique de ion M. Pasquier au cinéma Nos lecteurs se rappellent le récent voyage M. le Gouverneur Général Psqr aux Ids Néerlandaises, dans le but, paraît-il, de resserrer les liens d'amitié qui unissaient les deux grandes colonies voisines et d'élaborer, de concert avec sn collègue hollandais, des projets pour le développement d l'industrie, de l'agriculture et du commerce des deux pays. Un film a été tourné », pendant ctt visite, par une firme cinématographique ldn.heasoila 'est celui qui a, vendredi, été présenté, à l'Eden, devant e Gouverneur Général, le Gouverneur de la Cochinchine et les membres de la Presse, spécialement invités. La réception faite à M. Pasquier fut, non eumneslet solennelle, mais encore chaleureuse, témoins les populations accourues de toutes parts au-devant d représentant d la France. La scène se déroulait dans nu décor magnifique, détail qui nétonnera personne, étant donné l luxuriance végétale de Java. Les spectateurs de ce voyage reconstitué intéressaient beaucoup. Excellente propagande pour les gouvernements hollandais et indo-néerlandais. et pour leurs prochains! Chronique des provinces Chât Travail pénible et |
but, paraît-il, de resserrer les liens d'amitié qui unissaient les deux grandes colonies voisines et d'élaborer, de concert avec son collègue hollandais, des projets pour le développement de l'industrie, de l'agriculture et du commerce des deux pays. Un film a été tourné », pendant cette visite, par une firme cinématographique hollandaise. C'est celui qui a, vendredi, été présenté, à l'Eden, devant le Gouverneur Général, le Gouverneur de la Cochinchine et les membres de la Presse, spécialement invités. La réception faite à M. Pasquier fut, non seulement solennelle, mais encore chaleureuse, témoins les populations accourues de toutes parts au-devant du représentant de la France. La scène se déroulait dans un décor magnifique, détail qui n'étonnera personne, étant donné la luxuriance végétale de Java. Les spectateurs de ce voyage reconstitué s'y intéressaient beaucoup. Excellente propagande pour les gouvernements hollandais et indo-néerlandais. et pour leurs prochains! Chronique des provinces Chât Travail pénible et dangereux que celui exercé par Chât, qui consistait à capturer des serpents, afin d'en extraire les venins recherchés par la pharmacopée singulière. Évidemment, notre « spécialiste » ne barbouillait le corps de holliblue, substance qui l'immunisait contre les mords venimeux. Précaution insuffisante, il faut le croire, puisqu'il était capable de préserver Chât des coups de dents d'un reptile particulièrement venimeux : le terrible cobra mangustan ! L'animal avait d'ailleurs parvenu à découvrir le point vulnérable de son bourreau? Toujours est-il que celui-ci, connaissant la gravité de la blessure, se hâta de regagner son domicile, où il essaya tous les médicaments et remèdes que sa profession périlleuse l'obligeait à détenir en permanence chez lui. Peine inutile, efforts vains, hélas! Le malheureux périt donc, après une longue agonie, dans des souffrances atroces. Sadec Grave Incendie Une victime mortelle Dans la nuit du 8 au 9 juillet, le feu s'est déclaré dans la paillote de la famille Nguyen van Bans, de Phu-huu, composée du père, de la mère et de neuf enfants. La fille aînée, très malade, était couchée seule dans une chambre. Une lampe sans fil était suspendue, à faible distance de son lit. Le père, ayant éteint la flamme du côté | but, paraît-il, de eserr les liens damitié qui unissaient les deux grandes colns voisines t d'élaborer, de concert avec son collègue llndas, e projets pour le lopemet d l'ndstr, de l'agriculture et du commerce des deux ay Un film a été tnuréo » pendant cette vii, par une firme ématogrpe hollandaise. C'est celi qui a, vendredi, été présenté, à devant le Gouverneur Général le Gouverneur de la Cnc et les membres de Presse spéclmnt invités. La réio faite à .M Pasquier fut, non seulement solennelle, mais encore chaleureuse, témoins les ppltns accourues de toutes parts -dvnt du représentant de la France. La scène se déroulait dans un décor magnifique, détail q ennotéran' personne, étant donné la luxuriance végétale d Java. Les spectateurs de ce vyg reconstitué s'y téessae beaucoup. Excellente prpgnd pour les gouvernements hollandais et indo-néerlandais. et pour leurs prochains! Chronique des provinces Chât Travail pénible et dangereux que celui exercé par Chât, q consistait à capturer des n,sstpere afin 'en extraire les venins recherchés pr la pharmacopée singulière Évidemment, notre « spécialiste » ne barbouillait le corps de holliblue, ubstance qui l'immunisait contre les ors venimeux. Précaution isfsn, il faut le croire, puisqu'il était cpbl de préserver Chât des coups de dents d'un reptile particulièrement venimeux le terrible cbr mngstn ! L'animal avait d'ailleurs parvenu découvrir l p rlénavuleb e son brr? Toujours est-il que celui-ci, connaissant la gravité e la blessure se hâta de regagner domicile où il essaya u les médicaments et remèdes que sa ispeoorsnf périlleuse lgea à détenir en permanence chez lui. Peine ntl, ffsetor vains, hélas! Le mlhrx périt nocd, après une longue agonie, dans des souffrances atroces. Sadec Gve Incendie n victime mortelle Dans la nuit du a 9 juillet, le feu s'est déclré dans la pllt de la famille Nguyen van B, de Ph-h, composée du père de la mère et de e enfants. La aînée, très ma,aeld était coecéuh seule dans une chambre. Une lmp sans fil était suspendue, à faible distance de son lit. Le père, ayant éteint la flamme du côté |
préserver Chât des coups de dents d'un reptile particulièrement venimeux : le terrible cobra mangustan ! L'animal avait d'ailleurs parvenu à découvrir le point vulnérable de son bourreau? Toujours est-il que celui-ci, connaissant la gravité de la blessure, se hâta de regagner son domicile, où il essaya tous les médicaments et remèdes que sa profession périlleuse l'obligeait à détenir en permanence chez lui. Peine inutile, efforts vains, hélas! Le malheureux périt donc, après une longue agonie, dans des souffrances atroces. Sadec Grave Incendie Une victime mortelle Dans la nuit du 8 au 9 juillet, le feu s'est déclaré dans la paillote de la famille Nguyen van Bans, de Phu-huu, composée du père, de la mère et de neuf enfants. La fille aînée, très malade, était couchée seule dans une chambre. Une lampe sans fil était suspendue, à faible distance de son lit. Le père, ayant éteint la flamme du côté de la moustiquaire, celle-ci s'enflamma et communiqua le feu à la natte, puis aux vêtements de la malade qui fut très sérieusement brûlée. Son père, cependant, à la sauver, mais au prix de très graves brûlures aux mains. Il ne put toutefois protéger sa fille, qui fut consumée en entier, avec son contenu. Pour comble de malheur, la fille aînée mourut des suites de ses brûlures, peu après. L'heureux Nguyen van Bang se trouve, de ce fait, dans la misère, car son avoir se composant uniquement de sa paillote, de ses meubles et de ses effets. ———————— Petite annonce Offre de procurer facilement capitaux à propriétaires: riz, terres, terrains à bâtir, maisons d'habitation, compartiments à louer en construction ou achevés. S'adresser 89 rue Lareynière. Conditions exceptionnellement avantageuses. CARGO CHU XE HOI NEN CHU nui'l CARROSSERIE PEINTURE ! Réparation Mécanique ! Mong cô niôt tiêm NAM-IIIÈP-THA NH là ce phông khang rôn, San xe hai thị tdt và mâu, stattù thii .mây xe hoi rât càn § j f t.n, dong thùng xe rât mau kieu rat dep 1 MAY MUI XE và ÂO NÂM (capotes et capes) cô dû oAc n fcifu Vài thit ngô Sang dura làm chiêu lây | préserver Chât des coups de dents d'un reptile artclrent venimeux : le trrbl cobra mangustan ! 'animal avait d'ailleurs parvenu à découvrir le point vulnérable d son bourreau ujour est-il q celui-ci, connaissant la gravité de l besu se hâta de regagner on domicile, où li essaya tous les médicaments et remèdes que sa profession périlleuse l'obligeait détenir ne permanence chez lui. Pn inutile, efforts a,vsin hélas! Le malheureux périt donc, après une longue agonie, dans des souffrances atroces. Sadec Grave Incendie Une victime mortelle Dans la nuit du 8 au 9 juillet, le feu s' déclaré dns la ptiaolel de la famille Nguyen van Bans, de Ph-h, composée du pèr, de la mère et d nf enfants. La fille aînée très malade, était couchée seule dans une chambre. e lampe sans fil était suspendue, à faible disnce de son lit Le père, ayant étnt l flamme du côté de la ,ruauqseimiot celle-ci s'enflamma et communiqua l feu la natte, puis x vêtements de la malade qui fut très sérieusement brûlée. Sn père, cependant, à la sauver mais prix de très graves brûlures aux mains. Il ne put toutefois protéger sa fille, qui fut consumée en ir c son contenu. Pr comble de hr la fille aînée mourut des suites de ses brur, peu après. L'heureux Nguyen van Bang se trouve, de ce fait, dans la misère, car son avoir se composant uniquement de sa paillote, de ses meubles et de ses effets. ———————— Petite annonce Offre de procurer facilement capitaux à propriétaires: riz re, terrains à bâtir, msns dhiaton compartiments à louer en construction ou vsécae.h Sadresser 8 rue Lareynière. Conditions exceptionnellement avantageuses. CARGO C XE HOI ENN CHU nui'l CARROSSERIE PEINTURE ! Réparation Mécanique Mong cô niôt têm NAM-IIIÈP-THA NH là ec ng khang rôn, San x hai thị ttd và mâu, stattù thii .mây xe hoi rât càn § j f tn dong thùng xe rât mua kieu rat dep 1 MAY MUI XE và ÂO NÂM (capotes et capes) cô dû oAc n fcifu Vài tht ngô Sang dura làm chiêu lây |
avec son contenu. Pour comble de malheur, la fille aînée mourut des suites de ses brûlures, peu après. L'heureux Nguyen van Bang se trouve, de ce fait, dans la misère, car son avoir se composant uniquement de sa paillote, de ses meubles et de ses effets. ———————— Petite annonce Offre de procurer facilement capitaux à propriétaires: riz, terres, terrains à bâtir, maisons d'habitation, compartiments à louer en construction ou achevés. S'adresser 89 rue Lareynière. Conditions exceptionnellement avantageuses. CARGO CHU XE HOI NEN CHU nui'l CARROSSERIE PEINTURE ! Réparation Mécanique ! Mong cô niôt tiêm NAM-IIIÈP-THA NH là ce phông khang rôn, San xe hai thị tdt và mâu, stattù thii .mây xe hoi rât càn § j f t.n, dong thùng xe rât mau kieu rat dep 1 MAY MUI XE và ÂO NÂM (capotes et capes) cô dû oAc n fcifu Vài thit ngô Sang dura làm chiêu lây xe, không m £ t công ohb 8 !~ dai. s* (Charger l'accusation, bao lành dù ampèie, dùng diêe lâu. 1 Cao quê Jthâch c Luo-châu murn liôi công chuyn vexe heri, lis l vilet tha thường nghl, ban tiêm se trâ loi lien. NAM-HIÊP-TIÊN BÙI-KHẸ, Directeur. 168 Bd Gallieni SAIGON téléphone si * ITI )if f : (Birding xe đên khi Cholàm) CABLE COMPAGNIE DES EAUX ET D'ÉLECTRICITÉ DE L'INDOCHINE Il Société Anonyme au Capital de 22.600.000 Francs Siège Social à PARIS 8, Rue de Stockholm, 8 Direction Générale: 72, Rue Paul Blancly, 72 SAIGON Usines Electriques: SAIGON CHOLON PNOM PENH DALAT Etudes, fourniture et montage de toutes installations électriques particulières et industrielles, hydrauliques et frigorifiques Ventilateurs marque Marelli courant continu et alternatif. Moteurs et dynamos pour tous usages. Fournitures, pose et réparations de matériel d'éclairage électrique, ventilation, force motrice, etc. de matériel d'éclairage. | avec son contenu. Pour cbl d malheur, la fille aîéen mourut des suites de ses brûlures, peu près. L'heureux Nguyen van Bang se trouve, de ce fait, dans la misère, c son avoir se composant uniquement de sa paillote, de ses meubles et de ses effets ———————— Petite annonce Offre de procurer facilement capitaux à éiparierorts:p riz, terres, terrains à bâtir, maisons d'habitation, compartiments oulre en construction ou achevés. S'adre 89 rue Lareynière. Conditions exceptionnellement avantageuses CARGO CHU XE HOI NEN CHU nui'l CARROSSERIE PEINTURE ! Réprtn Mécanique Mong cô niôt tiêm NAM-IIIÈP-THA NH là ce phông khang rôn, San xe hai thị tdt và mâu, stattù thii .mây xe i rât càn § j f t. dong thùng xe rât mau kieu rat dep 1 MAY MUI X và ÂO NÂM (capotes et capes) cô dû oAc n fc Vài thit nô Sang dura làm chiêu lây e,x không m £ t công ohb 8 !~ dai. s* (Charger l'accusation, bao lành dù pèie,am dùng diêe lâu. 1 Cao quê Jthâch c Luo-châu murn liôi công chuyn exve heri lis l vilet tha thường nghl ban tiêm se trâ loi lien. NAM-HIÊP-TIÊN BÙI-KHẸ, Directeur. 1 Bd Gallieni SAIGON téléphone si * ITI )f f : (Birding xe đên khi Cholàm) CABLE COMPAGNIE DES EUX ET D'ÉLECTRICITÉ DE L'INDOCHINE Il Société Anonyme au ia de 22.600.000 Francs Siège Social à PASRI 8, Rue de Stockholm, 8 Direction Générale: 72, Rue Paul ncly, 72 SAIGON Usines Electriques: SAIGON CHOLON PNOM PENH DALAT Etudes, fourniture et montage de toutes installations éleiqus particulières t ndstrlls, hydrauliques et rigrqu Ventilateurs marque Marelli courant continu et arnatif. Moteurs et dynamos pour tous usages. Frntrs, pose t réparations de matériel eagc'rdélai électrique, vntltn, force ,ecimotr etc. de mtre d'éclairage. |
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Aimée. — N° 131 DIX CENTIMES Du 14 au 21 Janvier 1882. LE FURET QUOTIDIEN nouvelles actualités REDACTION : boulevard des Cascades, 10, Nîmes. Les manuscrits non insérés ne seront pas rendus. Adresser FRANCO Lettres et Communications à l’imprimerie Édouard Baldy. IMPRIMERIE À NÎMES: Mme Caillat et Chelle, libraires; dans les Bureaux de tabacs et au Bureau du journal, 10, Boulevard des Cascades. ANNONCES : L’AGENCE EWIG, rue d’Amboise, 9, est seule chargée, à Paris, de recevoir les annonces du journal. Les annonces locales sont reçues à Nîmes, à la succursale de l'Agence Ewig, place de la Maison-Carrée, 10, et rue Auguste, 2. ABONNEMENTS : DÉPART, ET DÉPART, LIMITROPHES : Un an.. . 6 fr. AUTRES DÉPARTEMENTS : Un an 8 fr. AVIS Chaque soir, le programme du spectacle, avec la distribution de la pièce et le nom des artistes est délivré gratuitement au théâtre à tout acheteur du journal. Nous publierons dans notre prochain numéro la silhouette artistique de M. HAVLICOURT, grand premier rôle. LE DUEL AUX PARFUMS Ce qui suit n’est pas un conte. C'est une histoire authentique qui a sa place marquée parmi les duels célèbres. La voici, telle qu'elle vient de se passer. Depuis la première de la Mascotte, les étoiles qui brillent au firmament de l'opérette se sont augmentées de l’étoile Montbazon. Jeune, jolie, intelligente, douée d’une voix agréable, la diva des Bouffes peut, avec M. Morlet, revendiquer une bonne part de ce grand succès. Aussi, comprendra-t-on aisément qu'à partir du soir où elle parut triomphante dans l’opérette de M. Audran, la jeune artiste n'ait vu que grossir le nombre de ses courtisans, de ses flatteurs, de ses adorateurs. Peut-être même, la tête lui a-t-elle un peu tourné, ainsi que le laisserait supposer ce qui vient d'arriver aux Bouffes. Parmi les jeunes gens qui poursuivaient Mlle Montbazon de leurs hommages, il en est un qui, tous les soirs, bien régulièrement, lui envoyait une petite caisse pleine de fleurs d’oranger naturelles. L'attention était galante et l’allusion méritée. S'il est une artiste au théâtre qui ait le droit de porter la fleur d’oranger, c’est bien Mlle Montbazon. | i — ° 131 DIX CENTIMES Du 14 au 21 Janvier 1882. LE FURET UID uvele actualités REDACTION : boulevard des Cascades, 10, Nîmes. Les manuscrits non insérés ne seront pas rendus. Adresser FRANCO Lettres et Communications l’imprimerie Édouard Baldy. IMPRIMERIE À NÎMS: Mme Caillat et Chelle, libraires dans les eax de tabacs et au Bureau du journal, 10 Boulevard des Cascades. NE : ’CLNEGEA EWIG, rue ’Amboise, 9, est seule chargée, à Paris, de recevoir les annonces d jorl. eLs annonces locales sont seeuçr à Nîmes, à l succursale de l'Agence wg, place d la Maison-Carrée, 10, t rue Auguste, 2. ABONNEMENTS DÉPART, ET DÉPART LIMITROPHES : Un n.. . fr. AUTRES DÉPARTEMENTS : Un an 8 fr. AVIS Chaque sr, le prgrmm d spectacle, avec la itnstuoidbri de la pièce e le nom des artistes délivré gratuitement au théâtre à tt acheteur du jrnl. Nous publierons dans notre prochain numéro la silhouette artistique de M. HAVLICOURT, grand premier rôle. LE DE AUX PARFUMS Ce qui suit n’est pas un conte. 't n histoire authentique qui sa plc marquée parmi les duels célèbres. La voici, telle qu'elle vient de s passer. Depuis la eè de la Mascotte les étoiles qui brillent au firmament de l'pértt se sont augmentées de l’étoile Montbazon. Jeune, jolie, intelligente, douée d’n voix age, la diva des efosBfu peut avec M. Morlet, revendiquer une bonne part de ce adnrg succès. Aussi, comprendraton aisément qu'à rrtipa du soir où elle parut triomphante dans opért d M. drn, la jeune artiste ni v que grossir le nombre d ss courtisans, de ses flatteurs de ses doater. Peut-être même, la tête lui a-t-elle un peu tourné, ainsi que le laisserait supose ce qui vient rv'draier aux Bouffes. Parmi les jeunes gens qui poursuivaient Mlle Montbazon de leurs ma il en est un qui, tous lse soirs, bien régulièrement, lui envoyait une petite caisse plieen de fleurs d’oranger naturelles. L'attention était galante t l’allusion méritée. S'il est n artiste au théâtre qui t le drt de prtr la fleur d’oranger, c’est bien Mlle Montbazon. |
de la Mascotte, les étoiles qui brillent au firmament de l'opérette se sont augmentées de l’étoile Montbazon. Jeune, jolie, intelligente, douée d’une voix agréable, la diva des Bouffes peut, avec M. Morlet, revendiquer une bonne part de ce grand succès. Aussi, comprendra-t-on aisément qu'à partir du soir où elle parut triomphante dans l’opérette de M. Audran, la jeune artiste n'ait vu que grossir le nombre de ses courtisans, de ses flatteurs, de ses adorateurs. Peut-être même, la tête lui a-t-elle un peu tourné, ainsi que le laisserait supposer ce qui vient d'arriver aux Bouffes. Parmi les jeunes gens qui poursuivaient Mlle Montbazon de leurs hommages, il en est un qui, tous les soirs, bien régulièrement, lui envoyait une petite caisse pleine de fleurs d’oranger naturelles. L'attention était galante et l’allusion méritée. S'il est une artiste au théâtre qui ait le droit de porter la fleur d’oranger, c’est bien Mlle Montbazon. Les mauvaises langues féminines ne peuvent rien contre cela ! Il se trouve justement que la charmante costume en mariée à la fin du second acte et au troisième acte de la Mascotte. Aussi trouva-t-elle tout naturel de remplacer les fleurs artificielles de l’administration des Bouffes par les fleurs naturelles que lui offraient ses amoureux. D'abord ce furent quelques boutons que Mlle Montbazon glissa dans ses cheveux, puis elle en mit à son corsage, puis elle se couvrit de fleurs tant qu’elle put. Malheureusement, s’il est assez difficile pour le spectateur de distinguer une fleur oranger expédiée de Nice, d’une fleur d’oranger fabriquée rue Saint-Denis, il en est pas de même pour l’artiste en scène. La première émet un parfum pénétrant et capiteux, tandis que la seconde est parfaitement inodore. Aussi, quand Mlle Montbazon se mit pour la Première fois quelques fleurs dans les cheveux, Morlet, qui roucoule à ses genoux ou dans ses pas d'un bout de la soirée à l’autre, ouvrit ses larges bottes grâces et déclara que ça sentait fort. Le second soir, lorsqu'aux fleurs sauge, Morlet eut ajouté les de corail, il trouva que ça sentait un peu fort. Le troisième soir, l’odeur qui avait encore | de la sctt, les éoles qui brillent au firmament de l'opérette se sont augmentées de l’étoile Montbazon Jeune, jolie, intelligente, douée ’une voix agréable, la diva des Bouffes peut, avec M. Morlet, ediue uen bonne part de ce grnd succès Aussi, cmprndr-t-n aisément qu'à partir du sr où elle parut trmphnt dans l’opérette de M. Audran, l jeune rtst nait vu que grossir le nombre de ses coua, de ses flatteurs, de ses adorateurs. Peut-être mêm, la tête lui a-t-elle un peu tourné, ainsi que le laisserait supposer c qui i d'arriver x Bouffes. Parmi les jeunes gens qui poursuivaient Mlle Montbazon de leurs hommages, il en est un ,uqi tous es s,sroi bien régulièrement, lui envoyait une ptt caisse pleine de fleurs d’oranger nuele L'attention était galante et l’allusion méritée. S'il est une artiste au théâtre qui ait le droit de porter la fleur ’oranger, cest bien Mlle nbaon Les uss langues féminines ne pevnt eirn contre cea ! Il se trouve justement que la charmante costume en mariée à l fin du second acte et au troisième acte de la coe Aussi tte-rvaou-lel tout naturel de rmplcr les rlefus artificielles de l’administration d Bouffes par les fleurs naturelles que lui offraient ess amoureux. Dbad'ro ce furent quelques boutons q Mlle Montbazon saligs dans ses cheveux, puis elle en tmi son corsage, puis elle se couvrit fleurs tant qu’elle up.t Malheureusement, s’il est assez difficile pour le spectateur d distinguer une flr oranger expédiée de Nice, d’une fleur d’oranger fabriquée rue SaintDenis il en est pas de même pour l’artiste en scène. La première émet un parfum pénétrant t cptx, tandis que la seconde est parfaitement inodore. Aussi quand Mlle Montbazon se mit pour la Prmèr fs quelques fleurs dans ls cheveux, Morlet, qui roucoule à ses genoux ou dans ses asp d'un bout de la soirée à l’autre, ouvrit ses larges bottes grâces et déclara que ça nat fort. Le secod soir, lorsquaux fleurs sauge, Morlet eut ajouté les d corail, l trv que ç sentait un peu fort. Le troisième soir, l’odeur q avait encore |
que lui offraient ses amoureux. D'abord ce furent quelques boutons que Mlle Montbazon glissa dans ses cheveux, puis elle en mit à son corsage, puis elle se couvrit de fleurs tant qu’elle put. Malheureusement, s’il est assez difficile pour le spectateur de distinguer une fleur oranger expédiée de Nice, d’une fleur d’oranger fabriquée rue Saint-Denis, il en est pas de même pour l’artiste en scène. La première émet un parfum pénétrant et capiteux, tandis que la seconde est parfaitement inodore. Aussi, quand Mlle Montbazon se mit pour la Première fois quelques fleurs dans les cheveux, Morlet, qui roucoule à ses genoux ou dans ses pas d'un bout de la soirée à l’autre, ouvrit ses larges bottes grâces et déclara que ça sentait fort. Le second soir, lorsqu'aux fleurs sauge, Morlet eut ajouté les de corail, il trouva que ça sentait un peu fort. Le troisième soir, l’odeur qui avait encore augmenté depuis la veille lui monta à la tête et Morlet, furieux, s'écria: "Mais, mon Dieu, comme ça sent donc mauvais !" Puis, il pria Mlle Montbazon de garder ses fleurs d’oranger dans sa loge. Mlle Montbazon ne se conduisit pas en bonne camarade. Elle augmenta le volume de son bouquet virginal. Le pauvre Pippo sentit ses lèvres se glacer sur ses lèvres. Les déclarations brûlantes qu’il était forcé d’adresser à sa jolie gardeuse de dindons se compliquaient de migraines atroces. La représentation finie, M. Morlet dut réclamer l’intervention officielle du régisseur. Il y a, dans les engagements des artistes, une clause qui leur interdit formellement de se servir d’accessoires autres que ceux fournis par le théâtre. On rappela cette clause à Mlle Montbazon et on la pria de renoncer aux fleurs d’oranger. Cette prière était un ordre. Il fallait se résigner. M. Morlet se croyait donc délivré de cette taquinerie si désagréable, mais l’entêtement s’en mêla. Le lendemain, au second acte de la Mascotte, il retrouva les bouquets artificiels sur la robe et dans la coiffure de sa bien-aimée, mais lorsqu’il s’en approcha, il faillit tomber à la renverse: Mlle Montbazon s’était parfumée de haut en bas, d’extrait de | que lui ffaiet ses amoureux. D'abord ce furent qes un que Mlle Montbazon glissa ns ses cheveux, puis elle en mit à son corsage, puis ll se cvrt de flrs tant q’ll put. Malheureusement, s’il est assez difficile pour l spcttr de distinguer une fleur oranger expédiée de Nice, d’une flr d’oranger fabriquée rue Saint-Denis, il en st pas de m pour lartiste n scène. L prmèr émet un parfum pénétrant t capiteux, tandis que la seconde est parfaitement inodore Aussi, quand Mlle Montbazon se mit pour la rir fois quelques fleurs dans les cheveux, Morlet, qui roucoule à ses genoux ou dans ses pas d'un bout de la soirée ta,lrue’ ouvrit ses lrgs bottes grâces t déclara que a sentait fort. Le son soir, lorsqu'aux fleurs sauge Morlet eut ajouté les de corail, il trouva que ça sentait n eu fort. Le troisième soir, l’odeur avait encore augmenté depuis la veille lui monta al tête t Mrlt, fuiex, s'écria: "Mais, mon Dieu comme ça sent donc mauvais !" Puis, il pr ll Montbazon d garder ss fleurs doanger dans sa loge. Mlle Montbazon ne se conduisit ps n bonne camarade. Elle augmenta le vlum de son bqt virginal eL pauvre Pippo sentit ses lèvrs se glacer sur ess lèvres. Les déclarations banes qu’il éat forcé d’adresser à sa jl gardeuse de dndns se qplneutaimoic de migraines atroces. La représentation finie, M Morlet dut réclmr l’intervention officielle du régssr. Il y , dans ls mseennegtag des rtst une clause qui leur interdit formellement de se servir acesois autres que ce fournis a le théâtr. n rappela ctt clause à Mlle Mntbzn et o l arip de renoncer aux fleurs d’oranger. Cette prière était un ordre. fallait se résigner. M Morlet s coait donc délivré de ctte tqnr si désagréable, mais lentêtement s’en mêla Le lendemain, au second acte de la Mascotte, il retrouva les bouquets iasrlectifi sur la robe et dans la coiffure de sa imei-e,abné mais ls ’en ohrapcp,a il faillit tomber à la renverse: Mlle Montbazon ’était parfumée de haut en bas, ’extrait de |
bouquet virginal. Le pauvre Pippo sentit ses lèvres se glacer sur ses lèvres. Les déclarations brûlantes qu’il était forcé d’adresser à sa jolie gardeuse de dindons se compliquaient de migraines atroces. La représentation finie, M. Morlet dut réclamer l’intervention officielle du régisseur. Il y a, dans les engagements des artistes, une clause qui leur interdit formellement de se servir d’accessoires autres que ceux fournis par le théâtre. On rappela cette clause à Mlle Montbazon et on la pria de renoncer aux fleurs d’oranger. Cette prière était un ordre. Il fallait se résigner. M. Morlet se croyait donc délivré de cette taquinerie si désagréable, mais l’entêtement s’en mêla. Le lendemain, au second acte de la Mascotte, il retrouva les bouquets artificiels sur la robe et dans la coiffure de sa bien-aimée, mais lorsqu’il s’en approcha, il faillit tomber à la renverse: Mlle Montbazon s’était parfumée de haut en bas, d’extrait de fleurs d’oranger. De quoi asphyxier tous les barytons de l’Europe ! Et, cette fois, l’administration était impuissante. Elle ne pouvait défendre à sa première danse de se parfumer. M. Morlet s’en alla furieux et malade. Rentré chez lui, il se livra à des réflexions sérieuses. Cela ne pouvait pas durer ! Il abandonnerait son rôle plutôt que de s’exposer ainsi, tous les soirs, aux migraines et à leur noir cortège. Tout à coup une idée lui vint. — Ah! tu me défies, se dit-il, ah! tu te parfumes. Eh bien! soit, je me parfumerai aussi. Il s’endormit tranquille, se réveilla joyeux, déjeuna d'un gigot à l’ail, dîna de ceps à la bordelaise, et, le soir venu, mélangea à son maquillage un bon chapon d’ail qui répandait dans sa loge et dans les loges voisines, une odeur nauséabonde de cuisine provençale. Ce soir-là — c’était hier le public des Bouffes ne se doutait guère du drame terrible qui s’accomplissait sous ses yeux. A entendre Pippo et sa Mascotte soupirer leurs duos amoureux, il ne pouvait soupçonner tous ce que ces tendresses contenaient de haine à la fleur d’oranger et de vengeance à l'ail. Seulement, à la fin du second acte, cette | bouquet virginal. Le paue Pippo sentit s lèvres se glacer sur ses lèvrs. Ls déclarations brûlantes qu’il était forcé dsdaserre’ sa jolie gardeuse de dindons se comiaient de migraines atroces. La représentation finie, M. Mrlt dut réclamer l’intervention flocefieil du régisseur. Il y a, dans les engagements des artistes, une clause qui leur interdit formellement de se servir daccessoires autres que ceux fournis par le théâtre. On rappela cette slcaeu à Mlle Montbazon et on la pria de renoncer aux fleurs d’oranger. Cette prèr était un ordre. l fallait résigner. M. Mrlt se crya donc évré ctt tqnr s désagréable, mais l’entêtement s’en mêla. Le lendemain, au second acte de la ot, il retrouva les bouquets artificiels sur la robe et dans la coiffure d sa bn-mé, ais lorsqu’il s’n approcha, il faillit tmbr à la renverse: Mlle Montbazon ’était prfmé de haut en bas, d’extrait de flrs redgan.’or De quoi asphyxier tous les barytons de l’Europe ! Et, cette f, l’administration était impuissante. Elle ne pouvait défendre à sa remè danse de se parfumer. M. orlteM s’en alla furieux t malade. Rentré chez lui, il se livra à des ens sérieuses. ea pouvait pas durer ! Il abandonnerait son rôle pltôt equ de s’exposer nsi,ai tous les ,osrsi aux migraines et à leur noir cortège. Tout à coup une idée lui vint — h!A t me défies, dit-il, ah! tu te parfumes. Eh bien! soit, je me parfumerai aussi. Il s’endormit tranquille, se réveilla joyeux, déjeuna d'un gigot à l’ail, dîna de ceps à la bordelaise, te, le soir venu, mélangea à son maquillage un bn chapon ’il qui répndt dans sa loge t dans les loges vsns, uen odeur nauséabonde de isnecui provençale. Ce soir-là — c’était hr le public des Bouffes ne se doutait guère du drame terrible ccpssat sous ses yeux. A entendre Pippo et sa Mascotte soupirer leurs duos amoureux, il ne pouvait soupçonner tous ce que ces tendresses contenaient de haine à la fleur d’oranger et de vngnc à l'ail. Seulement, à la in du second ct, cette |
! Il abandonnerait son rôle plutôt que de s’exposer ainsi, tous les soirs, aux migraines et à leur noir cortège. Tout à coup une idée lui vint. — Ah! tu me défies, se dit-il, ah! tu te parfumes. Eh bien! soit, je me parfumerai aussi. Il s’endormit tranquille, se réveilla joyeux, déjeuna d'un gigot à l’ail, dîna de ceps à la bordelaise, et, le soir venu, mélangea à son maquillage un bon chapon d’ail qui répandait dans sa loge et dans les loges voisines, une odeur nauséabonde de cuisine provençale. Ce soir-là — c’était hier le public des Bouffes ne se doutait guère du drame terrible qui s’accomplissait sous ses yeux. A entendre Pippo et sa Mascotte soupirer leurs duos amoureux, il ne pouvait soupçonner tous ce que ces tendresses contenaient de haine à la fleur d’oranger et de vengeance à l'ail. Seulement, à la fin du second acte, cette combinaison de parfums si diamétralement opposés l’un à l’autre, produisit son effet: Mlle Berthe Legrand se trouva mal. C'est ainsi que, dans un duel, c’est parfois le témoin qui est On se demande qui aurait cédé, de Mlle Montbazon ou de Morlet, de la fleur d’oranger ou de l’ail, sans l'intervention de la providence représentée par l’administration de Monte-Carlo. Monte-Carlo. M. Morlet part demain pour Monaco, où il est engagé au Casino. Y pourra-t-il, sans colère, contempler les orangers en fleurs. (Figaro) UN MONSIEUR DE L’ORCHESTRE GRAND THÉÂTRE Prenons le temps comme il vient et les hommes, comme ils sont, a dit un profond philosophe ; nous, pauvre chroniqueur obscur, prenons la chronique comme elle se présente et tâchons de bavarder, alors que nous n’avons rien, ou presque rien à dire. On a soutenu aussi, que pour faire un civet, il faut avoir un lièvre : grave erreur! nous savons aujourd’hui qu’il faut avoir ... un chat. Mais, là n’est pas la question, non, that is the question, dirait un de nos voisins d’Outre-Manche, tout le monde est persuadé que pour faire une chronique, il suffit de.... ne pas avoir de matière. Nous ne vous parlerons pas de Faust, que | ! l aanea son rôle plutôt que de s’exposer ainsi, tous soirs, aux migraines et à leur noir crtèg. Tout à cp une idée li vint. — Ah! tu me défies, se dit-il, ah tu te parfumes. Eh bien! soit, je m parfumerai aussi. Il enoi tranquille, se réveilla jxeou,y déjeuna d'un gigot à l’ail, dîna de ceps à la bordelaise, et, le soir venu, mélangea à son maquillage un bon pahocn d’ail qui répndt dans s egol et das les loges nis,eisvo une odeur nauséabonde de cuisine provençale Ce soirlà — ’était hier le public des Bouffes ne se dtt guère du ame terrible qui s’coplis sous ses yx. A entendre Pippo et sa Mascotte oure lurs us amoureux, il ne pvt soupçonner tous c e tndrsss cntnnt de haine à la fleur d’oranger te de vengeance à lail Seulement, à la fin du second acte, ctt cmniso de parfums si diamétralement opposés l’un à l’autre, produisit sn fe:fte Me ehe Lgrnd se tv mal. C'est ainsi que, dans un du, c’st parfois el témoin qui est On se demande qui aurait cédé, de Mll Montbazon ou de Morlet, de la fleur d’rngr ou de ’ail, sans l'intervention de la providence rrpéeeesént par nrtomnaalt’iidsi de MonteCarlo Monte-Carlo. M. Morlet part demain ou Monaco où l est engagé au Casino. Y pourra-t-il, sns colère, contempler les orangers n fleurs. (Fgr) UN SEIURNOM DE L’ORCHESTRE GRAND THÉÂTRE Prenons le temps omecm il vient et les hommes, comme ils sont a dit un profond philosophe ; nous, pauvre chroniqueur sbruco, prenons l chronique comme elle se pst tcho e bavarder, laros que nous n’vns rien, ou presque ienr à dire. n a soutenu aussi, que pour faire un v faut avoir n lièvre : rve erreur! nous savons aujourd’hui qu’il faut avoir ... un chat. Mais, là ’tesn aps la question, non, tht is the question, dirait un de nos voisins d’Outre-Manche, tt le monde es persuadé que pour faire une chronique, il suffit de.... ne pas avoir de matière Nous ne vous parlerons pas de suFa,t que |
l'intervention de la providence représentée par l’administration de Monte-Carlo. Monte-Carlo. M. Morlet part demain pour Monaco, où il est engagé au Casino. Y pourra-t-il, sans colère, contempler les orangers en fleurs. (Figaro) UN MONSIEUR DE L’ORCHESTRE GRAND THÉÂTRE Prenons le temps comme il vient et les hommes, comme ils sont, a dit un profond philosophe ; nous, pauvre chroniqueur obscur, prenons la chronique comme elle se présente et tâchons de bavarder, alors que nous n’avons rien, ou presque rien à dire. On a soutenu aussi, que pour faire un civet, il faut avoir un lièvre : grave erreur! nous savons aujourd’hui qu’il faut avoir ... un chat. Mais, là n’est pas la question, non, that is the question, dirait un de nos voisins d’Outre-Manche, tout le monde est persuadé que pour faire une chronique, il suffit de.... ne pas avoir de matière. Nous ne vous parlerons pas de Faust, que nous avons eu, samedi, pour la seconde fois. Nous avons déjà rendu compte de l’interprétation de cet opéra. Constatons que M. Ferrière a mieux chanté son rôle; que M. Martin est toujours un Valentin irréprochable; M. Conte, un Mephisto suffisant; Mlle Donadio-Fodor, une ravissante Marguerite; Mme Fleury, un Siebel correct et bien amoureux. Nous ne nous appesantirons ni sur Latude, donné en matinée, dimanche, ni sur Les Huguenots, en soirée. Rappelons pour mémoire que Latude a été bien rendu et mentionnons la bonne tenue croissante de Mlle Maria dans les rôles de soubrette. M. Berger fait tous les jours d’immenses progrès, rappels et bravos lui ont été unanimement décernés après le troisième et le quatrième acte des Huguenots. Quand nous chanterez-vous Guillaume Tell, M. Berger? Nous sommes persuadé que vous nous ferez plaisir. Espérons que vous comblerez bientôt nos vœux. MM. Hourdin, Martin, Conte et Mmes Poissonot, Donadio-Fodor et Fleury ont eu aussi leur part des nombreux témoignages de la satisfaction du public. Nous étions allé, lundi, au théâtre, plein de confiance, on donnait une comédie en un acte, enlevée par MM. Davricourt, Herbez et Mme Bonelli, Livre III, Chapitre 8 et La grâce de Dieu. On nous avait dit | l'ntrvntn de la providence représentée par l’administration Monte-Carlo. Monte-Carlo. M. Mloert part demain pr Monaco, où il est engagé au Casino. Y our-t-il, sans colère, contempler les orangers en fleurs. (Figaro) UN MONSIEUR DE L’ORCHESTRE GRAND THÉÂTRE Prenons le temps comme il vient t es hommes, comme ils sont, a dit un profond philosophe ; nous, pauvre chroniqueur obscur, prenons la chronique cme elle présnt et tâchons de bavarder, alors que nous n’avon rien, ou presque rien à dire. On a soutenu ss, que pr fire n civet, il faut avoir un lièvre : grave erreur! nous savons aujourd’hui quil ut avoir ... un chat. Mais, là nest asp la etn non, that is the qstn, dirait un d nos voisins d’Outre-Manche, tout le monde est persuadé que pour faire une rie,uhqcno il suffit de.... ne pas avoir de matière. Nous ne vous parlerons pas de Faust, que nous avons eu, samedi, pour la seconde fois. Nous avons éà rendu compte de linterprétation de cet opéra Constatons que M. Frriè a mieux chanté son rôle; que M Martin est ujo un Valentin irréprochable; M. Ct un Mphst suffisant; Mlle Dnd-Fdr, une ravissante Marguerite; Mme Fleury, un Siebel crrct et bien amoureux. Nous n nous appesantirons ni sur t donné en mtné, dimanche, ni sur Les Huguenots, en réo.esi Rappelons pour mémoire que Ltde éét bien rendu et mentionnons la bonne tenue croissante de Ml Maria dans les rôles de soubrette. M Berger fait tous les jours dimmenses progrès, rappels et bravos l nt été unanimement décernés après le troisième et le quatrième acte des Huguenots. Quand nous chanterez-vous Guillaume Tell, M. Berger? Nous smesom persuadé que vous nous ferez lair. Espérons q vous comblerez bientôt nos vœux. MM. Hourdin, Martin, Conte et Mmes Pssnt, Donadio-Fodor et Fleury ont eu ss er part des nombreux témoignages de l satisfaction d public. Nous étions allé, lundi, au tt plein de confiance on donnait une comédie en n acte, enlevée par MM. Davricourt, Hzbeer t Mme eB,oilln Livre III, Chapitre 8 et La grâce de Dieu On ns avait dit |
et bien amoureux. Nous ne nous appesantirons ni sur Latude, donné en matinée, dimanche, ni sur Les Huguenots, en soirée. Rappelons pour mémoire que Latude a été bien rendu et mentionnons la bonne tenue croissante de Mlle Maria dans les rôles de soubrette. M. Berger fait tous les jours d’immenses progrès, rappels et bravos lui ont été unanimement décernés après le troisième et le quatrième acte des Huguenots. Quand nous chanterez-vous Guillaume Tell, M. Berger? Nous sommes persuadé que vous nous ferez plaisir. Espérons que vous comblerez bientôt nos vœux. MM. Hourdin, Martin, Conte et Mmes Poissonot, Donadio-Fodor et Fleury ont eu aussi leur part des nombreux témoignages de la satisfaction du public. Nous étions allé, lundi, au théâtre, plein de confiance, on donnait une comédie en un acte, enlevée par MM. Davricourt, Herbez et Mme Bonelli, Livre III, Chapitre 8 et La grâce de Dieu. On nous avait dit monts et merveilles de ce drame que nous ne connaissions pas : nous avons eu la patience, (patience, est le mot!) de l’écouter jusqu’à la fin. Nous osons dire à notre honte, peut-être que nous avons été médiocrement intéressé. Néanmoins, pour être juste, nous ajouterons que la dernière moitié du drame s’est laissé écouter avec moins d’ennui et nous avons même été un peu ému. Si nous étions, comme un de nos bons camarades, adepte du calembourg, nous vous dirions tout simplement : Amis lecteurs, ne nous pourfendez pas, nous vous ferons grâce de la Grâce de Dieu! Mais nous aurions peur, avec raison, de vous entendre murmurer. La Grâce de Dieu nous a paru être une œuvre un peu surannée : le sujet en est simple, trop simple peut-être pour le public de nos jours. On est tellement habitué depuis quelque temps, à voir représenter des imbroglios... (pardon, nous allions dire des ouvrages!) de plus en plus invraisemblables, des monuments de bêtises et de folies de plus en plus burlesques, romanesques, grotesques, carnavalesques, troubadour-resques, sans oublier soldatesques, (en un mot toutes les rimes en esques!) que, lorsque la vraie nature se présente à nos yeux, lorsque la vérité réelle | et bien mre Nous n nous appesantirons ni sur Latude, donné en éinmae,t dimanche, ni ur Les Huguenots, ér.soie Rappelons pour mémoire que Latude a été bien rendu et mentionnons la bonne tenue crssnt de Mlle Maria dans les rôles de soubtt M Berger ft tous les jours d’immenses progrès, rappels et bs lui ont été unanimement décernés après le troisième et le quatrième acte des Huguenots. Quand nous chanterez-vous Guillaume Tell, M. Berger? Ns sommes persuadé que vous nous ferez plaisir. spérns que vous comblerez t nos vœux. MM. Hourdin, Martin, Conte et Mmes Poissonot, Donadio-Fodor et Fleury tno eu aussi leur par des nombreux témoignages de la stsfctn du public. Nous étions allé, u,lnid au théâtre, plein de confiance, on tdaoinn une comédie en un acte enlevée par MM. Davricourt Herbez et Mme Bonelli, Livre III, phieCrta 8 et L grâce de Dieu. On suon avait dit monts et merveilles de ce drame que nous ne connaissions pas : nous nsavo eu la patience, (patience, est le mot!) de éco’luetr jusqu’à l fin. Nous osons dire à notre honte, peut-être que nous avons été médiocrement intéressé. Néanmoins, pour être juste, nous ajouterons que la dernière moitié d drame s’est laissé écouter avec moins d’ennui t nous avons même été un peu ému. Si nous étions, cm un de nos bons camarades, adepte du calembourg nous vous drns tout simplement : Amis lctrs, n nous pofendz pas, s vous ferons c de la Grâce de Dieu! Mais nous aurions peur, vc raison, d vous entendre murmurer. La Grâc de Dieu nous a r être une œuvre un p surannée : le sjt en est simple, trop simple peut-être pour le public de ns jours. On est tellement habitué dps quelque tmps, à voir représenter ds imbroglios... (pardon, nous allions dire des ouvrages!) de l en plus invraisemblables, des monuments de esbêist et de fi de plus en plus burlesques, romanesques, grotesques, carnavalesques, troubadour-resques, sans blr soldatesques, en un mot toutes e rimes en esques!) que, lorsque l vraie nature s présente à nos yeux, uoelqsr la vérité réelle |
drame s’est laissé écouter avec moins d’ennui et nous avons même été un peu ému. Si nous étions, comme un de nos bons camarades, adepte du calembourg, nous vous dirions tout simplement : Amis lecteurs, ne nous pourfendez pas, nous vous ferons grâce de la Grâce de Dieu! Mais nous aurions peur, avec raison, de vous entendre murmurer. La Grâce de Dieu nous a paru être une œuvre un peu surannée : le sujet en est simple, trop simple peut-être pour le public de nos jours. On est tellement habitué depuis quelque temps, à voir représenter des imbroglios... (pardon, nous allions dire des ouvrages!) de plus en plus invraisemblables, des monuments de bêtises et de folies de plus en plus burlesques, romanesques, grotesques, carnavalesques, troubadour-resques, sans oublier soldatesques, (en un mot toutes les rimes en esques!) que, lorsque la vraie nature se présente à nos yeux, lorsque la vérité réelle et saisissante, sans atours ni falbalas, nue comme elle doit être, se présente seule et sans éclat, on reste froid, on n'est pas satisfait, on regrette presque son argent. Quelqu’un s’écriait près de nous, lundi : — Mais, ce drame est assommant, tout cela n’est charmant que pour les cuisinières! — Non, monsieur, nous ne sommes pas de votre avis, [texte manquant] vous allez trop loin : La Grâce de Dieu, a des scènes bien amenées, bien chevillées et surtout naturelles, mais, nous reconnaissons, il est vrai, que les mélodrames, les vaudevilles mélodramatiques, (pour mieux rendre notre pensée), pêchent comme littérature. Nous le disons bas, bien bas! nous avons vu dans la plupart des mélodrames, tant de niaiseries, tant de contresens... que dire encore? un style si plat, si décousu, si boursouflé, si nauséabond quelquefois, que les artistes qui se mouvaient en scène étaient à nos yeux aussi plats, aussi décousus, aussi boursouflés que les aberrations littéraires qu’ils débitaient. Mais, quelle est cette grosse voix? — Ne ferais-tu pas mieux, méchant critique, de parler des artistes chargés de jouer tel ou tel rôle? — C’est juste, merci de la leçon ; cessons d’ergoter ab hoc et ab hac, nous abusons | drame s’est laissé écouter avec moins ’ennui et os avons emmê été un peu ému. Si nous étions, comem un de nos bons camarades, dpt du clmbrg, nous vous dirions tout simplement Amis lus ne nous prfndz pas nous u ferons egrcâ de l Grâce de D! Mais nous aurions peur, avec raison, de vous entendre murmurer. La râce de Dieu nous a paru être une œuvre un peu surannée : le sujet n est simple, p simple peut-être pour le public de nos jours. On est tellement habitué depuis quelque temps, à oirv représenter des imbroglios (pardon, nous allions dire des ouvrages!) e plus en plus invraisemblables, des monmnt de bêtises t de flis de plus en plus les romanesques, grotesques, saseqaacvneru,l troubadour-resques, sans oublier soldatesques, (en un mot toutes les rimes en esques!) que, lorsque la vraie nature s présente à nos yeux, lorsque la vérité réelle et saisissante, sans atours ni falbalas, n comme elle idto êtr, se présente seule et sans éclt, n reste froid, on nest pas satisfait, on regrette presque son argent. Quelqu’un s’écriait près de ous lundi : Mais, c drame est ssmmnt, tt cela nes chrmnt que pour les cuisinières! — ,Non monsieur, nous ne sommes pas de votre avi, [texte manquant] vous allez trop loin : La Grâce de ,Deui a des scènes bien amenées, bien chevillées et surtout naturelles, mis, nous eaisos il est vr, que les mélodrames, le vaudevilles mélodramatiques, (pour mieux endr notre pensée), pêhet comme littérature. Nous le disons bas, bien bas! avons vu dans la plupart des mélodrames tant de niaiseries, tnt de contresens... uqe dire encore? un style si pa si décousu, si boursouflé, si nauséabond quelquefois, que les artistes qui se mouvaient en sn étaient à nos yeux ss plats, aussi décousus, ss boursouflés que les aberrations littéraires qu’ils bnt Ms, quelle est cetet grosse voix? Ne ferais-tu pas mieux, cmtaéhn cru de parler des artistes chargés de jouer tl ou tel rôle? — C’st juste, merci de la leçon ; cessons ’ergoter b hoc et ab hac, u abusons |
— Non, monsieur, nous ne sommes pas de votre avis, [texte manquant] vous allez trop loin : La Grâce de Dieu, a des scènes bien amenées, bien chevillées et surtout naturelles, mais, nous reconnaissons, il est vrai, que les mélodrames, les vaudevilles mélodramatiques, (pour mieux rendre notre pensée), pêchent comme littérature. Nous le disons bas, bien bas! nous avons vu dans la plupart des mélodrames, tant de niaiseries, tant de contresens... que dire encore? un style si plat, si décousu, si boursouflé, si nauséabond quelquefois, que les artistes qui se mouvaient en scène étaient à nos yeux aussi plats, aussi décousus, aussi boursouflés que les aberrations littéraires qu’ils débitaient. Mais, quelle est cette grosse voix? — Ne ferais-tu pas mieux, méchant critique, de parler des artistes chargés de jouer tel ou tel rôle? — C’est juste, merci de la leçon ; cessons d’ergoter ab hoc et ab hac, nous abusons de la condescendance de nos lecteurs. Canonnier à tes pièces! Chroniqueur, à ta chronique! M. Herrewyn, jouait Louis, le père de la petite Marie, la perle de Savoie, qui se laisse séduire par le jeune Arthur de Sivry; nous pensons que cet artiste a un peu outré les situations, il a beaucoup crié. Ajoutons que le jeune Arthur de Sivry, épouse la jeune Marie, comme dans tout drame qui se respecte. M. Vadius nous a fait croire un moment que la scène se passait en Auvergne, aux environs de Clermont-Ferrand, bruyante patrie du cuivre et de la colle forte. Si nos souvenirs géographiques ne nous trompent pas, la Savoie en serait à une respectable distance. L’accent peut être lourd, mais jamais auvergnat. Du reste ce léger défaut peut se corriger aisément. Mme Dulac a été pathétique, peut-être trop, dans son chant d’adieu à sa fille. MM. Haury et Andral se sont fait applaudir l’un comme vieux débauché, l’autre comme séducteur qui devient un mari. Mme Andral a joué avec beaucoup de naturel et de sentiment. Mme Sauvaget a été amusante dans Chon-chon. Mardi : L’Africaine. Prise de possession par M. Coumeiran du rôle de Vasco de Gama, dont il s’est | — Non monsieur, ouns ne sommes pas de votre avis, [tete manquant] vous allez trop loin : L Grâce de D, a des scènes bien amenées, bien chevillées e surtout naturelles, mais, nous reconnaissons il est vrai que les mélodrames les elelvvasdiu mélodramatiques, (pour mx rendre ntr pensée), pêchnt comme littérature Nous le disons bas, bien bas! ns avons vu dans la plupart des méldrms, tant de niaiseries, tant de contresens... que dire encore? un styl si plat, si décousu, s boursouflé, si nauséabond quelquefois, ueq les sesrtiat qui se mouvaient en scène étnt nos yeux aussi plats, aussi décousus, aussi boursouflés q les rin littéraires qu’ils dien. Ms, quelle est cette grosse vx? — Ne frs-t pas mieux, méchant critique, de parler des artistes chargés de jr tl ou tel rôle? — C’est juste, merci de la leçon ; cessons d’ergoter b hc et ab hac, nous absn de la condescendance de nos lecteurs. Canonnier tes pièces! hronieu à ta chronique! M. Herrewyn, jouait Louis, le père de la petite ierM,a la r de a,Soeiv qui se laisse sédr par l jeune Arthur de Sivry; nous os que cet artiste a un peu outré sle situations, il beaucoup crié Ajoutons le jeune Arthur de Sivry, épouse la jeune Marie, memco dans tout drame qui se respecte. M. Vadius nous a fait croire un moment que la scène se passait en Auvergne, aux environs de Clermont-Ferrand, bruyante patrie du cuir et de l colle forte. Si nos souvenirs géographiques ne nous trompent pas, la Savoie en serait à une respectable distance. L’accent peut ertê lourd, smia jamais auvergnat. Du reste ce léger défaut peut se corriger aisément. Mme Dulac été pathétique, peutêtre trop, dans s chant aie à sa fille. MM. Haury et Andral se sont fait applaudir l’un comme vieux débauché, l’autre comme séducteur qui dvnt n mari. Mme Andral a joué vc beaucoup de naturel et de sentiment. Mme Sauvaget a été amusante dans Chon-chon. Mardi : L’Africaine. Pri de isssenosop par M. Coumeiran rôl de Vasco de Gama, dont s’est |
a beaucoup crié. Ajoutons que le jeune Arthur de Sivry, épouse la jeune Marie, comme dans tout drame qui se respecte. M. Vadius nous a fait croire un moment que la scène se passait en Auvergne, aux environs de Clermont-Ferrand, bruyante patrie du cuivre et de la colle forte. Si nos souvenirs géographiques ne nous trompent pas, la Savoie en serait à une respectable distance. L’accent peut être lourd, mais jamais auvergnat. Du reste ce léger défaut peut se corriger aisément. Mme Dulac a été pathétique, peut-être trop, dans son chant d’adieu à sa fille. MM. Haury et Andral se sont fait applaudir l’un comme vieux débauché, l’autre comme séducteur qui devient un mari. Mme Andral a joué avec beaucoup de naturel et de sentiment. Mme Sauvaget a été amusante dans Chon-chon. Mardi : L’Africaine. Prise de possession par M. Coumeiran du rôle de Vasco de Gama, dont il s’est sorti avec honneur. Bravo! Comme il continue à avoir la voix un peu voilée; c’est dommage. Nous croyons que cet artiste serait bien de chanter plus souvent; sa voix y gagnerait sûrement, car lorsqu’elle est... échauffée (passez-nous l’expression!) elle acquiert une ampleur vraiment surprennante. Mercredi, nous avons assisté dans un coin où nous n’étions guère à l’aise, au concert donné au profit du sou des écoles laïques, à l'occasion du tirage de la tombola. Les artistes de notre Grand-Théâtre, différents amateurs de la ville, nos musiques républicaines des Amis-Réunis et des Touristes ont concouru à rendre intéressante cette soirée populaire. Jeudi, La Traviata et Le testament de César Girodot, comédie en trois actes de A. Belot et Villetard. Le testament de César Girodot, voilà une étude de mœurs prises sur le vif, voilà une exquise saisissante de réalité. Comme ils sont naturels tous les personnages, comme le caractère de chacun est bien distinct. Seulement, des comédies de ce genre ont besoin d’une interprétation irréprochable; il faut que chaque artiste ait fait une étude approfondie et chassée des moindres phrases de son rôle; il faut être prompt à la réplique et ne pas tomber dans l'exagération. Le testament de César Girodot | beaucoup crié. que l jn rthr de Sivry, péeuos la jeune Marie comme dasn tout drame se respecte. M. Vds ns a ft croire un moment que la scène se asst en Auvergne, aux environs de Clermont-Ferrand, bruyante patrie du cur t de la colle forte. Si son svnrs géographiques ne ns ompnt pas, la Savoie en st à une respectable distance. L’accent peut être lourd ais jms auvergnat. Du reste ce légr défaut peut se corriger aisément. Mme Dulac a été pathétique peutêtre trop, dans son chat d’adieu sa fille. MM. Haury et Andral se sont fait applaudir l’n cmm vieux débauché, l’autre cme séducteur qui devient un mari. Mme Andral joué avec beaucoup de naturel t de sentiment. Mme Sauvaget a été amusante dans Chon-chon. Mardi : L’Africaine. eriPs de possession par M. Cmrn du rôle de Vasco d Gama, dont il s’est srt avec honneur Bravo! Comme il continue à avoir la vx n peu voilée; c’est dommage. Nous cyons que cet artiste serait bie de htrncae plus souvent; sa voix y gnerit sûrement, car lorsqu’elle est... échauffée (passez-nous l’expression!) elle quer une ampleur vraiment surprennante. Mercredi, nous avons assisté dans un coin où nous n’étions guère à l’aise, au coer dnné profit du sou des écoles laïques, à l'occasion du i de la tombola. Les artistes de notre Grand-Théâtre, différents amateurs de la ville o msiqus républicaines des AmisRéunis t des Touristes ont cncuu à rendre intéressante ctt soirée populaire. Jeudi, La Traviata et Le testament d César Girodot comédie en trois actes e A. Belot et lrd. Le testament de César Girodot, vi une étude de mœurs prises sur le vif, voilà une exquise saisissante réalité. Comme ils sont naturels tous les personnages, comme le arcaceèrt d chacun t bien distinct Seulement, es comédies de c genre ont besoin d’une interprétation irréprochable faut hque artiste ait fait une étude approfondie et chassée des moindres phrases de son rôle; il faut être prompt l réplique et n pas tomber s l'exagération. L tstmnt de César Girodot |
coin où nous n’étions guère à l’aise, au concert donné au profit du sou des écoles laïques, à l'occasion du tirage de la tombola. Les artistes de notre Grand-Théâtre, différents amateurs de la ville, nos musiques républicaines des Amis-Réunis et des Touristes ont concouru à rendre intéressante cette soirée populaire. Jeudi, La Traviata et Le testament de César Girodot, comédie en trois actes de A. Belot et Villetard. Le testament de César Girodot, voilà une étude de mœurs prises sur le vif, voilà une exquise saisissante de réalité. Comme ils sont naturels tous les personnages, comme le caractère de chacun est bien distinct. Seulement, des comédies de ce genre ont besoin d’une interprétation irréprochable; il faut que chaque artiste ait fait une étude approfondie et chassée des moindres phrases de son rôle; il faut être prompt à la réplique et ne pas tomber dans l'exagération. Le testament de César Girodot n’a pas été représenté comme il aurait dû l’être; les répétitions manquaient; de nombreuses hésitations se sont produites; les détails n’étaient pas soignés, et, avant tout, nous sommes l’homme des détails. M. Vadius assumait la lourde tâche du personnage d’Isidore Girodot, l’avare grincheux. Malheureusement pour lui, nous avons vu Douat dans ce même rôle. M. Letelüer, (Lehuchoir) a joué en charge, il a été mauvais d’un bout à l’autre. Pourquoi charger ainsi, M. Letelüer? Pourquoi ces gestes ridicules et de mauvais goût? M. Herbez, pas assez... chic dans Célestin. M. Herrewyn, hésitant dans Félix Girodot. M. Borges (Langlumeau) a été drôle et acceptable, mais nous lui conseillons de ne plus jouer avec un chapeau de la dernière mode des rôles de rustre, affublé d’une blouse. Mme Robert (Hortense) ne savait pas son rôle. Quand vous déciderez-vous, madame, à étudier? Vous ne tenez aucun compte de nos observations répétées. Un détail! nous avons toujours reconnu, madame, la richesse et le bon goût de vos costumes; pourquoi donc, à l’ouverture du testament de votre oncle, portiez-vous une robe demi-deuil aussi... claire? Mme Girodot en est offusquée et elle avait, pardieu! bien raison. Mais vous avez reconnu votre erreur. Au 3ème acte vous | coin où nous n’étions guère à l’aise, au concert donné ua profit du sou des écoles laïques, l'occasion du tirage de la tombola. Les artistes de notre Grand-Théâtre, différents amateurs de la ville, nos musiques républicaines des Amis-Réunis et des Touristes ont concouru à rendre intéressante cette soirée populaire. Jeudi, La Traviata et Le testament de César Girodot, comédie n trois actes de A. Belot t illerd. Le testament de César Girodot, voilà une étude de mœurs prises sur le vif, voilà une exquise saisissante de rélté. Comme ils sont naturels tous les ,nrpenseogsa comme le caractère de ucanhc est bien distinct. Seulement, des comédies de ce genre ont besoin d’une interprétation irréprochable; il faut que chaque artiste ita fait une étude approfondie et chassée des moindres phrases de son rôle; il faut être prompt à réplique et ne pas tomber dans l'exagération. L testament de César Girodot n’a pas été représenté comme il aurait dû l’être; les répétitions mnqnt; de nombreuses hésitations se sont produites; les détails n’état pas soignés, et, avant tout, nous sommes l’homme des détails. M. Vadius assumait la lourde tâche du prsnng d’Isidore Girodot, l’avare grnchx. Malheureusement pour lui, nous avons vu Douat dns ce même rô. M. Letelüer, (Lehuchoir) a joué en charge, il a été mvs d’un bout à l’autre. Pourquoi charger ainsi, M. Letelüer? Pourquoi ces gestes ridicules et de mauvais goût? M. Hrbz, pas assez chic dans Célestin. M. Hrrwyn, hésitant dans Félx Girodot. M. rs (Langlumeau) a été drôle et acceptable, mais nous lui conseillons de ne plus jouer vc un chp de la dernière edmo des rôles de rustre, affublé d’une blouse. Mme Robert (Hortense) ne savait pas son rôle. Quand vous déciderez-vous, madame, à étudier? Vous ne tenez aucun compte de ns observations répétées. Un détail! nous avons utjouros reconnu, madame la richesse et le bon goût de vos costumes; pourquoi donc, à l’ouverture du testament de votre oncle, portiez-vous une robe demi-deuil aussi... claire? Mme Girodot en est offusquée et elle avait, pardieu! bien raison. Mais vous avez reconnu votre erreur. Au 3ème acte vous |
dans ce même rôle. M. Letelüer, (Lehuchoir) a joué en charge, il a été mauvais d’un bout à l’autre. Pourquoi charger ainsi, M. Letelüer? Pourquoi ces gestes ridicules et de mauvais goût? M. Herbez, pas assez... chic dans Célestin. M. Herrewyn, hésitant dans Félix Girodot. M. Borges (Langlumeau) a été drôle et acceptable, mais nous lui conseillons de ne plus jouer avec un chapeau de la dernière mode des rôles de rustre, affublé d’une blouse. Mme Robert (Hortense) ne savait pas son rôle. Quand vous déciderez-vous, madame, à étudier? Vous ne tenez aucun compte de nos observations répétées. Un détail! nous avons toujours reconnu, madame, la richesse et le bon goût de vos costumes; pourquoi donc, à l’ouverture du testament de votre oncle, portiez-vous une robe demi-deuil aussi... claire? Mme Girodot en est offusquée et elle avait, pardieu! bien raison. Mais vous avez reconnu votre erreur. Au 3ème acte vous aviez un costume noir et parfaitement en rapport avec les circonstances. Mieux vaut tard que jamais. Mme Dulac (Clémentine), n’était pas en possession de tous ses moyens. La mémoire était parfois rebelle. Nous gardons pour la fin, MM. Andral, Haury et Mme Andral, car nous excepterons ces trois artistes de l’anathème général. M. et Mme Andral ont été charmants: l’un dans Lucien, l’autre dans Pauline. M. Haury a été sarcastique dans Massias. Espérons une éclatante revanche pour la deuxième de Girodot. L'espace nous manque pour parler de La Traviata. Bonne interprétation. Mais pourquoi, M. Lambert, second ténor, n’a-t-il pas joué le petit rôle qui lui incombait? NEMO. SPECTACLES Dimanche: En matinée: La Grâce de Dieu, drame. Le soir à 8 h. : L’Africaine, grand opéra. Lundi : Les deux Orphelines, drame. Mardi : La petite Mademoiselle, opéra-bouffe. Jeudi : Galathée, opéra-comique. Le zèle des parisiens en excitant la Fronde, et échappe du même coup aux sollicitations et aux tentatives d’un officier de l’armée royale, Manicamp. Mais ce Manicamp, qui s’est laissé jouer, est amoureux de la comtesse et la poursuit; lui aussi est forcé de se déguiser, et c’est sous le costume homérique de garçon charcutier qu’il retrouve la petite | dans ce même rôle. . Letelüer, (Lehuchoir) a joué en charge, il a été mauvais d’un bout à l’autre. Pourquoi charger ainsi, M. Letelüer? Pourquoi ces gestes ridicules et de mauvais goût M. Herbez, pas e.. chic dns Célestin. Herrewyn, hésitant dans Félix Girodot. M Borges (Langlumeau) a été drôle et acceptable mais ns lui conseillons de plus jouer vc un chapeau de la dèeeinrr mode des rôles de rstr, affublé d’une blouse Mm Robert (Hortense) ne savait pas son rôle. Quand vous déciderez-vous, madame, à étudier? Vous ne tenez aucun tcpeom de nos observations répétées. Un détail! nous avons toujours reconnu, madame, la richesse et le bon goût de vos costumes; pourquoi donc, ’ouverture testament de votre ncl, portiez-vous une robe demi-deuil aussi claire? Mme Girodot en est offusquée ll avait, pardieu! bien raison. Ms vous avez reconnu votre erreur. Au 3ème acte vous aviez n costume noir et parfaitement en rapport avec les cirnac Mieux avtu tard que jamais. Mme Dulac (Clémentine), n’était pas n pssssn de tous ses moyens. La mémoire était parfois r.leeelb Nous grdns pour la fin, MM. Andral, Haury et Mme Andral, car nous excepterons cs trois artistes de ’anate général. M. et Mme Andral ont été charmants: l’un d Lucien, l’autre dans Pauline. M. Haury a été sarcastique dans Massias. Espérons une éclatante revanche pour la deuxième Girodot. L'espace nous manque pour parler de L Traviata. Bonne interprétation. Mais pourquoi . Lambert, second ténor, n’-t-l ps jé le eit rôle qui uil incombait? NEMO. SPECTACLES Dimanche En matinée: La Grâce de Dieu, drame. Le soir à 8 h. : L’Africaine, grand opéra Lnd : seL deux Orphelines, drame. Mardi : La petite eseMldo,iealm opéra-bouffe. Jeudi : Galathée, opéra-comique. Le l des parisiens en excitant la Fronde, et échappe du êe coup aux sollicitations et aux tentatives d’un officier de larmée royale, Macm. Ms ce Manicamp, q sest laissé jouer, e amoureux de la comtesse t la poursuit; lui aussi est forcé de se uier, et c’est sous le costume homérique d garçon charcutier qu’il retrouve la petite |
l’anathème général. M. et Mme Andral ont été charmants: l’un dans Lucien, l’autre dans Pauline. M. Haury a été sarcastique dans Massias. Espérons une éclatante revanche pour la deuxième de Girodot. L'espace nous manque pour parler de La Traviata. Bonne interprétation. Mais pourquoi, M. Lambert, second ténor, n’a-t-il pas joué le petit rôle qui lui incombait? NEMO. SPECTACLES Dimanche: En matinée: La Grâce de Dieu, drame. Le soir à 8 h. : L’Africaine, grand opéra. Lundi : Les deux Orphelines, drame. Mardi : La petite Mademoiselle, opéra-bouffe. Jeudi : Galathée, opéra-comique. Le zèle des parisiens en excitant la Fronde, et échappe du même coup aux sollicitations et aux tentatives d’un officier de l’armée royale, Manicamp. Mais ce Manicamp, qui s’est laissé jouer, est amoureux de la comtesse et la poursuit; lui aussi est forcé de se déguiser, et c’est sous le costume homérique de garçon charcutier qu’il retrouve la petite mademoiselle en fille d’auberge. Le jeune homme recommence ses assauts et la comtesse à son tour se trouve aimer Manicamp, lorsqu’elle est prise et incarcérée dans la demeure de l’époux qu’on lui destine. La petite Mademoiselle se rebelle, elle révolte et bat le vieux bonhomme, rien n’y fait. Des médecins sont appelés pour la calmer. Manicamp arrive sous la robe des docteurs de Molière, et trouve le moyen, grâce à la bêtise d’un intendant que tous les amis de la petite mademoiselle bernent à plaisir, de rester enfermé avec celle qu’il aime. La comtesse avoue son amour à Manicamp et l’oblige à crier qu’il est avec elle. Scandale et tableau. Tout comme de droit s’arrange. Une lettre écrite à Mazarin lui est parvenue, Mazarin fait le bon prince, il n’accepte que la moitié de la fortune que lui offrait la comtesse et la laisse libre de choisir son mari. Manicamp est heureux et aussi la petite mademoiselle qui ne... le sera plus. C’est drôle et bien troussé, nous pouvons prédire à coup sûr un succès fou à cette opérette. NEMO. de déclarer qu’il est son époux. Pour le prouver, tous deux accomplissent les cérémonies en usage chez ces peuplades barbares. | l’anathème général. M. t Mme Andral ont été charmants: l’un dans Lucien, ’autre dans Pauline. M. Haury a été sarcastique sand Massias. Espérons une éclant revanche por la deuxième de Girodot. L'espace nous manque pour parler de La Traviata. Bon interprétation. Mais prq, M. Lambert, second ténor, n’-- pas joué le petit re q lui incombait? NEMO. SPCE Dimanche: En matinée: La Grâc de Dieu, drame. L soir à 8 h : L’Africaine, grnd opéra. Li Les deux Orphelines, drame. Mardi : La petite Mademoiselle opéra-bouffe. Jeudi : Galathée, opéra-comique. Le zèle des parisiens en excitant la Frnd, et échappe du même coup aux sollicitations et aux tentatives d’un officier de l’armée royale, Manicamp. Ms ce Manicamp, qui ’est laissé jouer, st mrx la comtesse t la poursuit; lui aussi est forcé de se déguiser, et c’st sous le cstm homérique de garçon charcutier qu’il retrouve la pete mademoiselle n fille d’auberge. Le jeune me emmenc ses assauts et la comtesse à son tour se trouve aimer Mncmp, lorsqu’elle ets prise et riréécecan dans la demeure de l’époux q’n lui destine. La ptt Mademoiselle se rebelle, elle révolte et bat e vieux bonhomme, rien n’y fait. Des médcns sont appelés pour la calmer. Manicamp are sous la robe des docteurs de Molière, te trv e moyen grâce à a bêtise d’un intendant ue tous les amis de la petite mademoiselle bernent à plaisir, de rester féeemnr avec celle qu’il aime. La comtesse avoue son mr à ncap et l’oblige à crier uiq’l est avec ll. Scandale et tableau. Tout comme de droit s’arrange. nUe lettre écrite à Mazarin lui est parvenue, Mazarin ft le bon prince, il n’accepte que la mté de la fortune que lui offrait la comtesse t la laisse libre de choisir son mr. Manicamp est heureux et ss la petite mademoiselle qui ne... le sera plus. C’est ôl et bien troussé, nous pouvons prédire à coup sûr un succès fou à ctete opérette. NEMO. de déclarer qu’il est son épx. Pr le prouver, ts deux otccsnsmaiepl les cérémonies en sg chez ces eupads barbares. |
sont appelés pour la calmer. Manicamp arrive sous la robe des docteurs de Molière, et trouve le moyen, grâce à la bêtise d’un intendant que tous les amis de la petite mademoiselle bernent à plaisir, de rester enfermé avec celle qu’il aime. La comtesse avoue son amour à Manicamp et l’oblige à crier qu’il est avec elle. Scandale et tableau. Tout comme de droit s’arrange. Une lettre écrite à Mazarin lui est parvenue, Mazarin fait le bon prince, il n’accepte que la moitié de la fortune que lui offrait la comtesse et la laisse libre de choisir son mari. Manicamp est heureux et aussi la petite mademoiselle qui ne... le sera plus. C’est drôle et bien troussé, nous pouvons prédire à coup sûr un succès fou à cette opérette. NEMO. de déclarer qu’il est son époux. Pour le prouver, tous deux accomplissent les cérémonies en usage chez ces peuplades barbares. À ce moment la voix d’Inès se fait entendre, et les feux de Vasco changent de direction pour la quatrième fois. Quand à la pauvre Sélika, il ne lui reste plus qu’à mourir. Elle ordonne à Nélusko de favoriser le départ d’Inès et de Vasco. Dès qu’elle voit le navire gagner la pleine mer, elle se couche sous un mancenillier, et s’abandonnant à son désespoir amoureux, elle meurt. Le fidèle Nélusko accourt pour recueillir le dernier soupir de sa souveraine adorée. À son tour, il aspire à longs traits les fleurs du mancenillier et subit le même sort. (Dictionnaire lyrique). L’AFRICAINNE Opéra en cinq actes, paroles de Scribe, musique de G. Meyerbeer, représenté à l’Opéra le vendredi 28 avril 1865. SILHOUETTES ARTISTIQUES M. FERRIER Pour un son plein d’harmonie, Résister longtemps, tu le sais. Il faut des bons chanteurs s'inscrire sur la liste; Et comme on plaît au cœur quand on charme les yeux, soyez plus naturels, prenez les beaux rôles d’artiste, et vous remporterez des succès en tous lieux. NEMO. LA PETITE MADEMOISELLE Opéra-comique en 3 actes, par MM. Mélishac et Halévy, musique de Lecocq, représenté pour la première fois, à Paris, sur le théâtre de la Renaissance, le | sont appelés pour la calmer. Manicamp arrive sous la des docteurs de Molière, et trouve myn, grâce à la bêtise d’un intendant que tous les amis de la petite mademoiselle bernent à plaisir, de rester enfermé avec celle q’il aime. La comtesse avoue son amour à Manicamp et loblige à crr qu’il est avec elle. Scandale et tableau. Tout come de droit s’arrange. Une lettre re à Mazarin lui est parvenue Mazarin fait le bon prince, il ’acpte que la moitié de la fortune que lui offrait la comtesse et la laisse libre de choisir son mari. Manicamp est heureux aussi la petite mademoiselle qui ne... le sera plus. C’est drôle et bien troussé nous pouvons prédire à coup sûr un succès fou à cette pértt. E de déclarer quil est son épx. Pour l prouver, tous deux accomplissent les cérémonies n usage chez ces peuplades barbares. À ce mmnt la voix d’Inès se ft entendre, et les feux de Vasco changent de direction pr la mitruaeqè fois. Quand à la pa Sélika, l ne lui reste plus qu’à m.rruio Elle rdnn à Nélusko de favoriser le départ d’nès t de Vasco. Dès qu’elle voit le navire ggnr la pleine elle se couche sous un mancenillier, et s’abandonnant à son désespoir amoure elle meurt. Le fidèle Nélusko accourt pour recueillir l rnr psirou de sa souveraine adorée. À n tour, il aspire à longs sitrta les fleurs du mncnllr et subit le même sort. (Dictionnaire lyrique). LAFRICAINNE Opéra en nq ate paroles de Scribe, musique de G. Meyerbeer, représenté à l’Opéra le vendredi 28 avril 1865. SILHOUETTES ARTISTIQUES M FERRIER Pr un son plein d’harmonie, Résister longtemps, tu le sais. Il faut des bons chanteurs s'inscrire sur la lst; Et comme n plaît au cœur quand on charme les yeux, soyez pus ntrls, prenez les beaux rôles d’artiste, et vous remporterez des succès en tous lx. NEMO. LA TEEIPT MADEMOISELLE Opéra-comique en 3 actes, par MM. Mélshc et Halévy, musique de Lecocq, représenté pour la prèr fois, Paris, sur le théâtre de a Renaissance, le |
gagner la pleine mer, elle se couche sous un mancenillier, et s’abandonnant à son désespoir amoureux, elle meurt. Le fidèle Nélusko accourt pour recueillir le dernier soupir de sa souveraine adorée. À son tour, il aspire à longs traits les fleurs du mancenillier et subit le même sort. (Dictionnaire lyrique). L’AFRICAINNE Opéra en cinq actes, paroles de Scribe, musique de G. Meyerbeer, représenté à l’Opéra le vendredi 28 avril 1865. SILHOUETTES ARTISTIQUES M. FERRIER Pour un son plein d’harmonie, Résister longtemps, tu le sais. Il faut des bons chanteurs s'inscrire sur la liste; Et comme on plaît au cœur quand on charme les yeux, soyez plus naturels, prenez les beaux rôles d’artiste, et vous remporterez des succès en tous lieux. NEMO. LA PETITE MADEMOISELLE Opéra-comique en 3 actes, par MM. Mélishac et Halévy, musique de Lecocq, représenté pour la première fois, à Paris, sur le théâtre de la Renaissance, le 12 avril 1879. Le sujet de cet opéra-comique-opérette est un épisode tout à fait fantaisiste de la guerre de la Fronde en 1652. Déguisements sans nombre, situations comiques, burlesques, drôlatiques, hasardées, tel est le libretto. Mazarin, pour confisquer la fortune d’une jeune fille très riche, l’avait obligée à épouser un parent à lui, le comte de Caméroni, âgé de 70 ans. Au bout de six mois, la nouvelle épouse est devenue veuve sans avoir été.. mariée dans le sens littéral du mot, ce qui fait que sa fortune n’est pas la seule.. chose qui soit demeurée.. intacte, elle lui vient le surnom de : « La Petite Mademoiselle ». Mazarin ne se tient pas pour battu et veut encore la forcer à épouser le frère du comte de Caméroni, frère aussi décrépit que le défunt mari pour rire. Sur les traces de l’armée royale, pour aller réchauffer Vasco de Gama est parti depuis deux ans pour explorer le nouveau monde, Inès, sa fiancée, lui garde un fidèle souvenir. Elle espère le revoir; mais don Diégo, son père, cédant aux ordres du roi, lui ordonne de renoncer à son amour et d’accepter pour époux le président du conseil, l'ambitieux et traitre | gagner la pleine mer, elle s couche sous nu mancenillier, et s’abandonnant à son désespoir amoureux, elle meurt Le fidèle Nélusko accourt pour recueillir le dernier soupir de sa souveraine adorée. À sn tour, il spr à longs traits les fleurs du mancenillier et su le même srt. (Dictionnaire lyrique). L’AFRICAINNE Opéra en cinq actes, paroles de Scribe, musique de G. Meyerbeer, représenté à l’Opéra le vendredi 28 avril 1865. SLHTTS ARTISTIQUES M. FIERERR Pour un son plein d’harmonie, Résister longtemps, tu le sais. Il ft des bons chanteurs s'inscrire sur la liste; Et comme on plaît au cœur quand on charme les yeux, soyez uslp ntrls, prnz les bx rôles d’artiste, et vous remporterez des succès e ts lieux. NEMO. LA PETITE MADEMOISELLE Opéra-comique en 3 actes, par M Mélishac t Halévy musique de Lecocq, sténéerrep pour première fois, à ,sriPa sur le théâtre de la Renaissance, le 12 avril 8. Le sujet de cet opéra-comique-opérette est un épisode tout à fait fantaisiste de la guerre de la Frnd en 1652. Déguisements sans nombre, situations comiques, burlesques, drôlatiques, hasardées, tel est le lbrtt. Mzarin pour confisquer la fortune d’une jeune fille très riche, l’avait obligée épouser un parent à u, le comte de Caméroni, âgé de 70 ans. Au bout de six mois, la nvll épouse est devenue evuev ans avoir été.. mariée asnd le sens littéral du mot, ce qui fait que sa fortune n’est pas la eue. chose qui st dmré.. intacte, elle lui vient le surnom de : « La Petite Mademoiselle ». Mazarin ne se tnt ps pour battu et veut encore la forcer à épouser le frère du comte ed Caméroni, frère aussi décrépit que le défunt mari pour rire. Sur les trcs de l’armée royale, pour aller réchauffer asVco de Gama est rt depuis deux ans pour explorer le nouveau nd Inès, sa fiancée, lui adreg un fidèle isoenr.uv Elle pèe le revoir; mais don Diégo, son père, cédant aux ordres du roi, lui ordonne de renoncer à son amour et d’accepter pour époux le président du conseil, l'ambitieux et traitre |
parent à lui, le comte de Caméroni, âgé de 70 ans. Au bout de six mois, la nouvelle épouse est devenue veuve sans avoir été.. mariée dans le sens littéral du mot, ce qui fait que sa fortune n’est pas la seule.. chose qui soit demeurée.. intacte, elle lui vient le surnom de : « La Petite Mademoiselle ». Mazarin ne se tient pas pour battu et veut encore la forcer à épouser le frère du comte de Caméroni, frère aussi décrépit que le défunt mari pour rire. Sur les traces de l’armée royale, pour aller réchauffer Vasco de Gama est parti depuis deux ans pour explorer le nouveau monde, Inès, sa fiancée, lui garde un fidèle souvenir. Elle espère le revoir; mais don Diégo, son père, cédant aux ordres du roi, lui ordonne de renoncer à son amour et d’accepter pour époux le président du conseil, l'ambitieux et traitre don Pedro. D’ailleurs, celui-ci montre sur une liste funèbre le nom de Vasco de Gama parmi ceux des marins engloutis dans un récent naufrage. Le conseil s’assemble, et qui paraît devant lui? Vasco lui-même échappé à la tempête. Cependant, plein de confiance dans le succès d’une nouvelle entreprise, il expose ses projets, et, pour convaincre les membres du conseil, il demande qu’on introduise deux esclaves qu’il a amenés. Don Pedro use de son influence pour faire repousser par le Conseil la demande de Vasco. Celui-ci s’emporte, cite l’exemple de Christophe Colomb, insulte le tribunal qui le condamne à la prison. Au second acte, Vasco est endormi dans sa prison, Sélika veille auprès de son maître, Sous lequel elle a conçu une violente passion. Nélusko, cédant à un accès de jalousie, veut poignarder Vasco. Sélika arrête son bras, et s'acquitte ainsi envers son bienfaiteur autant par amour que par reconnaissance. Il y a une carte de géographie accrochée au mur de la prison, et la sauvage Sélika paraît l’avoir étudiée à fond. Elle démontre au navigateur portugais qu'il n’est qu'un ignorant, qu’il doit suivre telle route et arriver à une grande île. Vasco, touché de la leçon de géographie plus encore | parent à lui, le comte de Caméroni, âgé d 70 ans. Au bout de six mois, la nouvelle épouse est devenue veuve sans avoir été.. mariée dans le sens littéral du mot, ce qui fait que sa fortune n’est pas la seule.. chose qui soit demeurée.. intacte, elle lui vient le surnom de : « La Petite Mademoiselle Mazarin n se tient pas pour battu et veut encore la forcer à épouser le frère du comte de Caméroni, frère aussi décrépit le défunt mari pour rire. Sur les traces de l’armée royale, pour aller réchauffer Vasco de Gama est parti depuis deux ans pour explorer le nouveau monde, Inès, sa fiancée, lui garde n fidèle souvenir. ll espère le revoir; mais don Dég, son pèr, cédant x ordres u ior, lui ordonne de renoncer à son amour et d’accepter pour époux le président d cnsl, lambitieux et traitre d Pedro. ali’l,uDres cl-c montre sr une liste funèbre le nom de Vasco de Gama parmi ceux des marins engloutis dans n récent naufrage Le conseil s’assemble, et qui paraît devant lui? Vasco lui-même échappé à l tempête. Cependant, plein de confiance dans le succès d’une nouvelle ntrprs, il expose ses projets, et, pr convaincre les membres du conseil, il demande qu’on introduise ex esclaves qu’ a amenés. Don Pedro use de son nflnc pr faire repousser par le Conseil la demande de Vasco. Celui-ci s’emporte, cite l’ee de Christophe Colomb, insulte l tribunal qui le condamne à la prison. Au second acte Vasco est ndrm dans sa prison, Sélika vll auprès de son mîtr, Sous lequel elle a conçu une violente passion. Nélusko, cédant à un accès de jalousie, veut poignarder Vasco. Sélika arrête son bras, et s'acquitte ainsi nvrs son bienfaiteur autant par amour que par reconnaissance. Il y a une carte de géographie accrochée au r de la prison, et la sauvage Sélk prît l’avoir éduiéte à fond. Elle d au navigateur portugais qu'il n’est qu'un ignorant, qu’il doit suivre telle route et arriver à une grande île. Vasco, touché de la leçon de géographie plus encore |
ses projets, et, pour convaincre les membres du conseil, il demande qu’on introduise deux esclaves qu’il a amenés. Don Pedro use de son influence pour faire repousser par le Conseil la demande de Vasco. Celui-ci s’emporte, cite l’exemple de Christophe Colomb, insulte le tribunal qui le condamne à la prison. Au second acte, Vasco est endormi dans sa prison, Sélika veille auprès de son maître, Sous lequel elle a conçu une violente passion. Nélusko, cédant à un accès de jalousie, veut poignarder Vasco. Sélika arrête son bras, et s'acquitte ainsi envers son bienfaiteur autant par amour que par reconnaissance. Il y a une carte de géographie accrochée au mur de la prison, et la sauvage Sélika paraît l’avoir étudiée à fond. Elle démontre au navigateur portugais qu'il n’est qu'un ignorant, qu’il doit suivre telle route et arriver à une grande île. Vasco, touché de la leçon de géographie plus encore que des charmes de l’institutrice, jure à Sélika un amour éternel. Il est surpris au milieu de sa déclaration par la visite d’Inès qui, pour le sauver, a consenti à épouser le président du Conseil. Vasco s’aperçoit qu’Inès est jalouse de Sélika. Que fait-il pour calmer ses soupçons? Il a la bassesse de la lui céder à titre d’esclave ainsi que Nélusko. Le troisième acte se passe sur le vaisseau. Don Pedro accompagné d’Inès, commande l’expédition ; mais, en réalité, il suit les conseils de Nélusko qui, pour assouvir sa soif de vengeance, fait faire des fausses manœuvres, et envoie le navire se briser contre les écueils. Vasco a frété un bâtiment à ses frais ; il a suivi Don Pedro; effrayé du péril qui menace son rival, il l’aborde et l’en informe. Don Pedro méconnaît le sentiment qui le fait agir, et ordonne que Vasco soit attaché au grand mât et fusillé. Au moment où il donne cet ordre, le vaisseau se brise sur des rochers, et une troupe de sauvages l’envahit aussitôt. Dans le quatrième acte, Sélika a repris les attributs de sa royauté insulaire. Tous les prisonniers, au nombre desquels se trouve Vasco de Gama, vont être | ses projets, t, orpu convaincre lse membres du conseil, l demande qu’on introduise deux esclaves qu’il amenés. Don Pedro use de son influence pour faire rpssr par le Conseil la deae d Vasco. Celui-ci s’emporte, cite ’exemple de Christophe Colomb, insulte le tribunal qui l condamne la prsn. Au second acte, Vasco est endormi dans sa prison, Sélika veille auprès de son maître, usSo lequel elle a conçu une violente passion. Nélsk, cédant à un accès de jalousie, e poignarder Vasco. Sélika eêrtar son bs, et 'acquitte ainsi nvrs son bienfaiteur ut par amour que par reconnaissance. Il y a n carte de graphi accrochée au mur de la prison et la sa Sélika paraît l’avoir étudiée à fond. ll démontre au vergaunait prtgs qu'il n’st qu'un ignorant, i’uql doit uevisr telle route et arriver à une grande île. Vasco, touché de l leçon de éghie plus encore que des charmes de l’institutrice, jr Sélika un amour éternel. Il est srprs au milieu de sa déclaration par la visite d’nès qui, pour le sauver, a consenti à épouser le président du Cnsl. s’aperçoit qu’Inès est jalouse de Sélika. Que fait-il pour calmer ses soupçons? Il a la bssss d la l céder à titre d’esclave ainsi que Nélusko. Le troisième acte s passe sur le vaisseau. Don Pedro accompagné ’Inès, cmmnd l’expédition mais, n réalité il suit les conseils de No qui, pour assouvir sa sf de vengeance, fait ds fausses mnœvrs, et envoie le navire se briser contre les lcie.ésu Vasco a téréf bâtiment à ses rsaif ; il suivi Don Pe;dor effrayé du péril qui menace son rival, l l’aborde et ’en informe Don Pedro méconnaît le sentiment qui le fi agir, et ordonne que Vasco soit aché au grand mât et fusillé. Au moment où il donne cet rdr, le vaisseau se r sur des rochers, et une troupe de sauvages l’envahit sstôt. Dans le quatrième ct, Sélika repris les ttrbts de sa royauté nire os les prisonniers au nombre deslqsue s evutor Vasco de Gama, vont être |
la bassesse de la lui céder à titre d’esclave ainsi que Nélusko. Le troisième acte se passe sur le vaisseau. Don Pedro accompagné d’Inès, commande l’expédition ; mais, en réalité, il suit les conseils de Nélusko qui, pour assouvir sa soif de vengeance, fait faire des fausses manœuvres, et envoie le navire se briser contre les écueils. Vasco a frété un bâtiment à ses frais ; il a suivi Don Pedro; effrayé du péril qui menace son rival, il l’aborde et l’en informe. Don Pedro méconnaît le sentiment qui le fait agir, et ordonne que Vasco soit attaché au grand mât et fusillé. Au moment où il donne cet ordre, le vaisseau se brise sur des rochers, et une troupe de sauvages l’envahit aussitôt. Dans le quatrième acte, Sélika a repris les attributs de sa royauté insulaire. Tous les prisonniers, au nombre desquels se trouve Vasco de Gama, vont être égorgés. Pour sauver un amant aussi lâche qu’infidèle, Sélika imagine "Et, c’est vers toi, martyr qui reposes dans l’ombre, Que trouve ma pensée et que suivent mes vœux, Yeux éteints, front pâli, sous cette voûte sombre, Dormez en paix, comme autrefois, soyez heureux...! Dors tranquille et content, sans regret et sans haine, Car, si ce qui fut toi ne doit plus revenir, De tout ce qu’ici-bas tu ne dus voir qu’à peine, Garde, ô mon pauvre ami, le touchant souvenir...! Et dans ces doux moments où l’âme se repose, En songeant au passé, confiante en sa foi, Tout ce que lu connus de mortel, homme ou chose, Oh! dans ta solitude, ami, rappelle-toi...! Heureux temps où l’espoir nous portant sur ses ailes, Où nous doutions encore d’être un jour séparés, Comme les volontés du Seigneur sont cruelles, Pour que nos rêves d’or soient ainsi déchirés... ! Temps heureux où croyant alors à toutes choses. Nous prenions nos désirs pour des réalités, Nous rêvions éternel le doux parfum des roses, Et nous pensions nos cœurs s’emplir de voluptés...! Dans notre esprit trop simple et trop candide encore, Tous les honnêtes étaient bons, innocents et purs, On ne soupçonnait pas le mal | la bassesse de la lui cédr à irtte d’esclave ainsi qu Nélusko. Le troisième acte e passe sur le vaisseau. on Pedro accompagné d’Inès, commande l’expédition ; mais, en réalité, l suit les conseils de Nélusko qi pour ssvr sa sf de vengeance, fait faire des fausses manœuvres, et envoie le navire se briser contre les écueils. Vasco a frété un bâtiment à ses frais ; il a suivi Don Pedro; effrayé du péril qui menace son rival, il l’aborde et l’en informe. Don Pedro mécnnît le sentiment qui fait agir, et ordonne que asc soit attaché au rn mât et fusillé. Au moment où il dnn cet ordre, le vaisseau se brise sur des rochers, et une troupe de sauvages l’envahit austô Dans le quatrième eac,t Sélika a epr les ttrbts de sa royauté insulaire. Tous es prisonniers, au nombre desquels se trouve Vasco d Gama, vont être égorgés Pour sauver un an ss lâche quinfidèle Sélik imagine "Et, c’est vers toi, martyr qui reposes dans o’r,mleb Que trouve ma pensée et que suivent mes vœux, Yeux éteints, front pâli, sous cette voûte sombre, Dormez en paix comme autrefois, soyez heureux...! Dors tranquille et content sans regret et sans haine, Car, si ce qui ft toi ne doit plus revenir, De tt ce qu’ici-bas tu ne us voir qu’à pi,ene Garde, ô nom pauvre ami le touchant souvenir...! Et dans ces doux moments où l’âme se repose, En songeant au passé, confiante en sa foi, Tout ce que lu connus de mortel, homme ou chose, Oh! dans ta solitude, ami, rappelle-toi...! Heureux temps où l’espoir nous portant sur ss ailes, Où nous doutions encore d’êtr un jour séparés, Comme les volontés du Seigneur sont cruelles, Pour que nos rêves d’or soient ainsi déchirés... ! Temps here où caynrto alors à toutes choses. Nous prenions nos désirs pour des réalités, Nous rêvions éternel le doux parfum des roses, Et nous pensions nos cœurs s’emplir de voluptés...! Dans notre esprit trop simple et trop dacdnie encore, Tous les honnêtes étaient nbso, innocents t purs, On ne soupçonnait pas le mal |
sans haine, Car, si ce qui fut toi ne doit plus revenir, De tout ce qu’ici-bas tu ne dus voir qu’à peine, Garde, ô mon pauvre ami, le touchant souvenir...! Et dans ces doux moments où l’âme se repose, En songeant au passé, confiante en sa foi, Tout ce que lu connus de mortel, homme ou chose, Oh! dans ta solitude, ami, rappelle-toi...! Heureux temps où l’espoir nous portant sur ses ailes, Où nous doutions encore d’être un jour séparés, Comme les volontés du Seigneur sont cruelles, Pour que nos rêves d’or soient ainsi déchirés... ! Temps heureux où croyant alors à toutes choses. Nous prenions nos désirs pour des réalités, Nous rêvions éternel le doux parfum des roses, Et nous pensions nos cœurs s’emplir de voluptés...! Dans notre esprit trop simple et trop candide encore, Tous les honnêtes étaient bons, innocents et purs, On ne soupçonnait pas le mal quand on l’ignorait, Et pour l’avoir nos cœurs n’avaient pas encore mûri... ! Nous regardions tous deux sans haine et sans colère, Ce que chacun faisait et nous ne disions rien, Car nous pensions alors que si Dieu laissait faire, C’est que ce qu’on faisait ne pouvait qu’être bien. Nous recherchions toujours les calmes solitudes, Les grottes, frais abris, les forêts, sombres lieux, Car nous croyions toujours que loin des multitudes, Dans l’ombre et le silence, on devait rêver mieux... Qu’ainsi nous en avons dépensé des journées, Que de ruisseaux franchis, de chemins parcourus, Et qu’elles durent voir, nos âmes étonnées, Le coucher du soleil dans nos jours disparus...! Albert MONTINOT. THEATRE-RENAISSANCE La troupe Brésilienne, composée de sept personnes, étoiles d’Amérique, remporte tous les soirs des succès foudroyants. Les prodiges d'équilibre, le monde à l'envers, les jeux icariens sont exécutés avec un art et une grâce infinis. Tout Nîmes y passera ; c’est réellement merveilleux. Nous avons eu les débuts de Mlle Déricourt, chanteuse comique excentrique, et peu après ceux de Mlle Guibertau, chanteuse comique. Tous les samedis, grand bal paré et masqué. Rideau à huit heures précises. M. Sucquet, chef d'orchestre. NÉMO. Les représentations des Mille et une Nuits, | sans haine Car, si ce qui fut toi n tido plus revenir, D tout ce qu’ici-bas u ne dus voir qu’à i Garde, ô mno rpuvea ami, l touchant souvenir...! Et dans sec doux moments où ’âme se repose, En songeant au pssé, confiante en sa o,if Tout ec que lu cs de mortel, homme ou chose, Oh! dans ta solitude, ami, rppll-t...! exHureu temps où l’espoir nous portant sur ses ailes, ù nous doutions ncr d’être n ur séparés, Comme els volontés du Seigneur cruelles, Pour que nos rêves d’r soient ainsi déchrés... ! Temps heureux où croyant alors à toutes choses. Nous prenions nos désirs pour des réalités, Nous rêvions éternel le doux parfum des roses, Et osun pensions nos csrœu s’emplir de voluptés...! Dns notre sprt orpt simple t trop cndd encore, Tous e honnêtes étaient bons, innocents et purs, On ne soupçonnait pas l mal quand on l’ignorait, Et ou ’avoir nos cœurs n’avaient pas encore mûri... ! Nous regardions tous deux sans haine et sans colère, Ce que chacun faisait et nous ne disions rien Car nous pensions alors que si Dieu laissait faire, C’est que ce qu’on aiat ne pouvait qu’être bien. Nous recherchions toujours les calmes solitudes, Les grottes, frais abris, les forêts, sombres lieux, Car nous croyions toujours que loin ds multitudes Dans l’re et le silence, no devait rêver mieux... Qu’ainsi nous en avons dépensé des journées, Que d ruisseaux franchis, de chemins parcourus, Et el durent voir, ns âmes étonnées, Le coucher d soleil dans nos jours disparus...! Albert MONTINOT. NHNEITRRESAESCEAA-T L troupe Brésilienne, composée d sept personnes, étoiles d’Amérique, remporte tous les soirs des succès foudroyants. sLe prodiges d'éqlbr, le monde à 'envers, les jeux icariens sont exécutés avec n art et une grâce infinis. Tout Nîmes y passera ; c’st réellement merveilleux. Nous avons eu ls débuts de Mlle rutro,écDi chanteuse mu excentrique, et upe près ceux de Mlle Guibertau, chanteuse comique. Tous ls samedis gnrad bal paré et masqué. Rideau à huit hrs précises. M. Sucquet, chef d'orchestre. NMO. Les représentations des Mille et une uit, |
recherchions toujours les calmes solitudes, Les grottes, frais abris, les forêts, sombres lieux, Car nous croyions toujours que loin des multitudes, Dans l’ombre et le silence, on devait rêver mieux... Qu’ainsi nous en avons dépensé des journées, Que de ruisseaux franchis, de chemins parcourus, Et qu’elles durent voir, nos âmes étonnées, Le coucher du soleil dans nos jours disparus...! Albert MONTINOT. THEATRE-RENAISSANCE La troupe Brésilienne, composée de sept personnes, étoiles d’Amérique, remporte tous les soirs des succès foudroyants. Les prodiges d'équilibre, le monde à l'envers, les jeux icariens sont exécutés avec un art et une grâce infinis. Tout Nîmes y passera ; c’est réellement merveilleux. Nous avons eu les débuts de Mlle Déricourt, chanteuse comique excentrique, et peu après ceux de Mlle Guibertau, chanteuse comique. Tous les samedis, grand bal paré et masqué. Rideau à huit heures précises. M. Sucquet, chef d'orchestre. NÉMO. Les représentations des Mille et une Nuits, au Châtelet, les 1, 2 et 3 janvier, ont produit l’incroyable total de 75,000 francs. Sarah-Bernhardt a quitté mercredi Saint-Pétersbourg, après y avoir passé quinze jours et joué vingt fois, avec une moyenne quotidienne de 8.000 francs. Voici quelques renseignements complémentaires sur sa rentrée au Vaudeville, à Paris. Dans le traité qu’elle a signé avec ce théâtre, il y a un dédit de 100,000 francs, juste le chiffre des dommages-intérêts auxquels Mlle Sarah-Bernhardt a été condamnée envers la Comédie-Française. De sorte qu'elle se trouverait dans le dilemme de l'âme de Buridan : 100,000 fr. à payer au Vaudeville si elle rentre à la Comédie-Française; 100,000 fr. à payer à la Comédie-Française si elle joue au Vaudeville. Pour l’entraîner du côté du Vaudeville, les directeurs de ce théâtre lui donnent 1,000 francs par soirée. C’est cent représentations qu’il faudra à la pièce de M. Sardou pour que Mlle Sarah-Bernhardt s’acquitte envers le Théâtre-Français. À la Gaîté, réussite complète de Quatre-vingt-treize, le drame de Victor Hugo. Un des tableaux de ce drame a fait sensation, à la première : Sur un plan incliné sont étendus des tas de cadavres représentés par des mannequins à figure de cire, affreusement abîmés; à celui-ci un | recherchions oujours les calmes solitudes, Les grottes, frais abris, les forêts, sombres lieux, Car nous croyions toujours que ln des mlttds, Dans l’ombre et le silence on devait rêver mieux... Qu’ainsi nous en avons dépensé des junées, Que ruisseaux frnchs, de chemins parcourus, Et qu’elles durent voir, nos âmes étonnées, Le coucher du soleil dans nos jrs disparus...! Albert MONTINOT. THEATRE-RENAISSANCE La troupe Brésilienne, composée de spt personnes, étoiles d’Amérique, remporte tous les soirs des ss foudroyants. Les prodiges d'équilibre, le monde à l'envers, les ujxe crns snt exécutés v un art et une grâce infinis. Tout me y sr ; c’est réellement rillex. Nous s eu les débuts Mlle Déricourt, chanteuse comique excentrique, te peu après ceux de Mlle ia, chanteuse comique. Tous les samedis, gan bal paré t msqé. Ridau à huit heures précises. M. Sucquet, chef d'orchestre. NO Les ésertasopniernt des Mille et une Nuits, au Câelt les 1, 2 et 3 janvier, ont produit l’incroyable total de 75,000 francs. Sarah-Bernhardt a quitté mercredi SaintPétersbourg après y avoir passé quinze jours et jé vingt fois, avec une mye quotidienne de 8.000 francs. Voici quelques renseignements complémentaires sr sa rentrée au Vaudv, à Paris. Dans le traité qu’elle a signé ce théâtre, il y a un dédit de 100,000 francs, juste l chiffre des dommages-intérêts auxquels e Sarah-Bernhardt a été condamnée envers la Comédie-Française. De sorte qu'elle se trouverait dans le dilemme de l'âme de Buridan : 100,000 f. à payer au Vaudeville si elle rentre à la Comédie-Française; 100,000 fr. à payer à la Comédie-Française si elle joue au Vaudeville. Pour l’entraîner du côté du Vaudeville, les directeurs de ce théâtre lui donnent 1,000 francs par soirée. C’est cent représentations qu’il faudra à la pièce de M. Sardou pour q Mlle Sarah-Bernhardt ’acquitte envers le .-ataâirçenéhrsTF À la Gaîté, résst complète de Qtr-vngt-trz, l drame de Victor Hugo. Un des tableaux de e drame a fait sensation, à la première Sur un plan incliné sont étendus des tas de cadavres représentés par des mannequins à figure de cire, ffrsmnt abîmés; à cl-c un |
traité qu’elle a signé avec ce théâtre, il y a un dédit de 100,000 francs, juste le chiffre des dommages-intérêts auxquels Mlle Sarah-Bernhardt a été condamnée envers la Comédie-Française. De sorte qu'elle se trouverait dans le dilemme de l'âme de Buridan : 100,000 fr. à payer au Vaudeville si elle rentre à la Comédie-Française; 100,000 fr. à payer à la Comédie-Française si elle joue au Vaudeville. Pour l’entraîner du côté du Vaudeville, les directeurs de ce théâtre lui donnent 1,000 francs par soirée. C’est cent représentations qu’il faudra à la pièce de M. Sardou pour que Mlle Sarah-Bernhardt s’acquitte envers le Théâtre-Français. À la Gaîté, réussite complète de Quatre-vingt-treize, le drame de Victor Hugo. Un des tableaux de ce drame a fait sensation, à la première : Sur un plan incliné sont étendus des tas de cadavres représentés par des mannequins à figure de cire, affreusement abîmés; à celui-ci un éclat d’obus a enlevé le nez, à celui-là un oeil sort de l’orbite tout sanglant, etc. Ce tableau qui porte le titre de : Après le massacre, est saisissant de réalisme et d’horreur. ROUEN. — Théâtre des Arts. — La municipalité de Rouen a choisi M. Pezzani pour la direction du nouveau théâtre. M. Pezzani est nommé pour trois ans, avec 130,000 francs de subvention. On annonce de Berlin la mort de la Taglioni, à l’âge de soixante-dix-huit ans. La célèbre danseuse débuta, le 23 juillet 1827, à l’Académie de musique, dans le Sicilien, et son succès fut grand. Engagée en 1829, pour une période de quinze années, Marie Taglioni consacra ses congés à parcourir l’Allemagne, l’Italie, l’Angleterre et la Russie où elle excita un enthousiasme non moins vif que celui qu’elle soulevait en France, Ses deux grands triomphes ont été la Sylphide et la Fille du Danube. En 1847, Marie Taglioni quitta l’Opéra et se retira en Italie. UN THÉÂTRE ÉCLAIRE par la lumière électrique On nous écrit de Londres : L’expérience de l’éclairage électrique du théâtre de Savoy a été complète. Le gaz a été supprimé radicalement de la scène. L’effet est on ne peut plus satisfaisant. Les | traité qu’elle a signé avec ce théâtre, il y n dédit d 100,000 francs, juste le chiffre des dommages-intérêts auxquels Mlle Sarah-Bernhardt a été condamnée envers la Co-rça De sorte qu'elle se trouverait dans e dilemme ed l'âme d Buridan 100,000 fr. à payer au Vaudee si elle rentre à la Céiena 01,0000 fr payer à la Comédie-Française si ll j au Vaudeville. Pour l’entraîner du côté du Vaudeville, les ets de c thét lui donnent ,000 francs par soirée. e’tCs cent représentations u’ faudra à al pièce de M. Sardou pour que Mlle Sarah-Bernhardt s’acquitte envers el Théâtr-Frnçs. À la Gaîté, résst complète de Quatre-vingt-treize, le drame de Victor Hugo. Un des tableaux de ce drame fait in à la première : Sur n plan incliné sont tusnedé des as de caa représentés par des mannequins à figure de cire, affreusement abîmés; à celui-ci un éclat d’bs a enlevé le à cl-là un oeil sort de l’orbite utto sanglant, etc. Ce tableau qui porte le titre de : Après le massacre, est saisissant de réalisme et d’horreur. ROUEN. eréâTht des Arts. — L municipalité de Renuo a choisi M. Pezzani pour la direction du nouveau théâtre. M. Pei est némom pour trois ans, avec 130,000 francs de ou.ninbsevt On annonce de Brln la mort de la i, à l’âge d soixante-dix-huit ans. La célèbre danseuse débuta, le 23 juillet 1827, à ’Académie de musique, dans le Sicilien, t son succès fut grand. Engagée en 1829, pour une période de quinze années, Marie Taglioni consacra ses cns à parcourir ’Allemagne, l’Italie, ’Angleterre et la euisRs où elle xct un enthousiasme non mns vif que ciuel qu’elle soulevait en France, Ses deu grands triomphes ont été l Sylphide et la Fll d Danube. En 1847 Marie Taglioni quitta l’Opéra et se retira n it.Ilae N THÉÂTRE ÉCLR par l lumière électrique On nous crit de Londres : éei’eLecnpxr d l’éclairage étriqe du théâtre de Savoy été complète. Le gaz a été spprmé radicalement de la scène. ’effet est n ne peut plus tsatssnifaa.i Ls |
du nouveau théâtre. M. Pezzani est nommé pour trois ans, avec 130,000 francs de subvention. On annonce de Berlin la mort de la Taglioni, à l’âge de soixante-dix-huit ans. La célèbre danseuse débuta, le 23 juillet 1827, à l’Académie de musique, dans le Sicilien, et son succès fut grand. Engagée en 1829, pour une période de quinze années, Marie Taglioni consacra ses congés à parcourir l’Allemagne, l’Italie, l’Angleterre et la Russie où elle excita un enthousiasme non moins vif que celui qu’elle soulevait en France, Ses deux grands triomphes ont été la Sylphide et la Fille du Danube. En 1847, Marie Taglioni quitta l’Opéra et se retira en Italie. UN THÉÂTRE ÉCLAIRE par la lumière électrique On nous écrit de Londres : L’expérience de l’éclairage électrique du théâtre de Savoy a été complète. Le gaz a été supprimé radicalement de la scène. L’effet est on ne peut plus satisfaisant. Les couleurs des costumes de l’opéra-comique de Patience ont les mêmes teintes qu’en plein jour. Comme ils sont très riches, dessinés avec goût et que les girls du ballet ont été choisies avec le plus grand soin, l’effet est des plus satisfaisants. On peut affirmer que le grisou perfectionné, qui porte le nom de gaz, ne reparaîtra plus jamais sur cette scène digne de l’époque où nous vivons. Pour diminuer ou augmenter la quantité de lumière émise, et régler les effets comme avec des becs de gaz, le Hallemange emploie des bobines de résistance faites avec du fil de fer. Comme la conductibilité de ce métal est six fois moindre que celle du cuivre, la graduation est beaucoup plus facile à obtenir. Elle ne demande qu’une grande longueur d’un métal coûtant dix fois moins cher. Il est vrai que la force électrique employée à vaincre la résistance du fer est engendrée en pure perte. C’est un inconvénient au point de vue économique. Mais, dans un éclairage de luxe comme celui d’une salle de spectacle, ce détail n’est que secondaire. Le directeur de Savoy nous a donné hier une démonstration publique destinée à prouver qu'avec les lampes d’incandescence, il est impossible de | du nouveau théâtre. M. Pezzani est nommé pour trois ans, avec 130,000 francs de subvention. On annonce de Berlin la mort d la Taglioni, à l’âge de soixante-dix-huit ans. La célèbre danseuse débuta, le 23 juet 1827, à l’Académie de musique, dans le Sicilien, et son succès fut .rgnad Engagée en 1829, pour une période de quinze années, Marie Taglioni consacra ss congés parcourir l’Allemagne, l’Italie, l’Angleterre et la Russie où elle excita un enthousiasme no moins vif que celui qu’elle soulevait en France, Ses deux grands triomphes ont été la Syle et la Fille du Danube. En 1847, Marie Taglioni uqaitt l’Opéra et s retira en tl. UN THÉÂTRE ÉCLAIRE par la lumière électrique On nous écrit de Londres : Lexpérience d l’éclairage électrique du théâtre de Savoy a été cmplèt. Le gaz a été supprimé radicalement de la scène. L’effet est on en peut plus satisfaisant. Les couleurs des tmssecuo de ’opéra-comique de Pneecita ont les mêmes teintes qu’en plein jour. Comme ils sont riches, dessinés avec goût et que les girls du bllt ont été choisies avec plus grand soin, l’ftefe est des plus satisfaisants. On peut affirmer que e grisou perfectionné, qui porte le nom de gaz, n reparaîtra plus jamais sur cette scène digne de l’époque où nous vivons Pour diminuer ou gmntr l qntté de lumière émise t régler les effets comme avec des becs de gaz le Hallemange emploie des bobines de résistance at avec du fil de fer. Comme la conductibilité de ce métal st six fois moindre q celle du cvr, la graduation est beaucoup plus facile à obtenir. Elle ne dmnd qu’une grande longueur dun métal coûtant ix fois moins cher. Il st vrai que la force électrique mpoy à ervinac la résistance du fer est engendrée en pure perte. C’est un inconvénient au point de vue économique. Mais, dans un éclairage de ux comme celui d’une salle de spectacle, e détail n’est que secondaire. Le directeur de Svoya nous a donné hier une démonstration publique destinée à prouver qu'avec les lampes d’incandescence, il est impossible de |
le nom de gaz, ne reparaîtra plus jamais sur cette scène digne de l’époque où nous vivons. Pour diminuer ou augmenter la quantité de lumière émise, et régler les effets comme avec des becs de gaz, le Hallemange emploie des bobines de résistance faites avec du fil de fer. Comme la conductibilité de ce métal est six fois moindre que celle du cuivre, la graduation est beaucoup plus facile à obtenir. Elle ne demande qu’une grande longueur d’un métal coûtant dix fois moins cher. Il est vrai que la force électrique employée à vaincre la résistance du fer est engendrée en pure perte. C’est un inconvénient au point de vue économique. Mais, dans un éclairage de luxe comme celui d’une salle de spectacle, ce détail n’est que secondaire. Le directeur de Savoy nous a donné hier une démonstration publique destinée à prouver qu'avec les lampes d’incandescence, il est impossible de mettre le feu aux décors ou aux vêtements des artistes. À la fin de la Première partie de Patience, il s’est avancé fres de la rampe, où il a cueilli au hasard une lampe Swann. Enveloppée d’un morceau de mousseline, elle a été brisée avec un coup de marteau. On a entendu un grand bruit provenant de la rentrée, l’air, mais la lumière s’est éteinte instantanément. La mousseline n’a même pas été noircie. Des applaudissements dont l’énergie est facile à prendre ont salué cette démonstration. Toute la salle était dans l’enthousiasme, en s’éclamant qu’une nouvelle édition d’une cacophonie semblable à celle de Vienne, était devenue littéralement impossible. FESSÉES D'OPÉRA EN CHAMBRE À BATONS ROMPUS UN VIEIL AMATEUR D'AVANT-SCÈNE Piano!... piano, donc! Mais c’est épouvantable!... Mais on fait aujourd'hui de la musique qui n'a pas le sens commun!... Quel chaos! piano, donc!... Peut-on placer sous un chef 40 instruments et cracher au nez du chanteur les sons rauques de 4 trombones, 4 cors et 2 cornets à piston, avec accompagnement de timbales? Bien loin est le temps où la romance d'Azov et les rondeaux du Devin du Village venaient frapper délicieusement l'oreille! UN JEUNE DANDY, en gants jaunes et en lorgnon | le nom de gaz, ne reparaîtra plus amajsi sur cette scène digne de l’époque où nous vivons. Pour diminuer ou augnte al quantité de lumière émise, et régler les effets comme avec des bsce de gaz, le Hallemange emploie des bobines de résstnc faites avec du fil de fer. Comme l conductibilité e ce métal est six fois mndr que celle du cuivre, la graduation est beaucoup plus facile à obtenir. Elle ne demande qu’une grande longueur d’un métal cûtnt dix fois moins cher. Il est vrai que la force électrique employée à vaincre a réiae du fer est ngndré en pure perte. C’est un inconvénient au point de vue économique. Mais, dans un éclairage de luxe comme celui d’une salle de spectacle, ce détail n’est que secondaire. Le directeur de Savoy nous a donné hier une démonstration publique destinée à prouver qu'avec les lampes d’incandescence, il est impossible de trmtee le feu aux décors ou aux vêtements des artistes. À la fin de la èmePerir partie de ainc, il s’est avancé res de la rmp, où l a uilli au hasard une lampe Swann. Enveloppée d’un morceau de mousseline, elle a été brisée avec un coup de marteau. On ntnd un grand bruit provenant de l rentrée, l’air, mais la lumière s’est éteinte instantanément. La mousseline ’ mêm pas été noircie. Des applaudissements dont l’énergie est facile à prendre ont salué ctt démonstration. Toute la sll était nads l’nthssm, en s’éclamant qu’une nouvelle édition ’une cacophonie semblable à celle d Vienne, était dvn littéralement impossible. FESSÉES D'OPÉRA EN CHAMBRE À BATONS ROMPUS UN VIEIL AMATEUR D'AVANT-SCÈNE Piano!... piano, donc! Mais c’est épouvantable!... Mais on fait aujourd'hui de la musique qui n'a pas le sens commun!... Quel chs! piano, donc!... Peut-on placer sous un chef 40 instumet et cracher au nze du chanteur les sons rauques de 4 trombones, 4 osrc t 2 cornets à piston, avec accompagnement d timbales? Bn loin est le temps où la romance d'Azov et e rondeaux du Devin du Village venaient frppr délicieusement l'oreille! UN JEUNE DANDY, en gants jaunes et en lorgnon |
a entendu un grand bruit provenant de la rentrée, l’air, mais la lumière s’est éteinte instantanément. La mousseline n’a même pas été noircie. Des applaudissements dont l’énergie est facile à prendre ont salué cette démonstration. Toute la salle était dans l’enthousiasme, en s’éclamant qu’une nouvelle édition d’une cacophonie semblable à celle de Vienne, était devenue littéralement impossible. FESSÉES D'OPÉRA EN CHAMBRE À BATONS ROMPUS UN VIEIL AMATEUR D'AVANT-SCÈNE Piano!... piano, donc! Mais c’est épouvantable!... Mais on fait aujourd'hui de la musique qui n'a pas le sens commun!... Quel chaos! piano, donc!... Peut-on placer sous un chef 40 instruments et cracher au nez du chanteur les sons rauques de 4 trombones, 4 cors et 2 cornets à piston, avec accompagnement de timbales? Bien loin est le temps où la romance d'Azov et les rondeaux du Devin du Village venaient frapper délicieusement l'oreille! UN JEUNE DANDY, en gants jaunes et en lorgnon à ressorts (du coin de la galerie des premières). Quelle richesse d’instrumentation!... Que cet orchestre est vigoureux!... Que de savantes combinaisons!... Tiens, cette dame a un bouquet délicieux! UN GARÇON TAILLEUR au parterre (premier banc après la rampe du parquet). Moi, je n’aime pas l’opéra, cela fait trop de bruit; je sors de là avec la migraine : et puis, je n’y comprends rien. — On ne joue donc jamais de drame, ici?... C’est embêtant; je vais vendre mille contremarques. UN FEUILLETONISTE qui se croit du mérite parce qu'il a écrit dans les journaux de Paris. Après le grand opéra, je ne trouve rien de plus ennuyeux que le drame, surtout lorsque je suis obligé de rendre compte de la représentation. — Tout bien considéré, je préfère les jours de relâche. Un pauvre diable chez qui les voleurs s’étaient introduits la nuit, les entendant, de son lit, fouiller tous les coins et recoins de la maison, leur cria, sans se déranger: —■ Ma foi, mes braves gens, je ne sais pas ce que vous prétendez trouver ici pendant la nuit, puisqu’il m’est impossible d’voir découvrir rien en plein jour. La viande, c’est somme le corset, ça soutient l’estomac. Une fleur | a entendu un grand bruit provenant de la rentrée, l’air, mais l lumière s’est éteinte instantanément. L mousseline n’a même pas été noircie. Des ppldssmnts dont l’énergie facile à prendre ont salué cette démonstration. Toute la salle était dans l’enthousiasme, en ’éclamant qu’une nouvelle édition d’une ccphn semblable à celle de Vienne, était dvn littéralement impossible FSSÉS D'OPÉRA EN CHAMBRE À BNTASO ROMPUS UN VIEIL AMATEUR DN-SCNE Piano!... piano, donc! Mais c’est épouvantable!... Mais on fait aujourd'hui d la m qui n'a pas le sens commun!... Quel chaos! piano, donc Peut-on placer sous un chef 40 instruments et cracher au nez du chanteur ls sons rauques de 4 trombones, 4 co et 2 cornets à piston, avec accompagnement de timbales Bien loin est l temps où la romance d'Azov et les rondeaux du Devin du Vllg venaient frapper délicieusement l'oreille! UN JN DANDY, n gants s et en lorgnon à ressorts (du coin de la galerie des premières). Quelle richesse ’instrumentation!... Que cet orchestre est vigoureux!... Que ed savantes combinaisons!... Tiens, cette dame a un bouquet délicieux! UN GARÇON TAILLEUR au parterre rer banc après la rmp du parquet). Moi, j n’aime pas l’opéra, cela fait trop de bruit; j sors de là avec la migraine : et puis, je ’ omrn rien. — On ne joue donc mi de e,dram c?... C’est embêtant; je vais vendre mille contremarques. UN FEUILLETONISTE qui se croit du mérite parce qu'il a écrit dns le journaux de Pris. Après le grand opéra, je ne trouve rien e plus nueexnuy que le drame, srtt lorsque suis obligé de rendre compte d l rpréston. — Tout bien considéré, ej préfèr ls jours ed relâche. Un pauvre diable chez q les voleurs s’étaient introduits l nuit, les entendant, de son lit, fouiller ts les coins t recoins de l so leur cria, sans se déranger: —■ Ma foi, ms braves gens, je ne sais pas ce que vous prétendez trouver ici pendant la nt, puisqu’il m’st impossible d’vr décvrr rnie en plein jour. La viande, c’est me le corset, ça soutient l’estomac. Une fleur |
je sors de là avec la migraine : et puis, je n’y comprends rien. — On ne joue donc jamais de drame, ici?... C’est embêtant; je vais vendre mille contremarques. UN FEUILLETONISTE qui se croit du mérite parce qu'il a écrit dans les journaux de Paris. Après le grand opéra, je ne trouve rien de plus ennuyeux que le drame, surtout lorsque je suis obligé de rendre compte de la représentation. — Tout bien considéré, je préfère les jours de relâche. Un pauvre diable chez qui les voleurs s’étaient introduits la nuit, les entendant, de son lit, fouiller tous les coins et recoins de la maison, leur cria, sans se déranger: —■ Ma foi, mes braves gens, je ne sais pas ce que vous prétendez trouver ici pendant la nuit, puisqu’il m’est impossible d’voir découvrir rien en plein jour. La viande, c’est somme le corset, ça soutient l’estomac. Une fleur qui éclôt sous tous les climats, c'est la fleur de l’âge. On doit toujours couper les vivres aux gens qui n’ont pas de bras. Le comble de la maladresse pour un perruquier, c’est de faire saigner un mur en le rasant ou de se brûler en frisant... ses quarante ans. Quand les juges entrent au tribunal, tous se découvrent, et cependant tout ne se découvre pas. Les femmes ont les cheveux longs et les idées courtes. Dans une soirée du grand monde, si vous éprouvez jamais le besoin d’être fichu à la porte, vous n'avez qu’à dire à la mère que sa fille est charmante. La hernie n’étant que la conséquence d’une dilatation de l’anneau inguinal, dilatation ayant pour cause, le plus souvent un effort, un faux pas, la toux, les vomissements, la constipation, l’action de se moucher ou d’éternuer, l'équitation, etc., et se produisant toutes les fois qu’une secousse plus ou moins forte vient agir en contre-sens sur les anneaux inguinaux, elle cause une dilatation de ces ouvertures naturelles. Les viscères contenus dans l’abdomen et qui reposent sur eux s’y engagent et forment une grosseur dans l’aîne qu’on appelle hernie ou descente, suivant son degré de développement. L’électricité médicale, | ej sors de là ecav la migraine : et puis, je n’y comprends rien On ne joue donc jamais de drame, ici?... C’est embêtant; je vais vendre mille coeaue. UN FEUILLETONISTE qui s croit du mérite parce qu'il a écri dans les journaux de Prs. Après le grnd o, j trouve rien de plus nnyx que le drame, surtout lorsque je ssui obligé rendre ope d la présetn — Tout bien considéré, je réèrfep les jours relâche Un pauvre diable chez qui les vlrs seétinat’ introduits la nt, les entendant, de son lit, fole tous les coins et rcns e la maison, eu cria, sans se déranger: —■ Ma oi, mes vrbaes gens, j e ssia pas ce que vous prétendez trouver ici pendant l nt, puisqu’il m’est impossible d’voir découvrir rien en plein jour. L viande, c’est ome l cst ça soutient lestomac Une fleur qui éclôt sous tous ls limat sec't l fleur de l’âge. O doit toujours up les vivres aux gens qui no pas e bras. Le comble d la maladresse pour un perruquier, c’est de aire signr un u en le rsnt ou de se brûler en fin.. ses quarante ans. Quand les juges tnenetr au tribunal, tous se découvrent et cependant tout ne se découvre pas. Les femmes ont les chvx longs et les dés courtes. Dans une soirée du grnd monde, is vous éprouvez jamais le besoin d’êtr fichu la porte vous n'avez q’à dire à l mère que sa fille st chrmnt. La ene taénn’t que la conséquence d’une dilatation de l’anneau ngnl, dilatation ynt pour cause, le plus souvent un effort, un faux pas, la toux, les vomissements, la constipation, lactio de se moucher ou d’éternuer, léquitation etc., et se produisant tts ls fois qu’une secousse plus ou nimos forte vient gr en contre-sens sur les nea inguinaux, elle cause une dilatation de ces ouvertures naturelles. Les viscères contenus dans l’abdomen et qui reposent sur eux s’y engagent et forment une grosseur dans laîne quon ppll hernie ou dscnt, suivant son degré de développement c’ctrééetiliL médicale, |
Quand les juges entrent au tribunal, tous se découvrent, et cependant tout ne se découvre pas. Les femmes ont les cheveux longs et les idées courtes. Dans une soirée du grand monde, si vous éprouvez jamais le besoin d’être fichu à la porte, vous n'avez qu’à dire à la mère que sa fille est charmante. La hernie n’étant que la conséquence d’une dilatation de l’anneau inguinal, dilatation ayant pour cause, le plus souvent un effort, un faux pas, la toux, les vomissements, la constipation, l’action de se moucher ou d’éternuer, l'équitation, etc., et se produisant toutes les fois qu’une secousse plus ou moins forte vient agir en contre-sens sur les anneaux inguinaux, elle cause une dilatation de ces ouvertures naturelles. Les viscères contenus dans l’abdomen et qui reposent sur eux s’y engagent et forment une grosseur dans l’aîne qu’on appelle hernie ou descente, suivant son degré de développement. L’électricité médicale, employée localement, produit le resserrement de ces anneaux, c’est-à-dire leur fait reprendre leur force et leur élasticité naturelle, de telle manière que les viscères contenus dans l’abdomen, et qui, comme nous l’avons dit, reposent sur eux, ne peuvent plus s’y engager; la guérison de la hernie est alors radicale. L’électricité médicale a, outre cette action contractante, celle de donner de la force et de la tonicité aux muscles et aux nerfs qui entrent dans la formation des anneaux inguinaux, ce qui empêche toute récidive. Dans la pelote (ou pomme) de nos bandages électro-médicaux se trouve inclus un appareil électro-médical d’où se développe constamment un courant électrique, qui, sans danger ni douleur, détermine le résultat que nous avons décrit plus haut, c’est-à-dire la guérison radicale. Le résultat est le même pour les cas de hernies crurales, ombilicales, etc. JEUX D’ESPRIT N°191. CHARADE On n’est pas mon premier, Quand on se sert de mon entier, Avant d’être mon dernier. N°192. MOTS CROISSANTS par le vicomte de PAINBIS, de Vauvert (Gard). Chaumière, vieux dicton; Point de départ; effroi des dames; La tête de Newton; Et ce que l’on voit dans les drames. Les solutions peuvent être adressées au bureau du journal, jusqu’au vendredi | Quand les juges entrent au tribunal, tous se décvrnt, e cependant tout ne se découvre pas Les femmes ont les cheveux longs et les idées courtes. Dns une soirée du grand monde, si vous éprouvez jamais le besoin d’être fichu à la porte, vous n'avez qu’à dire à la mère que s fille est charmante. La hernie n’étant que la conséquence d’une dilatation de l’anneau inguinal, dilatation ynt pou e, le plus souvent un effort, un faux pas, la toux, les vomissements, la cnstptn, l’action de se moucher ou d’éternuer, 'équitation, etc., se produisant toutes les fois qu’une secousse plus ou moins forte vient agir en contre-sens sur les anneaux inguinaux, elle cu ue dilatation de ces ouvertures naturelles. Les viscères contenus dans lboe et qui reposent sur eux s’y engagent et forment une grssr dans l’aîne qu’on appelle hernie ou descente, suivant son degré de développement. L’électricité médicale, employée localement, produit le resserrement de ces anneaux, c’est-à-dire lrue fait reprendre lr force et leur élasticité naturelle, de telle nimèaer que les viscères cns dans l’abdomen, et qui, comme ns l’avons dit, reposent sur eux, ne peuvent plus s’y ngr; la guérison de la hernie est alors radicale. L’électricité médicale a, outre cette action contractante, celle de donner de la force et de la tonicité aux muscles et aux nerfs qui entrent dns la formation des anneaux inguinaux, ce uiq empêche toute récidive. Dans la pelote (ou pomme) de nos bandages élecctuxoiarm-dé se trouve inclus un preil éerédical doù se développe constamment un crnt électrique qui, sans danger ni douleur, détermine le résultat euq nous avons déri plus haut, c’est-à-dire a guérison radicale. Le résultat est le même pour les as d hernies crurales, ombilicales, etc. JEUX D’ESPRIT N°191. CHARADE On n’t pas mon premier, Quand on se rest de mon entier, Avant d’être mon .ednrire N°192. OS COIT pr le vicomte de PAINBIS, de Vauvert (Gard). huèr vieux dctn; Point de a; effroi des dames; La tête de Newton; Et ce que l’on voit dans les drames. Les solutions peuvent être adressées au bureau du una jusquau vendredi |
médicale a, outre cette action contractante, celle de donner de la force et de la tonicité aux muscles et aux nerfs qui entrent dans la formation des anneaux inguinaux, ce qui empêche toute récidive. Dans la pelote (ou pomme) de nos bandages électro-médicaux se trouve inclus un appareil électro-médical d’où se développe constamment un courant électrique, qui, sans danger ni douleur, détermine le résultat que nous avons décrit plus haut, c’est-à-dire la guérison radicale. Le résultat est le même pour les cas de hernies crurales, ombilicales, etc. JEUX D’ESPRIT N°191. CHARADE On n’est pas mon premier, Quand on se sert de mon entier, Avant d’être mon dernier. N°192. MOTS CROISSANTS par le vicomte de PAINBIS, de Vauvert (Gard). Chaumière, vieux dicton; Point de départ; effroi des dames; La tête de Newton; Et ce que l’on voit dans les drames. Les solutions peuvent être adressées au bureau du journal, jusqu’au vendredi midi. — Les noms ou pseudonymes de tous ceux qui auront deviné seront insérés gratuitement dans le prochain numéro. Solution des quatre mots carrés n° 189 du 7 janvier NABAB Y A R E A B A A Z A R A B E B R E B E T Le Conseil d’administration de la Société Française Financière, informe ses actionnaires qu’un acmé sur le dividende de l’exercice courant, de 40 francs par action, sera mis en paiement, à partir du 1er février, aux caisses de la Société, 18, rue de la Chaussée-d’Antin, à Paris, sous déduction de l’impôt. A cette occasion, nous rappelons à nos lecteurs que cet Établissement financier, qui compte onze ans d’une prospérité croissante et non interrompue, n’a jamais distribué moins de 60 fr. de dividende par an; le dividende du dernier exercice a été de 70 fr., et celui de cette année sera de 80 fr. — Le cours de ses actions était de 550 fr. en 1876, de 650 fr. en 1877, de 750 en 1878, de 850 en 1879, de 900 en 1880, de 1025 fr. en 1881. En raison des bénéfices, la hausse a encore une marge considérable, et, même au cours | médicale a tr cette action contractante, eecll de donner d la force et de la tonicité aux mule t aux nerfs qui entrent dans la formation des anneaux inguinaux, ce qui empêche toute récidive. Da la pelote (ou pomme) e ons bandages cr-mdi se trouve inclus un appareil électro-médical d’où se développe constamment un courant électrique, qui, sans danger ni douleur détermine le rutéalts que nous avons décrit s haut, c’est-à-dire la guérison radicale. eL stat est le même pour es cas de hernies crurales, ombilicales, c.et XUJE DESPRIT °191. CHARADE On n’est pas mon premier, Quand on se srt de mon entier, Avant êdtre’ mon dernier. N°192. MTS CRSSNTS par le vicomte de PAINBIS, de Vauvert Gad) Chaumière, vieux dicton; tniPo de départ; effroi des a;dems La tête de Newton; t ce que n voit dans les drms. Les sltns peuvent être adressées au br u journal jusqu’au vendredi midi. — Les noms ou pseudonymes de tous ce qui auront deviné seront insérés gratuitement dans le prochain numéro. Solution esd quatre mots carrés n° 189 d 7 janvier NABAB Y A R E A B A A Z A R A B B R B T Le Conseil d’administration de la Société Française Financière, informe ses actionnaires qu’un acmé sur le dividende de l’exercice cun 40 francs par action, mis en aient, à partir du 1er février, uax caisses de la téiéSco, 18, rue de la théA,aC’-inuednss à Paris, sous déduction de l’impôt. A cette ccsn, nous rappelons à nos lecteurs que cet Établissement financier, qui compte onze ans d’une prosprit croissante t non interrompue n’a jamais distribué moins de 60 fr. de dvdnd par an; le dividende d dernier exercice a été de 70 fr., t celui de ctt nenéa sera de 80 fr. — Le cours de ses actions était de 550 fr. en 1876, de 650 fr. n 1877 d 750 en 1878, ed 850 en 1879, ed 900 e 1880, de 1025 f. n 1881. En raison sde bénéfices, la hausse a ore n re considérable, et, même au cours |
Le Conseil d’administration de la Société Française Financière, informe ses actionnaires qu’un acmé sur le dividende de l’exercice courant, de 40 francs par action, sera mis en paiement, à partir du 1er février, aux caisses de la Société, 18, rue de la Chaussée-d’Antin, à Paris, sous déduction de l’impôt. A cette occasion, nous rappelons à nos lecteurs que cet Établissement financier, qui compte onze ans d’une prospérité croissante et non interrompue, n’a jamais distribué moins de 60 fr. de dividende par an; le dividende du dernier exercice a été de 70 fr., et celui de cette année sera de 80 fr. — Le cours de ses actions était de 550 fr. en 1876, de 650 fr. en 1877, de 750 en 1878, de 850 en 1879, de 900 en 1880, de 1025 fr. en 1881. En raison des bénéfices, la hausse a encore une marge considérable, et, même au cours actuel, les actions de la Société Française Financière représentent un placement de premier ordre à 7 fr. 80 pour cent. Il est donc profitable de devenir actionnaire de cette Société avant le 1er février. de tous les salons mondains Inspiration délicate, musique charmante. Une magnifique reproduction du tableau si populaire de Vély, due à la plume de M. G. Fraipont en orne la couverture et suffirait à elle seule à justifier ce succès. Le premier pas en vente chez tous les éditeurs. REVUE FINANCIÈRE La semaine a été agitée, sans raison et sans logique. Le marché est indécis et sans ligne de conduite arrêtée. Il va à la dérive tantôt montant tantôt baissant sans que rien justifie ces alternatives multipliées. Usant et abusant de cette incertitude de la spéculation surélève certaines valeurs et la situation générale se trouve tellement surchargée, que le moindre vent peut se transformer en tempête. Ce que nous disons aujourd’hui nous le répétons depuis bien longtemps. Les chutes sont d’autant plus graves, qu’on tombe de plus haut et monter trop est cause de chute. Ce qui est arrivé hier, nous donne plus de raison que nous ne l’avons jamais désiré. Mais comment faire? En somme le | Le Conseil dadministration de la Société Française Financière, informe ses ctnnrs qu’un acmé sur le dividende de l’exercice courant, de 40 francs par action, sera mis en paiement, à pti du 1 février, aux caisses de la Société, 18, rue de la ChausséedAntin Paris, sous déduction e ’impôt. A cette occasion, nous rappelons à nos lecteurs que cet Établissement financier qui compte onze ans d’n rtséipropé croissante et non nterop n’a jamais distribué moins de 60 fr. de dividende par an; dividende du dernier exercice a été d 70 fr., t celui de cette année sera de 80 r.f — Le cours d ses actions était de 5 fr. en 1876, de 650 fr. en 1877, de 50 en 1878, de 850 en 187 de 900 en 1880, de 1025 fr. en 1881. En raison des bénéfices la hausse a encore une marge considérable, et, même au cours actuel, les ctns de la Société Française Financière représentent un placement de premier d 7 fr. 80 pour cent Il est dnc profitable de devenir actionnaire de cette Société avant le févrr. de tous ls salons mondains Inspiration délicate, musique charmante. Une mgnfq reproduction du tbl si populaire de Vély, due la plume de M. G. Fraipont en orne la couverture t suffirait elle seule à justifier ce succès. Le premier pas en vente chez tous les dter REVUE AIÈCFRNINE La semaine a été agitée, sans raison et sans logique. Le marché est indécis et sans ligne conduite arrêtée. Il va à la dérive tantôt montant tantôt baissant sns que rien justifie ces alternatives multipliées. snt et abu de ctt incertitude de l séla surélève crtns valeurs la situation générale se trouve tellement surchargée, que le moindre vent peut se transformer e tempête. Ce que nous disons aujourd’hui nous le rét depuis bien longtemps Les chutes sont d’aut plus graves, qu’on tmbe de plus haut et monter trop est cause de chute. Ce qui est aéivrr h nous donne plus d raison que nous ne las jamais désiré. Mais comment faire? En smm le |
de Vély, due à la plume de M. G. Fraipont en orne la couverture et suffirait à elle seule à justifier ce succès. Le premier pas en vente chez tous les éditeurs. REVUE FINANCIÈRE La semaine a été agitée, sans raison et sans logique. Le marché est indécis et sans ligne de conduite arrêtée. Il va à la dérive tantôt montant tantôt baissant sans que rien justifie ces alternatives multipliées. Usant et abusant de cette incertitude de la spéculation surélève certaines valeurs et la situation générale se trouve tellement surchargée, que le moindre vent peut se transformer en tempête. Ce que nous disons aujourd’hui nous le répétons depuis bien longtemps. Les chutes sont d’autant plus graves, qu’on tombe de plus haut et monter trop est cause de chute. Ce qui est arrivé hier, nous donne plus de raison que nous ne l’avons jamais désiré. Mais comment faire? En somme le marché de Lyon a été bouleversé par le contrecoup des manœuvres insensées de celui de Paris. On parle de désastres financiers, dont on ne connaît pas encore la portée. On cote : 3 0/0 84.20. Amort. ancien 84.10. Amort. nouveau 84.60. 5 0/0 114.67 1/2. Banque de France 5,850. Crédit Foncier 1725. Union 2,850. Suez 2.905. Lyon 1,770. Midi 1320. Nord 2,320. Orléans 1315. La Société d’exploitation des Minerais de Rio-Tinto est appelée à occuper une large place dans notre industrie nationale. Elle concentrera dans de vastes établissements le traitement des pyrites cuivreuses, la fabrication de l’acide sulfurique et des produits qui en dépendent, tels que la soude brute, le carbonate de soude, et tous autres produits chimiques dont l’usage est si répandu chez les agriculteurs. Les actions de la Grande Compagnie d’Assurances sont très fermes à 725 fr. L'exercice courant se soldera par un chiffre de bénéfices très important. Au moment les actions des Compagnies d'Assurances en général montrent de bien meilleures tendances, on prévoit sur les cours de la Grande Compagnie une nouvelle et importante avance. Les actions de l’Union des Gaz sont depuis quelques jours l’objet d’un marché très animé. De nombreuses négociations ont lieu dans les | de Vély, due à la plume de M. G. Fraipont en orne la couverture et suffirait à elle seule à justifier c succès. Le prmr pas en vente chez tous les éditeurs. REVUE FINANCIÈRE La semaine a été agitée, sans raison et sans logique. Le marché tes indécis et sans ligne de conduite êée. lI va à al dérive ôt montant tantôt baissant sans que rien justifie ces alternatives multipliées. Usant et abusant de cette incertitude de l spéculation surélève certaines vlrs et la situation générale se trouve tellement surchargée, que le moindre vent peut se transformer en tempête. Ce que nous disons uh’uauodirj os e répétns depuis bien longtemps. Les chutes sont d’autant plus graves, qu’on tombe de plus haut et monter trop est cause de chute. e q est arrivé hier, nous donne plus de raison que nous ne lavons jamais désiré. Mais cme faire? En somme le h de Lyon a été bouleversé par le contrecoup des manœuvres insensées de celui de Paris. On parle de désastres financiers, dont on ne connaît ps ecoren la portée. On ct : 3 0/0 84.20. Amort. ancien 84.10. Amort. nouveau 84.60. 5 0/0 114.67 1/2. Banque de France 5,850. Crédit Foncier 1725. nn 2,850. Sz 2.905. Lyon 717,0. Midi 1320. Nord 2,320. Orléans 1315. La Société d’exploitation des Minerais de Rio-Tinto est appelée à occuper une large place dans note industrie nationale. Elle concentrera dans de vastes étblssmnts le traitement des pyrites cuivreuses, la fabrication de l’acide que et des produits qui en dépendent, tels que la oe brute, le caronat de soude, et tous trs produits chimiques dnt l’usage est si répandu chez les agriculteurs. Les actions de l Grande Compagnie d’Assurances sont très fermes à 725 fr. L'exercice courant se soldera par un chiffre de béce très important. Au moment les actions ds Compagnies d'Assurances en général montrent de bien meilleures tendances, on prévoit sur les cours de la Grande Compagnie une nouvelle et importante avance Les actions de l’Union des Gaz sont depuis quelques jrs l’objet d’un marché très animé. De nombreuses négociations ont lieu dans les |
Foncier 1725. Union 2,850. Suez 2.905. Lyon 1,770. Midi 1320. Nord 2,320. Orléans 1315. La Société d’exploitation des Minerais de Rio-Tinto est appelée à occuper une large place dans notre industrie nationale. Elle concentrera dans de vastes établissements le traitement des pyrites cuivreuses, la fabrication de l’acide sulfurique et des produits qui en dépendent, tels que la soude brute, le carbonate de soude, et tous autres produits chimiques dont l’usage est si répandu chez les agriculteurs. Les actions de la Grande Compagnie d’Assurances sont très fermes à 725 fr. L'exercice courant se soldera par un chiffre de bénéfices très important. Au moment les actions des Compagnies d'Assurances en général montrent de bien meilleures tendances, on prévoit sur les cours de la Grande Compagnie une nouvelle et importante avance. Les actions de l’Union des Gaz sont depuis quelques jours l’objet d’un marché très animé. De nombreuses négociations ont lieu dans les environs de 1220 fr. Pas de devineurs. — Un tel m’a dit beaucoup de mal de vous, disait quelqu’un à un homme qui connaissait le monde. — Cela m’étonne, répondit celui-ci ; je ne lui ai pourtant jamais rendu service. Lundi dernier, un ivrogne auquel ses jambes refusaient tout service, tomba au coin d’une borne, juste en face de la boutique d’un pâtissier. — Monsieur Chalumot! monsieur Chalumot! se mit à crier le buveur. Le pâtissier sortit de sa boutique. — Monsieur, reprit l’ivrogne, je demeure rue Saint-Denis. — Eh bien ! qu’est-ce ça me fait ? Veuillez, sans retard, me faire porter à domicile. — Par exemple! pour qui me prenez-vous ? Pour un honnête homme. C'est pour ça que vous me dérangez ? — Dame, monsieur Chalumot, je vois sur votre enseigne: On porte en ville à toute heure. CHOCOLAT Matte fils, MONTPELLIER Solution de la charade n° 190 du 7 janvier COU — US Ont deviné : E.-B. Pistache; Chatviolet ; Tête-de-Lapin, Léon Courlepatte, Papo, Théo, l’habitué du café de Rohan, l’Ermite du rue des Saint-Père, de Paris. HERNIES Guérison radicale par le bandage électro-antiseptique MARIE frères, médecins spécialistes-inventeurs, à Paris, n° 46, rue de l’Arbre-Sec. M. | crioeFn 1725. Union 2,850. Suez 2.905. Lyon 1,770. Midi 1320. Nord 2,320. Orléans 1315. La Société d’exploitation ds Minerais e Rio-Tinto est appeée à occuper une large place dans notre uti nationale. Elle centrer dans de vastes étblssmnts le titn des pyrts cuivreuses, la fabrication de l’acide slfrq et des prdts iqu en dépendent, tels que la soude brute, l carbonate de soude, et tous as produits chimiques dont l’usage est répandu chez les agriculteurs Les actions de la G Compagnie d’Assurances t très fermes à 725 fr. 'exercice courant se solda par un chifr de bénéfices très important. Au mmnt es actions des Compagnies Aus en général montrent de bien meilleures tendances, on prévoit sr les cu de la Grande Compagnie une nouvelle te importante avance. Les actions de l’Union ds aGz snt depuis quelques jours l’objet ’n mrché très animé. De nombreuses goti ont lieu a ls nvrns de 20 fr. Pas devineurs. Un tel m’a dit beaucoup de mal de vous, dst quelqu’un un homme qui connaissait le mnd. — Cela m’étnn, répondit celui-ci ; je ne lui ai pourtant jiaams rendu e.rcievs Lundi dernier, un ivrogne auquel s jeasbm refusaient tut service, tomba au coin ’eudn borne, juste en face d la boutique d’un pâtissier. Monsieur Chalumot monsieur Chalumot! s mit à crier le eur. Le pâir sortit de boutique. Monsieur, reprit l’ivrogne, je demeure rue Saint-Denis. — Eh bien ! qu’est-ce ça me fati ? Veuillez, sans d me fae prtr à domicile — Pr exemple! pour qui me prenez-vous ? Pour un ête homme. C'est pour ça que vous me érngz ? — Dm, oe Chalumot, je vois u votre enseigne: On porte en ville à ut heure. HLTOCOCA Matte fls, MONTPELLIER Solution de haadrce n° 190 du 7 janvier COU — US Ont deviné : E.-B. Pstch; Chtvlt ; Tête-de-Lapin, Lén Courlepatte, Papo, Théo l’habitué du café de Rohan, l’Ermite du rue des e,int-aèrPS de Paris. HERNIES uéis adle par le bandage électro-antiseptique MARIE frères, snéedimc spécialistesinventeurs à aPr,is n° 46, rue de l’Arbre-Sec. M. |
tomba au coin d’une borne, juste en face de la boutique d’un pâtissier. — Monsieur Chalumot! monsieur Chalumot! se mit à crier le buveur. Le pâtissier sortit de sa boutique. — Monsieur, reprit l’ivrogne, je demeure rue Saint-Denis. — Eh bien ! qu’est-ce ça me fait ? Veuillez, sans retard, me faire porter à domicile. — Par exemple! pour qui me prenez-vous ? Pour un honnête homme. C'est pour ça que vous me dérangez ? — Dame, monsieur Chalumot, je vois sur votre enseigne: On porte en ville à toute heure. CHOCOLAT Matte fils, MONTPELLIER Solution de la charade n° 190 du 7 janvier COU — US Ont deviné : E.-B. Pistache; Chatviolet ; Tête-de-Lapin, Léon Courlepatte, Papo, Théo, l’habitué du café de Rohan, l’Ermite du rue des Saint-Père, de Paris. HERNIES Guérison radicale par le bandage électro-antiseptique MARIE frères, médecins spécialistes-inventeurs, à Paris, n° 46, rue de l’Arbre-Sec. M. MARIE jeune fera lui-même l’application de ses appareils, à Nîmes les 16, 17, 18 et 19 janvier de 9 heures à 6 heures, hôtel du Cheval Blanc, place des Arènes, le jeudi 19 jusqu’à 9 heures du soir. Ensuite à Montpellier le 20 et 21, hôtel du Luxembourg à Bessèges le 22, hôtel du Luxembourg, à Tarascon le 23, hôtel des Empereurs MAKIE revient visiter en ville deux fois par an, toujours aux mêmes dates en janvier et juillet. Désirant soulager tout le monde riches et pauvres, M. MARIE fera de grandes concessions aux ouvriers. Jusqu’à ce jour, les bandages n’ont été que de simples appareils pour contenir les Hernies. M. MARIE frères, médecins herniaires à Paris, 46, rue de l’Arbre-Sec, ont résolu le problème de guérir radicalement les personnes atteintes de cette maladie au moyen du bandage électro-médical, qui, par son action électrique, resserre et cicatrise l’ouverture herniaire et assure la guérison radicale en peu de temps. Ce résultat a lieu sans faire éprouver aucune souffrance, et n’empêche pas de vaquer à ses travaux habituels. Nous venons de recevoir l’Almanach illustré du Bavard pour 1882. Rien de plus coquet ni de plus artistique, que ce petit volume imprimé en | tomba ua coin d’une borne, juste en face de la btq dun pâtissier. — Monsieur Chalumot! monsieur Chalumot! se mit à crier el buveur. Le pâtissier sortit de s boutique. Monsieur, reprit l’ivrogne, je demeure rue a-Dnetsn.Sii Eh bien ! q’st-c ça me f ? Veuillez s retard, em fa porter à domicile. — Pra xmpl! or qui e prenez-vous ? Pour un honnête homme. Cest pour ça q vous me dérangez — Dame, monsieur Chalumot, je vois sur votre enseigne: n porte en ville à tt hee. CHOCOLAT Matte fils, MONTPELLIER Solution de la charade n° 190 du 7 janvier OUC — US nt deviné : E.-B. Pta Chatviolet Te-Lapin, Léon Courlepatte, Pa Théo, l’habitué du café de Rohan, t’lrmieE du rue des Saint-Père, de Paris. HERNIES Guérison rcl par le bandage électro-antiseptique MARIE frères, médecins spécialistes-inventeurs, à Paris, n° 46, r de l’Arbre-Sec. M. MARIE jeune fera lui-même l’application de ses appareils, à Nîmes les 16 17, 18 et 19 janvier de 9 heures à 6 heures, hôtel du Cheval Blnc, ace ds Arènes, le jeudi 19 jusqu’à 9 heures du soir. Ensuite à Montpellier le 20 et 21, hôtel du Luxembourg à Bessèges le 22, hôtl du Luxembourg, Tarascon le 23, hôtel des Empereurs MAKIE rei visiter n ville deux fois par an, toujours aux mêmes dates en janvier t juillet. irt soulager tout le monde riches et pauvres, M. MEIRA fr de grandes concessions aux ouvriers. J ce jr, les bandages n’ont été q de smpls appareils pour contenir ls Hernies. .M MR frères, médecins herniaires à Paris, 46, ure de l’Arbre-Sec, ont résolu l problème de guérir radicalement les personnes atteintes d cette maladie u moyen du bandage élctr-médcl, qui, par son ctn électrique resserre et cicatrise l’ouverture rnie et assure la guérison radicale en pue de emps. e résultat a lieu sans faire éprouver acun souffrance, et n’empêche pas ed vreqau à ses travaux habiuels. Nous venons de recevoir lmah illustré du Bavard or 1882. Rn de pls coquet ni de plus artistique qu ce petit volume imprimé ne |
le 22, hôtel du Luxembourg, à Tarascon le 23, hôtel des Empereurs MAKIE revient visiter en ville deux fois par an, toujours aux mêmes dates en janvier et juillet. Désirant soulager tout le monde riches et pauvres, M. MARIE fera de grandes concessions aux ouvriers. Jusqu’à ce jour, les bandages n’ont été que de simples appareils pour contenir les Hernies. M. MARIE frères, médecins herniaires à Paris, 46, rue de l’Arbre-Sec, ont résolu le problème de guérir radicalement les personnes atteintes de cette maladie au moyen du bandage électro-médical, qui, par son action électrique, resserre et cicatrise l’ouverture herniaire et assure la guérison radicale en peu de temps. Ce résultat a lieu sans faire éprouver aucune souffrance, et n’empêche pas de vaquer à ses travaux habituels. Nous venons de recevoir l’Almanach illustré du Bavard pour 1882. Rien de plus coquet ni de plus artistique, que ce petit volume imprimé en caractères élzéviriens et auquel son allure littéraire et mondaine assure un plein succès. En voici, du reste, le sommaire : TEXE Prédictions comiques pour chaque mois de l’année 1882, EVARISTE CORBULON. — Ferdinand (poésie), CAMILLE MAUPIN. — Le Roman de Follette, AURÉLIEN SCHOLL. — Chanson d'amour, MICHEL SAVON. — Réflexions d’un Réserviste, CH. DESMARETS. — La musique classique (scène de la vie mondaine), ALBERT PERRIMET. — Pastel Louis XV (poésie), AUGUSTE MARIN. — La première ride, M.. — La Tourette (petit croquis), HORACE BERTIN. — Il ne faut pas jouer avec la cendre (conte d'automne), CATULLE MENDÈS. — Musée intime : Une petite dame, Louis BRÈS. — Fleurs d'Amour Pot de pensées sur celle à quatre heures du matin, SYLVIUS. — Raté, L. MENVIELLE. — Le prix de vertu (histoire joyeuse). Louis NICARL. — Petits autographes extraits de l’album de ces Dames, ARGUS. MUSIQUE La Polka des limonadiers, par AUGUSTE DEIDIER. ILLUSTRATIONS Dix-sept planches inédites, par RICÀUD. En vente partout : 50 centimes. — Pour le recevoir franco, envoyer 60 centimes à l’administration du Bavard et du Petit Bavard illustré, 42, rue Grignan, Marseille. MUSIQUE D’HIVER Le Premier Pas. polka-mazurka par A. B. ; A. Leduc, éditeur, 3 rue de | le , hôtl d Lxmbrg, à Tarascon le 23, hôtel des Empereurs MAKIE rvnt vstr n ile dux fois par an toujours aux mêmes dts en janvier et juillet. Désirant soulager tout le monde riches et pauvres, M. MARIE fera de drgaens concessions aux vrrs. Jusqu’à ce jour, les bandages n’ont été q de simples appareils pour contenir ls Hernies. M. MARIE frères, médecins herniaires à Paris, 46, rue de ’Arbre-Sec, otn résolu le problème de ir radicalement les personnes atteintes de cette mld au moyen du bandage éct-méial, qui, par son action ecrie resserre et cctrs l’oeu hr et assure la guérison radicale peu de temps. Ce résultat lieu sans faire éprouver aucune ofra t n’empêche pas de vaquer à ses travaux habituels. Nous venons de recevoir l’Almanach illustré du Bavard pour 1882. e de plus coquet n de plus artistique, que ce petit volume imprimé n caractères élzéviriens et auquel son allure riaetritlé et mondaine assure un plein succès. En vc, du reste, le sommaire : TEXE Pdiion cmqs pr chaque mois d l’an 1882, EVARISTE CORBULON. — dnFdarnei e), CAMILLE MAUPIN — Le Rmn e Follette, AURÉLIEN SCHOLL. — nshnaCo d'amour, MICHEL SAVON. — Réflexions d’un Résrvst, HC. DESMARETS — La musique classique èscn(e de l vie ed,ionman) LBRT PERRIMET — Pastel Louis XV (pés), AUGUSTE MRN. — La première ride M.. — La Tourette pi croquis), HOAC ETI — n faut pas jouer vaec la cendre (conte d'automne), CATULLE MENDÈS. — Msée intime : Une petite dame, Louis ÈB.RS — Flrs A'rodum Pot de pensées sur celle ate hrs du matin Y. — Ré L. MENVIELLE. — Le prix de vertu (histoire joyeuse). Louis NICARL. — Petits autographes extraits de l’album de ces Dames, AG.SRU MUSIQUE L Plk des limonadiers, par AUGUSTE DEIDIER ILLUSTRATIONS Dix-sept planches inédites, pa RICÀUD. En vente partout 50 centimes Pour le recevoir franco, envoyer 60 centimes ioranla’timstndi du Bavard et du Petit Bavard illustré, 42, rue Grn, Marseille. SQUIMEU D’HVR Le Premier Pas. polka-mazurka par . B. ; A Leduc, éditeur, rue de |
d’un Réserviste, CH. DESMARETS. — La musique classique (scène de la vie mondaine), ALBERT PERRIMET. — Pastel Louis XV (poésie), AUGUSTE MARIN. — La première ride, M.. — La Tourette (petit croquis), HORACE BERTIN. — Il ne faut pas jouer avec la cendre (conte d'automne), CATULLE MENDÈS. — Musée intime : Une petite dame, Louis BRÈS. — Fleurs d'Amour Pot de pensées sur celle à quatre heures du matin, SYLVIUS. — Raté, L. MENVIELLE. — Le prix de vertu (histoire joyeuse). Louis NICARL. — Petits autographes extraits de l’album de ces Dames, ARGUS. MUSIQUE La Polka des limonadiers, par AUGUSTE DEIDIER. ILLUSTRATIONS Dix-sept planches inédites, par RICÀUD. En vente partout : 50 centimes. — Pour le recevoir franco, envoyer 60 centimes à l’administration du Bavard et du Petit Bavard illustré, 42, rue Grignan, Marseille. MUSIQUE D’HIVER Le Premier Pas. polka-mazurka par A. B. ; A. Leduc, éditeur, 3 rue de Grammont, Paris. Cette petite valse qui vient de faire son apparition, a fait en très peu de temps le tour L’ART ANCIEN, Étude sur l'histoire de l'Art en France, par H. DU CLEUZIOU. — 2 volumes illustrés de 20 chromolithographies, 20 grandes gravures hors texte et plus de 800 bois. Prix, broché, 80 fr.; reliure artistique, 100 fr., payables 5 fr. par mois. — Librairie A. PILON, A. LE VASSEUR successeur, éditeur, 33, rue de Fleurus à Paris. La Librairie ABEL PILON (A. LE VASSEUR successeur, 33, rue de Fleurus) vient de mettre en vente un magnifique ouvrage, l'Art national, qui obtient un succès éclatant et bien mérité. L'Art national, en effet, n’est pas seulement un ouvrage de luxe, c’est encore, et surtout, un livre d’utilité première, indispensable à tous ceux qui ont le culte de la patrie. L'auteur, H. DU CLEUZIOU, en développant l’histoire de l’art en France, démontre que cet art, né de notre sol, se prolonge à travers les âges comme un filon gaulois, où l’étranger n’a rien de valable. L’auteur, s’adressant à tout le monde, s’est gardé des termes techniques ; il a voulu parler une langue qui fût intelligible à tous; son livre est, nous | d’un Réserviste, CH. DESMARETS. — La musique clssq (scène de la ie mondaine), ALBERT PERRIMET. — Pastel Louis XV (poésie), GST MARIN. — La erpmrèei ride, M.. — La Tourette (petit croquis HORACE BERTIN. — Il ne faut pas jr avec l cendre (conte d'automne), CATULLE MENDÈS. — Musée intime : Une petite dame, Louis BRÈS. — Fleurs d'Amour Pt de enées sur celle quatre hrs ud matin, SYLVIUS. — téaR, L. MENVIELLE. — Le prix de vertu (histoire sjy)e.eou Louis NICARL. — Petits tgrphs rixatset de l’album de ces Dames, ARGUS. MUSIQUE La Polka des limonadiers, r AUGUSTE DEIDIER. ILLUSTRATIONS Dix-sept planches inédites, par RICÀUD. En eenvt partout : 50 cnimetse. — P el recevoir franco, envoyer 60 centimes à l’administration du ad t du Petit Bava illustré, 42, rue Grignan, Marseille. MUSIQUE D’HIVER Le Premier Pas polkamazurka par A. B. ; . Leduc, éditeur, 3 rue de Grammont, Paris. Cette petite vls qui inevt de faire son apparition, a fait en très peu de temps le tour L’ART AIN Étude sur l'histoire de lArt en France, pr H. DU CLEUZIOU. — 2 volumes illustrés d 20 chromolithographies, 20 grandes gravures hors texte et plus de 800 bois Prix, broché, 80 fr.; reliure artistique, 100 fr., payables 5 fr. apr mois. — Librairie . PILON, . LE UAEVSRS successeur, éditeur, 33, rue d Fleurus à Paris. La Librairie ABEL PILON (A. LE VASSEUR successeur, 33, rue de Fleurus) vient de mettre en vente un magnifique ouvrage, l'Art national, qui obtient un succès éclatant et bien tmré.ié L'Art national, en effet, n’st pas seulement n oraeguv de luxe, c’est encore, et surtout, un livre d’utilité première, indispensable à tous ceux qui ont le culte de la patrie. L'tr, H. DU CLEUZIOU, en développant l’histoire de l’art France, démontre que cet art, né de notre sol, se prolonge à travers les âges comme un filon gaulois, où létranger n’a rien de valable. L’auteur, s’adressant à tout le mnd, s’est gardé d termes techniques ; il a voulu parler une langue qui fût intelligible à tous; son livr est, nous |
Prix, broché, 80 fr.; reliure artistique, 100 fr., payables 5 fr. par mois. — Librairie A. PILON, A. LE VASSEUR successeur, éditeur, 33, rue de Fleurus à Paris. La Librairie ABEL PILON (A. LE VASSEUR successeur, 33, rue de Fleurus) vient de mettre en vente un magnifique ouvrage, l'Art national, qui obtient un succès éclatant et bien mérité. L'Art national, en effet, n’est pas seulement un ouvrage de luxe, c’est encore, et surtout, un livre d’utilité première, indispensable à tous ceux qui ont le culte de la patrie. L'auteur, H. DU CLEUZIOU, en développant l’histoire de l’art en France, démontre que cet art, né de notre sol, se prolonge à travers les âges comme un filon gaulois, où l’étranger n’a rien de valable. L’auteur, s’adressant à tout le monde, s’est gardé des termes techniques ; il a voulu parler une langue qui fût intelligible à tous; son livre est, nous osons le dire, une œuvre vraiment nationale. Les illustrations, exécutées sur les dessins de l’auteur d’après les monuments du pays et de ses musées, sont répandues avec une profusion et un à-propos si grands, qu’elles sont devenues l’expression réalisée du texte. Typographie, chromos, gravures, et la reliure elle-même vrai modèle de gaufrage artistique, sont dignes, en tout point, de la grandeur de l’œuvre. L’Art national sera bientôt entre toutes les mains. MIS À NOTER Nous ne saurions trop appeler l’attention de nos lecteurs sur le système de crédit offert par la Librairie Abel Pilon (A. Le Vasseur, successeur). Cette administration, dont nous publions souvent des annonces, compte aujourd'hui plus de quatre cent mille souscripteurs, et son importance prend de jour en jour des développements plus considérables. Ce succès n’a pas lieu de nous étonner ; le crédit accordé présente, en effet, des avantages qui permettent à toute personne de posséder les plus grands ouvrages scientifiques, littéraires, historiques, géographiques, etc., sans débours apparent (cinq francs par mois par chaque centaine de francs d’achat). Nous avons en main le Catalogue général de cette maison, le plus complet de ceux qui existent en librairie ; nos lecteurs peuvent se le procurer en en | Prix, broché, 80 fr.; reliure artistique, 100 fr., payables 5 fr. par mois. — Librairie A. PILON A. LE SSU successeur, éditeur, 33, rue de Fleurus à Paris. L Librairie ABEL PILON (A. LE VASSEUR successeur, 33, rue d Fleurus) ie de mettre en vente un magnifique vrg, l'Art national, qui obtient un ss caant et bien mérité. At national, en effet, n’est pas slmnt un ouvrage de luxe, c’est encore, et surtout, un livre d’utilité première, indispensable à ts ceux qui ont el culte d la patrie. L'auteur, H. DU CLEUZIOU, en dévlppnt l’histoire de l’art en France, démontre que cet art, né de notre sol, se prolonge à travers les sgeâ comme un filon gaulois, où l’étranger n’a rien de valable. eL’utru,a ’adressant à tout le mnd, s’est gardé des tems techniques ; il a vl parler une nge qui fût intelligible à tous; son livre est, nous osons le dire une œuvre vrmnt nationale. Les illustrations, xéctés sur sle dessins de ’auteur d’après les monuments du pays et de ses musées sont répandues avec une usi et un à-propos si sd,rang qu’elles sont devenues l’expression réalisée du texte. Typographie chromos, gravures, et la reliure elle-même vrai modèle de gaufrage artistique, sont endi,sg en tout point, de la grandeur ed l’œuvre. ’Art national sera neiôtbt entre toutes les mins. MIS À NOTER Nous ne saurions trop appeler l’attention de nos lctrs sur le systèm de crédit offert rpa la Librairie Abel Pilon (A. Le Vasseur successeur). Cette administration, dont ns lniubosp et des annonces, compte aujourd'hui pls de quatre cent mille souscripteurs, et son importance prend de jour en jour des vlpms plus considérables. Ce succès n’a pas lieu de ousn étonner ; l crédit accordé présente, en effet, d avantages qui permettent à toute personne de pssédr les plus grands ouvrages scientifiques, littéraires, historiques, géographiques, etc., sans débours apparent (cinq francs par mois par chaque centaine de francs d’cht). Nous avons en main le Catalogue général de cette maison, l plus complet d ceux qui existent en librairie ; ns lt peuv se le procurer en en |
de gaufrage artistique, sont dignes, en tout point, de la grandeur de l’œuvre. L’Art national sera bientôt entre toutes les mains. MIS À NOTER Nous ne saurions trop appeler l’attention de nos lecteurs sur le système de crédit offert par la Librairie Abel Pilon (A. Le Vasseur, successeur). Cette administration, dont nous publions souvent des annonces, compte aujourd'hui plus de quatre cent mille souscripteurs, et son importance prend de jour en jour des développements plus considérables. Ce succès n’a pas lieu de nous étonner ; le crédit accordé présente, en effet, des avantages qui permettent à toute personne de posséder les plus grands ouvrages scientifiques, littéraires, historiques, géographiques, etc., sans débours apparent (cinq francs par mois par chaque centaine de francs d’achat). Nous avons en main le Catalogue général de cette maison, le plus complet de ceux qui existent en librairie ; nos lecteurs peuvent se le procurer en en faisant directement la demande, rue de Félix, 33, à Paris. CAFETIÈRE MONNET A FILTRE (BREVETÉ S.G.D.G.) Allant sur tous les feux. Aucune évaporation. ÉCONOMIE PAR L'ARÔME CONCENTRÉ. Le meilleur marché de tous les systèmes. J. PAQUET, fab., 1, Cité Trèvise, PARIS. Dépôt chez tous les Quincaillers et articles de ménage. MERVEILLES DE LA NATURE Par A.-K. KÜCHEM Edition par J. KUNCKEL D’HERCULAIS Publiée en 900 livraisons à 40 centimes, ou 30 séries à 1 franc, 1,500 dessins dans le texte, 40 planches sur papier teinté. LIBRAIRIE DE J.-B. BAILLIÈRE ET FILS 19, rue Hautefeuille, à Paris Nous venons de parcourir la 4e série de cette belle publication; elle ne le cède en rien aux précédentes comme texte et comme gravures. C’est un traité aussi soigné au fond que dans la forme; il est très complet, et chaque insecte y est étudié de la façon la plus scrupuleuse et en même temps la plus claire pour les lecteurs peu initiés à l’histoire naturelle. Nous engageons vivement nos lecteurs à se procurer ce splendide ouvrage, que la modicité du prix met à la portée de toutes les bourses ; il leur fera passer agréablement les longues soirées d'hiver qui se préparent. Nos | de gaufrage artistique, sont dignes, en tout point, de la grandeur de l’œvr. L’Art ntnl sera bientôt entre tts les mains. MIS À NOTER Nous ne saurions trop pele l’attention d sno lecteurs sur le système de crédit oetffr par la Lbrarie Aleb Pilon (A. L Vasseur, successeur Cette administration, dont nous publions souvent ds annonces, compte aujourd'hui plus de qtr cent mille souscripteurs, et son importance prend de jour en jour des développements plus considérables. Ce succès aps lieu de nous étonner ; le crédit accordé présente, en effet, des avantages u rettet à toute personne de posséder les plus grands ouvrages scientifiques, littéraires, historiques, géographiques, etc., sans débours apparent (cinq francs par mois par chaque centaine d fracs dachat Nous avons en main le Catalogue général de cette maison, le plus complet de ceux qui existent en librairie ; nos lecteurs peuvent se le procurer en en faisant directement la demande, rue de Félix, 33, à Paris. CAFETIÈRE MONNET A FLTR (BREVETÉ S.G.D.G.) Allant sur tus les feux. Aucune évaporation. ÉCNM PAR L'ARÔME CONCENTRÉ. Le meilleur marché de tous les système. J. PAQUET, fab., 1, Cié rèvie, PARIS. Dépôt chez tous les Quincaillers et articles de ménage. MRVLLS DE LA NATURE Par K.-.A ÜM Edition par J. KUNCKEL ’SDAECLRHIU Publiée en 900 lvrsns à 40 centimes, ou 30 séries à 1 franc, 1,500 dessins dans le texte, 40 planches sur papier teinté. LIBRAIRIE DE J.-B. BAILLIÈRE ET FILS 19, rue Hautefeuille, à Nous venons de parcourir l 4e sre de cette belle publication; elle ne e cède en rien aux précédentes comme texte et comme gravures. C’est un traité aussi soigné au fond que dns la fo il est très complet, et chaque insecte y est duiéét de la façon la plus spulse et en m temps la plus a pr les lecteurs pe initiés à l’histoire naturelle. Nous engageons vivement nos lecteurs à se procurer ce splendide ouvrage, que la modicité du prix met à la portée de tts les bourses ; il leur fe passer agbet les longues soirées d'hiver qui se préprnt. Nos |
MERVEILLES DE LA NATURE Par A.-K. KÜCHEM Edition par J. KUNCKEL D’HERCULAIS Publiée en 900 livraisons à 40 centimes, ou 30 séries à 1 franc, 1,500 dessins dans le texte, 40 planches sur papier teinté. LIBRAIRIE DE J.-B. BAILLIÈRE ET FILS 19, rue Hautefeuille, à Paris Nous venons de parcourir la 4e série de cette belle publication; elle ne le cède en rien aux précédentes comme texte et comme gravures. C’est un traité aussi soigné au fond que dans la forme; il est très complet, et chaque insecte y est étudié de la façon la plus scrupuleuse et en même temps la plus claire pour les lecteurs peu initiés à l’histoire naturelle. Nous engageons vivement nos lecteurs à se procurer ce splendide ouvrage, que la modicité du prix met à la portée de toutes les bourses ; il leur fera passer agréablement les longues soirées d'hiver qui se préparent. Nos lecteurs de la campagne, en se livrant à cette intéressante étude, pourront donner à chacune de leurs promenades un but scientifique en même temps qu’ils apprendront à préserver leurs récoltes, et parfois leurs personnes, des insectes nuisibles que souvent ils ne sauraient distinguer des insectes qui, au contraire, ne jouent qu’un rôle favorable dans le vaste mécanisme de l’univers. C’est de plus un beau livre d’étrennes qui joindra l'huile à l’agréable. Melbourne 1881. I. PRIX: médaille d’argent ORCHESTRIONS jouant de 4 à 200 airs, avec ou sans expression ; mandoline, tambour, timbres, castagnettes, voix-célestes, jeu de harpe, etc. jouant 2 à 16 airs ; nécessaires, porte-cigares, chalets suisses, albums, encriers, boîtes à gants, presse-lettres, vases à fleurs, étuis à cigares, tabatières, tables à ouvrage, bouteilles, verres à bière, porte-monnaies, chaises, etc., à musique. Toujours la plus haute nouveauté chez B. M. HEINRICH, Berne. On n’obtient de mes pièces qu’en s’adressant DIRECTEMENT À LA MAISON-FABRIQUE, à Berne. Prix-courants illustrés franco. AVIS CHANGEMENT-DE DOMICILE POUR CAUSE D’AGRANDISSEMENT M. J.-B. SOULIER, ex-régleur mécanicien de la Maison Hurtu-Hautin de Paris, l'honneur d'informer sa clientèle que, par acte notarié, il a acquis le fonds de commerce en marchandises à coudre et fournitures de tailleurs, exploité | MERVEILLES DE AL NATURE Par .-K. ÜHM Edition rap J. KUNCKEL D’HERCULAIS Pblé en 900 lvrsns à 40 centimes, ou 30 séries à 1 franc, 1,500 dessins dans le texte, 40 planches sur papier teinté. LIBRAIRIE DE J.-B. BAILLIÈRE ET FLS 19, rue Hauille à Pris Nous nvnose de parcourir la 4e éri de et belle publication; le ne le cède ne rien x précédentes comm txt comme gravures. C’est un trté aussi soigné ua fo que dans al forme il e très complet, et chaque insecte y st étudié de l fçon la plus scrupuleuse et en même temps l plus claire pour les lcteurs peu initiés à l’histoire naturelle. Nous engageons vivement nos lecteurs à se procurer ce splendide ouvrage, que la mdcté du prix met à la ptée d toutes les bourses ; il leur a passer agréablement les sgonule srés d'hiver u s préprnt. Nos lecteurs de la campagne, en se livrant cette intéressante étude, pourront donner à chacune lrs promenades un but sienifque en même temps qu’ils apenot à préserver leurs récoltes, et leurs personnes, des insectes nuisibles que souvent ils n srnt distinguer des nscts qui, au contraire ne jouent qu’un rôle favorable dans le vaste mécanisme d l’univers. C’est de plus un u e ensenédtr’ qui jndr l'ie à l’agréable. Melbourne 1881. I. PRIX: médaille ’argent ORCHESTRIONS jnt de 4 à 020 airs, avec u sans xprssn mandoline, tamou, timbres, castagnettes, voix-célestes, jeu de hp, etc. jouant 2 à 16 airs ; nécessaires, porte-cigares, chalts suisses albums rier, boîtes t,sang presse-lettres, vases à fleurs, étuis à cigares tabatières, tables ovre bouteilles, vrrs à bière, porte-monnaies, chaises, etc., à musique. Tjrs la pls haute nouveauté chez B. M. HEINRICH, Brn. On n’obtient de mes pièces qu’en s’adressant DIRECTEMENT À LA MSN-FBRQ, Berne. Prix-courants illustrés frnc. VS CHANGEMENT-DE DOL POUR CAUSE D’AGRANDISSEMENT M. J.-B. SOULIER, ex-régleur accenéiinm de l Maison Hurtu-Hautin de Paris, 'honneur ro'nemfdri a clientèle q,ue ar acte notarié, il a acquis le fonds de commerce en mcnaedsirsah coudre et ritr d tailleurs, exploité |
qu’un rôle favorable dans le vaste mécanisme de l’univers. C’est de plus un beau livre d’étrennes qui joindra l'huile à l’agréable. Melbourne 1881. I. PRIX: médaille d’argent ORCHESTRIONS jouant de 4 à 200 airs, avec ou sans expression ; mandoline, tambour, timbres, castagnettes, voix-célestes, jeu de harpe, etc. jouant 2 à 16 airs ; nécessaires, porte-cigares, chalets suisses, albums, encriers, boîtes à gants, presse-lettres, vases à fleurs, étuis à cigares, tabatières, tables à ouvrage, bouteilles, verres à bière, porte-monnaies, chaises, etc., à musique. Toujours la plus haute nouveauté chez B. M. HEINRICH, Berne. On n’obtient de mes pièces qu’en s’adressant DIRECTEMENT À LA MAISON-FABRIQUE, à Berne. Prix-courants illustrés franco. AVIS CHANGEMENT-DE DOMICILE POUR CAUSE D’AGRANDISSEMENT M. J.-B. SOULIER, ex-régleur mécanicien de la Maison Hurtu-Hautin de Paris, l'honneur d'informer sa clientèle que, par acte notarié, il a acquis le fonds de commerce en marchandises à coudre et fournitures de tailleurs, exploité par feu François CARLIER, 6, Rue Guizot, Paris et qu'il est constitué seul et unique successeur, on trouvera dans cette Maison de confiance, comme par le passé, avec les améliorations jugées nécessaires, tout ce qui concerne ses spécialités. À CÉDER POUR CAUSE DE SANTÉ le portefeuille d’une ancienne et importante Compagnie d’Assurances contre l’incendie. Encaissements: environ 120,000fr. par an AFFAIRES FACILES Pour tous renseignements : S’adresser au bureau du journal. BEST PAY De tous les remèdes employés pour la guérison des rhumatismes, névralgies, lombagos, de la goutte, le seul qui calme immédiatement et guérit sûrement, est le Saponulex, préparé par L. FOUCHER, D’ORLÉANS, 2, rue des Halles à PARIS. Dans toutes les bonnes pharmacies. TOUX La toux violente, la fièvre opiniâtre, est, à l'instant calmée et guérie par les Spécifique merveilleux et infaillible contre les Rhumes, Catarrhes, Bronchites, Asthme, Maladies et Irritations de Gorge et de Poitrine et les Douleurs nerveuses, etc. 3 fr. 1er Boîte. — Expédition franco. Paris, Pharmacie TARIN, place des Petits-Pères, 9 Bonnes Pharmacies se trouvent dans toute, bonnes Pharmacies. De la notice qui accompagne chaque boîte Cod. 68,611 Si les Capsules Durel au goudron ferrugineux sont de préférence prescrites par les docteurs pour guérir les | qu’un rôle favorable dans l vaste mécanisme de l’univers. C’est de pls un beau livre d’étrennes qui joindra 'huile à l’agréable. Melbourne 1881 .I PRIX: médaille d’rgnt ORCHESTRIONS jouant de 4 à 200 airs, avec ou sans expression ; mandoline, tur timbres, castagnettes, voix-célestes, jeu de harpe, etc. jouant 16 airs ; nécessaires, porte-cigares, chalets suisses, albums encriers, boîtes à gants, presse-lettres, vases à fleurs, étuis à cigares, btie, tables à ouvrage bouteilles, verres à bière, porte-monnaies, chaises, tc., à msq. Toujours plus hu nouveauté chez B. M. HEINRICH, Berne. On n’obtient de mes pièces qu’en s’adressant DIRECTEMENT LA MAISON-FABRIQUE, Berne. Prix-courants illustrés franco. AVIS CHANGEMENT-DE DMIL PURO CAUSE D’AGRANDISSEMENT M. . LUOESI,R ex-régleur mécanicien de la Maison Hurtu-Hautin de Paris, l'honneur d'informer sa clientèle que, arp acte notarié, il a acquis le fonds de commerce en marchandises à coudre e fournitures de tailleurs, exploité par feu François CARLIER ,6 Rue uizt Paris et qu'il st constitué seul et ique successeur, on trouvera dans cette Maison de cance comme par le passé, avec les améliorations jugées nécessaires, tout ce qui concerne ses spécialités. À CÉDER POUR CAUSE DE SANTÉ le poefee d’une ancienne et importante Compagnie d’Assurances contre nce Encaissements: environ 120,000fr. par an AFFAIRES FACILES Pour tous renseignements : S’adresser au bureau du journal BEST PAY D tous les remèdes employés pour la guérison des rhumatismes, névralgies, lombagos, de la goutte, l seul q cam immédiatement et guérit sûrmnt, st le Saponulex, préparé par L. FOUCHER, D’ORLÉANS, 2, r des Halles à A Dans toutes les bonnes pharmacies TOUX La toux violente, la fièvre reiop,ânti est, à l'instant calmée et guérie par les Spécifique merveilleux et infaillible cntr les Rhumes, Catarrhes, Bronchites, Asthme, Mlds et Irritations de Gorge et de Poitrine et les ouulDesr ervss etc. 3 fr. 1er Boîte. — Expédition franco. Paris, Pharmacie T,NRAI place des e,-srettèsPPi Bonnes Pharmacies se trouvent dan toute, bonnes Pharmacies. De la notice qui accompagne chaque boîte Cod. 68,611 Si lse Capsules Drl goudron ferrugineux sont e préférence prescrites par les dctrs pour guérir les |